Selon la légende, l’armoirie de Volendam serait une ode à la beauté des jeunes filles de Volendam ! Faut-il donc s’étonner qu’un chanteur de renom glorifia ce village de pêcheurs typiquement néerlandais par ces paroles : `Vous qui désirez voir la plus belle partie de la Hollande, rendez-vous à Volendam`.
De par son isolement total six siècles durant, ce village a su préserver son caractère, grâce aussi à l’endurance de ses pêcheurs. Les petites maisons caractéristiques qui représentent avec les canaux et les ponts levants les sites les plus pittoresques de village, offrent au visiteur une ambiance cordiale et romantique.
Ne manquez pas non plus de vous rendre au musée "Volendams Museum" et à la maison "Sigarenbandjeshuisje" ou sont exposées des bagues de cigares...
Armand, Collection privée 2006,
Le village de Marken, situé à 17 km à peine au nord d'Amsterdam, semble vivre hors du temps malgré le tourisme. Au 13ième siècle, alors que les flots de la mer du Nord créaient une mer intérieure, Marken devenait une île. Depuis plusieurs décennies, le village est à nouveau rattaché à la terre par une route surélevée. On ne le visite qu'à pied, ce qui ajoute au charme de ce village de maisons de poupée...
Armand, Collection privée 2006,
1. lolo78000 le 10-04-2012 à 12:03:34
coucou avec la pluie pour te souhaiter un agréable après-midi de gros bizzzous
2. lafianceedusoleil le 10-04-2012 à 21:13:55 (site)
Bonsoir Armand,
ce village est hors du temps. Ces maisons sont magnifiques.
Merci Armand pour les belles photos.
Je te souhaite une bonne fin soirée.
Je t'embrasse
Etes-vous venu à Amsterdam juste pour visiter ou pour vous promener ? Dans ce cas, Amsterdam est le mauvais endrois. Même les personnes qui ne sortent pas beaucoup racontent qu'un week-end à Amsterdam c'est comme un voyage au paradis. A Amsterdam on trouve beaucoup de boite de nuit, de bar, de pub, et chaque jour de la semaine est une fête. Hardcore, hause, garage, Techno sont les musiques les plus populaires mais on trouve aussi du disco, des musiques des 70's, des 80's, du retro...
Armand, Collection privée 2006,
1. lolo78000 le 09-04-2012 à 10:36:09 (site)
petit coucou pour te souhaiter un très bon lundi de pâques chez nous se sera avec la pluie de gros bizzzous
2. douceursatine le 09-04-2012 à 11:24:36 (site)
bonjour ; merci pour ta visite ; bonne journée à toi et au plaisir
3. lafianceedusoleil le 09-04-2012 à 11:39:20 (site)
hello Armand,
je ne suis jamais allée à Amsterdam, peut-être un jour !
ce qui me plairait là-bas, c'est la techno, j'adore.
Bon, ce jour n'est pas venu. C'est une ville qui te plait beaucoup.
Je te souhaite une belle semaine.
Bisou
AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE
LE WEBMASTER SE REPOSE
A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES
1. lafianceedusoleil le 08-04-2012 à 11:28:36 (site)
kikou Armand,
ta photo me donne froid !
bon dimanche de Pâques.
Bisou
2. lolo78000 le 08-04-2012 à 14:18:03
petit coucou pour te souhaiter une très bonne fête de Pâques mange pas trop de chocolat de gros bizzzous
Devenu shérif de Calendar, une ville que la ruée vers l’or a plongée dans le chaos, Jason McCullough s’emploie à restaurer l’ordre en mettant hors d’état de nuire le redoutable clan Danby.
Avec « Ne tirez pas sur le shérif », Burt Kennedy renouvelle un sous-genre souvent exploité dans le cinéma américain : le western parodique.
Avec « Ne tirez pas sur le shérif », James Garner et Burt Kennedy rassemblent un casting épatant de vétérans du western.
Triomphe aux Etats-Unis où le film enthousiasme la critique par ses références aux classiques du western.
Avec plus de cent films à son actif, le truculent Walter Brennan est l’un des plus célèbres seconds rôles du cinéma mondial.
