posté le 15-04-2010 à 08:14:23
LA COTE LANDAISE...
40 – Landes, St Paul lès Dax du 28 au 31 mars 2010
Le
territoire. qui forme aujourd'hui le département des Landes était
occupé, avant la conquête romaine, par plusieurs peuplades d'origine
ibérienne : au sud et à l'est, dans les bassins de l'Adour et de la
Midouze, les Tarbelli, pays de Dax ; les Tarusates, pays de Tartas ;
une partie des Élusates et des Sotiates, dont les principaux
établissements se trouvaient sur le territoire des départements du Gers
et de Lot-et-Garonne ; à l'ouest et le long de la mer, dans la région
qu'on appelle aujourd'hui les grandes Landes, les Aquitani proprement
dits. Tous ces peuples étaient compris dans la Gaule aquitanique.
Le département a été créé à la Révolution française le 4 mars 1790 en
application de la loi du 22 décembre 1789, à partir d'une partie de la
province de Guyenne et Gascogne. Plus précisément, diverses entités
territoriales héritées de l'Ancien Régime ont alors été réunies, ce qui
confère à ce territoire administratif une certaine hétérogénéité entre
la Chalosse agricole, plutôt tournée vers le Béarn, et la forêt plus
proche de la Gironde.
À l'orée de l'époque contemporaine (1789-1850), le département était en
partie couvert de landes mal drainées (sur environ 60% à 70% de
l'espace), landes qui lui ont paradoxalement donné son nom, alors que
la frange sud était constituée de coteaux aux sols riches, cultivés et
boisés. Le département des Landes fait partie de la région Aquitaine.
Il est limitrophe des départements de la Gironde, de Lot-et-Garonne, du
Gers et des Pyrénées-Atlantiques, et est baignée par l'océan Atlantique
le long d'une côte sableuse de 106 km bordée de hautes dunes (portion
de la côte d'Argent). C'est le deuxième département le plus vaste de
France métropolitaine (après la Gironde), et il bénéficie du second
plus long littoral en métropole.
La forêt des Landes est la plus grande forêt de France. Elle couvrait
environ 67% du département avant la tempête Klaus de janvier 2009, dans
sa partie nord, mais s'étendait aussi largement sur la Gironde et le
Lot-et-Garonne (arrondissement de Nérac). La principale essence est le
pin maritime. Mais la forêt des Landes n'occupe pas toute la
superficie. Au sud du département, au-delà de l'Adour, se trouve la
Chalosse, pays plus vallonné et verdoyant, terre agricole partagée
entre les élevages de bœufs et de canards et la culture du maïs, ainsi
que le vignoble du Tursan à l'Est.
Sept heures et 618 kilomètres d’autoroute sont nécessaires pour
approcher Saint Paul lès Dax. On quitte Aix en Provence ; autoroute A7
direction Salon, sortie Saint Martin de Crau, prendre la N113 direction
Arles. Prendre l’autoroute A54 jusqu’à Nîmes, l’A9 jusqu’à Montpellier,
l’A61 jusqu’à Carcassonne, l’E80 à hauteur de Toulouse puis l’A620
direction Auch. Sortie Orthez, puis la N124 jusqu’à Saint Paul lès
Dax. On traverse le centre ville, deux giratoires plus loin on tourne à
droite, contournement du lac par la droite, 150 mètres plus loin en
bordure du lac sur les allées Christus se trouve l’Hôtel du Lac ma
demeure pour cette aventure. C’est un hôtel SPA fréquenté par des
curistes adorateurs de bains de boue.
Je commence ma découverte du littoral par Capbreton, Capberton en des
temps très anciens, Cap Brutus à la Révolution… Son nom lié
certainement à la topographie n’en finit pas d’intriguer et n’a
toujours pas livré d’étymologie satisfaisante. Si l’on peut être sûr
que « Cap » vient du gascon et désigne un lieu au bout des terres, le
déterminant « breton » pose toujours problème aux historiens et aux
linguistes.
C’est dans la deuxième moitié du 12ième siècle que le nom apparaît
pour la première fois dans les archives de Bayonne car, depuis le Moyen
âge, l’histoire des deux villes est intimement liée : des luttes et des
procès incessants pour la maîtrise de l’Adour et la navigation, tant
fluviale que maritime, les opposèrent mais Capbreton, hélas, dut
souvent se soumettre à la loi du plus fort.
