Un pays que tout le monde rêve de visiter. Car un voyage au Pérou, contrée lointaine et mystérieuse, tantôt inondée de soleil, tantôt noyée dans la brune des hauteurs ou dans l’exubérante forêt tropicale, permet aux visiteurs d’être à la fois déroutés et mystifiés par ce séjour dans la mémoire de l’histoire d’une mosaïque de peuples qui donna naissance à une république et à un territoire parmi les plus intéressants du continent…
Bastion de la brillante civilisation Inca, le Pérou ne cesse d’exercer une fascination presque mythique sur tous ceux qui se sont intéressés à ce territoire. Bien que son image ait été ternie ces dernières années par la vague sanglante de terrorisme qui a déferlé sur lui [« le Sentier Lumineux »], le Pérou ouvre toujours ses bras à tous ceux qui sont captivés par son histoire chargée de mystères, de poésie mais aussi de conflits meurtriers, ainsi que par son territoire démesurément contrasté, parsemé de richesses intemporelles, habité depuis les temps immémoriaux…
Manco Cápac aurait été le premier Inca. D’après les historiens, 12 Incas se sont succédé au pouvoir par la suite. On estime que l’empire fut fondé à Cuzco aux alentours de l’an 1300, mais qu’il ne se développa que sous la tutelle de Pachacutec, qui était le neuvième Inca. Les deux derniers, Atahualpa et Huáscar, se disputaient la possession du trône d’un empire trop vaste et difficilement gouvernable. Toutefois rien ne laissait présager la formidable épopée qui devait mener l’Espagnol Francisco Pizarro et sa poignée d’hommes à faire crouler l’étonnant Empire Inca…
Une valise bien ficelée, passeports et visas, quelques heures d’attente dans deux aéroports (Marseille Provence et Paris Roissy), et 12 heures de vol sont nécessaires pour atteindre le monde de l’altiplano andin, entre Pérou et Bolivie, et partir sur les traces de l’Inca…
Nous sommes accueillis à l’aéroport de Lima, sur la côte pacifique, par notre guide Pablo Rey de Castro Laemmli. « Bienvenu à Lima ! ». Une circulation interminable sur plus de 14 Km pour atteindre le centre. Une ville pétillante, moderne avec ses « Casinos » à chaque carrefour qui attendent vos dollars. Pourtant, ce n’est pas dans les rues que s’étale la richesse nationale. On la trouve plutôt dans ses musées, comme celui de l’Or et dans son quartier chic de Mira Flores, ou au pied des hôtels de luxe et des restaurants branchés. Dès notre arrivée à l’hôtel, nous sommes abordés par une multitude de « changeurs ambulants » reconnaissables à leur gilet siglé d’un dollar dans le dos…
Très tôt le matin, dans un brouillard humide (nos vêtements sont vite trempé), nous reprenons le chemin de l’aéroport pour une heure et demie de vol, direction Cusco. Capitale de l’empire inca, nombril (en langue quechua) du monde andin, à 3400 mètres d’altitude, la ville a conservé le faste de son âge d’or colonial. Nous visitons la cathédrale qui domine la Plazza de Armas, bordée de maisons basses à balcons de bois sculpté, le Koricancha, célèbre temple dédié au Soleil….
