Tout au long de la visite du Centre Ancien, on découvre la vie quotidienne des habitants de la cité, dont les fontaines. Pendant longtemps Aubenas fut appelée : « La ville sans eau ». Juchée en haut d’une colline, elle ne pouvait être arrosée d’aucun cours d’eau. C’est au 19ième siècle que le Maire Jean Mathon fit exécuter des travaux, titanesques pour l’époque, amenant l’eau d’une source captée à Antraigues (14 kms). Le 23 juin 1863, une grande fête inaugure les 50 fontaines construites dans la ville (aujourd’hui seules quelques-unes existent encore) et qui toutes ensembles, se mettront à « cracher » l’eau à 7h du soir, dans la liesse populaire. Les fêtes dureront un mois entier !...
Tu penses vraiment qu'à ça ?! de Vincent Varinier, avec Emmanuelle Bodin. Au matin du sixième jour (et malgré un surmenage évident !), Dieu créa... l'homme ! et, dans la foulée (comme si ça suffisait pas les conneries !), Dieu créa... la femme ! Pitch pour hommes : Une bonne façon de comprendre (enfin!) pourquoi les femmes sont folles ! Pitch pour femmes : Une très bonne façon de comprendre (enfin !) pourquoi les hommes sont cons ! Pitch pour les autres : Bref, la meilleure façon de comprendre (enfin !) pourquoi ils vont si bien ensemble ! Cette histoire c'est celle d'Alex et Léa, deux magnifiques spécimens d'une espèce unique où le mâle et la femelle sont biologiquement si différents. Cette histoire c'est leur histoire, votre histoire, notre histoire... Histoire, surtout, d'en rire !! Le pitch de moi : Réjouissant et Dynamique ! Une bonne soirée....Armand,
Jerry Butler, né le 8 décembre 1939 à Sunflower, dans le Mississippi, est un chanteur américain de Soul surnommé The Ice Man. Il déménage à Chicago avec ses parents à l'âge de trois ans. Habitant le quartier de Cabrini-Green à Chicago, il débute à l'église en chantant dans différents chœurs aux côtés de Curtis Mayfield.
23 kilomètres de prairies, de forêts de Châtaigniers et d'Hêtres, des chemins de pierres et une multitude de ponts sur la Mare. On traverse les hameaux d'Andabre, de Castanet le Haut et de Senausses avant de rentrer, entre des hauts murs de pierres, à Murat.
L’Eglise Saint Laurent, d’abord église Saint Dominique au 13ième siècle, fut en partie détruite durant les guerres de religion et reconstruite en 1612 sous l’ordonnance de Marie de Médicis. Si la façade est plutôt récente (19ième), la Chapelle des Martyrs et de l’Unité, elle date du 15ième et les boiseries du 18ième...
Le Dôme Saint Benoît, joyau de l’architecture religieuse, classé Monument Historique, se caractérise par une structure à tambour hexagonal et une coupole du 18ième siècle de style Renaissance Italienne. Il abrite des collections d’objets d’art religieux et le mausolée du Maréchal et de la Maréchale d’Ornano. La Chapelle des Cordeliers est un ancien oratoire des Franciscains. On peut y voir une exposition de vêtements sacerdotaux, des tableaux et sculptures religieuses du 17ième siècle. évoquant l’activité des moines Cordeliers...
Le Château, classé Monument Historique en 1943, est considéré comme le plus bel exemple d’architecture civile de l’Ardèche. Sa construction débute au 12ième siècle avec le donjon, puis il est façonné par ses propriétaires successifs qui le modifient selon les inspirations architecturales de leurs époques respectives. On découvre les fenêtres à meneaux, l’escalier à vis, les tourelles, la toiture en tuiles vernissées…
29 kilomètres de grimpe dans les Pins sylvestres, les Hêtres, les Châtaigniers et les Chênes verts. Une autre étape infernale. Il a fallut puiser dans nos ressources pour ne pas arriver la nuit et ne pas pouvoir visiter ce village fortifié.
Aubenas, capitale de l’Ardèche du sud juchée sur son éperon rocheux, Aubenas offre une magnifique vue sur la vallée de l’Ardèche. Ville d’histoire au passé prestigieux, Aubenas dévoile des trésors architecturaux et un patrimoine d’une grande richesse...