Haut lieu de la chasse à la baleine jusqu’au début du 16ième siècle,
ses pêcheurs furent d’émérites et hardis harponneurs qui ne dérogeaient
pas à la coutume d’offrir le meilleur morceau du cétacé, la langue, à
l’église Saint-Nicolas. Ces intrépides marins ont-ils abordé les
rivages du Nouveau Monde cent ans avant que Christophe Colomb ne
découvre ce qui deviendra plus tard l’Amérique ? Peut-être… Il est en
tout cas avéré qu’ils furent parmi les premiers Européens à fréquenter
les eaux poissonneuses de Terre-Neuve (départ du navire le Nicolas
d’Esteben de Larue en 1512) et à en rapporter les morues séchées selon
une technique dans l’art de laquelle ils étaient passés maîtres. Le
capitaine Menjonin de Lacabanne sera, quant à lui, en 1549 le premier
flibustier des Petites Antilles.
Placé sur le chemin littoral menant à Saint-Jacques de Compostelle,
l’hôpital de la petite commanderie templière de Boret (prononcer
Bouret) accueillait les pèlerins dès le 13ième siècle. La cloche de sa
chapelle, dédiée à sainte Madeleine et fondue en 1483, orne
actuellement le clocheton de l’église du bourg.
L’église Saint-Nicolas a été reconstruite au milieu du 19ième siècle
mais conserve de l’ancienne église une porte gothique ainsi que l’une
des quatre Pietàs des Landes, remarquable statue polychrome du 15ième
siècle. Sa haute tour, cylindrique aujourd’hui mais carrée autrefois,
servait de tour de guet et d’amer pour les navires. Si les ex-voto
traditionnels des marins ont été détruits à la Révolution, il faut
admirer le long des murs de la nef les plaques d’argile et de bois
rappelant les quelque 1 000 Capbretonnais ensevelis dans l’église
depuis 1530. Et dans le porche, où l’on devine encore la vieille porte
dite « des cagots » les plaques de marbre où sont gravés les noms des
péris en mer, en guerre ou en pays étranger. On doit aux frères Jules
et Gaston Gélibert de magnifiques fresques et au seul Jules Gélibert le
grandiose tableau La conversion de saint Hubert, l’un des joyaux
majeurs de cette église.
Adossée à une forêt d'émeraude, caressée par l'océan, bordée d'un lac
marin scintillant et d'une plage infinie de sable fin, Hossegor reflète
le prestige d'une longue tradition d'accueil.
Fleuron architectural de la Côte Aquitaine, capitale européenne du surf
et paradis du Golf ; toute en élégance, la station préserve
l'intelligence de son passé et s'ouvre sur ce que l'avenir propose de
mieux.
Seignosse le Penon s'ouvre sur un front de mer de 8 km. On y découvre
la beauté sauvage d'une nature intacte : la forêt landaise, mais aussi
l'océan grandiose avec ses immenses plages de sable fin. Une longue
tradition de bien vivre dans un cocon de verdure.
La ville de Seignosse est scindée en deux pôles. D’une part, le bourg
de la commune ou sont centralisés l’école, la mairie et la plupart des
habitants. D’autre part, Seignosse Le Penon, en bordure de la côte, ou
les activités fleurissent en été. La commune possède de nombreux
sentiers pédestres ainsi que des pistes cyclables pour le plus grand
plaisir de tous.
Du passé de Soustons, beaucoup de traces ont disparu. Cependant,
certains bâtiments, certains lieux de rencontres ou certains monuments
anciens ou récents sont présents tout autour de nous. A quelques pas du
centre, le théâtre municipal, terminé en 1933 offre une superbe façade
« art déco » qui marque l’un des principaux carrefours de la ville.
Face à lui, le monument « Robert Lassalle » nous rappelle la conduite
exemplaire du « Ministre soldat » que fut cet homme. Face à la Mairie,
à l’angle de l’allée des Soupirs et de l’avenue Galleben se trouve la
fontaine du Vicomte. Ce beau monument en pierre fut placé à cet endroit
en fin des années 90, son emplacement d’origine étant l’impasse qui
fait l’angle des « chais » rue du Vicomte.
L’église de style néogothique, au clocher haut de 35 mètres, possède un
chœur richement décoré, rénové en 2000. Face à elle se situe la Mairie
dont le balcon de pierre est en cours de restauration. Ce bâtiment a
subi de nombreuses modifications durant son existence. A l’origine, le
rez-de-chaussée était le lieu du marché. Au fil du temps,
l’augmentation de la population rendit nécessaire l’aménagement du
rez-de-chaussée en un vaste hall d’accueil et en bureaux.
