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Les Black's Foot

le 07-02-2015 00:40

À L'OUEST RIEN DE NOUVEAU

 

 


          Durant la Première Guerre mondiale, un groupe de jeunes Allemand exaltés par le patriotisme découvre l'enfer des champs de bataille. Fi des beaux discours et des idéaux : plus que la guerre et son terrible lot de morts et de blessures.

     Un groupe de jeunes Allemands n'a d'yeux que pour les discours patriotiques du vieux professeur Kantorek. Frais diplômés, ils s'engagent et sont propulsés sur le terrain. Après un entraînement intensif prodigué par l'infâme Himmelstoss, le baptême du feu se transforme en cauchemar de peur et de sang.

     Epaulé par une équipe rompue au film de guerre, Delbert Mann relève avec cette seconde version de A L'Ouest rien de nouveau un double défi : se frotter au classique éternel de Lewis Milestone et faire rivaliser la télévision avec les plus grandes fresques du cinéma.

     A la fois adaptation d'un roman célèbre et remake d'une classique du cinéma, le projet est loin d'être gagné d'avance. Mais le rusé Mann le sait bien : un peu de patience chassera les idées reçues.

     Tout l'enjeu d'un tel film se concentre dans l'équilibre à trouver entre ancienne et nouvelle génération. En allant chercher des valeurs sûres d'Hollywood et en les confrontant à de jeunes loups de la télévision, Delbert Mann a rempli cette mission.

     Homme de guerre, de théâtre, de cinéma et de télévision, Delbert Mann a excellé dans tous les domaines. Sa passion pour la direction d'acteurs révèle une immense qualité : ne jamais se mettre en avant.

     Né le 30 janvier 1920 dans le Kansas, Delbert Mann se dirige vers des études en sciences politiques quand il rencontre Fred Coe, un metteur en  scène de théâtre qui deviendra son mentor, avant de s'imposer comme l'un des plus important producteurs de télévision au cours des années 1950. Le début de carrière de Mann est marqué par deux expériences fondatrices : le théâtre et la guerre. Avec Fred Coe, Mann se passionne pour la mise en scène et intègre la Nashville Community Playhouse. Mais la guerre éclate et l'apprenti metteur en scène s'improvise en héros de l'US Air Force : pilote de B-24, le first Lieutenant Mann enchaîne trente-cinq missions et obtient tous les honneurs. Après la guerre, Fred Coe permet à Mann d'intégrer la Yale Drama School, puis de diriger de nombreuses pièces pour le Town Theater de Columbia. C'est le début d'une fulgurante ascension...
 

Textes et photos en provenances de la collection « Les plus grands films de guerre », Editions Atlas, 2002.
 
Armand, 
Tags: #cinéma
 


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1. MarioMusique  le 07-02-2015 à 06:06:02  (site)

Oh, je vais faire mon vilain... Autant j'adore les reprises dans le monde de la musique, autant je suis incapable d'en voir au cinéma. Il faut, en effet, dire que Mann se frottait à un film unique dans l'histoire du cinéma. Malgré les rudesses de la version 1930, je la préférerai toujours à cette relecture.

Les batailles de tranchées du film de 1930 étaient si réalistes qu'on s'en servira dans des documentaires sur la guerre 14-18.

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le 06-02-2015 08:45

HERMAN'S HERMITS

 

 

 

          Herman's Hermits est un groupe de rock britannique des années 1960. Formé à Manchester en Angleterre en 1963, le groupe était dans la lignée du mouvement apparu avec le début de carrière des Beatles. Populaires au Royaume-Uni, et surtout aux États-Unis, durant le milieu des années 1960, avec des albums et de nombreux singles classés dans les charts, ils ont ensuite été ringardisés par l'ascension de la vague hippie, de la pop et du rock psychédéliques.


     Cet engouement pour Herman's Hermits a tenu à deux raisons essentielles. D'une part à sa musique. D'autre part à son image. Musicalement, en effet, le groupe a certes appartenu au monde du rock'n'roll. Mais, souvent proches de ceux des Beatles de l'époque pré-Revolver, ses morceaux s'adressaient à un vaste public, qui allait des teenagers aux adultes, c'est-à-dire à un public pop, qui aimait autant Cliff Richard que les Beatles, mais qui n'appréciaient guère ni les provocations des Rolling Stones ni leur musique bien trop marquée par le Blues.

 


     Quant à l'image, elle était également très différente de celle des Stones, des Kinks ou des Who. Comme Ricky Nelson par exemple, comparé au Elvis Presley des débuts ou, d'une façon générale, à tous les pionniers, Herman's Hermits rassurait les foules encore traumatisées par l'explosion du rock'n'roll, à commencer grâce au chanteur et leader Peter Noone.

 


     En France, leur unique véritable succès, No Milk Today, se classa n° 2 des ventes de singles en janvier 1967 et reste considéré comme un classique des années 1960...
 
