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Titre du blog : Les Black's Foot
Auteur : Jakin
Date de création : 03-09-2008
 
posté le 16-06-2011 à 08:58:08

L'AUBRAC TERRE DE BASALTE...

 

 

 

 


48 – Lozère, Nasbinals du 27 au 30 mai 2011


        La Lozère est l'un des 83 départements français créés lors de la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789. Il correspond presque exactement (le canton de Saugues en moins) à l'ancien évêché du Gévaudan, qui était une partie de l'ancienne province du Languedoc.
      


    Le département de la Lozère est le département le plus au nord de la région Languedoc-Roussillon. Il se situe au carrefour de 4 régions administratives : Languedoc-Roussillon, Rhône-Alpes, Auvergne et Midi-Pyrénées.


    Il est limitrophe des départements du Cantal, de la Haute-Loire, de l'Ardèche, du Gard et de l'Aveyron. Il dépend de l'Académie de Montpellier et de la zone de défense Sud (Corse, Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte d'Azur) dont le siège est à Marseille. Il compte 2 arrondissements, 25 cantons et 185 communes. C'est un département isolé du sud du massif central.
  


    Immense prairie d’altitude, l’Aubrac basaltique se nourrit de rivières et de lacs. Dans ce pays des burons, les pâturages entourés de murets de pierres, rythment un paysage tout en douceur des formes et en lumières exceptionnelles. C’est une terre de traditions sur laquelle les hommes perpétuent un art de vivre fait de chaleur et de convivialité, une terre gourmande où est élevée la vache d’Aubrac, dont le lait sert à fabriquer la tomme, ingrédient de base du fameux aligot.
     


    L’Aubrac doit son nom à l’ancienne dômerie d’Aubrac. L’étymologie vient de « Alto Braco » qui signifie : lieu élevé. Jusqu’aux alentours de l’an 1000, l’Aubrac était couvert de forêts de hêtres et de sapins qui abritaient des brigands. Ceux-ci attaquaient les pèlerins venant du Puy en Velay qui empruntaient l’ancienne voie romaine appelée Via Agrippa pour se rendre à Saint Jacques de Compostelle en Espagne. Les difficultés liées au climat et à l’insécurité lors de la traversée du plateau, conduirent un conte flamand, Adalard, à fonder un refuge pour accueillir les pèlerins.
     


    Trois heures quarante et 360 kilomètres d’autoroute sont nécessaires pour approcher Nasbinals. On quitte Aix en Provence ; autoroute A7 direction Salon, sortie Saint Martin de Crau, prendre la N113 direction Arles. Prendre l’autoroute A54 jusqu’à Nîmes, l’A9 jusqu’à Montpellier, Continué sur l’A75 direction Millau – Après le viaduc, sortie Nasbinals puis prendre la D900 direction Le Buisson, après une succession de virages on entre dans Nasbinals. A l’église on tourne à droite puis à gauche, au bout du petit chemin de campagne se trouve l’Hôtel des Marcheurs, notre étape de nuit pour cette nouvelle aventure…
     


    Nasbinals, charmant petit village lozérien, niché à 1180 mètres d’altitude au cœur de l’Aubrac, est une étape incontournable pour le voyageur qui parcourt cette immense étendue basaltique, sillonnée par la vallée du Bès. Son canton représente un paradis pour les randonneurs. Ce lieu permet de partir à la découverte d’un patrimoine préservé (burons, croix, fours à pains, fontaines), de tradition (la transhumance), d’une culture et d’une gastronomie (l’aligot, la truffade).
     


    50 ans avant notre ère, lors de la conquête de la Gaule, Jules César trouve parmi les peuples qui s'opposent à sa progression, les Gabales, dont le territoire s'étend d'Aubrac en Margeride et des Causses aux Cévennes. Les premiers réseaux de voirie voient le jour. Il existait quelques infrastructures celtiques, les drailles dont la force occupante s'inspire pour construire un réseau avec relais et bornages. Le "Pagus Gabalitanus" est traversé dans sa partie nord par la voie d'Agrippa qui relie Lyon à Bordeaux en traversant Anderitum (Javols), Ad Silanum (Puech Cremat près de Nasbinals, dernier relais avant la descente en pays ruthène ), Segodunum (Rodez).
     


