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Les Black's Foot

le 30-09-2011 09:02

ARCHIE SHEPP

 

 

 

            Exprimant avec ses saxophones le même message que le Black Power, Archie Shepp a été l’une des grandes forces intellectuelles du free jazz. Mouvement qui entendait libérer la musique de l’harmonie et des mesures. Rhythm and Blues, soul et jazz : tels étaient, selon Shepp, les trois mots clés qui devaient ouvrir au monde noir les portes de la liberté.

        Des nombreux saxophonistes qui ont embrassé la cause du free, deux noms se détachent de façon incontestable. Hormis, bien sûr, celui d’Archie Shepp. Albert Ayler, artiste maudit et sorte de preacher des temps modernes. Et David Murray, en qui l’on voit déjà le nouvel Ellington !

        Durant cette période décisive de sa vie, deux hommes auront un impact considérable sur Archie Shepp : John Coltrane et Cecil Taylor.
 


        Musique d’une minorité, le jazz est bien évidemment politique. Depuis Duke Ellington, en effet, les musiciens noirs ont cherché à glorifier leurs origines. Pour mieux refuser les valeurs judéo-chrétiennes de l’Amérique. Comme Charles Mingus, Max Roach, Art Blakey ou Archie Shepp.

        Le quintette qu’Archie Shepp formera dans les années soixante connaîtra un grand succès en Europe. La seconde voix métallique sera le tromboniste Charles Greenlee.

        Critiqué, incompris du public américain, Archie Shepp va s’établir en France en 1969. Il y jouera avec Dave Burrell, Anthony Braxton.
 


        En septembre 2009, il publie dans la revue artistique L'Écho d'Orphée, un poème inédit écrit en 1966 à San Francisco Revolution (to Mama Rose dans son cercueil). En 2009, il reçoit le grade de « docteur honoris causa » de l'Université de Liège. Archie Shepp est président d'honneur du festival Jazz à Porquerolles…


♥    Stream ( 1960 )

 

 
♥♥     Crucificado ( 1975 )
 
 
♥♥♥     Miss Toni ( 1975 )
 
 
 

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991
 
 
Armand,  
 
 


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1. lolo78000  le 30-09-2011 à 13:09:14  (site)

petit coucou pour te souhaiter un très bon après-midi et surtout un bon week-end ensoleillé de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 30-09-2011 à 18:59:29  (site)

bonsoir Armand,
bon article, étonnant la vidéo était sous-titrée. Pour une fois, j'ai compris.
Aujourd'hui 29°, idem pour demain.
Belle soirée et gros bisou

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le 29-09-2011 04:26

LE CREUSET ET EXPERIENCE AVEC LE FEU

 

 

 

 

59 – Nord, Lille du  25 au 27 décembre 2010

 

 

 

        Pour cette nouvelle expérience le cadre d’expérimentation se situe cette fois-ci à Lambersart. Aujourd'hui ville fleurie “2 fleurs” aux portes de Lille, hier lieu d'agrément pour les Lillois, Lambersart la jolie a toujours été un poumon vert de la métropole, au bord de la rivière la Deûle.
     
        Dès le 18ième siècle, des “maisons de plaisance” y ont vu le jour, mais c'est à la fin du 19ième siècle et au début du 20ième que de nombreuses villas ont été édifiées, en particulier le long de l'avenue de l'Hippodrome, avenue Bailly-Ducroquet, avenue Gabrielle Bouveur...
 


        Un concours d'architecture a même mis en concurrence les plus grands architectes de l'époque. Ces belles villas font toujours l'identité et le caractère de Lambersart, tout comme les nombreux parcs et espaces verts. Des parcours découvertes permettent de découvrir ce patrimoine vert et architectural, auquel s'ajoute un patrimoine culinaire : l'excellence des restaurateurs locaux participe aussi à la renommée de la ville.
     


        Ville aux multiples facettes, Lambersart a aussi connu au 19ième siècle un remarquable essor dû au développement de l'industrie textile et des blanchisseries. Une succession de maires bâtisseurs a fait le reste : la ville, qu'on peut diviser sommairement en six quartiers, compte aujourd'hui plus de 28 000 habitants.
     


        Son avenir est plein de tous les futurs et se déroule sous nos yeux. Si le tissu de plus de 300 commerçants et artisans est une richesse de toujours, la naissance du parc d'activités du Pont-Royal, accueillant des sociétés novatrices dans des locaux ultramodernes, est une nouvelle corde à l'arc économique de la ville.
     