♥      Henry VIII I Am (1965)
 
 
♥♥      No Milk Today (1966)
 
 
♥♥♥      Listen People (1966)
 
 
♣      Lond Look (1966)
 
 
 Texte en provenance de Wikipedia, photos prises sur internet.
 
Armand, 
 
Tags: #musique
 


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1. anaflore  le 06-02-2015 à 15:32:26  (site)

c'est vrai pas de souvenir de ce groupe on est si peu de chose....bon wk

2. MarioB  le 06-02-2015 à 15:40:12  (site)

Ah ? Peu populaires en France ? Au Québec, ils l'étaient beaucoup, jusqu'au point qu'il existait des versions françaises de leurs chansons, par des groupes québécois.

La plupart du temps, les membres de Herman's Hermits ne jouaient pas sur leurs disques. C'étaient des musiciens de studio qui prenaient leur place. Ainsi, le solo de guitare de Henry VIII est de Jimmy Page, futur Led Zeppelin.

3. belleestlavie  le 06-02-2015 à 21:10:08  (site)

bonsoir Armand,
les 4 morceaux choisis, je m'en suis souvenus. C'est super.
Ici, toujours un vent glacial.
Cet après-midi, je suis allée au salon des Médecines Douces à la Porte de Versailles. Que de monde.
je te souhaite une belle soirée et un très agréable week-end.
je t'embrasse
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le 05-02-2015 00:19

TOULOUSE - LÉGUEVIN - KM 578

 

 

          23 kilomètres fortement urbanisés. Nous suivons les conseils du "guide" qui nous recommande de prendre un car jusqu'à Colomiers car le parcours est sans intérêt et cela nous permet d'économiser 3 heures de marche sur trottoirs. Tout compte fait on aurait du poursuivre avec le car jusqu'à Pibrac et économiser ainsi 10 kilomètres sans importance. Logé au Gîte communal, rue du Languedoc.

 

 

 


     Léguevin était au 13ième siècle une commanderie d'Hospitaliers. Une bastide s'y ajouta en 1309 et fut fortifiée. L'église actuelle n'a que deux siècles mais il reste les ruines du château de Lescalette et trois autres manoirs.
 

 
     La Sauveté de Léguevin est citée dès le 12ième siècle dans un document de 1108 dans lequel des nobles font donation de terres aux Hospitaliers dans le « territoire de Léguevin entre deux ruisseaux ». Ces deux ruisseaux sont le Courbet et le Paradis. La région est alors en effet en cours de défrichement par les frères hospitaliers de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Rien n'atteste de la présence d'un village à cette époque.
 


     Le village de Léguevin a sans doute été créé au 13ième siècle. À l'origine, il s'agissait d'une halte sur la Via Tolosana destinée aux pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques-de-Compostelle par la voie d'Arles.
 

 

 

 


     Le nom de Léguevin, vient de l’occitan Legavin, qui signifie 20 lieues, cet arrêt étant en effet situé à une vingtaine de lieues de la ville d’Auch. Léguevin a renoué avec cette tradition. Un accueil est à la disposition des pèlerins de Saint-Jacques. Il est situé près de la Halle en plein cœur de la vieille cité...
 
A suivre... Armand, 
 

 

 


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1. belleestlavie  le 05-02-2015 à 21:47:23  (site)

bonsoir Armand,
cela fait du bien d'être transporté par un car, c'est moins crevant. Dommage pour les 10 autres km restants, il n'y avait rien à voir.
Un peu d'exercice, cela fait du bien. Rire.
Bonne fin de soirée Armand et bon vendredi.
Grosse bise
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le 04-02-2015 08:38

P COMME PONT DE SALARS - AVEYRON - FRANCE

 

          La chapelle Notre Dame de Salars est située à 500 mètres environ à l'est de Pont-de-Salars sur une hauteur dominant le bourg. On ignore la date de construction de la chapelle. Une charte du cartulaire de Conques mentionne qu'elle fut donnée en 1078 à Ste-Foy de Conques. Elle devait succéder à un lieu de culte païen. « Solis ara » autel su soleil évoquant l'idolâtrie de certaines tribus gauloises.

     En 1275, un hôpital se trouvait à côté de l'église. En plus de l'église et de l'hôpital, il y avait une métairie. Salars appartenait à l'hôpital de ND du Pas de Rodez. L'église ne servait alors qu'au personnel de l'hôpital et aux employés de la métairie. Elle fut agrandie lorsqu'elle devint paroissiale dans le courant du 13ème siècle. C'est au 15ème siècle que fut construit le porche de l'église avec des ornements extérieurs gothiques.

     Au concordat de 1801, la paroisse de Salars fut maintenue en raison de l'importance que prenait Pont-de-Salars, chef-lieu de canton avec justice de paix, perception, etc…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2009, 

 

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1. etoile0003  le 04-02-2015 à 12:26:47  (site)

bonjour merci pour cet article je connais pont de salars pas très loin de milliau laguiole bye !