    Les premières communautés chrétiennes remontent au 7ième siècle avec l'évangélisation par Grégoire de Tours qui souhaitait mettre un terme aux rites païens pratiqués au lac de Saint Andéol près du mont "Hélanus". Les premières églises de Marchastel et Nasbinals furent construites à ce moment là.
     


    Après 951, nombreux sont les pèlerins qui suivent les pas de l'évêque Godescalc, premier français à parcourir le chemin du Puy en Velay à Conques. Dans ce mouvement, on connaît le rôle déterminant joué par les ordres monastiques. Autour des abbayes mères, se multiplient fondations et prieurés d'où se développent les voies qui permettent l'essor du pèlerinage et autour desquels se dessine le noyau des bourgs actuels. Au début du 11ième siècle, un prieuré autour de l'église de Nasbinals témoigne d'une communauté villageoise.
     


    En 1074, les moines de St Victor de Marseille firent éclore la robuste église de style roman devenant un de leurs prieurés qui offrait un abri sûr aux pèlerins avant de franchir le plateau et rejoindre Aubrac. En 1135, le prieuré est rattaché à la Dômerie d’Aubrac et ce jusqu’à la Révolution. L’église Sainte Marie de Nasbinals est aujourd’hui un des fleurons de l’art roman en Aubrac. Elle est remarquable par la polychromie de ses matériaux, son clocher octogonal et la voûte de la nef en ogive. A l’intérieur, le mobilier moderne, s’il surprend plus d’un, relève avec élégance la pureté du style et la sobriété de l’architecture romane. Les Saints en bois présents dans l’église ont été sculpté par Hervé Verhnes entre 1993 et 1997…
     


    La route serpente entre murailles de pierres et vaches curieuses de Nasbinals à Aumont Aubrac, Saint Chély d’Apcher pour arriver en pente douce vers Le Malzieu la Perle de la Vallée : C’est ainsi que l'on nommait autrefois le bourg médiéval du Malzieu, posé sur les rives de la Truyère, au cœur du légendaire pays de Gévaudan. La présence humaine date au Malzieu de la préhistoire. Au fil des siècles, chaque société a construit, détruit puis reconstruit sur les mêmes emplacements. Le Malzieu du 21ième siècle est riche de cette histoire. En arrivant, on est d'abord marqués par les remparts qui entourent encore le village et délimitent l'ancienne cité médiévale. Au fil de notre promenade nous apprécions toute la richesse de ce patrimoine.
     


    C’est avec la construction d’un oppidum romain (abris de défense) en aplomb de la ville que commence l’histoire du Malzieu. Les Gabales, habitants de ce qui deviendra par la suite le Gévaudan, s’installèrent autour de la villa Malzio construite en contrebas. Le nom définitif sera attribué à la révolution : Le Malzieu. Au fil du temps, le village prit de l’importance jusqu’à devenir au 11ième une dépendance du duché des Mercoeur. Famille très importante du Gévaudan et de l’Auvergne, elle fit du Malzieu une des places forte de la région. Du 11ième au 13ième siècle, on érigea les puissantes murailles aux tours impressionnantes et les châteaux de la cité et de ses environs.
      


    Aujourd’hui, outre les remparts et quelques tours, on peut encore observer la Porte Haute, l’une des trois entrées de la cité, et les vestiges du « Fort Antic ». La ville se para ensuite de ses monuments, de ses places et rues au caractère encore préservé.
      


    Le fait marquant de l’histoire du Malzieu fut la peste du 17ième siècle qui tua 80% de sa population. Dans le but d’aseptiser la ville, l’apothicaire Jean Conché mis le feu aux maisons atteintes de la peste, s’en suivi un incendie qui ravagea une grande partie de la cité. Le Malzieu fut alors reconstruit avec l’aide de maçons Italiens, donnant un cachet unique à la ville.   
      


