Situé au nord du département de l’Hérault, dans le territoire du Parc Naturel Régional du Haut Languedoc, le Pays d’Orb nous accueille avec ses paysages diversifiés, ses grands espaces verts et surtout son grand froid, tour à tour intimes ou grandioses.
Nous avons pris nos quartiers pour quatre jours dans cet établissement de la chaîne « Hôtellerie Hauts Cantons » managé par Florence Mas et Cédric Petelet deux jeunes dynamiques et accueillants. Cédric derrière les fourneaux propose une cuisine de famille sobre et suffisante tandis que Florence s’occupe de la réception et du service de table avec le sourire. Une bâtisse moderne et rénovée abrite cet hôtel situé en sortie de ville près de la gare SNCF…
Un grand viaduc de chemin de fer construit au 19ième siècle, avec ses 37 arches, domine la ville. Avec ces arches qui enjambent les paysages et ses nombreux tunnels le viaduc témoigne du passé industriel de la région. La digue construite au 18ième siècle pour contenir les crues de l’Orb présente aujourd’hui une magnifique perspective de platanes centenaires…
De la rue de la République on peut voir la croix de Notre Dame de la Salette qui domine la place de la Mairie. Cette croix de 10 mètres qui domine la ville est l’œuvre d’Ernest Granier, industriel bédaricien…
Simple chapelle à l’origine, elle devint église sous le vocable de Saint Alexandre. Détruite à plusieurs reprises, sa construction fût achevée définitivement au 9ième siècle. Le clocher date du 16ième siècle et fût construit avec les pierres des anciens remparts de la ville, détruite en 1622 par Montmorency. Dans l’impasse derrière l’église, nous admirons l’ancienne façade renaissance de l’église avec ses fenêtres à traverses du 18ième. L’église abrite un orgue romantique installé par Théodore Puget. Un autre orgue classique classé Monument Historique, le plus ancien de la ville se trouve dans le Temple quelques rues plus loin. Il est l’un des rares dans la région à posséder une soufflerie ancienne…
Rue du porche on peut admirer un remarquable trompe-l’œil réalisé par Mad’Art…
Place aux Herbes, Place aux Fruits, des noms évocateurs pour cette petite ville traversée par l’Orb…
Au numéro 30 de la rue qui porte son nom se trouve la Maison natale de Ferdinand Fabre. Né à Bédarieux en 1827, il poursuit ses études à la Sorbonne. Son premier roman Le Courbezon est publié en 1861 et est primé par l’Académie Française. A sa mort en 1898 il avait publié 25 romans. Inauguré en 1906 pour lui rendre hommage, ce monument représente l’écrivain avec son ami Gaffarot entourés de moutons. Il est l’œuvre du sculpteur Jacques Villeneuve…
Le rond-point de la Paix, œuvre du sculpteur Fink Ours représentant le B de Bédarieux, point de départ de la route touristique des Causses et le château Baldy remarquable résidence du 19ième siècle d’une riche famille bédaricienne…
À la hauteur de Bédarieux, l’Orb amorce une courbe pour couler vers l’ouest et contourner les monts de Faugères. Après avoir passé la hauteur de la ville thermale de Lamalou-les-Bains, il tourne vers le sud à hauteur de Tarassac où il est rejoint par le Jaur, et traverse le massif des Faugères par des gorges étroites, en direction de Roquebrun. Quelques kilomètres en amont de Cessenon-sur-Orb, il rejoint la plaine biterroise et atteint Béziers où il croise le canal du Midi. Il est rejoint par le Lirou au pied du pont vieux. Environ 15 km après Béziers, l’Orb se jette dans la mer Méditerranée à la station balnéaire de Valras-Plage…
Ce matin la température est passée en dessous de zéro, il fait un froid de canard et la voiture est gelée. Aux premiers rayons de soleil nous quittons l’hôtel pour la petite ville cathare de Minerve au cœur des causses. Nous traversons une multitude de petits villages qui s’éveillent lentement : Hérepian, Colombières, Saint Martin de l’Arçon…
Planté sur son rocher dans un méandre du Jaur, au pied de la « Femme Couchée » et de la « Montagne de Lumière », Olargues est un lieu d’exception classé parmi les plus beaux villages de France…
De son pont roman en marbre (le Pont du diable), on gravit les ruelles pavées évoquant l’époque des charrettes, des chevaux et des torches pour accéder aux vestiges de son village médiéval…
