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Les Black's Foot

le 12-06-2010 07:42

ESCAPE VELOCITY

 

 

 


    Pris en otage dans l’espace par le plus dangereux des hors-la-loi, l’équipage du vaisseau Harbinger va devoir lutter âprement pour sa survie !

    En 2047 après J.-C., Carter, un dangereux criminel de guerre, responsable du massacre de centaines d’innocents, va être exécuté dans le pénitencier de Mesa Verde dans la vallée de la mort.

    L’équipage de l’observatoire solaire Harbinger constitue un embryon de cellule familiale traditionnelle. Trois êtres y cohabitent en parfaite harmonie.

    Lloyd A. Simandl abandonne momentanément le film de prison de femmes pour se focaliser sur l’un de ses autres genres de prédilection : le space opéra.

    Une équipe Tchéco-Canadienne bien rodée réalise des effets spéciaux très sophistiqués pour un space opéra, certes cheap, mais très honorable.
 
    Grand spécialiste du cinéma d’action contemporain, Lloyd Simandl transpose un classique du cinéma américain des années 1950 au cœur des espaces intersidéraux...
 

Je n'ai pas trouvé de bande annonce...

Textes et photos en provenances de la collection « Les plus grands films de science fiction en DVD », Editions Atlas, 2003.


Armand,

 

 


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1. Guiphitho  le 12-06-2010 à 09:36:13  (site)

C'est passionnant les films de science-fiction...
Bon week-end à toi, Armand
Carine.

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le 11-06-2010 07:42

GENE KRUPA

 

 

 


 

         Séducteur à la Tyrone Power, Gene Krupa sera l’idole de toute une génération d’Américains délivrés de la prohibition. Celui qui fut l’un des musiciens les plus représentatif du « style Chicago », puis l’un des maîtres du swing, se fera le héraut d’une nouvelle philosophie de la batterie. Tout drummer qui entendra Gene Krupa n’osera plus jamais jouer comme avant.

    Grande cité industrielle, Chicago fut pendant la prohibition, le berceau d’un certain jazz : le « style Chicago », dont les promoteurs, tous de race blanche, avaient beaucoup écouté la musique néo-orléanaise.

    L’arrivée à Chicago d’instrumentistes de Louisiane incitera de jeunes musiciens blancs à former leurs propres groupes. Le style Chicago de Beiderbecke, de Mezzrow et de Krupa sera promis à un bel avenir.
 


    Après avoir participé à plusieurs concerts JATP, Gene Krupa enregistrera de superbes arrangements du saxophoniste baryton Gerry Mulligan qui connaîtront un certain succès. Grand batteur de swing il jouera également avec d’éminents musiciens bop, à commencer par Gillespie.

    Avec Gene Krupa, le rôle de batteur évoluera considérablement. Rythmique, certes, le drummer, le restera. Mais il deviendra aussi soliste. Et un soliste de plus en plus populaire.

    Le Jazz At The Philarmonic de Norman Granz permettra à Gene Krupa de pouvoir enfin remonter sur la scène après ses démêlés avec la justice américaine. Le trompettiste Ray Eldridge assurera la direction de l’orchestre pendant la détention de Gene Krupa. Son style participera pour beaucoup au renouveau artistique du batteur originaire de Windy City.
 


    Dernière apparition en public avec le quartette de Benny Goodman, Gene décède le 16 octobre 1973 à Calumet City (Illinois)…

♥    Bolero at the Savoy (1938)
 
 
♥♥     Symphony in Riffs (1939)
 
 
♥♥♥     The Madam Swings it (1939)
 
 
 
 

 Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991.

 

Jakin, 

 

 


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1. lolo78000  le 11-06-2010 à 05:48:54  (site)

kikou très bonne journée gros bizzzous

2. capucine2010  le 11-06-2010 à 09:09:41  (site)

bonjour armand ,superbe musique .très sympa ta vidéo .je te souhaite une bonne journée .Calimero

3. lafianceedusoleil  le 11-06-2010 à 14:19:52  (site)

Salut Armand,
Merci pour ton bel article sur Gene Krupa.

4. lafianceedusoleil  le 11-06-2010 à 15:19:20  (site)

coucou Jakin,
très bel article sur Gene Krupa avec de beaux morceaux, merci pour ce plaisir.
Bonne fin de journée et bon week-end.
Grosse bise

guitrock

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le 10-06-2010 03:15

LA VALLEE D'AURE...

