Titre du blog : Les Black's Foot
Auteur : Jakin
Date de création : 03-09-2008
Auteur : Jakin
Date de création : 03-09-2008
posté le 11-12-2009 à 07:55:21
BIX BEIDERBECKE
Il était de race blanche, fils de bonne famille, et jouait du cornet comme personne. Bix Beiderbecke n’a eu que peu d’années pour parvenir au zénith et pour entrer dans la légende du jazz. Mais quelle importance ! Enrichissant le jazz Nouvelle-Orléans du romantisme allemand et de l’impressionnisme des compositeurs français, Bix a influencé mille et un jazzmen. A commencer par Lester Young et Miles Davis.
Symbole parfait du musicien qui, en consacrant sa vie au jazz, il sombrera dans tous les excès. A l’époque des Wolverines, le style de Bix révèle déjà ses caractéristiques essentielles : le sens du rythme, l’unité du timbre, l’absence de vibrato et le goût des sonorités belles et pures.
Symbole parfait du musicien qui, en consacrant sa vie au jazz, il sombrera dans tous les excès. A l’époque des Wolverines, le style de Bix révèle déjà ses caractéristiques essentielles : le sens du rythme, l’unité du timbre, l’absence de vibrato et le goût des sonorités belles et pures.
En témoigne son chef d’œuvre impressionniste enregistré au piano, in a Mist, Bix est l’homme qui enrichira le jazz des concepts esthétiques de Debussy et de Ravel.
Le timbre de son cornet, bien des instrumentistes allaient chercher à en percer les secrets. Qu’ils appartiennent à la scène de Chicago ou au swing. Jusqu’à Miles Davis, dont le cool apparaissait comme l’alternative au bop de Parker, qui n’a pu faire autrement que de s’inspirer de Bix !
L’entrée de Bix dans l’orchestre de Paul Whiteman en 1927, un orchestre qui interprète une musique fade, donc très éloignée de celle que voulait jouer Beiderbecke, sera fatale au jazzman, qui se mettra à boire de plus en plus.
Grâce à Sometimes I Wonder, l’autobiographie de Hoagy Carmichael, l’un des très rares amis véritables de Bix, nous connaissons beaucoup mieux le monde du grand cornettiste blanc. Un monde magique où le jazz, bien sûr, était omniprésent.
Alcoolique, Bix Beiderbecke s’éteint à New York le 6 août 1931.
♥ Sorry (1927)
♥♥ Singin'The Blues (1927)
♥♥♥ Bessie couldn't help it (1930)
Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991.
Armand, 
Commentaires
bonsoir je connais pas se musicien merci pour ta petite visite
tu trouveras des infos
avec les cadeaux du jour
car trop fatiguer se soir
bonne nuit a toi
bis patricia
Bonsoir!
Et merci pour le compliment laissé sur mon blog!C'est gentil!
Bonne soirée!
très bonne soirée et gros bizzzous
bonsoir jakin ! merci pour ce bon moment ! je ne connaissais pas alors merci ! je te souihaite une bonne soirée ! bises
merci pour ton passage et ton com sur mon blog..
passe une bonne soirée..bisous..denise.
Bonjour Jakin , merci pour ton message de bienvenue, Je ne sais rien du jazz , et je dois reconnaître que ton article est très enrichissant ,car je n'aurais jamais imaginé que le jazz pouvait être enrichi des concepts esthétiques de Debussy et de Ravel !! je retiendrai ce nom de Bix Beiderbecke jusqu'alors inconnu pour moi. très bonne journée à toi .
coucou Jakin,
un passage rapide pour te souhaiter une heureuse journée.
Bon week end mon grand
Bisou
petit kikou avant de partir travailler bon vendredi et gros bizzzous