L’exceptionnelle qualité technique du Pont du diable, travail coûteux et prestigieux permettant un contact essentiel avec la route Nîmes Toulouse s’intègre parfaitement dans la trame cadastrale. La seigneurie d’Olargues passera de la famille des Minerves, à celle des Anduze, puis des Caylus et Castelnau de Guers et enfin des Thésan, famille noble qui reprend sous son autorité le village au 17ième siècle après une longue période ou le pouvoir est laissé majoritairement aux consuls élus par les habitants…
Au sommet du village le « Castrum », château médiéval du 12ième siècle, surmonté de sa Tour clocher emblématique. De ce point de vue merveilleux, on admire les eaux cristallines de la rivière, les moulins, les anciennes tanneries, le pont Effel de l’ancienne ligne de chemin de fer « Montauban Montpellier » et toute la vallée magnifique que cette place forte défendait au Moyen Age…
Nous reprenons la route par Saint Etienne d’Albagnan, Prenian, Riols, Saint Pons de Thomières, Rieussec, la Caunette et enfin Minerve, la citée cathare qui apparaît dans son écrin de lumière blafarde…
Entre Cévennes et Montagne Noire, la cité de Minerve s’élève sur un éperon rocheux qui domine les gorges de la Cesse et du Brian. Les ponts naturels de la vallée de la Cesse en font un site géologique d’exception. Porteuse de l’empreinte des chasseurs-cueilleurs de la Préhistoire, Minerve est surtout connue par le siège qu’elle subit en 1210 lors de la douloureuse croisade contre les Cathares…
Simon de Montfort n’a pas chassé que les Cathares ? Il n’y a pas âme qui vive dans ce petit village. Le seul bruit que nous entendons est celui de nos pas sur les pavés de la rue principale que le vent glacé porte en échos de ruelles en ruelles. Les douze coups de Midi qui sonnent au carillon de l’église nous rappellent l’heure du déjeuner et malgré l’intérêt de cette visite il faut repartir car ici point de ripailles…
Une heure plus tard nous nous attablons à Olargues « Hôtel Laissac » le seul établissement ouvert entre Minerve et Bédarieux. La salle à manger rénovée et lumineuse s’inscrit dans une décoration du début du 20ième siècle. On goûte au civet de marcassin et au magret de canard, le tout arrosé d’un vieux Saint Chinian et d’une eau de Salvetat, bulles obligent…
Après ce repas succulent, nous partons faire une marche digestive aux gorges d’Héric près de Mons la Trivalle. Terre de contraste et de lumière, où chaque heure du jour nuance les couleurs d’un site grandiose, au pied du Caroux, gigantesques chaos à la dimension du ciel, au carrefour des souffles de la montagne et de la mer…
Depuis des millénaires, l’eau a ciselé la pierre en arrêtes rocheuses d’une altière grandeur, creusé des vasques de gneiss où écument des torrents cristallins et modelé des vallons verdoyants avec des plages de sable doré. Ce qui fit écrire à Guy Pistre : « Passant, cette porte franchie, tu deviens le gardien vigilant d’un sauvage jardin de roc, d’eaux vierges et de ciel. Marche, grimpe, nage, contemple, respire largement. Cet air de liberté, c’est l’âme du Caroux »…
Sur la route du retour nous faisons une halte à Hérépian. Ce village méridional, construit autour de ses églises, avec de vieilles maisons parées de pierres de pays, mérite le détour. Géographiquement bien implanté, à la croisée des chemins, sur l’axe de la vallée de la Mare et de la vallée de l’Orb doit son essor, dès le 13ième siècle, à l’importante circulation de denrées et de minerais argentifères provenant des communes voisines…
Une nouvelle journée commence dans le froid. La température flirte avec le zéro et le vent glacial nous transperce malgré nos trois couches de polaire. Il est neuf heures quand nous quittons la chaleur de notre hôtel. C’est mercredi, il n’y a pas classe et la circulation est presque inexistante sur la départementale entre Bédarieux et Olargues. Nous en profitons pour faire une halte sur la route à hauteur de Colombières…
Nous poursuivons notre route par Saint Martin de l’Arçon, La Trivalle, Olargues puis nous prenons à droite un chemin qui monte dans la montagne sur 20 kilomètres pour rejoindre le Col de Fontfroide. Aujourd’hui il porte bien son nom. Sur le bord du chemin est construit un monument dédié à la Résistance. Sur le mur de pierre est gravée une stèle qui sonne le glas : « Celui qui veut ignorer son passé est condamné à le revivre… ».