Né le 25 juillet 1894, à Swampscott (Massachusetts), Walter Brennan suit des études d’ingénieur avant de se consacrer au théâtre. Il n’est encore qu’un apprenti comédien lorsque la Première Guerre mondiale éclate. Les gaz de combat lui endommagent gravement les cordes vocales, le condamnant à s’exprimer désormais avec la voix d’un homme âgé. De retour à la vie civile, il gagne Hollywood où il débute comme figurant, aux côtés d’un inconnu nommé Gary Cooper. Les deux acteurs se prennent d’amitié et se retrouveront à de nombreuses reprises au cours de leurs carrières. Un coup de sabot asséné par un cheval le prive bientôt de ses dents de devant, achevant de transformer le jeune homme en vieillard. Son célèbre dentier deviendra rapidement un sujet de plaisanterie, notamment avec Howard Hawks…
Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.
Armand,
1. madisonbloggarden le 07-04-2012 à 08:38:15 (site)
Merci
Oui je pensais pas que mes oeufs seraient à l'affiche ! lol
bonnes fêtes de Pâques
2. lafianceedusoleil le 07-04-2012 à 19:25:59 (site)
bonsoir Armand,
quel film, ça tire de partout !
bonne fin de soirée et gros bisou
Parce qu’ils n’ont été découverts que tardivement par les « talent scouts » ou tout simplement parce qu’ils n’ont pas éprouvé le besoin de gagner le Nord, nombre de bluesmen devaient continuer à jouer le blues comme au bon vieux temps. A l’image de celui que l’on pouvait entendre dans les barrelhouses d’avant-guerre. Frank Frost et le R.L. Burnside appartiennent à ce tonique « Down Home » Blues.
Frank Frost est toujours resté viscéralement attaché au blues tel qu’il se jouait depuis des décennies dans le Mississipi. Ce qui ne devait pas l’empêcher de partir en tournée avec Carl Perkins l’une des gloires du country and western.
Malgré le quadrillage systématique du Delta par les « talent scouts », nombre de bluesmen n’ont pas connu – ou n’ont pas voulu connaître – le même destin que celui de Muddy Waters !
C’est Sony Boy Williamson (Rice Miller), déjà une grande figure du blues au milieu des années cinquante, qui apprendra l’harmonica à Frank Frost.
Frank Frost n’a jamais oublié le but qu’il s’était donné à la fin des années cinquante : perpétuer la tradition du blues du Delta. Avec Sam Carr et Jack Johnson, il devait même apparaître comme l’un des meilleurs bluesmen de Clarksade, haut lieu du Mississipi Blues.
♥ Lucky to be Living (1962)
Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Blues», Editions Atlas, 1992.
Armand,
1. ca,ro,le le 06-04-2012 à 09:38:41
Bonjour jakin,merci pour le com,j'aime beaucoup othis reding mais est ce vraiment du blues,bon weekend de Pàques,bizzzz
2. lolo78000 le 06-04-2012 à 13:32:23
coucou j'arrive pour te souhaiter un agréable après-midi ainsi qu'un très bon week-end de gros bizzzous
3. lafianceedusoleil le 06-04-2012 à 17:16:13 (site)
coucou Armand,
belle découverte, je ne connaissais pas.
Merci Jakin.
Douce fin de journée.
Je te souhaite un bon week end de Pâques.
Gros bisou
La punition est une conception sociologique qui fonctionne selon un mode opératoire définit par les concepts de rétribution, d’intimidation, d’exemplarité, d’amendement et d’élimination.
Voici développé ici le questionnement qui étaye mon propos :
- La question pour un citoyen n’est pas de savoir où sont le bien et le mal, à plus forte raison ce que ces mots signifient, mais de se plier aux lois. Pour le Droit, les consciences individuelles et leurs alarmes n’ont pas la plus petite importance. Le Droit est une convention fragile qui ne repose que sur la seule volonté de tous d’obéir par commodité. Une société ne peut survivre sans cette soumission. Lois antisémites d’une époque, loi Gayssot d’une autre : libre à certains de les trouver scélérates, mais les transgresser entraîne un châtiment aux pénibles effets.
- Punir celui qui a tué, c’est seulement lui montrer notre colère (éventuellement le tuer), notre agressivité épouse la sienne. Et il ne sert à rien de s’abaisser chaque fois jusqu’à ce degré de notre misère.
