Traqués par un colonel félon, Jesse et sa bande font route vers Freemanville, ville appartenant à leurs frères de couleur. C’est là que, jadis, le père de Jesse fut assassiné.
Après un premier succès commercial retentissant, et partant d’éléments historiques avérés, Mario Van Peebles ambitionne de réaliser un western qui révèlera le rôle crucial de la communauté noire américaine dans l’histoire de l’Ouest sauvage.
Pour les besoins de son film, Mario Van Peebles recrute le gratin de la scène afro-américaine passée et présente.
Dans la tiédeur de juillet, les critiques parisiens reçoivent avec chaleur le premier western black des années 1990.
Spécialisé dans le film d’action, le comédien Mario Van Peebles s’adonne également, avec talent et audace, au métier de réalisateur pour la télévision et le cinéma.
Il naît le 15 janvier 1957 à Mexico City. Fils du réalisateur Melvin Van Peebles, il débute à l’écran à l’âge de 14 ans dans « Sweet Sweetback’s Baadassss Song », film dirigé par son père. Diplômé en économie en 1978, il entre dans la vie active en tant que cadre commercial pour le compte d’Edward Koch, maire de New York. Il est alors attaché à l’agence de protection de l’environnement. tenté par une carrière artistique, il apparaît en tant que comédien dans divers shows télévisés, puis dans « Exterminator 2 » de Mark Buntzman, en 1984. On le retrouve au générique d’une poignée de films d’action comme « South Bronx Heroes », « Class 89 », « Last Resort », ainsi que dans « Le Maître de guerre », « Les Dents de la mer 4 » et dans « Identity Crisis », film dirigé par son père en 1989. Attiré par la réalisation, il se fait la main en dirigeant des épisodes de séries télé comme « 21 Jump Stree », « Wise Guy » et « Top of the Hill » ainsi qu’un téléfilm intitulé « Malcolm Takes a Shot » (1990)…
Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.
Armand,
Commentaires
coucou je te souhaite un très bon samedi chez nous bien gris de gros bizzzous
bon wk plein de western ....