D’étroites rues pavées longent les façades de somptueux palais, de monastères et d’églises baroques bâties par les Espagnols. Et leur éclat ne fait que mettre en valeur l’austère et émouvante beauté des vestiges de temples Incas, détruits avec acharnement par les conquistadors…
Après le déjeuner nous visitons les ruines environnantes : l’amphithéâtre de Kenka, le temple religieux et la forteresse rouge Puca Pucara, Tambo Macay aussi appelé « le Bain de l’Inca » et enfin la forteresse de Sacsayhuamán, construction composée de 3 murailles qui servaient à protéger la ville de Cusco…
L’ambiance, l’animation nocturne, les restos sympas, le foisonnement et la qualité des boutiques d’artisanat finissent de donner à cette ville un charme fou. Un charme qui nous envahit, malgré la fatigue de l’altitude que nous combattons en buvant du Maté de Coca, et qui nous transporte dans la nuit aux rythmes des danses andines sur fond de flûte de Pan …
La nuit a été courte, les dernières notes de flûte de Pan résonnent encore dans nos oreilles quand nous nous levons ce matin à 4 h 30 pour rejoindre la gare : direction Ollanta notre étape de nuit. Trois heures dans un « tortillard », aux voitures d’un autre temps, qui s’égrènent lentement en redescendant la vallée avec sa cargaison d’autochtones. Nous avons sommeil, mais le spectacle à l’intérieur comme à l’extérieur nous tient scotché sur nos bancs de bois. Le foisonnement de couleurs vives (Bleu, rouge et noir) qui composent leurs vêtements traditionnels tranche avec le vert foncé des paysages qui défilent. Chaque espace disponible est occupé par une famille de paysans qui déjeune joyeusement avec porcelets, poules, coqs et divers volatiles qui courent dans les travées…
Aguas Calientes, tout le monde descend ! Paysans, touristes et animaux en tout genre se déversent dans cette petite bourgade encaissée par les montagnes, tout au bord du Rio Urubamba. Là nous attend un mini bus pour nous faire gravir les derniers lacets de notre ascension vers la cité Inca (Alt. 2 300m) entre les sommets du Huayna Picchu et du Machu Picchu…
Soudain au détour d’un virage, apparaît le site mythique. Quatre cents mètres plus bas, les flots café au lait de l’Urubamba bouillonnent, encadrés de vertigineuses cathédrales de verdure. Ainsi cachée, la fabuleuse cité inca n’a été découverte qu’en 1911 par Hiram Bingham, un archéologue américain. Et elle n’a pas encore livré tous ses secrets. Temple religieux, citadelle secrète, ultime refuge des vierges du Soleil ? L’énigme reste entière…
On reste souvent muet, d’admiration ou de stupeur, devant ce qui nous dépasse. Lorsque tout a été dit et écrit, on ne peut qu’admirer ou se répéter. C’est pourquoi en arrivant à Machu Picchu, les mots semblent futiles pour expliquer ce que plusieurs voyageurs décrivent comme le site archéologique le plus spectaculaire de l’Amérique du Sud. Spectaculaire ai-je dit ? Superbe ! Magnifique ! Sublime ! Merveilleux ! Fantastique ! On est vite à court de superlatifs et l’on se contente d’admirer ce témoin muet, mais combien évocateur d’un peuple anéanti par la soif de l’or, du pouvoir et de la gloire…
Après le déjeuner nous reprenons le train à Aguas Calientes, cette fois-ci direction Ollenta (Alt. 2 900m) sur les bords du Rio Urubamba. Ce petit village a réussi à garder un certain pittoresque grâce à ses vieilles rues étroites, empierrées et creusées d’aqueducs où l’eau pure des montagnes s’écoule à longueur d’année, comme nous allons nous écouler dans notre lit…
Le « polaire » est nécessaire ce matin. La température est basse, pas plus de 5°c., lors de notre départ vers Pisac. Ce village est réputé pour ses ruines et son flamboyant marché indien. Le troc et toujours pratiqué dans ce foirail aux traditions ancestrales. Nous parcourons les étalages de fruits et de légumes à même le sol, nous visitons les petites boutiques artisanales, et nous marchandons auprès des femmes indiennes ponchos, tricots et couvertures de laine d’alpaga…
