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Les Black's Foot

le 19-07-2011 06:01

LA MAISON DU DÉSIR

 

 

 

            Livre du goût et des désirs, de l’innocence et de la perversité, la Maison du désir nous offre le portrait d’une femme libre et décrit ses amours sous forme de courts textes qui se répondent, renvoyant, tel un miroir, des images que, souvent, l’on dissimule.

        Les voluptés du mensonge, le délice des caresses, l’éloge de l’infidélité – ce parti pris du corps, on se saurait le déguiser lorsqu’il a pour toile de fond la moiteur du hammam, le vol des mouettes au-dessus des amants, une chambre d’hôtel, un inconnu, et des images encore, enfance gourmande au creux des sables ou derrière une porte mal fermée.

        Sensation, jeu de cartes coupé au hasard d’où sort, rouge, la fidélité au désir. Plaisirs – « J’avais trois montres et puis j’avais trois clefs aussi, trois lits et trois amants » - dont rien, pas même la mémoire, ne ferme l’éventail…

 

        Agrégée de lettres, France Huser est critique d’art au Nouvel Observateur. La Maison du désir est son premier livre…
 
 

 

 


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1. lolo78000  le 19-07-2011 à 08:34:08  (site)

coucou j'arrive avec mon parapluie te souhaiter un très bon mardi de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 19-07-2011 à 19:26:09  (site)

bonsoir Jakin,
je retiendrai la fin : "j'avais trois montres, trois clefs, trois lits, trois amants" quel tempérament !
j'ai bien aimé la question posée dans ton commentaire laissé chez moi. Elle demande à être méditée.
Ici, une journée entière de pluie.
Je te souhaite une belle soirée.
Bisou

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le 18-07-2011 07:44

A COMME ILE D'ACHUTUPO - PANAMA

 

Îles de rêve et indiens Kuna

 

 

            Le bout du monde se trouve sur les ilots de la Comarca de Kuna Yala, territoire autonome depuis la révolution Kuna de 1925.

 

        C’est entre récifs coralliens, îles désertes, plages de sable blanc et couchers de soleil idylliques que nous découvrons cet archipel, à la rencontre de ses habitants, les Kunas.

 

            Fervents défenseurs de leur culture et de leur territoire, ils savent faire partager avec vous leurs coutumes, dans un cadre paradisiaque.

 

        Ici encore plus qu’ailleurs, la découverte du Panama a des allures de secret bien gardé...

 

    Contrairement aux Kunas du continent, qui vivent en familles isolées les unes des autres, ceux de San Blas habitent de petits villages constitués de huttes de bambou généralement construites à même le sol et coiffées d’un toit entièrement constitué de feuilles de palmier. Ces dernières années ont cependant vu l’apparition de chapes de béton ainsi que de maisons en dur, mais ces cas demeurent très minoritaires (école, hôtels, dispensaire, etc.).

 

        En règle générale, la plupart des îles habitées sont surpeuplées, et il n’est pas rare que certaines soient à un tel point recouvertes de huttes que toute trace de littoral semble avoir disparu !...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection priveée 2004, 

 

 


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1. lolo78000  le 18-07-2011 à 11:02:13  (site)

petit coucou voilà je suis déjà de retour je te souhaite un très bon lundi et une bonne semaine de gros bizzzous

2. heremoana  le 18-07-2011 à 15:13:47

encore un superbe voyage que tu nous offres ici !! bisous et bonne soirée

3. lafianceedusoleil  le 18-07-2011 à 19:31:25  (site)

coucou Jakin,
tu nous fais découvrir des iles de rêve. Je suis sous le charme de ton article. Les photos sont très belles.
comme à l'habitude. Le peuple est attrayant.
Je te sens heureux sur cette photo, il y a quoi.
Je te souhaite une belle soirée.
Gros bisou

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le 17-07-2011 08:02

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE
 

 

 


 

Rosslyn Chapel, Roslin, Midlothian.