Quelques kilomètres plus loin nous traversons Fraisse sur Agout puis nous descendons dans la vallée pour rejoindre la célèbre ville qui fait des bulles…
C’est au Haut Moyen Age que furent bâties les premières habitations de la cité, dans une vallée, autour d’une église. Le pont et la chapelle Saint Etienne en sont aujourd’hui les témoins du 12ième siècle…
A partir du 12ième siècle, le village de la Salvetat s’installa sur un piton rocheux afin de fuir les attaques nombreuses de cette époque. En ce temps là, la cité ne servait pas de place forte mais de lieu de refuge et de sauveté (d’où son nom de salvetat). Quelques vestiges subsistent : la voûte et la tour du Cazal et la Portanelle…
Au 14ième siècle, la Salvetat passe sous la dépendance de l’Evêché de St Pons de Thomières. Les évêques s’installent au château qui devient leur résidence d’été jusqu’au 18ième siècle. Il reste toujours des vestiges de cette époque !…
Nous poursuivons notre route par la visite du lac de Raviège situé à la sortie du village. Posé au milieu de la forêt de hêtres et de sapins, le lac fait le bonheur des passionnés de voile. Une base nautique permet de louer pédalos, canoës, bateaux, etc... La plage des Bouldouïres, située juste à côté du club nautique, est surveillée en juillet et août (nous dit-on). Sur les berges, une foule de sentiers pédestres et VTT sillonnent les bois. La pêche constitue un autre loisir très apprécié…
Seul plan d'eau situé dans les monts de Lacaune, le lac du Laouzas couvre 335 hectares avec une profondeur des eaux atteignant 40 mètres dans l'axe d'un barrage haut de 50 mètres. Parmi les lacs en montagne du Haut Languedoc, c'est un lac paisible, enchâssé dans la verdure ondulante de son écrin forestier et très ouvert sur le ciel, propice aux vacances…
Sur la route du retour vers Salvetat nous faisons une halte à la chapelle Saint Etienne de Cavall. Cette église, d’architecture romane, a été construite à la fin du 11ième siècle, mais a été aussi très remaniée depuis. Classique dans son plan, avec une nef unique assez large terminée par une abside en cul-de-four, elle l’est moins dans son apparence visuelle car construite avec des pierres non taillées de couleurs variées, avec un ciment blanc épais, ce qui lui donne un aspect très marqué et bien différend des églises romanes de la région…
L’église héberge aussi une statue en bois noir médiévale de la vierge, appelée Notre-Dame d’Entraygues. La tradition dit que cette statue fut trouvée au confluent des rivières de la Vèbre et de l’Agout (d’où le nom d’entre les eaux en occitan) et qu’elle a préservé dans le temps les troupeaux des habitants de la Salvetat de la maladie…
Nous prenons notre déjeuner à la Commanderie de Salvetat, une auberge tenue par un couple de hollandais ?
Après le déjeuner nous reprenons la route direction Fraïsse sur Agoût pour une visite rapide du village. La visite se mérite : nous parvenons à ce village, situé à 700 mètres d’altitude dans les Monts de l’Espinousse, au terme d’une route sinueuse traversant des paysages sublimes, et sur laquelle il faut bien le dire, nous ne croiserons pas grand monde. Le village est en dehors des grandes transhumances touristiques et ce n’est pas le moindre des charmes de cette commune traversée par une rivière limpide, l’Agoût, et nichée au creux d’une verte forêt. D’ailleurs, « Fraïsse » ne signifie t’il pas « frêne » en occitan ?
