Titre du blog : Les Black's Foot
Auteur : Jakin
Date de création : 03-09-2008
Auteur : Jakin
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posté le 23-07-2010 à 07:31:41
JACK TEAGARDEN
Jack Teagarden qui, dès la fin des années vingt, possédait un style que bon nombre d’instrumentistes de l’ère du swing lui envieront, est à juste titre considéré comme un excellent virtuose du trombone. Marqué à la fois par les spirituals et par la musique hispano-américaine, le tromboniste texan a en quelque sorte tenu auprès de Louis Armstrong le même rôle que celui de Earl Hines au piano.
Le célèbre jazzman fut très tôt concerné par la musique, puisque sa mère était une très bonne pianiste et son père un honnête joueur de cornet. Considéré, aux origines du jazz, comme un simple soutien rythmique au cornet et à la clarinette, le trombone allait devenir peu à peu un véritable instrument soliste. Grâce à des musiciens tels que Jimmy Harrison, Miff Mole et bien sûr Teagarden !
Le célèbre jazzman fut très tôt concerné par la musique, puisque sa mère était une très bonne pianiste et son père un honnête joueur de cornet. Considéré, aux origines du jazz, comme un simple soutien rythmique au cornet et à la clarinette, le trombone allait devenir peu à peu un véritable instrument soliste. Grâce à des musiciens tels que Jimmy Harrison, Miff Mole et bien sûr Teagarden !
Le style expressif et mélodique de Jack Teagarden inspire autant les jazzmen que les critiques, subjugués par la qualité du musicien. A la fin des années vingt il avait dépassé les grands virtuoses du trombone. Seul musicien blanc avec Eddie Condon dans l’ensemble de Fats Waller en 1929, il n’allait pas tarder, avec sa parfaite connaissance de la musique négro américaine, à devenir le « King of the blues trombone ».
A partir de 1929, Jack Teagarden, qui deviendra vite le tromboniste préféré de Louis Armstrong, collaborera avec ce grand trompettiste.
C’est grâce à Bobby Hackett que Jack Teagarden retrouve le grand Louis Armstrong en 1947. Les deux hommes, qui s’entendent à merveille, enregistreront ensemble plusieurs morceaux. Fort heureusement pour l’histoire du jazz, il existe de nombreuses réalisations discographiques qui témoignent de l’entente peu commune entre ces deux musiciens.
Jack Teagarden est retrouvé mort dans la chambre de son hôtel à la Nouvelle Orléans en janvier 1964, après qu’il eut joué dans un club de la ville…
♥ After You've Gone (1934)
♥♥ I'm an Old Gowhand (1936)
♥♥♥ Blue Funk (1954)
Jack Teagarden Basin Street Blues
envoyé par boberwig. - Regardez la dernière sélection musicale.
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Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991.
Armand, 
Commentaires
Bonsoir Jakin,
merci pour ces beaux morceaux de jazz que j'ai eu plaisir à écouter.
Souhaite que ta journée fut agréable, suis en week-end, donc tout va bien.
Passe une bonne soirée.
Grosse bise
petit coucou pour te souhaiter un bon après-midi gros bizzzous
merci pour tom com .