Titre du blog : Les Black's Foot
Auteur : Jakin
Date de création : 03-09-2008
Auteur : Jakin
Date de création : 03-09-2008
posté le 10-04-2010 à 05:56:00
TEENAGE CAVEMAN
Ils ont fui les cavernes en quête d’une vie meilleure. Sauront-ils éviter les pièges mortels des derniers représentants de la civilisation ?
Un cataclysme d’une rare violence a secoué la planète, la majorité des populations du globe a disparu. L’humanité est désormais réduite à une poignée d’hommes et de femmes vivant dans des cavernes.
Ils ont bravé le courroux des anciens et sont affranchis de leur tyrannie. Ils fuient, ignorant tout de ce qu’ils vont découvrir par-delà les murs de leur caverne.
Teenage Caveman constitue le cinquième volet d’une série de films hommage dédiée à la Science Fiction américaine des années 1950 et à la maison de production AIP, pionnière du genre.
Pour cette cinquième incursion dans la production sous la bannière de créature féatures, Stan Winston privilégie le gore et les maquillages monstrueux.
Désireux de renouveler l’expérience positive de la série des drive-in classics, Lou Arkoff choisit un partenaire de choc : le grand Stan Winston.
Né à Tulsa, dans l’Oklahoma en 1943, il se fait connaître par ces travaux photographiques révolutionnaires et quelques recueils qui ont fait date en la matière : Tulsa (1971), Teenage Lust (1982) et Perfect Childhood (1992). Il débute dans la réalisation en 1995 avec Kids, chronique quasi documentaire d’un groupe d’ados miné par la drogue et le sexe non protégé, film qui choqua les festivaliers cannois la même année. En 1998, il récidive avec Another Day in Paradise, polar primé au festival de Cognac. En 2001, le très controversé Bully (inspiré d’un fait divers terrifiant) est sélectionné au festival de Venise, tout comme le sera le sulfureux Ken Park l’année suivante. Unanimement reconnu comme l’un des photographes les plus importants du 20ième siècle et l’un des « yeux les plus sauvages de sa génération », Larry Clark met à jour sans concession les problèmes de la jeunesse contemporaine face à une société déshumanisée. L’année 2001 est particulièrement faste et productive pour Larry Clark puisqu’il réalise trois films, pratiquement dans la foulée sur une durée de neuf mois (il met la dernière main au montage de Ken Park et de Teenage Caveman à Los Angeles lorsqu’il doit se rendre à New York pour la promotion de Bully)…
Un cataclysme d’une rare violence a secoué la planète, la majorité des populations du globe a disparu. L’humanité est désormais réduite à une poignée d’hommes et de femmes vivant dans des cavernes.
Ils ont bravé le courroux des anciens et sont affranchis de leur tyrannie. Ils fuient, ignorant tout de ce qu’ils vont découvrir par-delà les murs de leur caverne.
Teenage Caveman constitue le cinquième volet d’une série de films hommage dédiée à la Science Fiction américaine des années 1950 et à la maison de production AIP, pionnière du genre.
Pour cette cinquième incursion dans la production sous la bannière de créature féatures, Stan Winston privilégie le gore et les maquillages monstrueux.
Désireux de renouveler l’expérience positive de la série des drive-in classics, Lou Arkoff choisit un partenaire de choc : le grand Stan Winston.
Né à Tulsa, dans l’Oklahoma en 1943, il se fait connaître par ces travaux photographiques révolutionnaires et quelques recueils qui ont fait date en la matière : Tulsa (1971), Teenage Lust (1982) et Perfect Childhood (1992). Il débute dans la réalisation en 1995 avec Kids, chronique quasi documentaire d’un groupe d’ados miné par la drogue et le sexe non protégé, film qui choqua les festivaliers cannois la même année. En 1998, il récidive avec Another Day in Paradise, polar primé au festival de Cognac. En 2001, le très controversé Bully (inspiré d’un fait divers terrifiant) est sélectionné au festival de Venise, tout comme le sera le sulfureux Ken Park l’année suivante. Unanimement reconnu comme l’un des photographes les plus importants du 20ième siècle et l’un des « yeux les plus sauvages de sa génération », Larry Clark met à jour sans concession les problèmes de la jeunesse contemporaine face à une société déshumanisée. L’année 2001 est particulièrement faste et productive pour Larry Clark puisqu’il réalise trois films, pratiquement dans la foulée sur une durée de neuf mois (il met la dernière main au montage de Ken Park et de Teenage Caveman à Los Angeles lorsqu’il doit se rendre à New York pour la promotion de Bully)…
Textes et photos en provenances de la collection « Les plus grands films de science fiction en DVD », Editions Atlas, 2003.
Armand,
Commentaires
kikou je passe te souhaiter un tres bon dimanche mille bisous...
Claudie & Ricardo
petit kikou pour te souhaiter un très bon week-end gros bizzzous
hello Armand,
un peu coquin l'extrait, certainement un film mystérieux d'après le cours résumé que tu as mis. Merci pour la présentation.
Il fait encore beau soleil. Vais en profiter.
Bon samedi Jakin
bisou
Bon W.E. à toi
Carine