Nous reprenons la route direction Puno notre étape de nuit. Il nous faut traverser pendant toute la journée l’Altiplano péruvien qui nous procure une sensation forte d’espace et d’éternité. Ici, la terre flirte avec un ciel où règne le condor. La cordillère des Andes ondoie dans son enrobage chocolat, d’où se détachent les fermes en torchis et les troupeaux de Lamas et de Gigognes. Partout, nous croiserons des Indiennes aux jupons multicolores et portant le chapeau noir et rond d’où dépassent leurs longues nattes brunes…
Avant le déjeuner nous empruntons le passage de La Raya, endroit le plus élevé du parcours (Alt. 4 490m), limite entre l’Altiplano et la zone andine. Au sommet nous faisons une halte. Mais dès la descente du minicar nous marchons avec difficulté, comme sur des ballots de coton. Nos poumons semblent brûlés par le manque d’air. Deux personnes du groupe perdent connaissance, il leur faudra respirer de l’oxygène en bouteille. Bref nous succombons au charme des « petites herbes de Provence » dans un paysage grandiose en compagnie d’une famille Quetchua venue faire quelques affaires…
Après un pique-nique en cours de route, nous arrivons en début de soirée à Puno, la capitale de l’Altiplano (Alt. 3 870m), sur les bords du lac Titicaca. Dès notre arrivée à l’hôtel nos hôtes s’empressent de nous servir un « maté de coca », tisane à base de feuille de coca réputée pour ses vertus curatives contre le « mal de l’altitude ». Le corps pesant une tonne et la tête flottant dans les airs, nous allons nous coucher avec une drôle de sensation…
Le soleil pointe à l’horizon quand nous sortons pour le petit déjeuner. Le silence règne pendant que nous avalons notre tisane de coca. Il faut dire que ce matin, même pour se brosser les dents, il faut faire un effort. Ne parlons pas de l’épuisement que représente le fait de se lacer les souliers ! Nous partons, tant bien que mal, pour le lac Titicaca source de nombreuses légendes. Nous passons la frontière péruvienne et arrivons à Copacabana, vous l’avez deviné, ce n’est pas au Brésil mais en Bolivie. Nous en profitons pour visiter sa cathédrale…
Après le déjeuner nous reprenons la route pour Tiquina et embarquons pour l’île de Suriqui connue pour la construction des bateaux en totora (roseaux). Le chantier naval du Kon Tyki, du célèbre navigateur norvégien Thor Heyerdahl…
Immense miroir liquide, dont la profondeur maximale atteint 280 mètres le lac Titicaca s’étend paresseusement sur 6 900 Km² aux confins du Pérou et de la Bolivie. A une altitude moyenne de 3 812 mètres, il détient le titre du lac navigable ayant l’altitude la plus élevée du monde. Le lac Titicaca meuble l’inconscient des traditions populaires. C’est un lac légendaire, aux consonances si particulières, qui se grave dans la mémoire et ne s’oublie pas de si peu…
Les Uros, habitants des villages flottants posés sur le lac, restent imperturbables. Ces « îles » minuscules, faites de racines et de roseaux, abritent trois cent cinquante familles indiennes vivant de la pêche depuis la nuit des temps (et aujourd’hui de l’artisanat). les enfants étudient dans une école de paille, digne de figurer dans le conte des « Trois Petits Cochons » !. Marcher sur ces îles pour la première fois donne la curieuse impression de marcher sur un lit d’eau. En station immobile, les pieds sont vite recouverts d’eau (phénomène physique de densité au cm²). Aussi, ces habitants sont toujours en perpétuel mouvement, ou bien couchés ou assis sur des nattes de roseaux tressés…
Nous reprenons la route, direction La Paz, ville mythique de la Bolivie pour notre étape de nuit. Un panneau indicateur au bord de la route nous signale : « Bienvenue à La Paz (Alt. 3 800 m) », mais aucune habitation n’est visible ! Et pour cause, la ville est construite en « bancaou » le long des parois d’un immense cratère volcanique éteint depuis des millions d’années. c’est un gigantesque entonnoir que la route emprunte en tournoyant pour atteindre 500 mètres plus bas la ville ancienne et notre hôtel…
Ce matin notre guide nous transfert à l’aéroport de La Paz, le plus haut du monde (Alt. 4 100 m). Nous prenons un vol intérieur pour Sucre (Alt. 2 790 m) que nous atteignons au moment du déjeuner. C’est la capitale officielle et constitutionnelle de la Bolivie. Elle est connue pour être le centre culturel d’Amérique Latine. Son architecture et ses musées sont le témoignage de son histoire, de sa culture et de ses traditions. Nous visitons le musée du textile, le couvent colonial de la Recoleta, la Cathédrale et les principaux monuments de la ville. Après quelques heures de marche dans ce dédale de ruelles fréquentées par une foule bigarrée, nous rejoignons notre hôtel pour un repos bien mérité…