        A deux pas de Lambersart, parce qu'il y voyait le plus accompli de ses ouvrages, même si c'était le premier d'une longue liste, Vauban avait baptisé la Citadelle de Lille, la Reine des citadelles. Ce remarquable édifice en forme d'étoile à cinq branches possède à chaque angle un bastion. Entourée de larges et profonds fossés, la citadelle a été construite à l'endroit le plus bas et le plus marécageux de la ville permettant ainsi d'optimiser la défense de la forteresse par un complexe système d'inondations.
     


        L'édification de la citadelle impliqua l'élargissement de la forteresse et donc l'agrandissement de la ville intra-muros. Aujourd'hui la citadelle entièrement restaurée est un lieu de visite très prisé, mais reste également la base du 43ème régiment d'infanterie. Espace d'autant plus agréable qu'il s'insère dans un grand parc boisé dans lequel on trouve le bois de Boulogne, le jardin Vauban et le parc zoologique, lieux fort appréciés de la population lilloise. Apprentis alchimistes nous trouverons dans les allées de ce parc la sérénité nécessaire pour affronter le travail au creuset…
     


    Le décor est planté. Il est 14 heures quand le TGV Paris Lille me jette dans la froidure du Nord de la France un 25 décembre. Quelques minutes plus tard je sonne à la porte avec Annie une amie. Axel notre ôte, qui nous attend depuis plus de trois heures en surveillant les mets au four, car nous avons énormément de retard - intempérie oblige, nous ouvre la porte avec le sourire.
  

   

     Notre rencontre commence naturellement par les nourritures terrestres dans l’ancien appartement de la mère d’Axel, qui comme toutes les mères est curieuse de rencontrer des Aixois aussi loin de leur contrée et en terre de glace.

    L’idée a germé de pratiquer quelques expériences au creuset dans nos conversations sur l’alchimie au cour d’un repas que nous avions pris en commun à Paris dans l’auberge située dans l’ancienne demeure de Nicolas Flamel, le plus populaire des alchimistes français. Mais j’étais loin d’imaginer que cela se ferait entre le 25 et le 27 décembre à Lille !
 


     La première étape de ce mode opératoire est de broyer des blocs d’Antimoine pour en obtenir une poudre qui se transmutera en métal après le passage au feu. Avec assiduité et beaucoup de patience nous effectuons cette opération dans le silence des pilons. Il faut dire que nous sommes trois ce soir à officier avec notre instructeur.
     

 

    L’Antimoine réduit en poudre, nous attendons la tombée de la nuit pour passer à l’opération suivante : monter le foyer dans un cercle de pierre, se mettre en harmonie avec le feu en prononçant une phrase en vieille langue transmise par notre instructeur. Quand les braises apparaissent on pose délicatement le creuset et l’on attend dans le silence et le respect que le feu face son office.
    


    Avant cette opération notre instructeur attend un signe de la nature pour nous donner l’ordre d’allumer le feu. Puis quand le feu jaillit, il le guide avec un « bâton tonnerre », celui-ci semble lui obéir car les flammes montent ou descendent en suivant les mouvements du bâton ! C’est aussi ce soir là que j’ai payé mon tribu au feu en me brûlant le pouce lors de l’allumage.
     


    Il faut savoir aussi que l’Antimoine ne fond qu’à 1200 degrés et que le feu ne peut pas dépasser les 700 degrés. Alors quand le creuset devient translucide, ce qui signifie que l’Antimoine est transmuté en liquide, notre cerveau est dans l’incapacité de comprendre qui a rajouté les 500 degrés manquant ?
     


    Chacun à notre tour quand le moment est venu, muni d’une pince et d’une paire de gant nous récupérons notre creuset pour verser son contenu liquide dans l’appareil de réception. Quelques minutes suffisent pour qu’il durcisse. C’est alors que notre instructeur nous demande de briser le conne d’un coup sec avec un marteau pour le briser. Apparaissent au centre du métal les premières stries qui deviendront peut-être avec le temps et le travail une belle étoile flamboyante.

    Minuit somme au carillon du village. Les braises sont incandescentes, mais ne chauffe pas suffisamment nos corps qui grelottent car la température flirte avec les moins 15°. Nous partons nous coucher dans le silence de la nuit, conscient d’avoir vécu une expérience non naturelle.
     


    Le lendemain, la journée et la balade en forêt autour de la citadelle de Lille n’a pas suffit pour apaiser nos doutes et surtout rien de cohérent ne vient répondre aux innombrables questions qui se construisent dans notre tête. Surtout que ce soir nous renouvelons l’opération.
 