2. banga  le 04-02-2015 à 14:33:42  (site)

Bonjour Armand encore un bel endroit que tu nous fait partager là avec tes belles phots , je trouve ce lieu très médiévale je ne connais pas cette région , c'est toi sur la photo ? il y à le même genre d'escalier à Blois , ici sur Paris il ne fait pas très chaud bonne fin d'après midi @+

3. belleestlavie  le 04-02-2015 à 21:13:51  (site)

bonsoir Armand;
quand je regarde les photos, ca se voit que ce n'est pas de la première jeunesse.
J'espère qu'à Aix, il ne fait pas trop froid. Ici, c'est le vent glacial qui est pénible.
Bonne fin de journée et bon jeudi.
Grosse bise.
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le 03-02-2015 00:12

V COMME VEZINS DE LEVEZOU (2) - AVEYRON - FRANCE

 

 

          Le château fut d’abord une forteresse au 12ième siècle et peut-être même avant. Il fut en partie détruit pas un incendie accidentel en 1642, puis reconstruit et remanié à plusieurs reprises, au 17ième et au 19ième siècles notamment.

     L’église, ancienne chapelle du château, a été refaite au 19ième siècle. Elle abrite le tombeau de la famille de Vezins, œuvre du sculpteur  François Mahoux.

     Plusieurs paroisses se partageaient le territoire de la commune actuelle, parfois à cheval sur d'autres communautés. les chefs-lieux paroissiaux étaient Vezins, Saint-Amans-du-Ram, dont l'église est champêtre, tout comme Notre-Dame-de-La Vaysse, et Gleysenove.

     Le bourg centre de Vezins se caractérise par son château dominant le village. Cette immense demeure inscrite aux  monuments historiques appartient à la famille de Lévézou de Vezins depuis plus de 900 ans. Disposé autour du château, le village offre de belles ruelles, ainsi que des chemins piétonniers permettant aux habitants d'aller et venir dans les différents commerces et infrastructures faisant la vie du bourg...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2009, 

 

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1. belleestlavie  le 03-02-2015 à 21:07:13  (site)

bonsoir Armand,
c'est vraiment un beau village. Tu l'as exploré de fond en comble. C'est bien d'avoir de belles photos pour se le remettre en mémoire.
La fenêtre bleue, je crois, qu'elle a été prise à Torremolinos.
C'est vrai que cela aurait pu être une ile grecque telle que la Crête ou à Kos. On retrouve les mêmes coloris.
Je te souhaite une belle fin de journée et un merveilleux mercredi.
Je t'embrasse
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le 02-02-2015 07:25

V COMME VEZINS DE LEVEZOU - AVEYRON - FRANCE

 

          L’installation d’une commanderie des templiers à La Clau, fondée en 1234, a durablement marqué le territoire. Cette implantation fut rattachée à celle des Canabières (ordre de St Jean de Jérusalem) après la suppression de l’ordre du Temple, en 1302.

     Mais c’est la famille de Lévézou de Vezins qui aura le plus contribué à la construction de l’identité de la commune, née de fusion avec celles de La Clau et du Ram. C’est elle qui exprime le mieux son unité.

     La famille de Lévézou (puis de Lévézou de Vezins) est une des plus anciennes de France et une des plus prestigieuses du Rouergue. On ne compte plus, issus de ses rangs, les chevaliers, les croisés, les prélats, les gentilshommes proches des cours royales, les officiers, les hommes politiques…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2009, 

 

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1. pouty88  le 02-02-2015 à 06:53:19  (site)

bonjour
merci d’être passer sur mon blog !
des tulipes ???
ah ouff je me disait ,ce sont des photos de 2009 dasn le répertoire...
bonne journee
pouty

2. belleestlavie  le 02-02-2015 à 20:37:30  (site)

bonsoir Armand,
quelle chance elle a ta fille d'être actuellement à Tahiti, je crois qu'elle y va souvent. Elle a un bon job.
D'après un de tes commentaires, tu connais le Mexique. J'aime bien.
Ce sont des personnes de grande renommée qui ont demeuré ce village.
Je ne connaissais pas.
Douce fin de journée et bon mardi.
je t'embrasse
Cricri

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le 01-02-2015 07:18

LE MOT DU GLOBE TROTTEUR

 

 

  AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE
LE GLOBE TROTTER SE REPOSE...
 

 
Boucliers de glace contre les gels du printemps dans les vergers de Tallard...
 
A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES...
 
 
 
 


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1. gegedu28  le 01-02-2015 à 08:29:18  (site)

Bonjour Jakin,
Très impressionnante cette photo !
Les arbres sont en fleurs, et des glaçons en pendent ! Serait-ce que la glace ne brûle pas les fleurs ?, car le givre lui ne fait pas de cadeau !
A bientôt pour une réponse peut-être.
Bon dimanche.
A+
Gégédu28

2. lespassionsdemyriam  le 03-02-2015 à 09:12:51  (site)

bonjour j'espère que tu vas bien , ici le froid de canard en vendée mais ensoleillée mais pour longtemps , bonne journée à toi

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