Tôt le matin nous partons pour la journée visiter Potosi (Alt. 3 870 m), et plus particulièrement une petite mine coopérative exploitée par des mineurs indiens qui perpétuent encore les croyances des temps anciens. Le choc et la consternation. Ville de la honte pour l'Europe pour y avoir pillé la Bolivie de ses richesses minières (argent pur !) et pour n'y avoir laissé que la désolation et les os de plusieurs millions d'esclaves et de travailleurs (certaines estimations vont jusqu'à 6 millions). Depuis 1545, ce sont plus de 30.000 tonnes d'argent qui furent extraites du Cerro Rico (montagne qui domine Potosi), et directement envoyées vers l'Europe. Au début, le minerai était si riche qu'il n'avait pas besoin d’être traité. Les espagnols développèrent a grande échelle la culture de coca pour "nourrir" et "encourager" leur main d'œuvre. Au 17ème siècle, Potosi était la plus grande ville d’Amérique et d'Europe. Sur la route il n’est pas rare de croiser des chiens sauvages, immobiles, qui attendent patiemment que quelques conducteurs de poids lourds leur lancent par la fenêtre un morceau de sandwich ou un fond de gamelle…
Dés notre arrivée à Potosi, déclarée patrimoine de l’Humanité par L’Unesco, nous nous dirigeons vers le marché local pour acheter des offrandes aux indiens. En effet la tradition veut que chaque visiteur offre aux mineurs des feuilles de coca, des bâtons de dynamite, des mèches, des cigarettes de tabac brun et grossier et de l’alcool qu’ils offriront à la Pacha Mama pour demander notre protection…
Equipés d’un ciré, d’une paire de bottes, d’un casque de mineur et d’une lampe à carbure nous dévalons dans le ventre du diable avec nos offrandes. Notre descente se fait difficilement, il faut sauter des crevasses, s’engager dans des passages très étroits et passer sur des madriers en équilibre précaire. Tout le monde pense à l’effort qu’il faudra faire pour remonter à cette altitude, mais nous poursuivons quand même notre descente. Au milieu du parcours, dans une grotte aménagée, deux mineurs nous attendent pour le sacrifice à la Pacha Mama. Ils versent de l’alcool sur l’idole de bois sculpté, introduisent deux cigarettes allumées dans sa bouche et font brûler des feuilles de coca à ses pieds. Puis nous poursuivons pour rencontrer les premiers mineurs qui cassent la pierre avec une barre à mine et une masse pour récupérer le minerai de fer. Nous leur laissons mèches et bâtons de dynamite, qu’ils s’empressent de faire passer à une autre équipe plus bas qui se prépare à faire sauter la paroi rocheuse. La visite se termine. A la sortie le silence règne. Les conditions de travail que nous avons observer au fond de cette mine, remet à sa juste valeur notre épuisement par manque d’air. La mine décrite par Emile Zola, vu de Potosi, semble être d’un modernisme insolent…
Après le petit déjeuner transfert à l’aéroport de Sucre et envol pour La Paz ou nous atterrissons pour le déjeuner. Nous visitons la ville : l’église de San Francisco, la Place Murillo du gouvernement, les rues Jean et Sagarnaga, le musée de la Casa Murillo et le musée des métaux précieux…
Nous continuons notre découverte dans les environs de la ville en nous rendant au sommet de l’entonnoir, nommé par les indiens : la vallée de la lune. Il s’agit en fait du bord de l’ancien cratère dont les laves travaillées par les intempéries ressemblent à des excavations identiques à celles de la lune. A quelques kilomètre de San Pedro, elle doit son nom aux étranges concrétions rocheuses qui surgissent du désert. C'est un ensemble de roches, de crêtes acérées, et de dunes dont les couleurs changent au fur et à mesure de la tombée du jour. L’écho y est extraordinaire. La musique rythmée d’un joueur de flûte se répète sans cesse au point de devenir une partition à quatre voix…