    La bête du Gévaudan a vraiment existé. Au 18ième siècle, on lui a attribué une centaine de morts, principalement des femmes et des enfants, dont une dizaine sur le canton du Malzieu. Après des années de recherches et plusieurs centaines de loups abattus, la bête est finalement tuée le 19 Juin 1767 par Jean Chastel. C’était un loup aux proportions bien plus grandes que la moyenne et dont l’ouverture de la gueule mesurerait 50 cm… Elle va laisser derrière elle de multiples légendes issues, pour la plupart, de l’imagination populaire…
     


    Après un petit déjeuner rustique, départ au petit jour pour le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Toute réflexion faite, on se contentera du Petit Déroc, une ballade en boucle de 9 Kms, annoncée pour trois heures de marche. Départ place du Foirail, nous prenons la route de Marvejols.
     


    Après le cimetière, nous prenons la première route à droite qui longe la campagne. A la cabane nous empruntons le premier chemin sur la gauche et à l’intersection on suit le chemin de droite jusqu’à un bosquet d’arbres et là, nous nous engageons sur le sentier entre les deux murets. La côte monte en pente douche, le soleil commence à pointer son nez et les oiseaux nous font la conversation, on marche depuis maintenant une demi-heure.
     


    Arrivé à la D52, nous traversons la route et continuons tout droit en direction de la cascade. La cascade du Déroc est un des sites naturels les plus remarquables de l’Aubrac (du moins l’hiver). L’affluent du Bès et les eaux du lac des Salhiens viennent se précipiter sur le rebord du basalte sous lequel s’est formé une grotte constituée d’orgues basaltiques remarquables par leur géométrie.
     


    Nous prenons maintenant le chemin à droite qui passe devant la grange Déroc qui descend en pente douce vers la grange des Enfants.
      


    Nous continuons le sentier sur la droite, puis à l’intersection suivante, nous prenons la petite route jusqu’au pont de Marchastel. Cela fait maintenant deux heures que nous marchons, le soleil brûle, les mouches piquent et la gorge réclame son comptant d’eau fraîche.
     


    On traverse la D900 et suivons les pas du GR65 qui grimpe sur le village de Montgros et après trois heures de marche nous atteignons enfin Nasbinals pour un repas bien mérité : Boudin aux pommes et vin rouge au goût de châtaignes…
     


    Nous poursuivons notre escapade au parc des Loups du Gévaudan qui se trouve à Sainte-Lucie, dans la vallée de l'Enfer. Sur les 20 hectares consacrés aux loups, 7 sont ouverts aux visiteurs. Ici, chaque sous-espèce vit dans un enclos spécifique afin que l'on puisse observer leurs nuances de tailles et de couleurs. Une centaine de loups vivent actuellement en Lozère dans un biotope naturel. Sur les Terres de Légendes du Gévaudan, nous observons des loups de Sibérie, de Mongolie, de Pologne et du Canada. Au cours de visites guidées, le travail de sensibilisation et de réhabilitation de cet animal méconnu, nous permet de mieux connaître le comportement du loup ainsi que de son retour en France sur l’arc alpin. Vous comprendrez alors qu’il s’agit d’un animal timide, craintif et non agressif envers l’homme malgré toutes les légendes et histoires qui existent encore sur lui.
     


    La promenade est libre dans le parc autour des enclos à Loups. Nous pouvons aussi suivre la promenade commentée pour en apprendre plus sur les loups. Les maisons de sainte Lucie sont des maisons rurales du 16ième et 17ième siècle. Les constructions de granit aux toits de lauze abritent aujourd'hui des gîtes ruraux.
      


    A la sortie de Sainte Lucie se trouve un enclos avec des cerfs élaphes*. Les cerfs sont issus de l'ancien parc animalier qui se trouvaient dans le hameau à la place du parc à loups.
      


    Sur la route du retour nous faisons une halte au Château de la Baume. La somptuosité de la décoration, l’influence du style imposé par  Louis XIV, mêlées à l’inspiration italienne d’artistes venus de Montpellier ont valu à cet ensemble, propriété de la famille du Comte de Las Cases depuis 1858, d’être classé monument historique et surnommé le « Petit Versailles Lozérien ». Encore faut-il qu’il soit ouvert au public en fin d’après-midi ?
     


    Il n’y a aucune soirée dans l’Aubrac qui ne se finisse pas sans la traditionnelle visite aux « cousines » à quatre pattes, qui vous observe avec leurs grands yeux langoureux à vous faire passer des nuits dans les rêves les plus fous….
      