- L’indignation n’est pas la même face à la délinquance courante où c’est notre impuissance qui nous désespère. Pourtant, en ce domaine, on peut justement agir politiquement (agir dans la cité). Nous savons fort bien que le voleur préférerait être marchand de biens ou présentateur de télévision et que la délinquance augmente en fonction non de la pauvreté mais de l’écart grandissant entre pauvres et riches. Dans ce cas, ce n’est plus tant l’envie qui anime le voleur que la rébellion.
- Des juges souhaiteraient pouvoir condamner le crime sans condamner son malheureux auteur, mais ils ne sauraient se cacher que le blâme en lui-même est déjà violent dès lors que quelqu’un est accusé d’avoir commis un délit ou une erreur. Dans l’état actuel des choses, le procès est toujours une cérémonie de dégradation, il vous couvre d’opprobre quand bien même vous seriez relaxé à la fin des débats.
- Des naïfs semblent attendre de la prison que le détenu réfléchisse et regrette ce qu’il a fait.
- Le repentir est lié à une faute. Mais ce qui est faute à ses propres yeux n’a que très exceptionnellement à voir avec la Loi. Le regret qu’éprouve un détenu c’est le plus souvent celui de s’être fait prendre ou d’avoir manqué une affaire en or. Quant à celui qu’on exige de lui au moment du procès, il ne s’agit que de déculpabiliser juges et jurés en validant l’acte d’accusation.
- Bien des gens seraient d’accord pour faire disparaître les gêneurs et autres fauteurs de troubles, mais « sans leur faire de mal ». Comment pourrait-on imaginer « ne faire aucun mal » à des hommes qu’on prive de liberté, qu’on sépare des êtres par lesquels ils vivent, qu’on coupe de leur passé et de leur avenir ?
- Lorsqu’on punit, on veut faire expier à quelqu’un sa faute. La douleur infligée au coupable est censée rétablir un équilibre : il faut contrebalancer le crime par une souffrance équivalente. Quelle idée ?
- Rares sont ceux, athées ou croyants qui voient dans la justice autre chose que le salaire des bons et des méchants : la possibilité d’une réparation et d’une réconciliation.
- La punition à base de privations, de sévices parfois, s'appuie sur l'illusion que la privation ou la douleur vont déboucher sur une prise de conscience salutaire et entraîner un changement de conduite.
De tout temps, dans toutes les sociétés même les plus primitives comme le rappelle Malinowski, quand il critique la vision idyllique d’un communisme primitif, il a existé des normes, des règles et une répression des écarts à la norme. C’est dans cette perspective fonctionnaliste que nous pouvons analyser la punition des criminels. La punition renforce d’abord la cohésion du groupe par la réaffirmation du groupe et de ses valeurs après un crime qui les a mises à mal et par l’exclusion de personnes qui le menacent. L’objet de « Surveiller et punir » de Foucault est d’analyser finement les changements.
La question posée et la méthode proposée pour y répondre est emblématique de la difficulté épistémologique propre aux sciences sociales. L’objet de la sociologie est d’étudier des faits sociaux et des groupes sociaux qui ont des propriétés émergentes par rapport aux individus.
Ce faisant, une autre caractéristique du processus dialectique est apparue : les concepts miroirs. Le triptyque criminel, punition, victime est intéressant pour cela. A priori, Crime et Châtiment sont deux objets bien distincts. En fait un parcours sur ces concepts nous démontre combien ils sont miroirs. Le crime crée la punition, mais c’est la punition qui fait que le crime est crime.
C’est pour cette raison que je crois qu’une société ne peut pas se passer de la punition, même si la punition ne sert à rien et qu’elle est souvent pernicieuse.
Jakin,
1. lolo78000 le 05-04-2012 à 13:10:52 (site)
coucou avec la pluie pour te souhaiter un agréable après-midi de gros bizzzous
2. lafianceedusoleil le 05-04-2012 à 20:25:12 (site)
Bonsoir Armand,
j'ai bien aimé ton article, je pense que c'est toi qui l'a écrit.
J'aurais bien aimé une suite, je reste sur ma faim.
Bonne fin de soriée et gros bisou
Commentaires
1. lolo78000 le 11-04-2012 à 11:01:05 (site)
coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon mercredi de gros bizzzous
2. lafianceedusoleil le 12-04-2012 à 11:24:48 (site)
coucou Armand,
si je comprends bien, Volendam, c'est l'endroit le plus beau de la Hollande. Je ne savais pas.
Intéressant article, merci à toi.
Gros bisou