Née dans le Tunis pittoresque d'après-guerre, Esther connaît une enfance mouvementée au sein d'une famille juive. On la croit morte à treize ans de la tuberculose, elle ressuscite miraculeusement au moment où l'on va fermer son cercueil. La légende d'Esther est née. Marseille va devenir le théâtre de son fabuleux destin. Esther découvre un jour qu'elle possède un don surnaturel. Ses mains guérissent les malades depuis que le Christ lui est apparu. De péripétie en péripétie, elle se consacre aux gens humbles. Sa légende se propage. Des puissants de ce monde lui rendent visite. Un important homme politique allemand lui fait faire le voyage jusque dans son village natal pour guérir les gens de chez lui et faire du bien. Esther accomplit sa mission sur Terre dans le plus complet désintéressement, découvre le goût de la liberté, et s'affranchit peu a peu des pesanteurs de sa culture à l'égard des femmes. La rencontre de l'Amour ainsi qu'une étonnante propension à faire le chemin en arrière vers la pureté de son enfance, au lieu de vieillir comme chacun de nous, seront sa récompense divine. Dans ce récit d'auto-fiction, Lina Chelli, sa fille, fait œuvre d'amour : amour immense de sa mère, amour de sa famille, des gens tout simplement, amour de la vie dont elle cherche à comprendre le sens sur Terre. Histoire vraie ? Légende ou pas ? Peu importe, le regard de compassion porté sur l'autre, la foi en un Dieu quel qu'il soit, transmise quelquefois dans l'imposition de mains, dans un geste, un mot, sont certainement les leviers de la guérison d'une humanité en mal d'humanisme.Née à Tunis en 1954, Lina Chelli arrive en France à l'âge de trois ans, peu après l'indépendance de la Tunisie. Sa grande famille finit par s'installer à Marseille où Lina grandit, vit et travaille depuis. Aujourd'hui libérée de son activité professionnelle, elle se consacre à la fiction et à des association humanistes...
l'intérieur des fortifications du village actuel (13ième siècle), un labyrinthe d'étroites ruelles pavées et voûtées dévoile le charme d'une architecture bicolore, tel un damier de pierres de basalte noir et calcaire blanc. La plupart des maisons ont été construites aux 16ième et 17ième siècles, mais certaines sont plus anciennes encore. Inscriptions, linteaux de porte décorés ou reliefs bibliques murmurent chacun leur histoire au promeneur attentif...
The Shirelles est un groupe vocal féminin (girl group) américain qui fut l'un des plus populaires au début des années 1960. Leur musique, mélange de Pop et de Rhythm and blues, est annonciatrice des « petites symphonies pour adolescents » de Phil Spector et de la musique soul façon Motown. Le groupe se forme en 1957. Il est composé de quatre camarades étudiantes au lycée de Passaic dans le New Jersey. Leur premier 45 tours, I Met Him On Sunday, paraît en mars 1958 sur le petit label Tiara. Distribué par Decca, il se classe dans le Top 50 américain. En 1960, après quelques succès mitigés, les Shirelles enregistrent Will You Love Me Tomorrow ?, une composition de Gerry Goffin et Carole King. Le disque produit par Luther Dixon pour le label Scepter atteint la première place du hit-parade en janvier 1961. D'octobre 1960 à décembre 1962, le groupe place dix chansons dans le Top 40, parmi lesquels Dedicated to the One I Love, Mama Said et surtout Soldier Boy, n°1 en mai 1962. Les Shirelles interprètent également plusieurs compositions de Burt Bacharach et Hal David comme Baby It's You ou It's Love That Really Counts. Le succès se fait plus rare après le départ de Luther Dixon pour la Californie au début de 1963. Foolish Little Girl est le dernier titre à se classer dans le Top 5. Leur popularité est désormais concurrencée par d'autres groupes girl groups comme The Shangri-Las ou The Supremes, et par la vague des chanteurs britanniques dont les principaux sont les Beatles. En 1964, la reprise de leur titre Sha La La par Manfred Mann obtient plus de succès que l'original.
27 kilomètres à travers les buis sauvages et les forêts de pins, chênes et châtaigniers. Une des étapes les plus dures, malgré l'entraînement de ses deux derniers jours. La variété des chants mélodieux de nos amis les oiseaux ne parviendrons pas à atténuer le cris de douleur des mollets et des cuisses pèlerines.