Vieux boucau, autrefois Port d’Albret , pourrait être encore le premier
port du littoral landais, à l’embouchure de l’Adour, si le fleuve
n’avait été détourné en 1578 pour lui donner son estuaire actuel à
Bayonne. Vieux boucau signifie « vieille embouchure ». Aujourd’hui,
greffé sur le village, entre la dune et la forêt, le nouvel ensemble
touristique de Port d’Albret se construit autour d’un lac marin de
soixante hectares auquel on accède par le Mail, superbe promenade
piétonnière fleurie, véritable joyau de la station.
Le souci majeur de préserver les grands espaces naturels de la dune
océane et de la forêt, la volonté de donner à la station des dimensions
humaines, ont présidé à la conception d’un aménagement exemplaire. Les
plages océanes et la plage du lac offrent des possibilités de baignade
en toute sécurité.
Une magnifique estacade en bois, fréquentée par les pêcheurs, conduit
au barrage dont le fonctionnement assure le maintien des eaux et leur
renouvellement au moment des marées. En mer, une double digue fixe les
berges du chenal. Le Lac de Port d’Albret complète un bassin
hydrographique qui comprend les étangs de Moïsan et de Pinsolle, le lac
de Soustons que l’on atteint en canoë-kayak en remontant le « courant »
de Vieux boucau.
Dans ce cadre exceptionnel, pistes cyclables et sentiers pédestres
offrent des conditions idéales pour la détente, les loisirs et
activités sportives, tout en permettant de découvrir les aspects
naturels de la station, la forêt de pins, le lac marin, l’océan.
Vieux boucau Port d’Albret, c’est aujourd’hui la « station village » de
la Côte sud des Landes. Des premiers rayons de soleil du printemps aux
couleurs chaudes de l’automne, chaque jour est un spectacle !
Haut lieu de la gastronomie landaise, Magescq séduit par son patrimoine
historique : son église est la seule des Landes au bastion réduit placé
sur l'abside du 12ième siècle et non dans la tour clocher. Le
vacancier sera retenu par la multiple variété d'artisanat d'art.
L'édifice est doté de tous les éléments de fortification : créneaux,
meurtrières, bretèche et chemin de ronde. La partie ancienne se réduit
en fait à son chevet percé d'ouvertures plein cintre. Dans la nef, un
christ polychrome du 16ième siècle. Tout le mérite de la sauvegarde du
monument voué à une destruction certaine au début du 20ième revient à
Xavier de Cardaillac et surtout à Auguste Brutails, archéologues, qui
parvinrent à se faire entendre et éviter à Magescq la perte d'un
précieux témoin de son histoire.
Mimizan Plage compte parmi les plus importantes stations balnéaires de
la côte landaise : près de 10 km de plage de sable fin. Le Courant de
Mimizan, cours d'eau de 7 km qui relie le lac d'Aureilhan - Mimizan à
l'océan, sépare Mimizan Plage " Nord ", regroupant l'été la plupart des
animations, de Mimizan Plage " Sud ", vaste espace de villégiature.
Mimizan Bourg concentre la majorité des activités commerciales,
industrielles, culturelles, sportives et administratives de la ville.
Cette partie de la ville est symbolisée par son clocher porche 13ième
siècle, seul vestige du Prieuré Sainte Marie étape du chemin de
Saint-Jacques de Compostelle, classé patrimoine mondial de l'Humanité.
Mimizan s'étend sur la rive sud ouest du lac, au bord duquel sont
implantés des hébergements touristiques, des structures d'activités
nautiques, de pleine nature mais également le château de Woolsack,
pavillon de chasse de style Tudor construit pour le Duc de Westminster
dans les années 1910, et qui accueillit dans son cadre paisible des
personnalités fameuses telles que Winston Churchill, Coco Chanel ou
encore Salvador Dali.
Seule commune de la Côte Landaise située dans le pays de Born, St
Julien en Born possède un centre bourg bien desservi par de nombreux
sentiers pédestres et pistes cyclables.
C’est
un passage obligé pour se rendre dans son « quartier » maritime :
Contis les bains. Dominé par un phare de plus de quarante mètres, cette
station balnéaire, habitée à l’année, est un haut lieu du surf aquitain.