Les amoureux de la nature découvrent un village très soigné, aux jolies maisons traditionnelles en pierre regroupées autour du clocher, aux ruelles toutes dallées de schiste et fleuries d’une collection de rosiers, dont la commune s’est fait une spécialité. De très nombreuses variétés de plantes vivaces ou annuelles envahissent tous les recoins disponibles dans le village : delphiniums, capucines, œillets, phlox, lupins... nous rappellent les anciens jardins de grand’mères…
Nous rejoignons maintenant Saint Pons de Thomières par le col du Cabaretou. Arrivé au sommet la neige tombée ces derniers jours est encore présente dans le paysage de la forêt domaniale. La lumière du jour qui filtre entre les branches nous laisse entrevoir les débuts d’un hiver précoce. Avec prudence, car la route est verglacée nous descendons lentement vers le pays du conte de Toulouse…
Saint Pons de Thomières fut longtemps divisé en deux bourgades séparées par la rivière Jaur. La plus importante est née en 936, lorsque le Comte de Toulouse, Raymond Pons, y fonda une abbaye. C'est la ville Mage. L'édifice devint église au 10ème siècle puis fût modifié au 12ième siècle : un chemin de ronde, des mâchicoulis et des meurtrières préparèrent alors l'ouvrage à la guerre. L'ensemble s'appellerait désormais le "castellum"…
La monta en puissance pendant le Moyen âge et devint, en 1317, le siège d'un diocèse, qui s'étendit sur le nord-ouest de l'actuel département de l'Hérault. Des remparts, dont certaines parties sont encore visibles aujourd'hui, vinrent sécuriser la cité. Malgré ces précautions, les protestants arrivèrent à envahir la ville en 1567 mettant à sac, au passage, la cathédrale. La ville Mage et la ville Moindre se rejoignirent au 16ième siècle. Quelques modifications furent mises en œuvre les siècles suivants, telle que la modification de la cathédrale et l'inversion de son plan au 18ième siècle. Dans l'édifice se trouve un riche chœur en marbre, des orgues réputées (deuxième de France après celles de Notre Dame de Paris) et des stalles en noyer sculpté…
Nous rentrons par Olargues, Saint Martin d’Arçon, Colombières, Hérépian et finissons la soirée à Bédarieux dans la grande halle aux chaussures près de l’hôtel…
Dernier petit déjeuner, dehors il fait toujours aussi froid quand la voiture prend la départementale 114. L’itinéraire est connu : Hérépian, Colombières, Saint Martin de l’Arçon puis cette fois-ci à gauche le viaduc du moulin de Tarassac…
Dans le défilé de l’Orb, au lieudit la Moulinasse, la route fait une courbe plongeante. En face on aperçoit le Panorama du village de Vieussan et la tour du Pin. Sur la rive droite il y a une belle résurgence captée par un vieux moulin, entre le pont et le moulin de Grais. Au nord sur la rive gauche de l'Orb, une source intermittente : A 150 m en amont du pont. A 1 kilomètre 600, au sud de Vieussan, se trouve le château Tamboï et un cirque d'effondrement de 200 mètres de diamètre et 30 mètres de profondeur, important phénomène karstique…
Quelques kilomètres plus loin, le village de Roquebrun. Ce village, étagé au-dessus de la rivière, est accroché aux pentes d’un éperon rocheux, dominé par les ruines d’une tour du Moyen âge. A l’abri des vents du Nord, il bénéficie d’un climat exceptionnel qui permet à la vigne de s’épanouir. L'Orb baigne ses pieds. Le vignoble de Roquebrun, classé en appellation d'origine contrôlée "Saint Chinian" est situé sur les derniers contreforts des Cévennes. Son terroir de coteaux schisteux bénéficie d'un microclimat où s'épanouissent la vigne, les mimosas et les orangers…
Nous sommes maintenant sur la D19 à hauteur de Causses et Veyran, charmant village du canton de Murviel, Arrondissement de Béziers. Son vignoble (du Saint-Chinian), sa mairie, ses rues charmantes, son église romane, son hameau avec la chapelle Saint-Sever, ses piliers/tours, ses paysages et sa végétation, mais surtout ses habitants et leurs en font tout le charme. Le territoire de Causses atteint les rives de l’Orb. Il est dominé par le Puech ou Montpeyroux. Il est possible d’y faire d’agréables et jolies promenades. Causses-et-Veyran comporte : le centre du village avec son cœur médiéval dont l’église ainsi que quelques fermes, parfois à l’abandon…
On poursuit notre route par Murviel, Béziers, Agde, Marseillan pour débouché enfin sur le soleil de Mèze. C’est jour de marché sur la place principale du village. Il nous faudra un bon petit moment pour nous diriger vers le port, car la ville à beaucoup changée depuis notre dernière visite…
La petite ville de Mèze est située sur les berges de l'étang de Thau. La bourgade, la plus ancienne du bassin, s'est édifiée autour du port qui a toujours été le coeur économique de la cité. Les premiers habitants furent les Phéniciens. Ces derniers ont, sans doute, baptisé Mèze. Mansa signifie, "endroit élevé d'où s'élève une fumée". Le site devait être éclairé par un feu à côté de l'actuelle chapelle des Pénitents ( mise à jour de vestiges d'un important foyer ).