 

 

 

 

 
65 – Hautes Pyrénées, Cadéac du 23 au 26 mai 2010


     

    Le département des Hautes-Pyrénées est formé, pour sa plus grande partie, de l'ancien Bigorre. Les Bigorrais (Bigerri, Bigerrones) étaient un des peuples aquitaniques qui furent soumis par Crassus, lieutenant de César. Leur capitale était Bigarra, que les savants croient reconnaître dans le village actuel de Cieutat (Civitas, la Cité), à 15 kilomètres de Bagnères-de-Bigorre. Lorsque, à la fin de sa huitième campagne, le conquérant lui-même vint avec deux légions séjourner quelque temps en Aquitaine, peut-être visita-t-il le pays de Bigorre ; on retrouve du moins son nom en plusieurs lieux ; ainsi le village de Juillan, vicus Julianus, près duquel on montre un camp de César. Près de Pouzac, on voit un autre camp de César où l'on a trouvé des ossements et une épée romaine.
     


    Le long Moyen Âge, de 500 à 1500 ap. J.C., est une époque agitée et troublée. Les grandes invasions du 4ième au 9ième siècles ont ravagé les villas et villes romaines. L'insécurité règne. Les premiers comtes de Bigorre s'installent vers l'an 840 à St Lézer-Bigorra, puis à Tarbes au 12ième siècle dans une double ville fortifiée : l'une épiscopale autour de la cathédrale de la Sède, l'autre comtale autour du Brauhauban. L'empreinte originale du Moyen Age des Hautes-Pyrénées réside dans le réseau très dense des abbayes bénédictines dès le 7ième siècle. Elles jalonnent les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Vers 1200 il en existe une bonne douzaine : clunisiennes avec Saint-Lézer, Saint-Savin, Saint-Pé-de-Bigorre ou Madiran, une cistercienne avec l'Escaladieu, toutes de renom. Aux 13ième et 14ième siècles, la Bigorre souffre cruellement de la longue guerre féodale qui oppose les deux monarchies française et anglaise à qui elle se soumet successivement.
     


    Le 4 février 1790 : l'Assemblée Nationale (dite constituante) décrète sous l'impulsion des deux députés bigourdans du Tiers-état (Dupont de luz et surtout Bertrand Barère) que " La Bigorre et les quatre vallées formeront un département et que l'Assemblée se tiendra à Tarbes". Le parrain en fut Pinteville de Cernon, président du "comité de division" qui choisit le nom de Hautes-Pyrénées. Le premier président du Conseil Général (appelé Directoire) fut de 1790 à 1793, le baroussais Pierre-Clair de Fondeville, vicomte de Labatut.
      


    Les Quatre vallées étant géographiquement dispersées (Aure, Barousse, Magnoac et Neste), on adjoignit aussi des territoires de l'Astarac, du Comminges, du Nébouzan et de la Rivière basse ainsi que le Louron qui dépendait de "la Rivière Verdun". Cas presque unique en France (avec le Vaucluse), les Hautes-Pyrénées gardèrent aussi les "enclaves" de l'ex-Bigorre en Béarn. Le nouveau département fut divisé en 5 districts (Tarbes, Bagnères, Vic et ceux dits de "la Montagne" (Argelès) et de "la Neste" (La Barthe)), puis en 1800, en trois arrondissements avec les mêmes sous-préfectures qu'aujourd'hui.
     


    Les Hautes-Pyrénées regroupent sur leur territoire une grande variété de sites et de paysages… La montagne recouvre la moitié du territoire du département. Elle forme au sud une barrière d’altitude élevée avec la frontière espagnole. 35 pics y dépassent 3000 mètres, le pic du Vignemale en est le point culminant (3298 m) . On y découvre toute une richesse de paysages de haute montagne avec forêts et estives. D’Ouest en Est, plusieurs vallées transversales entaillent la montagne.
      


    À l’Ouest, le bassin du Gave de Pau ou Lavedan qui forme une large vallée de Lourdes à Argelès-Gazost. Au centre, la vallée de Campan dominée par le Pic du Midi, le col du Tourmalet, les massifs du Néouvielle et de l’Arbizon. A l’Est, la vallée de la Neste se déroule jusqu’à Arreau où se rejoignent les vallées d’Aure et du Louron. Ces vallées permettent l’accès vers l’Espagne. Elles sont reliées entre elles par des cols d’altitude parfois élevée.(Soulor, Tourmalet, Aspin, Peyresourde).
     