Le bourg de St girons s’étend sur le territoire d’une ancienne sauveté,
territoire inviolable au Moyen âge où chacun pouvait trouver refuge et
assistance, délimité par 4 bornes ; une d’entre elles est située au
lotissement les Chênes. St Girons plage, après 5 km d’une route
sinueuse et pittoresque, vous découvrirez une allée commerçante, une
aire de spectacles et … l’océan à perte de vue…
Vielle, c’est aussi le lac où vous pourrez profiter, de sa plage de
sable fin ombragée, des joies de la baignade en été, ou vous adonner à
la pêche, pratiquer des activités nautiques...
Situé sur la « route des Lacs » Léon, le village possède des maisons à
colombages en "fougères" dont certaines ont de plus de 200 ans. Avec
les bateliers du Courant d'Huchet vous découvrirez, de Pâques à fin
septembre, à bord de barques les merveilles de ce coin de paradis. En
complément, les guides de la Réserve Naturelle vous proposent des
visites pour découvrir la richesse de la faune et de la flore de ce
lieu privilégié.
Sous un climat ensoleillé, en toute quiétude, sur la plus grande plage
d'Europe, à l'embouchure du courant d'Huchet, aux rives bordées d'une
végétation luxuriante et tropicale, sur un des chemins de Saint Jacques
de Compostelle, au Pays des cerfs-volants, du canoë kayak, de la pêche
en bord de mer et en eau douce, du roller, de l'espace trampoline,
voici Moliets et Maâ.
Le caractère local du Bourg et de Maâ est souligné par les vieilles
maisons landaises dont certaines datent de l’occupation anglaise, ainsi
que les deux charmantes fontaines, dénommées en langage local
"Pourruts" accompagnées d’anciens lavoirs.
L’église de Notre Dame est vouée à la Vierge Marie, patronne du
village, que l’on célèbre le 15 août. On peut y découvrir le Portail
gothique qui a été réparé en 1638, la statue en bois doré et retable du
18ième siècle, les Trois anneaux de chaire du 18ième siècle, et le
Polyptyque du 17ième siècle.
L'Hôtel de Ville de Castets et la propriété de la famille du Dr Martin
Fabre depuis 1855 environ, la maison actuelle fût édifiée dans le parc
Jean d’Anse, par sa fille Thérèse. La municipalité en fit l’acquisition
dans les années 60 pour y transplanter la mairie. La maison Jean d’anse
se distingue par son architecture néo-classique et des éléments
décoratifs.
La cloche du 15ième siècle, entre 1450 et 1500, provenant probablement
de l’ancienne chapelle de Houas, sauvée lors de la destruction de la
chapelle, a été déposée durant plus de 100 ans au sol, dans le clocher
de l’église Saint-Barthélemy.
Classée Monument Historique le 25 juin 2003, cette cloche est
aujourd'hui placée contre le chœur de l’église. L’on peut y lire : «
San Petrus Ora Pro Nobis » Saint-Pierre, Priez pour nous.
Située au carrefour de grandes voies historiques dont les routes de St
Jacques de Compostelle, lieu immémorial de passage sur le Gave de Pau,
Orthez peut se réclamer d’un très grand passé. Elle fut certainement
Gallo-Romaine, puis, comme ses consœurs, sombre dans la nuit des
invasions. Elle surgit dans l’histoire lorsque après plusieurs
tentatives des Vicomtes Centulle de Béarn, Gaston VI Moncade l’arrache
définitivement aux vicomtes de Dax, lui permettant ainsi de devenir un
des joyaux du Béarn, où sa place s’impose en toute évidence au point
qu’elle en sera la capitale pendant plus de deux siècles (1242 – 1464).
Quelques demeures anciennes ainsi que les maisons en pierre superbement
entretenues qui nous rappellent l’explosion des constructions « hors
les murs » du 18ième siècle. Orthez est avant tout une frontière et un
carrefour entre le Piémont Pyrénéen et la terre de Chalosse.
Convergence des voies, convergence des hommes et donc des idées. C’est
ce brassage, source de richesse, qui est la principale caractéristique
d’Orthez.
L’Eglise Saint Pierre fut érigée vers la fin du 13ième siècle sur
l’emplacement probable d’une petite église dédiée à St Thomas. Elle fut
reliée à la ville et servit ainsi de poste de défense. Elle fut ruinée
par les guerres de religion, elle ne dut son salut qu’à sa robuste
condition. Elle renferme à l’intérieur de véritables richesses : le
chœur, l’abside, le chevet, la sacristie.
