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     Cet engouement pour Herman's Hermits a tenu à deux raisons essentielles. D'une part à sa musique. D'autre part à son image. Musicalement, en effet, le groupe a certes appartenu au monde du rock'n'roll. Mais, souvent proches de ceux des Beatles de l'époque pré-Revolver, ses morceaux s'adressaient à un vaste public, qui allait des teenagers aux adultes, c'est-à-dire à un public pop, qui aimait autant Cliff Richard que les Beatles, mais qui n'appréciaient guère ni les provocations des Rolling Stones ni leur musique bien trop marquée par le Blues.

Armand, 

          23 kilomètres fortement urbanisés. Nous suivons les conseils du "guide" qui nous recommande de prendre un car jusqu'à Colomiers car le parcours est sans intérêt et cela nous permet d'économiser 3 heures de marche sur trottoirs. Tout compte fait on aurait du poursuivre avec le car jusqu'à Pibrac et économiser ainsi 10 kilomètres sans importance. Logé au Gîte communal, rue du Languedoc.

A suivre... Armand, 

 

          La chapelle Notre Dame de Salars est située à 500 mètres environ à l'est de Pont-de-Salars sur une hauteur dominant le bourg. On ignore la date de construction de la chapelle. Une charte du cartulaire de Conques mentionne qu'elle fut donnée en 1078 à Ste-Foy de Conques. Elle devait succéder à un lieu de culte païen. « Solis ara » autel su soleil évoquant l'idolâtrie de certaines tribus gauloises.

     En 1275, un hôpital se trouvait à côté de l'église. En plus de l'église et de l'hôpital, il y avait une métairie. Salars appartenait à l'hôpital de ND du Pas de Rodez. L'église ne servait alors qu'au personnel de l'hôpital et aux employés de la métairie. Elle fut agrandie lorsqu'elle devint paroissiale dans le courant du 13ème siècle. C'est au 15ème siècle que fut construit le porche de l'église avec des ornements extérieurs gothiques.

     Au concordat de 1801, la paroisse de Salars fut maintenue en raison de l'importance que prenait Pont-de-Salars, chef-lieu de canton avec justice de paix, perception, etc…

Armand, Collection privée 2009, 

          Le château fut d’abord une forteresse au 12ième siècle et peut-être même avant. Il fut en partie détruit pas un incendie accidentel en 1642, puis reconstruit et remanié à plusieurs reprises, au 17ième et au 19ième siècles notamment.

     L’église, ancienne chapelle du château, a été refaite au 19ième siècle. Elle abrite le tombeau de la famille de Vezins, œuvre du sculpteur  François Mahoux.

     Plusieurs paroisses se partageaient le territoire de la commune actuelle, parfois à cheval sur d'autres communautés. les chefs-lieux paroissiaux étaient Vezins, Saint-Amans-du-Ram, dont l'église est champêtre, tout comme Notre-Dame-de-La Vaysse, et Gleysenove.

     Le bourg centre de Vezins se caractérise par son château dominant le village. Cette immense demeure inscrite aux  monuments historiques appartient à la famille de Lévézou de Vezins depuis plus de 900 ans. Disposé autour du château, le village offre de belles ruelles, ainsi que des chemins piétonniers permettant aux habitants d'aller et venir dans les différents commerces et infrastructures faisant la vie du bourg...

Armand, Collection privée 2009, 

 

          L’installation d’une commanderie des templiers à La Clau, fondée en 1234, a durablement marqué le territoire. Cette implantation fut rattachée à celle des Canabières (ordre de St Jean de Jérusalem) après la suppression de l’ordre du Temple, en 1302.

     Mais c’est la famille de Lévézou de Vezins qui aura le plus contribué à la construction de l’identité de la commune, née de fusion avec celles de La Clau et du Ram. C’est elle qui exprime le mieux son unité.

     La famille de Lévézou (puis de Lévézou de Vezins) est une des plus anciennes de France et une des plus prestigieuses du Rouergue. On ne compte plus, issus de ses rangs, les chevaliers, les croisés, les prélats, les gentilshommes proches des cours royales, les officiers, les hommes politiques…

Armand, Collection privée 2009,