    Cinq heures et 523 kilomètres d’autoroute sont nécessaires pour approcher Cadéac. On quitte Aix en Provence ; autoroute A7 direction Salon, sortie Saint Martin de Crau, prendre la N113 direction Arles. Prendre l’autoroute A54 jusqu’à Nîmes, l’A9 jusqu’à Montpellier, Continué sur l’A61 direction Toulouse, puis l’A620 direction Tarbes. Sortie Arreau, prendre la D939 direction La Barthe de Neste, puis la D929  qui traverse Cadéac. Au bout du village un raidillon plonge dans un vallon, l’Hôtel du Val d’Aure se trouve en contrebas. Des espaces verts, un jardin paysagé et une terrasse ombragée agrémente cette établissement pour cette aventure en vallée d’Aure…
     


    La visite commence par Arreau : c’est un très beau village montagnard de la Bigorre. Ses nombreux attraits en font la destination naturelle pour une halte touristique. Et cela tombe bien, car les douze coups de midi sonnent dans le creux de mon estomac et me rappel qu’il faut trouver une bonne table. Le « Taulier » de Cadéac m’a suggéré « l’Arbizon », il n’a pas tors…
     


     Le charme des vieilles maisons et des monuments est relevé par les deux rivières aux eaux vives qui traversent Arreau. Enfin, les Pyrénées parachèvent harmonieusement ce décor de carte postale.
      


    Au delà de l'intérêt du village, les alentours sont aussi remarquables, avec la réserve naturelle d'Aulon toute proche. Les sportifs apprécieront les possibilités de randonnées et de pratique de sports extrêmes. Enfin, plusieurs stations de ski proposent des domaines adaptés au ski de fond, au ski de piste et aux autres sports de glisse moderne.
      


    La force des eaux de la Neste du Louron servait à de nombreux moulins à Arreau. On pouvait en compter jusqu'à une vingtaine. Par sa situation excentrée, le village échappa à la plupart des troubles et des guerres du Moyen âge. Même pendant les guerres avec l'Espagne, les paysans d'Arreau maintenaient de bonnes relations avec leurs homologues espagnols, notamment pour tout ce qui concernait le partage des pâturages.
      


    Cadéac les Bains, de son véritable nom, est tassé autour d'un donjon du 13ième  siècle. Il conserve une porte fortifiée livrant passage à la route, au ras de l'oratoire gothique de Pène Tailhade.
      


    Cette ancienne station thermale romaine dispose d’un agréable plateau (Castillac) et d'une montagne boisée dans laquelle il fait bon se balader en été.
      


    Le village de Saint-Lary se situe dans la vallée d'Aure, en haute montagne. Les pics les plus élevés à proximité sont le Pic Long à 3194 mètres et le Néouvielle à 3092 mètres. La vallée d'Aure tirerait son nom de la brise, "aura" en latin. Au printemps et à l'automne , un vent chaud et sec, le foehn, balaie en effet la vallée qui jouit de températures plutôt clémentes. La vallée d'Aure est aussi traversée par la Haute Neste, rivière étroite en amont de Saint-Lary et qui prend plus d'ampleur en aval.
     


    Au cœur de Saint-Lary village, la Tour Hachan, qui abrite le Musée du Parc National, et les bâtiments annexes, devenus Mairie et bâtiments communaux, furent remarquablement restaurés et à Saint-Lary le "Vieux village" marie aujourd'hui le bois, la pierre et l'ardoise. Ses fenêtres à meneaux sont la copie conforme de celles de la Tour Hachan. La Maison Fornier de Saint-Lary , aujourd'hui actuelle mairie.
     


    L'Eglise Saint Bertrand située au coeur du village, construite en 1950. L'église faite de béton armé, comporte une seule nef avec des piliers latéraux. L'autel et le tabernacle ont été revêtus de briques. le presbytère jouxte l'église agrémenté d'un jardinier, entretenu et fleuri par la commune.
 


    La journée s’annonce chaude pour cette deuxième étape. Après un petit déjeuné dynamique je roule en direction de l’Espagne. Au pied du dernier rempaillons menant au tunnel d'Aragnouet-Bielsa, au-dessus de Saint-Lary, s'est nichée l'une des plus belles églises de cette région : la chapelle des Templiers d'Aragnouet. Construite au 12ième siècle, de style roman, elle accueillait et hébergeait les pèlerins de Saint- Jacques de Compostelle.
     


    Ce sont les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem qui l'ont édifiée. Des siècles plus tard, elle est toujours là, au creux d'un vallon, sur le bord d'un torrent, toujours aussi simple et superbe, dans un cadre montagnard impressionnant. Longtemps connue uniquement des habitués du département des Hautes-Pyrénées et des cyclotouristes, cette église est devenue aujourd'hui une “vedette” du tourisme bigourdan depuis que la route joignant la France à l'Espagne passe par le tunnel d'Aragnouet-Bielsa.
     


    L'ancienne église d'Aragnouet fut partiellement reconstruite en 1835. Par suite de malfaçons, l'édifice menaçait de s'effondrer dès 1841. Pierre Artigala (1788-1857),  architecte départemental des Hautes Pyrénées, dirigea une seconde campagne de reconstruction en 1842, conservant le plan et le clocher de l'église de 1835. l'édifice a fait l'objet d'une restauration générale en 1977.
     