 

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 


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1. matelotte  le 17-07-2011 à 06:37:32  (site)

et oui il faut bien se reposer bonne farinente et à lundi

2. marsupifab  le 17-07-2011 à 19:12:16  (site)

Bonjour, merci du passage et l'appréciation de mon blog. Très bel article sur John Wayne plus bas, un acteur que j'appréciais, bonne soirée

3. falbaladesfroufrous  le 17-07-2011 à 21:52:06  (site)

bsr. merci pour ta visite à laquelle je répond tardivement, étant absente depuis 3 semaines ! bon début de semaine malgré le mauvais temps. bises.

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le 16-07-2011 06:40

LES COWBOYS

 

 

 

 

            Recrutés comme cow-boys de jeunes écoliers s’engagent sur les pistes de l’Ouest américain avec l’insouciance de l’enfance. l’inflexible Wil Andersen, leur patron et mentor en fera des hommes.

        Avec les Cowboys, John Wayne aborde un nouveau tournant dans sa carrière. Dirigé par un réalisateur issu d’une nouvelle génération, Wayne doit également donner la réplique à de jeunes garçons débutants. Véritable remise en question de la star, le film montre un Wayne inhabituel et un comédien talentueux.

        En acceptant de s’éclipser avec panache avant la fin du film, John Wayne donne sa chance à une nouvelle génération de comédiens.

        Réactionnaire pour une majorité de la critique, Les Cowboys est salué par une minorité comme une référence.

        Acteur, réalisateur, producteur, musicien, Mark Rydell est capable de tout faire. Technicien accompli, il se montre aussi un grand directeur d’acteurs.

        Né en 1934, Mark Rydell se passionne pour le jazz et joue du piano dans des quatuors dont il est l’arrangeur. Au début des années 1960, il suit les cours de l’Actor’s Studio, où il se lie d’amitié avec James Dean, Steve McQueen et Sydney Pollack. Il obtient rapidement des petits rôles pour des séries télévisées. En 1956, il joue un manique sadique dans Face au crime de Don Siegel, personnage qu’il avait interprété auparavant pour la série télé dirigée par Sidney Lumet. En 1961, il rejoint Sydney Pollack à Hollywood et passe derrière la caméra. Ses débuts se font sur le petit écran. Rydell y réalise de nombreux épisodes pour des séries prestigieuses comme Ben Casey, Le Fugitif ou Gunsmoke, et devient l’un des réalisateurs phares des Mystères de l’Ouest. En 1967, il met en scène pour le cinéma Le Renard, adapté de D.H. Lawrence. Sans être un succès financier, ce film lance la carrière du cinéaste qui, deux ans après, adapte William Faulkner pour Reivers…

 

 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.


Armand,
 

 


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1. lafianceedusoleil  le 16-07-2011 à 07:50:38  (site)

hello Armand,
très beau film et belle musique, dommage que je ne comprenne pas l'américain ou l'anglais.
Je te souhaite une super journée.
Gros bisou

2. Miou14  le 16-07-2011 à 08:40:27  (site)

Bonjour, John Wayne, le cow boy au grand coeur, je reste une irréductible des westerns qui ont un peu disparu des salles de projection. Par contre je les préfère en français qu'en version originale car malgré des années de cours en son temps je n'ai pas beaucoup avancé dans la langue anglaise. Bon week end Amitiés.

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le 15-07-2011 07:36

JAY JAY JOHNSON

 

 

 

 

            Rompant avec la tradition Nouvelle-Orléans qui voulait que le trombone n’assure que le contrepoint à la trompette ou à la clarinette, J-J. Johnson fera de l’instrument à coulisse une voix quasiment aussi expressive que le saxo alto de Parker. Accédant à la célébrité avec le quintette qu’il formera avec Kai Winding, un autre tromboniste, J-J. écrira ensuite des pièces musicales qui feront de lui l’un des meilleurs compositeurs de la scène jazz.

