posté le 14-03-2015 à 07:14:09
L'ADIEU AUX ARMES
Italie du Nord, 1917. Alors que la bataille contre les troupes austro-allemandes fait rage, un ambulancier américain engagé avec les forces italiennes rencontre une jeune infirmière britannique : c'est le coup de foudre.
En octobre 1917, durant la tragique retraite de Caporetto, le lieutenant Henry, engagé dans le corps ambulancier avec les troupes italiennes, doit faire un choix impossible : rester sur le front au milieu du carnage et des bombes ou rejoindre sa bien-aimée, Catherine, la jeune infirmière qu'il vient de rencontrer.
Pour ce remake de l'Adieu aux armes, le producteur David O. Selznick a tout donné : un budget colossal, des stars et une équipe technique mêlant valeurs sûres hollywoodiennes et renforts de Cinecittà. Objectif ? Refaire un coup digne d'Autant en emporte le vent.
L'accueil catastrophique réservé à la dernière superproduction de Selznick repose sur une multitude de malentendus qui, aujourd'hui encore, font de l'Adieu aux armes un film rare et à découvrir.
La distribution de L'Adieu aux armes est à la hauteur des folies de Selznick : fastueuse et inattendue. Mis à part Rock Hudson, on y trouve un choix de casting surprenant (Jennifer Jones), une valeur sûre (Mercedes McCambridge) et une armada truculente de stars italiennes.
Rares sont les cinéastes de l'âge d'or d'Hollywood à avoir pu mener une carrière si équilibrée que celle de Charles Vidor : sans bruit mais avec exigence et rigueur, l'auteur de Gilda a monté une à une les marches de la gloire.
Né à Budapest en Hongrie le 27 juillet 1900, Charles Vidor (de son vrai nom Kàroly Vidor) s'est retrouvé très jeune engagé comme lieutenant d'infanterie dans la Grande Guerre du côté austro-allemand. Un souvenir traumatique qui ne l'empêche pas de rêver très vite de cinéma. Après un premier court-métrage réalisé en 1929, Vidor est engagé pour réaliser Le Masque de Fu Manchu (1932) avec Boris Karloff mais est renvoyé à peine le tournage commencé. Malgré son inexpérience, le cinéaste réalise dès l'année suivante son premier long-métrage, Sensation Hunters, un drame qui anticipe la veine du film noir et impose immédiatement Vidor comme un artisan capable de se débrouiller avec très peu de moyens dans le système étouffant des studios hollywoodiens. Sa carrière est lancée...
Textes et photos en provenances de la collection « Les plus grands films de guerre », Editions Atlas, 2002.
Armand,
Commentaires
Bonsoir Armand,
Vittorio de Sicca, un bon acteur que j'aime.
J'espère que ta journée fut agréable.
Bonne soirée et bon dimanche.
Bisou
Cricri
Bonjour Armand je vois que le globe trotteur est de retour lol tu es revenu de ton pèlerinage monastique , je suis bien d'accord avec toi le mont st Michel est très beau bien que ça à beaucoup changé lol .
L'adieu aux armes j'ai entendu parlé et de même pour l'acteur Rock Hudson, qui est parti trop tot à cause de cette saloperies de maladie qu'est le SIDA bref ton pitch est très bin .
Je te souhaite une très bonne fin de week end amitiés.
Bonjour
J'ai vu le film, bon, j'ai pleuré...
Un bon samedi!!
bises
coucou!
bon bah je connais même pas moi ce film... Rock hudson je le connais...De nom, lol me demande pas où je l'ai entendu je n'en sais rien! lol
bon week end
bisooous
quel est son choix?la guerre ou l'amour? bon wk