    Située dans la paroisse d'Eget, la chapelle de Fabian a été construite en 1852. La bénédiction de l'édifice eut lieu le 7 novembre 1852. La chapelle fut agrandie en 1868. l'édifice a été entièrement reconstruit dans la 2ième moitié du 20ième  siècle.
      


    Une particularité sur la route : le barrage d’Eget. Propriété de la S.H.E.M. (Société Hydroélectrique du Midi) , filiale de la S.N.C.F., la centrale a été construite par la Compagnie des Chemins de fer du Midi entre 1913 et 1919, afin d'assurer l'électrification des voies de chemins de fer régionales. Elle utilise les eaux des réservoirs d'Orédon (7,2 millions de m3) et de l'Oule (16,6 millions de m3) , captées par une galerie d'amenée souterraine à écoulement libre.
     


    Débouchant à l'aplomb de la centrale, cette galerie se prolonge par une conduite forcée d'une hauteur de 750 mètres, pour un débit de 5 m3/s. En 1921, la centrale comptait 7 groupes électrogènes de 5000 HP chacun. Modernisée en 1968, elle abrite aujourd'hui 2 producteurs : la S.H.E.M. avec une turbine horizontale Pelton d'une puissance de 33 millions de Watts qui remplace les 7 groupes d'origine, et E.D.F. (depuis 1954) avec 2 turbines Francis de 3 millions de Watts chacune.
     


    A Tramézaigue l’église paroissiale Saint-Denis, Saint-Nicolas, annexe de la cure d'Eget, fut érigée en chapelle vicariale le 3 août 1852. l'église actuelle conserve une abside semi-circulaire d'époque romane, ainsi qu'un chrisme également d'époque romane réemployé dans le transept sud en 1857. Au 16ième siècle l'église comportait sans doute une nef unique. Le transept nord et la sacristie ont été ajoutés en 1631, date portée sur le linteau de la sacristie.
      


    La présence du château est attestée dès le 12ième siècle. Le donjon remonte en partie au 12ième siècle, mais l'enceinte résulte de travaux menés aux 17ième et 18ième siècles. Le château a servi et a été entretenu jusqu'en 1808. Les vestiges, comprenant un morceau d'enceinte et le donjon, ont été restaurés en 1990.
     


    L'église d'Azet, église paroissiale Notre dame de l’assomption était le siège de l'archiprêtré du Haut-Jouat ou d'Aure supérieure, et d'une confrérie de prêtres, dite frairie Notre-Dame-du-Haut-Jouat. L'église a conservé de nombreux éléments d'époque romane, dont l'abside et le portail sud.
      


    La vallée du Rioumajou accueille 200 vaches et 1500 moutons venant d'élevages traditionnels qui produisent de la viande de très bonne qualité vendue dans les boucheries de Saint-Lary. Ces troupeaux entretiennent la montagne par le pâturage. La transhumance et ses festivités sont un temps fort de la vie de la vallée, de ses bergers et de sa population.
     


    On traverse dans le contrebas de la vallée le petit village rural d’Estansan. Quelques maisons regroupées autour de l’église dont le carillon égrène les heures dans ce paysage de silence.
     


    Le Village de Vielle Aure, à 800 mètres d’altitude, chef lieu de canton, s’étend tranquillement au bord de la Neste d’Aure. Le cœur du village est un authentique ensemble de maisons auroises du 17ième et 18ième siècle, abritant une église romane classée. Situé au cœur de la Vallée d’Aure, proche des stations de ski de Saint-Lary (station thermale) et Piau-Engaly, non loin de la frontière espagnole, Vielle Aure, petite commune rurale, a su concilier harmonieusement sa vocation agricole et s’ouvrir au tourisme.
     


    L’église dédiée à Saint-Barthélemy a été construite au 12ième siècle. Avec son clocher aux baies à trois colonnettes, surmonté d’une flèche du 17ième qui affine sa silhouette. Elle constitue un des plus purs joyaux de l'art roman. Au fond, face au pilier gauche, une coquille Saint-Jacques a été sculptée sur le mur intérieur rappelant que cet édifice se trouve sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
     


    La statue du village de Bourisp est une ronde-bosse, son revers est sculpté. Elle est en pierre calcaire de couleur jaune. La pierre a été pourvue d' un enduit de peinture blanche. Elle comporte un socle de plan rectangulaire. La statue est posée sur un piédestal ou socle rectangulaire à élévation pyramidale, constitué de moellon de pierre calcaire et de ciment. La statue représente une jeune femme en pied, animée d'un léger mouvement de torsion vers la gauche. Elle tient et serre dans ses bras un oiseau, très vraisemblablement une colombe. Il pourrait s' agir d' une allégorie de la Paix. Cette statue est très représentative de cette abstraction modernisée, héritière de la sculpture figurative des années 1930 dite de style Art déco, qui continue encore dans les années 1950 à être le fait d' une part importante de la création artistique officielle. Elle orne la place principale du village, devant la mairie et à proximité immédiate de l’église paroissiale.
     


