Le Globe-Trotter fait trace sur les trotoires, chemins et routes départementales à la recherche de lieux à vous faire découvrir...
RUE VILLARS
Honoré-Armand, marquis, puis duc de Villars, prince de Martigues, fut élu l’un des 40 de l’Académie Française, naquit le 4 décembre 1702, fils du Maréchal Louis Hector, aussi gouverneur de Provence. Durant un séjour qu’il fit à Paris, il se lia intimement avec Alembert, il devient l’ami de Voltaire qui parle de lui avec éloge...
RUE CARDINALE
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Hôtel de Foresta et de Gastaud : Le maître d'œuvre des deux hôtels est Jean Jaubert. La façade, jumelle de celle de l'hôtel de Ravel d'Esclapon voisin, présente des baies encadrées de pilastres à chapiteaux doriques au rez-de-chaussée et ioniques au premier étage...
RUE CARDINALE
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Fontaine des 4 dauphins : Sculptée en 1667 par Jean-Claude Rambot sur l’ancienne place Mazarine, la fontaine des Quatre Dauphins a rapidement imposé son style. Si bien qu’elle a donné son nouveau nom à la place, la rue qui la traverse conservant celui de Mazarine.
RUE CARDINALE
La rue Cardinale fut créée en 1646, lors du 9ème agrandissement de la ville; le cardinal Michel Mazarin (frère du ministre) en prit l'initiative (et une partie du financement) et lui prêta son titre.
RUE D'ITALIE
La rue fut nommée en l'honneur des campagnes victorieuses de l'Empereur Napoléon Bonaparte en Italie. La rue d'Italie peut s'enorgueillir d'être la plus ancienne de la ville (et une des plus vieilles rues urbaines de France). En effet, ce fut la première voie d'accès créée par prolongement de la Voie Aurélienne, au moment de la création de la colonie d'Aquae-Sextiae par le consul romain Sextius Calvinus, au IIe siècle avant notre ère...
RUE DU MARÉCHAL JOFFRE
Anciennement rue du Louvre, nom d’une ancienne hôtellerie. Son premier nom rue de Notre-Dame-des-Anges à cause d’une chapelle qui subsista jusqu’en 1750. Elle devient rue de la Torse ou rue du Tholonet. Elle devînt la rue des Pénitents Blancs, à cause de la confrérie qui s’y installa en 1654, et ensuite rue de l’Intendance.Chapelle des Pénitents blancs : En 1971, la Ville transforme la chapelle en centre des congrès puis la ferme en 2001 pour travaux de désamiantage. En 2007 un projet de réhabilitation voit le jour qui s’achève au printemps 2013 avec la réouverture de la chapelle comme annexe du musée Granet et la présentation de la collection Jean Planque sous l’intitulé « Granet XXe »...
RUE PAVILLON
Pierre Pavillon (1612 - 1670) est un architecte et sculpteur français du premier baroque à Aix-en-Provence. Il s’était taillé une réputation incontestable, à en juger par les nombreuses commandes qui lui furent adressées jusqu’à sa mort en 1670. Anciennement rue du boulevard Saint-Jean, rue du Lévrier. Oratoire : vierge à l'enfant...
RUE DE L'OPERA
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Hôtel d'Antoine : Le bâtiment fut construit vers 1650, moment de développement architectural intense pour la ville, par deux célèbres architectes aixois: Pierre Pavillon et Jean-Claude Rambot. Jean-Louis Antoine, conseiller à la cour des comptes de Provence, fut son commanditaire et premier propriétaire. En janvier 1660, lors du séjour de Louis XIV à Aix, la comtesse de Soissons, Olympe Mancini y résida.
COURS MIRABEAU
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Fontaine du Roi René : Dans la partie haute se dresse la statue du roi René, en marbre blanc également, dessinée par Pierre Revoil et sculptée par David d’Angers en 1822. Il tient un sceptre dans la main droite et une grappe de raisin muscat dans la gauche...
COURS MIRABEAU
Le cours Mirabeau est un des axes principaux du centre-ville d'Aix-en-Provence. Il est dénommé en l'honneur d'Honoré Gabriel Riquetti de Mirabeau, élu représentant d'Aix au tiers état en 1789.Passage Hagard : En 1846, Félicien AGARD eut l’idée de relier, par un passage découvert, le Cours à la Place du Palais. Le Couvent des Carmes, confisqué pendant la Révolution, avait été vendu à des quantités de gens. Ces morceaux acquis furent revendus et passèrent de main en main. Entre 1846 et 1849, Monsieur AGARD les rassembla. Malheureusement, il ne put acquérir de Monsieur SEC la maison du Cours n° 57, ce qui étranglera l’entrée et fera un étroit boyau au départ.
RUE CLEMENCEAU
Maison Blaise Cendras : Il s’installe à Aix en 1940 et va y demeurer jusqu’en 1948. L'Homme foudroyé est écrit entre 1943 et 45. À l'occasion de ce retour à l'écriture, un jeune photographe inconnu, Robert Doisneau, est envoyé à Aix pour faire un reportage sur Cendrars : Cendrars, un éléphant solitaire. 4 ans plus tard, Cendrars écrit le texte du premier album de Doisneau : La Banlieue de Paris, qui révèle le photographe.
RUE DES BAGNIERS
Son vrai nom est Des Derniers Bagniers, leis Bagniers Rédiers. Elle ne l’a pris que depuis qu’on a donné celui des Chaudronniers à l’ancienne rue des Bagniers où se trouvaient les bains romains qui dataient des premiers temps de la colonie.La fontaine des Bagniers : aussi appelée fontaine des Chapeliers. Construite en 1685 , la fontaine est inscrite aux Monuments Historiques en 1949. Elle intègre aujourd'hui un médaillon de Cézanne dessiné d'après Renoir et entouré de fleurs et de fruits.