    Pendant qu’Annie et Axel se sacrifient pour préparer le repas du soir, avec Nicolas j’ai été désigné pour préparer le feu.
     
    En premier lieu nous nettoyons le cercle de pierre pour le débarrasser des scories de la veille et nous enlevons la couche de glace qui s’est formée pendant la nuit. Puis nous accumulons une bonne épaisseur de papier journal dont la première couche absorbe immédiatement l’eau qui stagne dans le foyer. Nous ajoutons une épaisseur de petit bois provenant de cagettes de légumes. Sur ce tumulus de papier et de bois nous ajoutons les bûches. Une rangée de rondes en pyramide que nous alternons avec des bûches coupées en triangle et bien plus épaisses.
 


    Le Rituel terminé, nous allons trouver notre instructeur pour lui demander de vérifier le foyer, car à notre avis, il n’y a pas assez de petit bois et le papier est déjà humide. La réponse nous surprend, car il nous dit de faire confiance au feu ! Très peu convaincu nous retournons en salle pour mettre la table.
 


    Dix minutes ce sont passées, quand Nicolas se souvient que nous avons laissé dehors les pinces et les gants. Celui-ci sort pour les mettre à l’abri et à sa grande surprise le papier fume et les premières flammes montent sur le foyer. Il cri de stupéfaction ! Notre instructeur qui s’aperçois que les flammes montent rapidement nous demande de nous mettre immédiatement en place pour accomplir le deuxième creuset.
 


    Il a beau nous dire que le feu part quant il veut, nous, nous savons que ce n’est pas possible, le papier était trempé par l’humidité et personne n’y a mis la moindre allumette. Alors ?

    Curieusement avec moins de petit bois, les flammes sont plus hautes que celles d’hier. Le signe de la nature que notre instructeur attend pour le placement du creuset arrive. C’est  une cigogne qui se positionne sur la cheminée de la maison d’en face ? Une cigogne au mois de décembre à Lille ? On a du mal à rester cohérent !
 


    Dans cette atmosphère irréelle, concentré sur le feu je me dis qu’au point au j’en suis je pourrai tenter une expérience. Je prononce la phrase en vieille langue apprise la veille, je remercie le feu et lui demande de tourner sur la bûche qui coiffe mon creuset. A ma grande surprise, une flamme sort du foyer et vient tourner sur la bûche. Convaincu que ce n’est qu’une coïncidence, je remercie une nouvelle fois le feu et lui demande de monter sur la bûche. Il s’exécute et arrête de tournoyer pour monter en cadence du bas ver le haut sur la bûche. Ebranlé, mais pas toujours convaincu, je le remercie une nouvelle fois et lui demande de consumer la bûche. A ma grande stupéfaction, la bûche crépite et se consume immédiatement pour tomber en braise autour de mon creuset. Je rentre dans le silence et me remets humblement à surveiller l’évolution de mon creuset pour pouvoir transmuter une nouvelle fois l’Antimoine révélateur.
 

 

          La deuxième fois que l’on brise la coulée, on sait qu’une part de nous même est dans cette transmutation. Les stries se font plus rectiligne et le métal semble se rectifier en son centre. L’Apprenti alchimiste a fait corps avec la matière, il est sur le chemin. Il faut maintenant renouveler l’opération et seul le travail nous le permet…

 

    Dans la plénitude du repas qui a suivit, j’ai raconté mon expérience. Mes collègues m’ont trouvé audacieux et imprudent. L’instructeur lui m’a répondu simplement : « Hé alors ! Qu’y a t-il de surprenant ? Tu as parlé au feu ! ».

Armand,
 
 


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1. pouty88  le 29-09-2011 à 06:16:44  (site)

bonjour
ah le Nord c'est beau et on y mange bien !
bravo pour toutes ces photos
bonne journée
pouty

2. LA PIOTE FEE DU JEUDI.  le 29-09-2011 à 10:49:17  (site)

bonjour jakin
j aime bcp ces vieilles demeures tu sais ....dans mon village il y a des tres vieilles mazons qui datte aussi
kel histoire ce feu !!!
tres bonne journee mon ami bisouxxx tendresse merci

3. anaflore  le 29-09-2011 à 11:31:16  (site)

fatiguant mais contente de mon voyage au canada

4. lolo78000  le 29-09-2011 à 13:33:57

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon après-midi chez nous il fait chaud de gros bizzzous