    D'après des études historiques il y aurait eu à Bourisp une église paroissiale d'époque romane, dédiée à saint Orens, dont les ruines ont subsisté jusqu'au 18ième siècle. l'église actuelle, église paroissiale Saint-Orens, Notre-Dame-de-Sescas, date pour l'essentiel du 16ième siècle. Le culte local de la Vierge serait lié à la découverte miraculeuse d'une statue de la Vierge par un bœuf au lieu de Sescas, emplacement de l'église actuelle.
     


    Guchen forme avec les communes d'Ancizan, Cadéac, et Grézian une association pastorale aux origines très anciennes (fin du 13ième siècle) , dite les Quatre Véziaux (Quatre Voisins) , aujourd'hui gérée par un syndicat : le domaine commun, possédé en indivision par les quatre communes, consiste en 2770 ha d'estives situées en amont de la vallée de Campan sur le territoire communal d'Ancizan. Terrier dressé entre 1552 et 1561. Règlement de communauté en 1605.
     


    Comme Ancizan, Guchen comptait parmi les gros villages de la vallée, faisant presque figure de "bourg". Une partie de sa population était composée de tisserands (entre 70 et 80 tisserands au 18ième siècle) . L'activité textile, encore soutenue au milieu du 19ième siècle avec 4 filatures de lainé en 1850 (Gertoux, Lacaze, Olive, Viellajus) a rapidement décliné quelques décennies plus tard, cette proto-industrie rurale ne pouvant résister aux nouvelles usines équipées de machines.
 


     Les fondations de l'ancienne église romane, Saint Brice, Sainte Catherine ont été découvertes en 1922 aux abords de l'église actuelle. Les parties les plus anciennes de l'église actuelle semblent remonter aux 15ième et 16ième siècles. Sacristie construite en 1599 par Bertrand Labarthe, maître maçon de Sarrancolin. Un an plus tard, l'intérieur est décoré de peintures murales par Ramond Sabatier. Il en reste quelques éléments dans le chœur.
      


    Ancizan est un ancien village fortifié, bâti au pied du Pic de l'Arbizon. Cet important centre drapier jadis siège de la corporation des tisserands de la vallée d'Aure a su conserver d'intéressants vestiges de son passé prestigieux. Une courte promenade à travers ses places, rues, chemins et "biés" nous permet de découvrir et d’admirer de nombreuses et remarquables demeures (certaines sont classées) aux portes et linteaux sculptés et millésimés ou aux fenêtres à meneaux.
      


    L'église est dotée d'un remarquable mobilier et plus particulièrement la scène de la mise au tombeau qui est classée. En 1953, une violente crue du ruisseau d’Erabat dont les eaux actionnaient jadis les ateliers locaux a détruit de nombreux immeubles dans le quartier bordant son lit, reprenant ainsi au village une partie de ses richesses qu'il avait su lui donner en remodelant sa physionomie.
      


    Étape mythique du Tour de France du cyclisme, le Col de Peyresoudre a bien connu des duels serrés pour remporter le maillot à pois emblème du meilleur grimpeur. Long de plus de 15 km, le Col de Peyresourde culmine à 1.569 m en Hautes-Pyrénées marquant la limite entre les départements de la Haute-Garonne et des Hautes-Pyrénées sur la départementale 618.
     


    Quelques nuages barrent le ciel sur les sommets, mais la chaleur est vive pour cette nouvelle journée. Je prend la route en direction de Lannemezan. Le village de Hèches est situé au sud de la Vallée de la Neste, il fait partie de la communauté de communes Neste Baronnies et est rattaché au canton de la Barthe de Neste, sous préfecture Bagnères de Bigorre. La commune est composée de quatre villages : Hèches, Héchettes, Léchan, Rebouc et lieu dit Larrieu.
     


    Hèches dans le passé fut un point fortifié dont la tour de guet est voisine du pont de Héchettes ( fréquenté par les forestiers porteurs de leurs fagots "héchets "). Ancienne baronnie de la famille d'Ossun 1699. Vieille tradition artisanale et industrielle, remontant peut-être aux temps gallo-romains.
     


