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Les Black's Foot

le 28-06-2011 06:52

SUR LA PEAU DU DIABLE

 

 

 

            Elvire dirige le French Movie Office, une enclave française en plein cœur de New York. Mais c’est dans sa limousine aux verres fumés, à la fois bureau et boudoir, qu’elle accueille ses illustres visiteurs. Elle engage un chauffeur noir, arrivé depuis peu du Sénégal, Alassane. Aussitôt l’Africain et la Française se lient d’amitié à travers ce Manhattan que l’un et l’autre ont tant souhaité connaître.

        Alassane est intrigué par la conduite d’Elvire. insatiable, elle multiplie les aventures amoureuses, passe d’un homme à l’autre et de l’enthousiasme au désespoir. Elle lui confie son secret : Marie sa sœur, son immobile, son unique amour, est infirme de naissance et ne s’exprime que par le regard. Alassane trouve spontanément les mots, les gestes qui mettent sur les lèvres de Marie un sourire, dans ses yeux un éclat de bonheur. Et sans doute est-ce parce qu’il insuffle la vie à Marie qu’Alassane trouve l’amour d’Elvire. l’amour ou la passion, avec ses exigences, ses ruptures et ses saisons. New York flambe autour d’eux. Elvire et Alassane pourront-ils danser longtemps sur la peau du Diable ?

        Après des études et une licence ès lettres à Lyon, Nicole Avril devient professeur, puis abandonne la pédagogie pour la comédie au théâtre et à la télévision. En 1972, elle publie son premier roman, Les gens de Misar, qui obtient le Prix des Quatre-Jurys et sera suivi d’autre romans : Les Remparts d’Adrien, Le jardin des absents, L’Eté de la Saint Valentin, Monsieur de Lyon, La disgrâce, Jeanne, La Première Alliance…

 

 


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1. anaflore  le 28-06-2011 à 05:37:45  (site)

à découvrir du moins pour moi un partage avec ton super blog belle journée encore aujourd'hui quoique trop chaud c'est pas mon truc bonne journée

2. lolo78000  le 28-06-2011 à 13:06:35

coucou viens te souhaiter un très bon après-midi chez nous toujours très chaud!! de gros bizzzous

3. lafianceedusoleil  le 28-06-2011 à 19:49:35  (site)

bonsoir Armand,
quel étrange titre, cependant cette histoire parait attrayante. J'aime bien Nicole Avril.
Souhaite que tu as passé la journée au frais. Au bureau, nous avons atteint dans l'après-midi, 32° !
Douce nuit Armand et gros bisou

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le 27-06-2011 07:56

C COMME CATARINA - NICARAGUA

 

 

        C'est un petit village dont les habitants cultivent des vivriers, font de l'artisanat et élèvent des chevaux.

    Situé en hauteur et doté d'un climat très agréable, il permet de dominer la Laguna de Apoyo, le volcan Mombacho et offre une vue splendide du lac Cocibolca et de la ville de Granada.

 

    Sur le sommet du village se trouve le Mirador Catarina, depuis lequel on peut admirer le très beau panorama de la Laguna de Apoyo tout en mangeant un bon repas dans un restaurant typique, rafraîchi par la brise en provenance du lac...

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2004, 

 

 


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1. lolo78000  le 27-06-2011 à 12:52:14

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon après-midi chez nous 38° aujourd'hui on cuit !!! de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 27-06-2011 à 17:53:59  (site)

bonjoir Armand,
tu as passé une super journée dans le Lubéron. C'est une belle région et vous avez fait le rituel du feu de la St Jean.
Elles sont belles les tortues, et le perroquet avec son beau plumage coloré est magnifique. Je te souhaite une bonne fin de soirée.
Bisou

3. heremoana  le 27-06-2011 à 18:06:51

très sympa ces tortues !!! c'est un élevage, un parc de protection ou l'un "restaurant" ?????
bisous très caniculaire c'est intenable ici aujourd'hui

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le 26-06-2011 06:54

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

   

 


 

Panorama de Londres.

 


 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 
 


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1. lafianceedusoleil  le 26-06-2011 à 08:29:23  (site)

kikou Jakin,
tu vas peut-être aller à la mer avec ce beau soleil !
bon dimanche à toi.
Bisou

2. heremoana  le 26-06-2011 à 18:41:05

un beau dimanche bien ensolleillé, bien chaud .... les vacances arrivent
bisous et bonne soirée

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le 25-06-2011 07:42

VERA CRUZ

 

 

 

 

            Alors que la guerre de Sécession s’achève, le Mexique est le théâtre d’une révolution populaire. Cupides et cyniques, deux aventuriers, Ben Trane et Joe Erin, rallient le camp de l’oppresseur.

    Librement adapté d’un scénario signé Borden Chase, un grand nom du western, Vera Cruz doit ses qualités exceptionnelles aux talents conjugués de son acteur producteur, le très avisé Burt Lancaster, et de son réalisateur, le virtuose Robert Aldrich. En partie improvisé et tourné dans un temps record, le film tient du miracle.