Mais nous ne sommes pas venus pour rencontrer les Phéniciens, seulement pour goûter à la Sarsuela : Un plat à base de poissons à chair ferme revenus à l'huile d'olive, puis mitonnés avec tomates concassées, ail, oignons, cannelle, jérez, laurier, paprika. À la fin, on flambe au rhum ou au brandy et on ajoute langoustines, calamars, moules et petites palourdes…
Normalement dédié au soleil, le grand amphithéâtre héraultais s’ouvre sur le Golfe du Lion orienté sud-est. Le département, l’un des plus ensoleillés de France pendant toute l’année, s’étage depuis l’extrémité sud du Parc Naturel Régional du Haut Languedoc avec les Monts du Caroux (1098 mètres) et de l’Espinouse (1124 mètres) et à l’est, le plateau du Larzac (726 mètres), la Montagne de la Séranne et le pied des Cévennes jusqu’aux basses terres couvertes d’étangs marins sur le littoral.
La Cesse, l’Héric, le Jaur, l’Orb, la Vis, l’Hérault… Torrents, rivières et fleuves ont dévoré les plateaux calcaires et les flancs des monts de gorges, cirques, grottes et canyons vertigineux avant de traverser la plaine jusqu’au littoral. Le lac du Salagou dans son décor raviné de terres argileuses rouges et de pierres noires, est l’un des sites les plus surprenants du département, avec ses rives couvertes de roselières et de peupliers, parcourues par les vététistes.
Emblématique du Midi, la garrigue odorante dispute l’essentiel du terrain au vignoble entre Ganges et Minerves. Parsemée de pierres blanches calcaires, elle se compose d’une végétation très particulière : Chênes verts ou kermès, amandiers, figuiers, oliviers sauvages… Herbes aromatiques : thym, romarin, sarriette, aspic et fleurs : cistes, orchidées… C’est la terre d’élection des grillons, cigales, lézards, fourmis, couleuvres et des petits mammifères : belettes, fouines, genettes, blaireaux… Faucons crécerelles et aigles de Boneli survolent en maîtres ce beau territoire.
Tous ces trésors naturels sont autant d’invitations à partir…
Commentaires
1. vivrenotreamour le 15-12-2008 à 13:38:24 (site)
bonjour après un week-end très agréable je passe te souhaiter un bon début de semaine
dernière grande ligne droite pour les préparatif de noël courage a vous tous
hehho le père noël arrive bientôt
bonne journée
bis patricia
2. vivrenotreamour le 15-12-2008 à 13:39:29 (site)
bonjour après un week-end très agréable je passe te souhaiter un bon début de semaine
dernière grande ligne droite pour les préparatif de noël courage a vous tous
hehho le père noël arrive bientôt
bonne journée
bis patricia
3. billounette le 15-12-2008 à 17:38:08 (site)
et oui je refais mon retour sur mon blog
apres un semaine bien charger je passe te souhaiter une tres bonne soirée et te faire tout plein de gros bisous isa
4. TAOMUGAIA le 15-12-2008 à 17:41:36 (site)
Tout ceci nous rappelle cette leçon fondamentale : nous ne sommes et serons initié que par nous-même !