    Héchettes signifierait "petite Hèches", c'est un hameau apparemment plus ancien que Hèches, situé à l'est de ce dernier sur un gradin herbeux. Entre Héchettes et Léchan, le toponyme de Gleisevielle est rapporté par tradition orale et se situerait sur une butte naturelle plantée de pins. Certains y voient un lieu de culte ancien.
     


    Rebouc, Forges et fonderies du 16ième au 19ième.
     


    Vieille cité médiévale dont les origines remontent aux environs de 70 avant JC, un ancien prieuré lui donna longtemps le privilège d'être la capitale des IV vallées : Aure, Neste, Barousse et Magnoac. Sarrancolin fut marqué par l'époque industrielle ; elle a accueilli papeterie, filature et moulins. Il reste actuellement une filature de laine.
      


    L'usine de Péchiney fabrique du corindon (abrasif), elle a fortement marqué l'architecture du village comme en témoignent les maisons à l'entrée du village. Le marbre constitue encore une richesse ; l'appellation "Marbres de Sarrancolin" recouvre trois carrières : Ilhet, Beyrède et Sarrancolin.
      


    Ces marbres ont servi à la décoration de quelques édifices Français comme: le Petit Trianon, le palais de Versailles et les châteaux de la Loire. Sarrancolin est aujourd'hui une zone d'activités artisanales qui dispose de tous les commerces et services.
      


    Petit village traditionnel autour de son église, son architecture et plus particulièrement les matériaux utilisés attirent l'attention du passant. Le matériau de pierre rouge a été largement utilisé dans la construction des habitations et des murs.


    Camous possède aussi un petit ruisseau qui fera le bonheur des pêcheurs sportifs.
     


    Le col d'Aspin, comme celui du Tourmalet ou de l’Aubisque, fait partie de la légende du Tour de France. Le début de la montée depuis Bagnères se fait tranquillement dans un paysage très verdoyant, avec en toile de fond le majestueux pic de L’Arbizon. Passé la commune de Payolle, la vraie montagne commence. Cette station de ski de fond réputée, installée sur un vaste plateau orné d’un lac gelé en hiver, offre l’été de nombreuses possibilités de randonnées à la découverte des superbes forêts et sommets qui l’entourent.
     


    Plus on se dirige vers le haut du col, plus la nature reprend ses droits. Site classé, aucune construction n’y est possible. C’est donc à travers de luxuriantes forêts de sapins que la route se fraye un chemin vers le sommet. A près de 1.500 mètres d’altitude, le col d’Aspin apparaît alors, cime dénudée et battue par les vents. On prend le temps d’apprécier, que ce soit pendant la montée ou au sommet, la beauté des paysages. C’est absolument superbe !
     


    La vallée d’Aure a été labellisée Pays d’art et d’histoire. Ce label national, décerné par le ministère de la Culture et de la Communication, garantit pour les habitants, les visiteurs la mise en valeur et l’animation du patrimoine sous toutes ses formes : le patrimoine naturel et paysager, le patrimoine architectural civil et religieux, le patrimoine des savoir-faire et des compétences de pays.
 


    Courte et profonde, la vallée d'Aure forme une pénétration vigoureuse dans la chaîne des Pyrénées. L'érosion glaciaire a modelé le paysage où alternent d'étroites gorges et de larges plaines qui se glissent entre les hautes montagnes, de marbre à Sarrancolin, de schiste en moyenne vallée et de granit dans le massif du Néouvielle.
 


    Dans la montagne, les forêts fournissent le bois ( Gouaux, Aspin-Aure), les carrières de marbre ( Ilhet, Beyrède, Sarrancolin), les torrents l'eau et l'énergie ( Guchen), les pâturages ( IV Véziaux) l'herbe grasse pour les troupeaux. Chacune de ces activités, depuis des siècles, façonne le paysage de la vallée, les routes, chemins, sentiers, les canaux d'irrigation et rigoles, les granges foraines qui marquent la moyenne montagne. Plus haut, le milieu devient rude, domaine du minéral ( Arbizon) et aussi de la végétation exceptionnelle aux espèces endémiques ( Réserve d'Aulon, Parc National des Pyrénées, Réserve naturelle du Néouvielle).
 