    Cette nouvelle journée commence par la ville royale du Gévaudan. Située à 640 mètres d'altitude, entre Aubrac et Margeride, à proximité des Gorges du Tarn et des Causses, Marvejols est la cité incontournable au cœur des terres de Lozère. Cette ville royale en Gévaudan, est une cité de caractère marquée tant par le moyen âge que par la renaissance. Au fil des ruelles étroites, la ville nous dévoile ses remarquables portes fortifiées, son église, ses anciennes maisons et ses divers éléments curieux.
      


    C’est une cité de caractère, au passé riche d’histoire. Du menhir de l’époque Gallo-Romaine aux imposantes portes fortifiées du 17ième siècle, Marvejols est un véritable voyage dans le temps et l’histoire. La ville devient ville royale en 1307, lorsque Philippe IV Le Bel en fit sa capitale en Gévaudan.
     


    Fortifiée durant la guerre de Cent ans, elle se convertit au protestantisme au 16ième siècle et prit parti pour Henri de Navarre, futur Henri IV. Ce choix provoqua l’intervention des troupes du Duc de Joyeuse et les trois quarts de la population furent massacrés, la ville incendiée et les fortifications détruites. Reconnaissant, Henri IV fit reconstruire la ville en 1601. Les trois portes fortifiées sont les témoins de cette époque troublée.
      


    Nous Partons à la découverte du parcours pédestre "le Circuit Henri IV, la ville royale". Ce parcours est balisé (au sol, par des médaillons) et compte 17 bornes commentées et illustrées. Au gré de la visite nous découvrons, les trois Portes fortifiées (porte du Soubeyran, porte chanelles et porte du Théron), l'église Notre-Dame de la Carce (17ième siècle), les statues modernes sculptées par E. Auricoste de Henri IV et de la Bête du Gévaudan.
     


    Nous poursuivons notre visite par la capitale de la Lozère. Des hauteurs surplombant la ville, le visiteur découvre une charmante cité, blottie autour de sa monumentale cathédrale gothique. Cette omniprésence de la cathédrale nous donne les clés de lecture de l'histoire de Mende, elle symbolise la toute puissance des évêques. Elle raconte aussi les origines de cette ville de pèlerins, qui a grandi autour du tombeau de Saint Privat.
     


    Au 12ième siècle, l'évêque Aldebert III du Tournel se rend maître de la ville et l'entoure de remparts. Il fait hommage au roi de France Louis VII. La ville va connaître de sombres heures pendant les guerres de religions. Malgré la réforme protestante qui convertit une partie du Gévaudan, Mende reste fidèle à la foi catholique. Sa devise vient de là : "les ténèbres ne m'ont pas envahi", son blason également : "le soleil rayonnant".
     


    En 1579, le capitaine huguenot Mathieu Merle s'empare de la ville, décime le clergé, et en 1581 détruit la cathédrale et sa prestigieuse cloche "François" surnommée "La nonpareille". En 1721, la peste, venue de Marseille, franchit les portes de la ville pour y mener sa funeste destinée. Cette terrible épidémie est une des causes de la destruction des remparts en 1768, " pour que l'air circule mieux ".
     


    Mandrin vint en Gévaudan. Il arrive à Mende à la tombée du jour un jour de l'été 1754 venant de Rodez. Il se loge à l'auberge du Griffon haut en face de la fontaine du même nom (rue de soubeyran qui débouche du Forail sur la Cathédrale) tandis que le reste de la bande s'installe sous la halle aux blés et sur la place de la cathédrale. La Légende veut qu'à Mende le célèbre contrebandier Mandrin ait habité la maison Oziol, rue d'Aigues Passes, la maison dont la façade abrite la Pieta du 16ième siècle. Là il aurait caché, toujours d'après la légende, un fabuleux trésor qui n'a jamais été découvert...
      


    Le 19ième, siècle contradictoire, est le siècle du progrès. Mende est le premier chef-lieu de département, en 1888 à obtenir l'éclairage électrique public. Le 19ième est aussi le siècle pendant lequel la ville amorce sa lente descente vers l'oubli. L'industrie textile décline, pour disparaître au 20ième siècle.
     


