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Titre du blog : Les Black's Foot
Auteur : Jakin
Date de création : 03-09-2008
 
posté le 21-01-2012 à 01:02:38

LES CHASSEURS DE SCALPS

 

 

 

          Dépossédé de ses précieuses peaux de bêtes, un trappeur acariâtre, flanqué d’un esclave noir, entreprend de récupérer son bien et n’hésite pas à affronter les sanguinaires chasseurs de scalps.

     L’équipe de tournage des Chasseurs de scalps va affronter le désert et une chaleur accablante dans des endroits reculés de la civilisation. De plus, les rapports entre le réalisateur Sydney Pollack et sa star, Burt Lancaster, sont souvent tendus.

     Le casting des Chasseurs de scalps porte la marque de Burt Lancaster qui impose au générique nombre de ses amis de talent.

     Réussite indiscutable de la comédie western, Les Chasseurs de scalps subjugue la critique par l’acuité de son propos.

     Robert Redford, Jane Fonda, Burt Lancaster, Tom Cruise, Nicole Kidman… Sydney Pollack a su tirer le meilleur de ces géants du cinéma américain.

     Sydney Pollack naît en 1934. Il étudie d’abord l’art dramatique puis devient acteur pour la télévision et à Broadway. Intéressé par la mise en scène, il est l’un des assistants de John Frankenheimer et supervise les dialogues du Temps du châtiment, film sur lequel il se lie d’amitié avec Burt Lancaster. Le comédien lui confie le doublage pour la version anglaise, du Guépard. Entre-temps, le jeune homme joue dans La guerre est aussi une chasse, en 1962, où il rencontre Robert Redford, appelé à devenir son comédien fétiche. Pollack réalise durant quatre ans des épisodes de séries télé avant de s’illustrer au cinéma avec Trente minutes de sursis, sa première réalisation. En 1966, il retrouve Robert Redford pour Propriété interdite, film qui a pour cadre les années 1930 et la crise, et qui révèle le réalisateur au grand public. Les Chasseurs de scalps marque ses premiers pas dans la comédie. Il dirige Burt Lancaster dans ce western antiraciste. L’année suivante, il tourne toujours avec Lancaster, Un Château en enfer, film sur la guerre et ses illusions. Réalisateur solide, Pollack n’est pourtant pas encore reconnu à sa juste valeur…

 

 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.

 

Armand, 

 

 

Commentaires

lafianceedusoleil le 21-01-2012 à 21:39:55
bonsoir Armand,

faut voir comme Burt Lancaster boit au goulot le wisky !

je te souhaite une bonne fin de journée.

Bisou
lolo78000 le 21-01-2012 à 12:41:31
coucou je te souhaite un très bon samedi chez nous toujours un temps bien humide de gros bizzzous