    Pour les gourmands ou pour les randonneurs après une bonne marche, faites une halte sur les étapes gourmandes où les producteurs vous feront déguster les produits issus de leur élevage…
 
  
Armand, 
 
 


Commentaires

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1. capucine2010  le 10-06-2010 à 10:05:17  (site)

bonjour armand ,qu'es que c'est beau ,vous avez eu un super beau temps ça fait plaisir .tes photos sont superbe .et francis cabrel ,chante à merveille .chez moi ,ce n'est pas tout à fais le même style Clin doeil1.je te souhaite une très agréable journée bisous .Calimero

2. anaflore  le 10-06-2010 à 11:52:26  (site)

belle balade à travers ton regard sur une belle région bonne journée

3. lolo78000  le 10-06-2010 à 12:26:49  (site)

petit kikou pour te souhaiter un bon après-midi gros bizzzous

4. lolo78000  le 10-06-2010 à 19:21:49  (site)

très bonne soirée gros bizzzous à demain

5. lafianceedusoleil  le 10-06-2010 à 19:22:23  (site)

bonsoir Jakin
superbe et beau reportage concernant ton séjour dans les Hautes Pyrénées. Je ne connais pas du tout cette région. Les photos sont très variées et excellentes, un vrai régal pour les yeux, merci.
Je te remercie pour ton commentaire qui m'a fait sourire. Passe une belle nuit de repos.
Bisou de Cricri

6. heremoana  le 10-06-2010 à 20:25:36

de belles photos d'une région où je passe de temps en temps .....
et avec le soleil !!
bisous

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le 09-06-2010 05:22

LA PIERRE CUBIQUE A POINTE

 

 

 SYNTHÈSE DE LA CONNAISSANCE...

 

 

    La pierre cubique à pointe représente le chef-d’œuvre que tout Maçon doit parvenir à réaliser en qualité de Compagnon fini. Les tableaux de Loge du 18ième siècle représente clairement que tout itinéraire initiatique correspond à la transformation de la pierre brute en pierre cubique à pointe. Cette image de l’ascension vers la Transcendance correspond aussi à la recherche de la pierre philosophale.

    La hache fichée en son sommet, semblable à un marteau taillant, évoque la réalisation spirituelle à son apogée grâce à la réception de l’illumination initiatique. Elle a pour but de faire jaillir la lumière enfermée au cœur de la pierre.

    Le sommet de la pierre cubique à pointe est assimilable à un omphalos, une représentation visible et concrète du « centre du monde », d’une ouverture sur le divin, quintessence de l’être, point de rencontre du manifesté et du non-manifesté.

    La pierre cubique à pointe symbolise donc l’achèvement de l’œuvre, l’aboutissement réalisé, le couronnement des efforts. Souvent oubliée ou méconnue, elle synthétise l’ensemble des connaissances de l’adepte. Cette pierre polie et burinée est, avec la planche à tracer du Maître, le symbole le plus important de la connaissance initiatique de l’Ordre maçonnique. Se référant aux sources, Jeanne Leroy nous permet de découvrir des éléments nouveaux sur le sujet.

    Jeanne Leroy est membre du comité de rédaction de la revue indépendante d’information et de documentation interobédientielle Le maillon de la Chaîne maçonnique. Depuis plus de vingt ans, elle approfondit activement les traditions et le symbolisme.
 
 


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1. lolo78000  le 09-06-2010 à 10:38:50  (site)

kikou passe un très bon mercredi gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 09-06-2010 à 19:40:12  (site)

bonsoir Armand,
merci pour ton intéressant article qui nous révèle des choses intéressantes.
C'est sous une trombe d'eau que je suis rentrée du travail. J'avais les pieds trempés.
Souhaite que ta journée fut agréable, passe une belle nuit de repos.
Bisou

smiley_id117175

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le 08-06-2010 07:20

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - SHEKEL

 

 

 

 

 

    Le shekel 'hadash (en hébreu : שקל חדש, c'est-à-dire le nouveau shekel), ou shekalim au pluriel, est la monnaie nationale de l'État d'Israël (₪ unicode U+20AA). Son code ISO 4217 est ILS. Le shekel est divisé en 100 agoroth.

     Le shekel fait référence, à l'origine, à une unité de poids et à une monnaie utilisée en Mésopotamie depuis le 3e millénaire av. J.-C. jusqu'au (Ier siècle appelée aussi shekel. Ce fut également l'unité de poids utilisée par les Hébreux (il en est fait mention dans certains passages de la Bible et il est notamment utilisé pour recenser le peuple dans le désert après la sortie d'Égypte).

    En 1980, le shekel a remplacé la livre comme monnaie de l'État d'Israël. Depuis 1985, 1 000 anciens shekalim valent 1 nouveau shekel (ou New Israeli Shekel au sigle NIS).

    Il existe des pièces de : 5 agoroth, 10 agoroth, 50 agoroth (un demi-sheqel), 1 shekel, 2 shekalim (depuis août 2006), 5 shekalim, 10 shekalim, la pièce de 1 agora n'existe plus depuis 1985.