    Unanimement reconnu comme le plus grand virtuose du trombone moderne – en témoignent les divers référendums des revues de jazz – Jay Jay Johnson est aussi le seul bopper à avoir conservé intactes et sa sonorité et son style si particulier. Ce qui n’a rien d’une formalité si l’on sait que le jazz, depuis plusieurs décennies, cherche à rompre définitivement avec l’esthétique parkérienne.

        En 1942, J-J. Johnson entre dans l’orchestre de Benny Carter. Il connaîtra alors la vie frénétique des tournées. Et écrira ses premiers arrangements.
 


        Tous les trombonistes qui sont apparus sur la scène du jazz à partir des années cinquante ont eu un seul maître : Jay Jay Johnson, lequel a su faire de ce cuivre un instrument authentiquement bop. Et tous ont dû, pour s’affirmer, se révéler d’impressionnants techniciens. Comme Albert Mangelsdorff ou Bill Watrous.

        Au lendemain du Split de son combo avec Kai Winding, J-J. Johnson reformera un nouveau quintette. Cette fois, le tromboniste aura toute latitude pour jouer ses propres œuvres.
 


        Il meut le 4 février 2001 à Indianapolis…
 
 ♥     It's All Right With Me (1955)   
 
 
♥♥     Yes Sir, That's My Baby (1955)
 
 
♥♥♥     Lope City (1956)
 
 
 

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991
 

Armand,
 

 


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1. lafianceedusoleil  le 15-07-2011 à 20:00:15  (site)

bonsoir Armand,
excellent article, j'ai aimé les deux premiers morceaux, très agréables à entendre.
Demain, tu vas faire une journée de vélo-rail. J'ai une petite idée de ce que ça peut-être mais, je n'en suis pas certaine.
Passe une très belle journée demain mais auparavant, je te souhaite une douce nuit pour être en forme.
Je t'embrasse

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le 14-07-2011 04:43

BRUEGEL, LE FONDATEUR

 

 

 

 

            Reggio de Calabre, 1552. Venu visiter l’Italie, le jeune dessinateur flamand Peter Bruegel a voulu, après Rome, et contrairement à la plupart des voyageurs, pousser plus loin l’aventure et descendre beaucoup plus au sud. Brûlant de découvrir la Calabre et la Sicile, il n’a pas écouté ceux qui lui déconseillaient un tel projet par crainte des corsaires turcs et barbaresques, qui sillonnent incessamment la Méditerranée, harcelant les navires chrétiens, ravageant les régions côtières, emmenant hommes et femmes en esclavage.

        Aussi se retrouve-t-il un beau jour au large de Reggio. Mais au lieu d’une ville baignée de soleil, c’est un champ de ruines qu’il aperçoit bientôt. De longues colonnes de fumée s’élèvent jusqu’au ciel au-dessus de l’eau et plus haut que les collines qui dominent l’enceinte fortifiée de la ville : les Turcs ont bombardé et ravagé la cité, la veille ou l’avant-veille ! Horrifié, Bruegel fait alors un dessin de la ville calcinée et fumante : ce sera là sa première illustration de la folie des hommes.

        Bien souvent, tout au long de sa vie et de son œuvre, il devra témoigner de la cruauté de la guerre et de la bestialité de l’Histoire. Mais souvent aussi, et magistralement, il saura chanter l’absolue beauté de la nature, la paix de la campagne flamande et les mœurs riantes de ses compatriotes. Dans ses tableaux, l’horreur, la folie et la mort, la beauté et la joie de vivre se mêleront intimement, comme elles se mêlent depuis toujours sur la terre des hommes…

        Déguisé en paysan, il court les noces de village – Il assiste aux ravages de la guerre dans les Flandres suppliciées - Ancêtre de trois dynasties de peintres qui régnera un siècle sur la peinture flamande…
 

 