    Quelques mois après Bronco Apache, l’irascible Robert Aldrich dirige à nouveau Burt Lancaster, plus directif que jamais.

    Coup de tonnerre dans l’univers du western, Vera Cruz a bouleversé à jamais les règles du genre.

    Acteur de génie à l’élégance souveraine, Gary Cooper, l’homme de tous les succès, compte parmi les géants du septième art.

    Né le 7 mai 1901 à Helena (Montana), Gary Cooper de son vrai nom Frank James Cooper, est le fils d’un juriste également propriétaire terrien. Accompagnant sa mère malade en Europe, il passe sa jeunesse en Angleterre et poursuit une scolarité studieuse dans les meilleurs établissements du pays. De retour aux Etats Unis, Cooper parfait son éducation à la faculté du Montana. Désirant devenir caricaturiste, il se rend en Californie. Après quelques contrats dans des publications locales, il signe un contrat avec les studios Paramount et débute sa carrière de comédien. Tout d’abord cantonné à la figuration, l’acteur multiplie les apparitions dans des films de prestige, avant de rencontrer Clara Bow, star du cinéma muet. Leur liaison, aussi brève qu’orageuse, propulse le jeune premier sur le devant de la scène. Vedette de westerns de série B, il accède au rang de star grâce à Les Ailes (1927) de William Wellman, aux côtés de… Clara Bow.

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.


Armand,

 

 


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1. lafianceedusoleil  le 25-06-2011 à 12:39:30  (site)

Bonjour Armand,
Gary Cooper, qui ne connait pas et quelle célébrité. Je n'ai pas aimé la fin avec tous ces cadavres étalés.
je te souhaite un bel après midi.
bisou

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le 24-06-2011 07:54

GUY LAFITTE

 

 

 

            Clarinettiste, saxophoniste et compositeur qui s’est montré tout particulièrement brillant dans l’art difficile de la ballade, Guy Lafitte fait partie de ses rares musiciens qui ont porté très haut le flambeau du jazz français. Ce qui n’a pas empêché cet artiste du Sud-Ouest de jouer avec les plus grands virtuoses américains, comme Mezz Mezzrow, Lionel Hampton, Coleman Hawkins ou Stan Getz.

    Guy Lafitte est, au même titre que Stéphane Grappelli, Django Reinhardt ou Martial Solal, l’un des plus grands représentants de ce jazz à la française qui a su adapter au style américain cette touche européenne qui fait tout son charme.
 


    Guy Lafitte devient rapidement très recherché : Mezz Mezzrow, Bill Coleman, Rex Stewart font appel à ses services.

    Dès ses premiers disques, Guy Lafitte obtient la consécration de la critique puisqu’il remporte le prix Django Reinhardt décerné par l’Académie du Jazz.

    La route de Guy Lafitte croise encore une fois celle des grands du jazz en 1963 puisqu’il intervient sur la bande sonore du film « Paris Blues » aux côtés de Louis Armstrong et Duke Ellington.
 


    Il meurt le vendredi 10 juin 1998 à l'âge de 71 ans, à son domicile de Simorre (Gers) des suites d'une leucémie…

 

♥     If I Hade You

 

 
♥♥     Flying Home
 
 
♥♥♥     It's Wonderful
 
 

 

 Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991.
 

 Armand,

 

 


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1. anaflore  le 24-06-2011 à 05:59:35  (site)

caricature sympa lol bon wk beau temps

2. heremoana  le 24-06-2011 à 07:06:54

ah la musique !!!
non je ne fais jamais l'amour en solde comme tu me le précisais !!!
bisous et bon week-end

3. lolo78000  le 24-06-2011 à 14:16:00

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon après-midi et un très bon week-end de gros bizzzous

4. lafianceedusoleil  le 24-06-2011 à 21:55:12  (site)

Bonsoir Armand,
je reviens demain sur cet article pour écouter.
Je te souhaite une douce nuit.
Bisou

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le 23-06-2011 01:57

WATTEAU, LE PIERROT LUNAIRE

 

 

 

            Paris, pont Notre Dame, 1702. Dans la boutique d’un fabricant de petits tableaux dévôts, douze adolescents travaillent d’arrache-pied, pour une soupe quotidienne et un misérable salaire. Tout se fait « à la chaîne » : le premier dessine les ciels, l’autre les têtes, le troisième les draperies, le quatrième les blancs… Quand le dernier a mis l’ultime couche, le fabricant vend la série à un commerçant de province, venu à Paris reconstituer les stocks.

    Un de ces fragiles adolescents, âgé de dix-huit ans, s’appelle Antoine Watteau : il ne craint pas la besogne, il sait tout peindre, et travaille plus vite et mieux que les autres. En peu de temps, il est passé maître dans cet inlassable travail de copiste : à longueur de journée il peint des saint Nicolas, et une vieille femme qui lit avec des lunettes ! A peine est-il parfois gêné par une quinte de toux ; son pâle visage s’empourpre alors, et ses doigts restent crispés autour du pinceau.