    Le repas terminé nous reprenons la route. Au nord du Gévaudan, au sud de la Margeride, Châteauneuf de Randon est un piton granitique à 1 286 mètres d’altitude. Le Seigneur de Randon de retour des Croisades, aux environs du 11ième siècle quitta le château du « Signal de Randon » pour construire sur l’emplacement de ruines Gallo-romaines le Château-neuf-citadelle dominant stratégiquement toute la région.
      


    Durant la guerre de 100 ans, vers 1370-1380 les fameuses Grandes Compagnies, à la solde des Anglais, semaient la terreur dans le Gévaudan et le Vivarais. Le Roi Charles V, dit le Sage, chargea Bertrand du Guesclin, Grand Connétable de France, au retour de campagne d’Espagne, de débarrasser définitivement ces pays de l’invasion des « Routiers », mercenaires plus ou moins livrés à eux-mêmes, soutenus par le Roi d’Angleterre, Duc de Guyenne.
     


    Le 14 Juillet 1380, date mémorable, au lieu dit l’Habitarelle, mourut Bertrand du Guesclin durant le siège du château de Randon. Agé de 60 ans, le Connétable serait mort de « congestion » après avoir bu l’eau glacée de la fontaine de «  La Glauze ». Ce fut la dernière victoire posthume après laquelle les Chevaliers locaux unis autour du seigneur de Polignac bloquèrent et exterminèrent au Château de Luc ces envahisseurs dits Anglais. Les habitants de Chârteauneuf conservent pour leur libérateur une vénération particulière.
     


    Au 15ième et 16ième siècle, la Citadelle des Seigneurs de Randon devint par courtes périodes, lors des incursions des pillards, le refuge des habitants du bourg et des villages voisins. De la Citadelle, il ne reste que la tour « des Anglais ». C’est vers 1632 que sur ordre de Louis XIII furent démantelés les Châteaux de Randon, de Luc et de Grèze et c’est avec leurs pierres que furent construites maisons d’habitations et clôtures environnantes.
     


    Ainsi s’achève l’aventure dans l’Aubrac. Nous prendrons soins de faire la route le lendemain par les départementales qui traversent Marvejols, Mende, Florac, Alès, Nîmes et Aix en Provence pour profiter de la nature.
     


    Pays d’espace et de lumière, terre d’accueil, l’Aubrac est un pays où l’esprit des lieux souffle plus fort qu’ailleurs. C’est une invitation à la découverte, à la liberté, à l’authenticité !
 


    Riche de la grandeur de ses paysages et de l’héritage de son passé, l’Aubrac propose aux amoureux de la nature des randonnées exceptionnelles, des joyaux de l’art roman, les plaisirs de la gastronomie régionale, des trésors naturels et culturels. Faites le voyage, vous ne serrez pas déçu….

Armand,
 
 

Commentaires

harfang le 17-06-2011 à 09:08:31
je ne connais pas du tout cette région et franchement ton reportage donne vraiment envie d'y aller faire un tour !

J'ai pris des notes !

merci du partage Clin doeil
lafianceedusoleil le 16-06-2011 à 22:35:16
Bonsoir Armand,

j'en ai appris ce soir avec ton superbe article dédié à la Lozère, lors de ton récent séjour. Les photos sont belles et apaisantes. Sur les photos, je vois le ciel bleu. Tu as eu beau temps.

Merci Jakin, pour cette belle visite.

Je te souhaite une douce nuit.

Bisou
marsupifab le 16-06-2011 à 21:59:41
Bonsoir et merci de la visite! Très bel article, bonne continuation
heremoana le 16-06-2011 à 20:44:55
l'aligot et la truffade ne sont pas des spécialités uniquement de la Lozère mais de la région Auvergne .... on en trouve aussi dans le Cantal, Aveyron ..... elles sont toutes deux faites avec la tomme fraiche de cantal !!!!!

je repasserai : je ne vois pas les photos ce soir !!

bisous et bonne soirée
lolo78000 le 16-06-2011 à 14:56:00
coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous
marcapied le 16-06-2011 à 11:02:15
Merci pour la mine d'informations, joli boulot ! Une bien belle région où je dois retourner prochainement...
nike free 3.0 le 16-06-2011 à 10:14:00
Merci à tous ces besoins, la plupart des informations dans une position intéressante. Je parie que vous passez beaucoup de temps pour écrire tout cela. Merci pour l'excellent travail, partager vos connaissances avec nous, vous!