5. LA PIOTE FEE DU JEUDI.  le 29-09-2011 à 17:14:01  (site)

felicitation pour l image du jours bne soiree l ami merci

6. lafianceedusoleil  le 29-09-2011 à 20:22:08  (site)

bonsoir Armand,
ton article m'a impressionné surtout l'histoire avec le feu.
Tu as parlé au feu. Je le crois volontiers. J'ai bien aimé ce que ton instructeur t'a répondu suite à ton expérience, tu as parlé au feu !
Quelle belle expérience Armand.
Toujours l'été en la capitale, c'est merveilleux.
Au fait, ton commentaire laissé chez moi m'a fait sourire.
Je te souhaite une douce nuit.
Je t'embrasse

7. pouty88  le 29-09-2011 à 21:05:34  (site)

bonsoir felicitation pour la photo du soir!
bonne soirée
pouty

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le 28-09-2011 08:48

P COMME PRAGUES- SUITE - RÉPUBLIQUE TCHÈQUE

 

 

            Les musiques de Mozart, de Dvořák et de Smetana hantent les lieux de promenades de Prague. Sur fond de verres qui s’entrechoquent, les cafés bruissent encore des débats échevelés des artistes et intellectuels qui renouent ardemment avec leur passé confisqué par les voisins plus puissants. L’ombre du Golem se profile, le soir venu, sur les murs de la ville juive et, si Kafka hante encore les escaliers qui montent au château de Prague, les fantômes inquiétants du stalinisme ont définitivement déserté les couloirs du palais présidentiel.

 

        Si vous visitez Malá Strana, pour profiter pleinement de son atmosphère, n’hésitez pas à vous arrêter dans un des lieux typiques de ce quartier qui a survécu jusqu’à maintenant, comme par exemple la célèbre brasserie Saint Thomas fondée en 1358 ou le restaurant Chez le chat, le restaurant chez les Schnells, Wallenstein ou encore le très célèbre Chez les Peintres. Vous pourrez aussi assister à l’un des nombreux concerts organisés dans les églises du quartier ou bien même à un pièce de théâtre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2005, 

 

 


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1. lolo78000  le 28-09-2011 à 11:42:58  (site)

petit coucou ensoleillé pour te souhaiter un très bon mercredi mdrr chez nous c'est l'été de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 28-09-2011 à 20:07:02  (site)

bonsoir Armand,
très belles photos !
j'aime bien le restaurant chez le chat !
c'est un chat très accueillant.
C'est certainement une ville très prenante.
Douce nuit.
Bisou

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le 27-09-2011 02:30

ÉLOGE DES FEMMES MURES

 

 

 

            Comment un adolescent – ou une adolescente – pourrait-il s’engager dans la vie amoureuse sans peur ni angoisse ? La double ignorance des jeunes gens et des jeunes filles ne peut que transformer en cauchemar ce qui devrait être un plaisir. A partir de se constat, Andras Vajda décide d’apprendre de celles qui savent : les femmes d’âge mûr. De Fraülein Mozart à Maya, de Klary à Zsuzsa, de Boby à Mici… chaque chapitre est consacré à une aventure et à l’initiation sentimentale et sexuelle d’Andras. un plaidoyer amoureux pour les femmes d’expérience !

        Né en Hongrie en 1933, résistant à Budapest, Stephen Vizinczcy s’enfuit au Canada sans connaître plus de cinquante mots d’Anglais. Il apprend la langue et devient une valeur sûre de la littérature anglaise avec deux romans, Eloge des femmes mûres – reçu avec enthousiasme par Graham Greene – et Un millionnaire innocent, ainsi qu’un livre de critiques et d’essais, Vérités et Mensonges en littérature. L’ensemble de son œuvre lui a valu une notoriété internationale. Il vit aujourd’hui à Londres…



 

 

 

 


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1. RCBV  le 27-09-2011 à 06:55:25  (site)

Bonjour, merci de ton passage sur notre blog. Bon mardi, amicalement

2. lolo78000  le 27-09-2011 à 07:15:03  (site)

coucou je te souhaite un très bon mardi ensoleillé de gros bizzzous

3. la piote fee du mardi.  le 27-09-2011 à 13:22:16  (site)

bonjour jakin les jeunes ados s engagent par l ignorence bien malheureuzement et le manke de savoir bonne continuation l ami merci
bisouxxx tendresse

4. lafianceedusoleil  le 27-09-2011 à 20:11:04  (site)

Bonsoir Armand,
ton commentaire laissé chez moi, m'a fait sourire. Je pense que tu n'es pas resté insensible au charme de cette jolie guide, en tout bien, tout honneur.
A midi, je me suis réservée une semaine de vacances, début décembre pour le Sénégal. Je ne connais pas.
Je te souhaite une belle fin de journée. Je t'embrasse

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le 26-09-2011 08:53

P COMME PRAGUES - RÉPUBLIQUE TCHÈQUE

 

 

            Au cœur de l’Europe, Prague, « capitale magique de l’Europe », comme disait André Breton, a la capacité de transporter celui qui la découvre au sommet d’une extase romantique, proche de la douleur parfois. C’est en effet une ville magique, non seulement par la présence légendaire des alchimistes dans la ruelle d’Or, au pied du château, mais surtout par la persistance des témoignages de plusieurs cultures qui se sont interpénétrées en ses murs.


