Il s'agit de quelques-uns des meilleurs groupes "garage" et psychédéliques de la fin des années 70 et de la décennie suivante. Le rock alternatif proposé a pris son ampleur en réaction contre les formations qui axaient leur musique sur les synthétiseurs, les faisant apparaître ainsi comme les héritiers des formations mythiques des années 60, et tout particulièrement des Byrds et du Pink Floyd de Sud Barret.
The Slickee Boys : Groupe de Washington formé au milieu des années 70, The Slickee Boys comprend Mark Noone (chant), Kim Kane (guitare rythmique), Marshall Keith (guitare solo et claviers), Emery Olexa (basse) et Dan Palenski (batterie).
The Nomads : Groupe suédois du début des années 80, The Nomads est le plus célèbre du mouvement "garage", particulièrement dynamique dans les pays scandinaves. La formation comprend Nick Vahlberg (chant et guitare), Hans Ostlund (chant et guitare), Tony Carlsson (basse) et Ed Johnson (barrerie).
United States of Existence : Groupe de Baltimore, United States of Existence a été parmi les premières formations à prôner le retour au psychédélisme à la fin des années 70. L'orchestre comprend Paul Reiger (guitare et basse), Bob Tiefenwerth (orgue), Gary Schwartz (batterie) et Dennis Davison (chant).
The Unclaimed : Formation de Los Angeles, The Unclaimed est constitué de Shelley Ganz (chant et guitare rythmique), Rich Coffee (guitare solo et orgue), Ray Flores (basse) et Matt Roberts (batterie).
♥ Invisible People (1983) The Slickee Boys
Commentaires
Bonjour Armand
bravo ton jeu de mot
Je te souhaite un très bon samedi
Nos amitiés bises
Qing&René
Bonsoir Armand,
je n'ai pas le temps d'écouter, nous partons dans peu de temps.
Merci pour tes souhaits.
Bon week-end.
Bisou
Cricri
Je ne saurais commenter. Je ne suis pas assez connaisseur et au temps de ma jeunesse, ce n'était pas le style de musique que j'appréciais le plus. Je crois bien que je n'ai pas changé. Ca secoue un peu trop pour moi. Mais, je le souligne encore : je suis totalement ignare en la matière ! Bon week-end. Florentin.
J'ai toujours pensé que le néo-ceci et néo-cela était quelque chose de très sain, dans le domaine du rock. Une façon de respecter ses racines. Il y en a toujours de nos jours et les premières sources datent du milieu des années 1970, alors que les compilations garagistes style Pebbles et Nuggets rendaient la musique obscure de 1966-1968 disponible à tout le monde (J'en ai une imposante collection, chez moi).
Je ne connaissais aucun des groupes que tu présentes, mais les deux premiers titres sont des reprises de trucs qu'on croisait sur les disques Pebbles. Invisible People est même une de mes chansons favorites, par Hamilton Streetcar, en 1967.
Très bien !