De retour dans la ville coloniale nous prenons le temps de flâner dans les rues étroites et animées du quartier des indiens Quetchua jusqu’à l’heure du dîner dans une taverne authentique. Nos hôtes nous serviront un repas régional arrosé de vin chilien dans une ambiance latine avec danses folkloriques et musique des Andes. Le rythme du tambour et des flûtes de pan nous transporte sur la scène pour une dernière danse collective avant de rejoindre notre hôtel…
Tôt le matin nous reprenons notre itinéraire direction Puno. En cours de route nous visitons le site archéologique de plus connu de Bolivie : Tiahuanaco, situé à 70 Km de La Paz. A l’époque de sa splendeur, cette capitale était considérée comme le berceau des civilisations américaines. Nous découvrons la fameuse porte du soleil qui par hasard s’ouvre sur la vue d’un lama imperturbable…
Nous passons la frontière bolivienne à pieds accompagnés par quelques militaires qui ressemblent plutôt à des guérilleros. De l’autre côté notre minicar nous attend et après un pique-nique nous nous dirigeons vers Puno que nous atteindrons en fin d’après midi pour un moment de détente avant la nuit…
Le jour se lève à peine quand notre guide Pablo nous conduit vers le site de Sillustani. La température est basse mais la vue est magnifique sur ce plateau qui se reflète dans un lac infini. Un petit sentier de terre nous mène au pied des célèbres chullpas, tours circulaires de 12 mètres de haut, situées à 4 000 mètres d’altitude, qui servaient de tombeaux aux nobles pendant la période pré-inca…
Nous reprenons la route pour nous rendre à Juliaca. En chemin nous faisons une halte chez une famille de paysans indiens pour observer leur mode de fonctionnement traditionnel. Culture de la pomme de terre et élevage de lamas sont leurs principales ressources. Ils nous offrent une collation à base de pomme de terre et de maïs aromatisé au miel. Arrivés à Juliaca, nous déjeunons dans une auberge, puis nous nous dirigeons vers l’aéroport pour prendre un vol direction Lima notre étape de nuit…
Ce matin nous retrouvons la capitale péruvienne, fondée par le conquistador espagnol Francisco Pizarro, noyée dans son brouillard ocre appelé garúa. C’est aujourd’hui une ville tentaculaire qui court dans toutes les directions. Aucun vestige inca n’est présent, et les véhicules de tout acabit se croisent à des vitesses ahurissantes sous le bruit assourdissant des klaxons. Nous passons notre dernière matinée dans le quartier de Barranco situé en bordure de mer. Il y a un je ne sais quoi dans l’air qui attise l’imagination des visiteurs nostalgiques qui aiment déambuler dans ces lieux qui ont gardé un parfum de l’ère coloniale…
Dans le car qui nous mène vers l’aéroport, Pablo notre guide rêve probablement à la France, ce pays qu’il voudrait tant visiter. Dans ce silence pesant nous refaisons notre voyage. Du Pérou jusqu’à la Bolivie les frontières n’ont plus d’importance. nous avons voyagé dans les plus hautes vallées du monde sur l’altiplano andin. Nous avons écouté les eaux magiques du Lac Titicaca. Nous nous sommes émerveillés face aux trésors archéologiques des peuples Incas et des Tiahuanacas. Nous garderons longtemps en mémoire la magie des sites et le sourire du peuple des Andes…
Pour finir, si vous vous sentez l’âme d’un aventurier, mettez le cap sur l’altiplano. Là, vous réaliserez que cette somme d’émotions, de culture, de mystère et d’aventure vaut bien tout l’or du Pérou !…
Commentaires
mauvaise nouvel mon zordit et pas réparer la carte mère qu'il as reçus ne va pas il doit en recommander une autre snif j'ai vraiment pas de bol
bonne nuit a demain
bis patricia
waou cest joli ca donne envie dy aller merci bonne soiree
je passe chez toi pour te souhaiter une bonne soiree
bonsoir
je viens les bras chargés de sucrerie pour te remonter le moral
et te souhaite de passer une tres bonne nuit kis Mary
et merci pour ton commentaire...
Free Comments and Graphics
tres bon halloween
mon ptit passage pour te souhaiter une bonne journée
et te faire de gros bisous
isa
Toujours de très belles photos !!!
Bonne journée et Happy Halloween !!!
Bizzzzzzzzzzzz.
MC.
que c'est magnifique et complétement dépaysant, les Incas et tout ses mystéres, ca me fait rappeler l'histoire du "baroudeur" qui est sur les traces du trésor laissé par l'empereur Athaualpa depuis des années.....