Figure mythique de l’Ouest américain, Wild Bill Hickok s’installe à Deadwood où sa légende l’a précédé. Sous les traits d’un jeune homme assoiffé de vengeance, son passé va le rejoindre.
Après l’odyssée criminelle du « Gang des frères James » et la cavale libertaire du chef « Geronimo », Walter Hill accepte un nouveau défi : retracer les derniers jours de la vie d’une autre légende de l’Ouest, Wild Bill Hickok.
Walter Hill s’entoure de comédiens piliers de westerns, qu’ils aient la peau blanche ou qu’ils soient de souche indienne.
Vilipendé par la grande presse américaine, le film ne sera exploité, en Europe, que sur le marché de la vidéo.
Acteur sobre et subtil, Bruce Dern reste, aujourd’hui encore, l’un des acteurs américains les plus sous-estimés de sa génération.
Il naît à Chicago, Illinois, le 4 juin 1936. Bruce décroche son premier rôle à l’écran en 1960, dans le film d’Elia Kazan « Le Fleuve sauvage ». En 1964, il fait une apparition dans deux thrillers signés Robert Aldrich « Chut… chut, chère Charlotte » et Alfred Hitchcock « Pas de printemps pour Mamie ». En 1966, Bruce Dern collabore pour la première fois avec le prince de la série B américaine, Roger Corman, et figure au générique des « Anges sauvages », auprès de Peter Fonda et Nancy Sinatra. Cette collaboration trouvera divers prolongements, notamment dans « L’Affaire Al Capone » (1967), « Bloody Mama » (1970) ou encore « The Trip » (1967) et « Psych-Out » (1968), deux films psychédéliques pour le moins savoureux, interprétés (et écrit dans le cas de « The Trip ») par un tout jeune Jack Nicholson.
Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.
Armand,
Commentaires
coucou avec un superbe soleil je te souhaite un très bon samedi de gros bizzzous
kikou Jakin,
bon samedi Jakin, je rentre cette après-midi. Je te dirais franchement, je serais bien restée quelques jours de plus.
Bisou