        Blottie dans les méandres de la Vltava, tour à tour ville royale, cité impériale, bourgade provinciale assoupie, puis capitale renaissante d’un État moderne, Prague s’est façonné une image de « mère des villes », accumulant en couches successives un patrimoine architectural et artistique incomparable...

  

 

 

 

 

 

 

 


Armand, Collection privée 2005,

 

 


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1. lolo78000  le 26-09-2011 à 10:06:47

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon lundi chez nous grand soleil de gros bizzzous

2. LA PIOTE FEE DU LUNDI.  le 26-09-2011 à 16:42:06  (site)

bonsoir jakin
tres jolies fotos merci bne soiree bisouxxx tendresse

3. heremoana  le 26-09-2011 à 17:00:16  (site)

très jolies photos de cette ville magnifique
bisous et bonne sirée

4. lafianceedusoleil  le 26-09-2011 à 18:19:43  (site)

bonsoir Jakin
je ne connais pas Prague par contre, je sais que c'est une belle ville.
Merci pour les jolies photos. Le fille blonde est jolie.
Hier, tu as fait une superbe ballade. Ici, nous sommes en été, c'est super.
Je te souhaite une bonne fin de soirée. Je t'embrasse

5. lafianceedusoleil  le 29-09-2011 à 20:42:23  (site)

kikou Jakin,
je reviens pour te féliciter pour la photo du jour.
Big bisou

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le 25-09-2011 09:36

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

  

 

 

Iles Fazzio, Bonifacio, Corse.

 

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 


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1. heremoana  le 25-09-2011 à 07:58:37  (site)

j'adore la Corse, sa douceur de vivre, ses plages et ses cochons sauvages, sa charcuteris à tomber ....
bisous et bonne journée

2. lafianceedusoleil  le 25-09-2011 à 08:41:45  (site)

coucou Armand,
bon repos et peut-être bonne balade, il fait un temps superbe.
Doux dimanche
bisou

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le 24-09-2011 07:23

SUR LA PISTE DE LA GRANDE CARAVANE

 

 

 

 

 

            Denver a soif ! Le manque de whisky contraint la ville de l’Ouest à la sobriété. Pour y remédier, l’homme d’affaires Wallingham affrète une cargaison de whisky. Mais l’affaire se complique…

        Avec ce film, John Sturges met en images un des ses défis les plus fous : marier la comédie et le western. Casting de rêve, budget conséquent, il se donne les moyens de la réussite.

        Pour Sur la piste de la grande caravane, John Sturges réunit des techniciens et des comédiens avec qui il a déjà travaillé par le passé.

        Fidèle à sa réputation, la critique étrille John Sturges, mais s’acharne également sur le film, accusé de tous les maux.

        Compositeur prolifique et inspiré, Elmer Bernstein a laissé en héritage aux cinéphiles mélomanes des thèmes inoubliables.

        Né le 20 avril 1922, à New York, Elmer Bernstein suit l’enseignement de la prestigieuse Juillard School, avant de parfaire sa formation à l’Université de New York. Sous la férule du compositeur Aaron Copland, le jeune Bernstein multiplie les expériences. Il joue aux côtés de Glenn Miller (durant la Seconde Guerre mondiales) et entre chez NBC, où il travaille sous la direction de Norman Corwin. Parallèlement, il se fait un nom comme soliste en donnant des récitals. Boulimique de travail, Bernstein le restera toute sa carrière, allant même jusqu’à accepter de composer pour d’invraisemblables séries Z.

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.


Armand,

 

 


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1. lafianceedusoleil  le 24-09-2011 à 08:54:14  (site)

coucou, c'est Cricri,
très bon film et belle vidéo qui donne un aperçu.
Très bon week end et beau samedi.
Soleil à gogo ici, il manque que la mer.
Bisou

2. lolo78000  le 24-09-2011 à 12:10:00

petit coucou ensoleillé pour te souhaiter un très bon samedi de gros bizzzous

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