    Quand viennent à passer sur le pont des comédiens et des belles dames, il oublie vite ses images pieuses et rêve de faire le portrait de ces promeneurs, dans de beaux décors brillants, ombragés et nostalgiques. Il sait dejà qu’il quittera bientôt cette médiocre fabrique et ce patron tyrannique pour créer, dans la solitude et le silence, un monde de rêve et de mystère empreint d’une grâce musicale…

    A 17 ans, il meurt de faim et peint des toiles « à la chaîne » pour survivre - Il assiste à la victoire de Marlborough – Il court les théâtres et fuit la société – Il détruit ses tableaux et fuit le luxe de ses mécènes -  Il n’a plus la force de tenir un pinceau – Une invitation à l’amour, son œuvre célèbre les fêtes et les plaisirs…
 

 


GILLES
 
        Cette toile était sans doute destinée à servir d’enseigne au Théâtre de la Foire, troupe de comédiens qui jouaient des œuvres dans la tradition de la « Commedia dell’arte » italienne. Le personnage représenté est le type du serviteur naïf et toujours berné, Gilles, proche de Pierrot. La scène fait peut-être allusion au titre de l’une des pièces dont il est le héros, « A laver la tête d’un âne, on perd sa lessive » ! En effet, derrière le jeune niais aux bras ballants, apparaît le docteur Balanzone, monté sur un baudet. Les autres protagonistes, qui semblent attendre pour jouer un mauvais tour à Gilles, sont Léandre, l’amoureux à la coiffe en forme de crête, Isabelle l’ingénue, et le maître de Gilles. L’on a vu dans ce tableau qui contraste avec la gracieuse insouciance de la plupart de ses œuvres un aveu de la mélancolie de Watteau. L’envers des « fêtes galantes »…
1717-1719 (184,5 x 149,5 cm) Musée du Louvre, Paris.

        Né à Valenciennes le 10 octobre 1684, Jean Antoine Watteau est le deuxième des 4 fils de Jean-Philippe Watteau (1660-1720), maître couvreur, marchand de tuiles, et de Michelle Lardenois (1653-1727). Vers l’âge de dix ans, il est mis en apprentissage chez Jacques Albert Gérin, l’un des peintres renommés de la ville, dont le musée et les églises de Valenciennes conservent quelques ouvrages, de valeur médiocre, dans le goût flamand.

        Il meurt à Nogent-sur-Marne le 18 juillet 1721 dans les bras de Gersaint, peut-être des suites de la tuberculose, à l'âge de 37 ans. L'abbé Haranger a raconté que Watteau était à demi conscient et muet durant ses derniers jours, peignant en l'air des figures imaginaires.


Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.

Armand,

 

 


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1. heremoana  le 23-06-2011 à 06:16:46

triste portrait de ce peintre ....
pour ton com, je suis obligée de choisir ou je peux prendre le deux ???? lollll
bisous et bonne journée

2. lolo78000  le 23-06-2011 à 13:22:23  (site)

coucou viens te souhaiter un très bon après-midi chez nous toujours un temps un peu frais de gros bizzzous

3. lafianceedusoleil  le 23-06-2011 à 20:23:16  (site)

bonsori Armand,
Grand peintre Watteau, merci Armand pour ton article.
Souhaite que tu te portes à merveille. Douce nuit et gros bisouxx

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le 22-06-2011 06:29

M COMME MASAYA - NICARAGUA

 

 

            Masaya, surnommée "la ville des fleurs" par Rubén Darío, est un endroit charmant qu'il fait bon visiter à pied, surtout si vous arrivez tout juste de Managua. Ses rues sont émaillées de bicyclettes et bordées de bâtiments colorés aux toits de tuiles. Il s'en dégage une atmosphère grouillante, rehaussée par le sentiment que tout le monde y a quelque chose à faire ou quelque part où aller. Masaya s'enorgueillit par ailleurs d'une longue histoire à titre d'un des centres de la population indigène du pays.

 

    Masaya occupe une place importante dans l'histoire du Nicaragua, et, même si, comme dans le reste du pays, la vie moderne trépidante accorde peu de place à l'histoire, on trouve néanmoins un certain nombre de monuments et de musées commémorant les hauts faits de son passé. L'histoire est gravée dans ses rues, ses édifices et sur le visage de ses habitants. La ville repose dans une région traditionnellement indigène où l'on raconte que les premiers colons ont été vaincus par une agressive population amérindienne...

 

 

 

 

 


 

 

Armand, Collection privée 2004, 

 

 


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1. anaflore  le 22-06-2011 à 06:07:02  (site)

j'envie tous ces beaux voyages et ces beaux pays que je ne verrai pas me laissent un sentiment de frustation la vie passant trop vite et les finances n'étant pas élastiques lol bonne journée

2. lolo78000  le 22-06-2011 à 10:57:17  (site)

coucou viens te souhaiter un très bon mercredi chez nous toujours avec la pluie de gros bizzzous

édité le 22-06-2011 à 12:57:43

3. lafianceedusoleil  le 22-06-2011 à 21:56:44  (site)

bonsoir Jakin,
quel joli surnon "la ville des fleurs".
Récit attrayant concernant Masaya, tu nous fais voyager. Merci.
Bonne nuit Jakin, il se fait tard.
Bisou

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