RUE MONCLAR
Nom du plus illustre des procureurs généraux qui ont honoré le parlement d’Aix, fut donné en 1811 à la rue qui borde le coté méridional du nouveau palais de justice.Palais Monclar : Il a été construit par l’architecte Michel Robert de Penchard au début du 19ème siècle. Ses fondations reposent sur les ruines de l’ancien Palais Comtal qui avait abrité, jusque dans les dernières années de l’Ancien Régime, la Cour des Comptes et le Parlement de Provence...
PLACE DE VERDUN
Au 16ème siècle l'architecte Jean de Paris, Contrôleur des Bâtiments Royaux, dessine le quartier Villeneuve, à l'Est de la ville, en ayant le souci de perspectives et d'ordonnances régulières. La ''rue du boulevard'' (rue Emeric David) est l'alignement fort du nouveau quartier.Palais de Justice : Le Palais de justice d'Aix-en-Provence est commandé à Claude-Nicolas Ledoux, en 1787, alors qu'il a également en charge la rénovation de ce quartier de la ville. Construit sur l'emplacement de l'ancien Palais comtal, les travaux débutent rapidement. La Révolution française éclate durant les travaux du palais, ce qui arrête la construction. Elle ne reprend qu'en 1822, sous l'égide de Michel-Robert Penchaud, également architecte de la prison de la ville. définitivement achevé en 1831, la cour de justice s'y installe le 13 novembre 1832...
PLACE DES PRÊCHEURS
La place des Prêcheurs devint le lieu pour accueillir les exécutions publiques, et ce, peu après sa création. Les méthodes étaient radicales: les condamnés périssaient brûles vifs ou pendus, on pouvait aussi les attacher sur la roue et briser leurs articulations jusqu'à ce que mort s'en suive.Eglise de la Madeleine : L'église de la Madeleine est une église dominicaine construite place des Prêcheurs, de 1691 à 1703 par l'architecte Laurent Vallon. L'architecte aixois Henri Révoil en remanie la façade de 1855 à 1860. Cet édifice a longtemps été considéré comme la plus belle église des Bouches-du-Rhône. Emmanuel de Fonscolombe (1810-1875) en est un des plus fameux maîtres de chapelle...
RUE BOULEGON
Ancienne rue de Bigourre. Ce nom de Bigourre était celui d’une famille qui, la première, y avait habité et qui est éteinte depuis longtemps comme la famille Boulegon. Au n°23 Maison où est mort Paul Cézanne le 23 octobre 1906.
RUE PAUL BERT
Cette rue n'est qu'un simple chemin de terre public au Moyen Âge, enserré entre deux remparts. C'est lorsque le Bourg Saint-Sauveur et la Ville comtale sont réunis en 1357 et que les remparts sont démolis, qu'est aménagé le chemin.
RUE GASTON DE SAPORTA
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RUE GASTON DE SAPORTA
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Cathédrale St Sauveur : Cet édifice, construit sur l'emplacement du forum antique et, selon la légende, sur les fondations d'un ancien temple dédié au dieu Apollon, rassemble une multitude de styles architecturaux, du fait des nombreux remaniements qu'elle subit au fil des siècles....
RUE DU BON PASTEUR
RUE DE LA TREILLE
AQUAE SEXTIAE (les eaux de Sextius). Fondés par le consul Romain CAÏUS SEXTIUS CALVINIUS en 123 avant Jésus-Christ, à proximité de sources thermales naturellement chaudes (33°) puisées à 80m de profondeur, les thermes feront jusqu’à aujourd’hui la réputation de la ville...
Le Blog fait la MARMOTTE
Il rentre en hibernation pour un moment.
s'il existe de nombreux livres biographiques sur Helena Blavatsky, sur le Colonel Henry S. Olcott ou encore sur Annie Besant, il n'existe pourtant aucun ouvrage entiérement consacré à l'Histoire de la Société Théosophique depuis son origine, englobant à la fois non seulement la totalité de ses fondateurs, mais aussi tenant compte de ses rites cachés, de l'importance de son influence de par le Monde et surtout de la modernité incontournable de son enseignement initiatique... Aussi, les éditions Arqa sont particulièrement heureuses de présenter ce remarquable ouvrage, pour offrir à un public averti et connaisseur l'héritage et la quintessence de la pensée d'Helena P. Blavatsky. Il faut dire que Jean Iozia, diplômé de l'école Pratique des Hautes Etudes (EPHE) Paris-Sorbonne, Membre de la Société Asiatique, était la personne la plus qualifiée pour écrire un tel livre - une somme qui restera pour tous les chercheurs comme le livre référence sur la Société Théosiphique. Cet ouvrage, remarquable à plus d'un titre, bénéficie en outre d'un cahier iconographique exceptionnel de plus de 100 photographies et documents inétdits provenant des archives conservées au siège mondial de la Société Théosophique, à Adyar (Madras-Inde), et présentés pour la première fois depuis la fin du XIXe siècle - on y découvrira notamment une étonnante photographie de Krishnamurti en tablier maçonnique ou encore une photographie d'Annie Besant en compagnie du Mahatma Gandhi. La précieuse érudition de Jean Iozia n'étant pas prise en défaut sur ce sujet passionnant qu'est l'Histoire de la Théosophie, l'auteur conclut magnifiquement son livre saisissant avec la publication inédite du Rituel du "Sat Bhai" (en Sanskrit), ou "Rituel des Sept Plumes"...