Riche demeure bourgeoise du 16ième siècle, elle fut donnée par Arnaud
de Gachissans au roi Antoine de Bourbon et à Jeanne d’Albret, mère du
futur Henri IV. Elle accueille aujourd’hui au rez-de-chaussée l’Office
de Tourisme, et au premier étage Le Musée du Protestantisme Béarnais.
La partie du bâtiment qui donne sur la rue bourg vieux a été disposée
de manière a ménager une petite cour mettant en valeur l’entrée
principale au pied de la tourelle d’escalier. La tourelle abrite un
escalier hélicoïdal. De forme octogonale et située dans l’angle des
deux corps de bâtiment, elle permet la desserte des deux ailes de cet
avant corps et ceci, à tous les étages. Un balcon extérieur permet
d’accéder de la tourelle au premier étage de l’aile gauche. Celui ci
est purement décoratif car une autre porte donne directement de la
tourelle à la pièce.
De longues routes bordées par des pins qui n'en finissent pas, des
dunes à perte de vue, une gastronomie savoureuse... vous êtes dans le
département des Landes. Les Landes possède bien des charmes pour ceux
qui aiment les grands espaces sauvages. Le département des Landes,
c'est d'abord le massif des Landes, plus importante forêt de France
mais aussi le plus grand massif forestier d'Europe.
Autre aspect du département des Landes, l'océan atlantique borde une
partie de son territoire. La Côte d'argent est ainsi parsemée de
stations balnéaires réputées telles que Hossegor – où l'on pratique le
surf -, Mimizan – dont la longue plage se prête à des balades
romantiques : on y a même vu des amoureux se demander en mariage - ou
encore Moliets et Maa, un site paisible où adeptes du bronzage et du
body board s'en donnent à coeur joie.
Le département des Landes est le lieu idéal pour se détendre. Les
amateurs de voyage culturel trouvent également leur compte ici ; de
nombreux sites sont d'ailleurs classés au patrimoine mondial de
l'humanité comme l'église Sainte Quitterie d'Aire, l'Abbaye Saint-Jean
de Sorde ou le Clocher porte de Mimizan. Terre de saveurs, le
département des Landes se distingue en outre par ses produits de
terroir comme le fameux foie gras des Landes que les grands-mères
préparent avec tout leur savoir-faire, le confit de canard, le poulet
de Saint-Sever ou l'asperge des Landes, délicieuse lorsqu'elle est
délicatement trempée dans une vinaigrette...
Site naturel, le département des Landes est propice à la randonnée, à
la balade en VTT, à l'observation des oiseaux, à la pratique du canoë
sur la Leyre, du golf, de la pêche... et à la découverte de petits
villages landais comme Ygos-Saint-Saturnin ou Hagetmau. Patrie du rugby
et de la tauromachie, le département se caractérise enfin par la
convivialité de ses fêtes, dont la fête de la madeleine de
Mont-de-Marsan et les fêtes de Dax, qui accueillent chaque année de
nombreux visiteurs. Pour en savoir plus sur le département des Landes
prenez la route…
Armand,
Commentaires
Très belles images, qui me rappellent d'excellents souvenirs, j'ai séjourné quelques jours à St Paul les Dax à l'Hôtel Calicéo, nous avons sillonné tout autour et jusqu'à Biarritz, quand à Cap breton j'y suis allée il y a fort longtemps je devais avoir une 15aine d'années, c'est pas d'hier !!! Il y a 5/6ans c'était tous les environs d'Arcachon, Royan, Cap Ferret, une très belle région que les Landes et les Charentes !
Bon week end !
Martine
Un petit passage chez toi ,pour te remercier de ton passage,je reviendrai une autre fois te lire ,il est un peu tard
bises étoilées
Gina
bonsoir Armand,
je viens de me régaler avec la grande balade dans les Landes. C'est une balade magnifique avec de jolies photos. Deux ou trois m'ont faites penser au Cap Vert,. C'est une magnifique région.
Souhaite que tu as passé une excellente journée.
A présent, passe une bonne nuit.de repos.
Merci pour ton bel article
bisou
Cliquez ici pour voir mon image
un bien bel article sur cette magnifique région où je passe tous les ans! j'adore ses grandes plages, assez dangereuses malgré tout
bisous et bonne soirée
Belle région, que je connais un peu, avec ses belles grandes et longues plages, ça donne envie d'y retourner...
Bonne journée, Jakin
Carine