    À cela s'ajoutent des billets de :
- 20 shekalim (à l'effigie de Moshé Sharett au recto et la représentation de volontaires juifs de la Seconde Guerre Mondiale au verso)
 


- 50 shekalim (à l'effigie de Shmuel Yosef Agnon au recto et son cahier, ses lunettes et son stylo sont représentés au verso avec Jérusalem et le mont du Temple en image de fond)
 


- 100 shekalim (à l'effigie de Yitzhak Ben-Zvi au recto et avec la représentation d'une synagogue de Péki'in en Galilée au verso)
- 200 shekalim (à l'effigie de Zalman Shazar au recto et avec la représentation d'une rue de Safed au verso)
- les billets de 1, 5 et 10 shekalim qui existaient initialement ont été remplacés par les pièces correspondantes.
 


- un billet de 500 shekalim à l'effigie de Yitzhak Rabin avait été annoncé après son assassinat en 1995, mais la faible inflation a rendu inutile un billet d'une telle somme et il n'a donc pour le moment jamais été produit.

    Le shekel est librement convertible depuis le 1er janvier 2003. Au 6 janvier 2008, un shekel valait 0,1776 € et 1 € valait 5,6319 shekalim. Le dollar américain est aussi largement utilisé officieusement en Israël, à cause des variations du cours du shekel.


Armand,

 

 

 


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1. lafianceedusoleil  le 08-06-2010 à 10:08:12  (site)

coucou Armand,
je découvre avec curiosité cette monnaie, merci à toi. Souhaite que ta journée se déroule bien. Moi, ça va.
passe un agréable mardi.
Grosse bise

2. lolo78000  le 08-06-2010 à 14:11:24  (site)

kikou très bon après-midi et de gros bizzzous

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le 07-06-2010 03:02

P COMME PALENQUE - MEXIQUE

 

 

PALENQUE...

 

     La région de Palenque est située dans la Sierra de Don Juan, à la limite Nord de la zone des collines boisées du Chiapas. Palenque se trouve au Sud du pays vers les régions de Chiapas et de Yucatán, au milieu de la forêt tropicale, et s'étend sur 20 km². Palenque a été l'un des centres cérémoniels les plus importants du premier empire Maya.

 

    Le plus grand gouverneur qui fût connaître à Palenque son apogée fut Pakal le Grand, avec 68 ans de gouvernement. Il réalisa notamment de nombreux édifices du Palais lui donnant sa configuration quasi-définitive, et surtout il fit construire le Temple des Inscriptions qui renferme sa tombe. En 711, la capture par le seigneur de Tonina de Kan Hoc Chitam du 2ième fils de Pakal alors 13ième gouverneur de Palenque fait entrer Palenque dans une période de conflits croissants jusqu'à la disparition de la cité en 904...

 

 

 

 

 

 

 MÉRIDA...

 

    Mérida capitale de l'état du Yucatan, a été construite sur les fondements de la cité maya de T'ho.


    Mérida est une ville bruyante qui ne retrouve le calme que le dimanche (jour où le centre-ville est fermé à la circulation automobile), mais même avec ce tumulte, et malgré l'étroitesse des trottoirs et une chaleur parfois accablante, il est agréable de se promener dans les rues et sur les places publiques de cette ville charmante.


    L'une des rues les plus intéressantes est la Calle 60, entre la plaza grande et la Calle 55, où l'on peut découvrir quelques petits parcs, églises et théâtres.

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2001, 

 

 


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1. lolo78000  le 07-06-2010 à 04:50:41  (site)

kikou très bon lundi moi je vais bientot partir travailler gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 07-06-2010 à 05:23:20  (site)

bonjour Jakin,
Article très intéressant sur le Mexique, merci.
Souhaite que tu t'es reposé hier.
Hier, nous sommes restés tranquillos à la maison.
Passe une agréable semaine.
Bon lundi Armand
bisou de Cricri

3. capucine2010  le 07-06-2010 à 09:00:16  (site)

bonjour armand ,très bel article tes images sont très belle ,je te souhaite un bon lundi à bientôt.smiley_id117725

4. Guiphitho  le 07-06-2010 à 11:39:42  (site)

Beau voyage aussi...
Bonne semaine à toi, Armand
Carine

5. heremoana  le 08-06-2010 à 05:58:20

superbes tes photos ! quels souvenirs tu engrenges dans ta tête !!!
bisous et bonne journée

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le 06-06-2010 03:57

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

 

 

 

Hôtel le Cognarel, Le Coin, Molines en Queyras, Hautes Alpes

 

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 

 
 


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1. Guiphitho  le 06-06-2010 à 08:52:05  (site)

MerciSourire
Bon dimanche à toi, Armand
Amitié, Carine

2. jeanmi  le 06-06-2010 à 13:14:35  (site)

Hello,
merci pour ton com
passe un bon dimanche et bon repos
à la prochaine

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