LA TOUR DE BABEL

        Nemrod, roi fastueux et insolent, décida de rivaliser avec Dieu en faisant construire une tour qui atteindrait le ciel. Cet édifice fut considéré comme le symbole de la folie humaine, ou, parfois, comme un acte de foi dans le progrès humain. Des deux versions peintes par Bruegel, celle-ci est sans nul doute dictée par la première des deux interprétations. En effet, l’édifice vertigineux s’écroule avant même d’être achevé, démontrant ainsi la fragilité des constructions humaines. La légende biblique et sa portée morale sont pour Bruegel les prétextes à une représentation encyclopédique des techniques de l’architecture de son temps. Répertoire minutieux où chaque instrument (grues, échelles…) est dessiné avec un soin de miniaturiste. La même délicatesse se retrouve dans les paysages qui entourent le monument. Le mythe est en quelque sorte inscrit dans la réalité contemporaine de l’artiste. au premier plan, l’architecte explique son projet au roi Nemrod et à sa suite. La grandiose vision de la tour fut inspirée à Bruegel par le Colisée romain, seul vestige de l’Antiquité qui le frappa lors de son séjour en Italie.
1563 (114 x 155 cm), Kunsthistorisches Museum, Vienne.
 
            Selon Carel Van Mander, Pieter Brueghel ou Bruegel dit l’ancien serait né « non loin de Breda, dans un village qu'on appelait naguère Bruegel, nom qu'il conserva pour lui-même et pour ses descendants ». Or, il y eut deux villages ayant porté le nom de Brueghel ou Brogel, l'un situé dans le Brabant du Nord, à environ 55 km de l'actuelle ville hollandaise de Bréda, l'autre – qui était double et dénommé Grote (Grand) Brogel et Kleine (Petit) Brogel – situé dans l'actuel Limbourg belge, à environ 71 kilomètres de Bréda, et appartenait à l'époque à la principauté de Liège. Divers biographes et historiens ont par la suite établi que Kleine-Brogel et Grote-Brogel étaient à environ 5 km de Bree qui, au 16ième siècle, s'appelait Breede, Brida ou en latin Bréda. Van Mander n'aurait pas pensé que Breda en Brabant puisse être confondu avec Breede - Brida - Bréda en Limbourg. La question n'est donc pas résolue.

    Brueghel meurt en 1569 et est enseveli dans l'église Notre-Dame de la Chapelle à Bruxelles…


Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.

Armand,
 

 

 


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1. lolo78000  le 14-07-2011 à 11:02:46  (site)

petite visite pour te souhaiter un très bon 14 juillet de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 14-07-2011 à 20:56:05  (site)

bonsoir Jakin, dommage pour ta sortie à Port-de-Bouc, satané de mistral quand il s'y met.
Nous, nous avons regardé le défilé à la télévision, J'ai bien aimé.
Merci pour ton article, je ne connaissais pas. Demain, je travaille jusqu'à midi.
je te souhaite une belle nuit de repos.
Bisou de Cricri

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le 13-07-2011 01:12

P COMME PANAMA, LA VIEILLE VILLE - PANAMA

 

 

            El Casco Viejo, c'est la "vieille ville" de Panama, entourée de récifs et par la mer. Après le début de la construction du canal de Panama en 1904, la ville s'est ensuite étendue plus à l'est, et la vieille ville s'est dégradée assez vite.

 

    Aujourd'hui, elle est en pleine rénovation et l'on peut voir un spectacle impressionnants de bâtiments en construction, de maisons refaites superbes cotoyant des ruines pour ainsi dire. Ce qui donne un aspect chaotique et anarchique mais néanmoins intéressant.

 

    Parmi les bâtiments que nous avons vus ou visités, se trouve le Palais National, le théâtre national et le ministère des affaires étrangères...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2004, 

 

 


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1. lafianceedusoleil  le 13-07-2011 à 20:08:02  (site)

bonsoir Armand,
merci pour ce beau reportage et les jolies photos l'accompagnant.
Je te souhaite un bon 14 juillet.
Très bonne fin de journée et gros bisou

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