Alba-la-Romaine s'étend au pied de son imposant château féodal, au milieu de la plaine viticole, au sud du massif du Coiron. Ce village, aujourd'hui "de caractère", fut du Ier siècle avant J-C au 4ième siècle après J-C le chef-lieu de la cité des Helviens : Alba helvorum, un des trois principaux pôles gallo-romains en Rhône-Alpes. Des fouilles archéologiques ont permis de retrouver les traces de l'importante cité et les vestiges d'un théâtre romain, d'un centre monumental et d'un sanctuaire, en libre accès toute l'année aux visiteurs...
La tour de l'horloge : Edifiée en 1663 sur le point haut de la ville sur l'emplacement d'un beffroi qui avait été rasé 4 ans plus tôt sur ordre de Louis XIV. Il voulait ainsi punir la ville pour s'être révoltée contre le pouvoir royal et avoir tenu tête aux troupes venues pour rétablir l'ordre. Elle est couronnée par un beau campanile en fer forgé. Elle mesure environ 18 mètres de haut, non compris le campanile. Construite en pierres de taille, sur plan carré, elle se compose de 2 étages élevés sur un soubassement taluté. L'étage supérieur est flanqué à chaque angle d'une tourelle placée en surplomb. La maison du bourreau : Située en contrebas de la tour de l'horloge. La maison dite de la Reine Jeanne : Construite au 15ième siècle, elle présente un bel escalier et une riche décoration intérieure...
1944, Pacifique Sud. Une nonne et un marine doivent cohabiter sur un îlot envahi par les Japonais. Oubliés par les leurs mais réunis par la guerre, ces deux êtres que tout oppose vont connaître une relation aussi passionnée que respectueuse. Quand il échoue sur une île du Pacifique, le caporal Allison ne s'attend pas à y trouver la soeur Angela, que le sort a aussi clouée là. Face à l'adversité et à un destin incertain, un irrésistible rapprochement va venir ébranler leurs plus profondes convictions. Un décor unique et paradisiaque, deux seuls acteurs en guise de distribution, un sujet en or pour scénario : tous les éléments d'un tournage idyllique semblent être réunis. Mais, après Moby Dick, il était écrit que John Huston ne devait pas connaître de répit. Si Dieu le sait connaît un succès public incontestable, le film est considéré par la critique comme une œuvre mineure, tout juste calibrée pour deux stars au sommet de leur popularité. Serait-ce pour le film ou pour son réalisateur ? Quoi qu'il en soit, Robert Mitchum et Déborah Kerr s'impliquent totalement, sans caprice ni exigence déplacée, dans le tournage de Dieu seul le sait. Cinéaste humaniste, aventurer invétéré, scénariste de génie, John Huston a mené tambour battant une carrière fleuve pendant près de cinquante ans. John Huston naît le 5 août 1906 à Nevada, dans le Missouri. Son père, Walter Huston, acteur réputé, et sa mère, Rhea Gore, journaliste et écrivain, divorcent en 1909. John est élevé entre son père, sa mère et sa grand-mère. Victime de la maladie de Bright en 1918, les médecins le disent condamné et c'est à cette époque qu'il reçoit la visite de Charles Chaplin, venu le distraire. Miraculeusement guéri, il reçoit une éducation militaire, devient boxeur semi-professionnel avant d'étudier les arts dramatiques à Los Angeles et d'apparaître en vedette sur les planches de Broadway....
15 kilomètres sous les chênes verts, la haute bruyère et les roches plates. Mais les 6 premiers kilomètres, jusqu'au prieuré de Grandmont sont féroces (433 mètres de dénivelé). Le chemin passe par Usclas-du-bosc (240 m), Grandmont (433 m), Sournons (409 m, avec une magnifique vue sur l'étang du Salagou) et Fignols (420 m), avant de redescendre en lacés serrés jusqu'à Lodève par le pont sur la Lergue. Logé à l'hôtel la Croix Blanche, avenue de Fumel.
Niché au pied de la colline du Malmont, Draguignan est une ville gaie et active qui règne sur une riche région plantée d'oliviers et de vignes. Ses toits de tuiles roses sont dominés par la Tour de l'Horloge et son joli campanile en fer forgé. La vieille ville veille jalousement sur les traces de son passé prestigieux : porches monumentaux, linteaux gravés, portes sculptées, vestiges de remparts, chapelles, couvents... autant d'invitations à la flânerie. Patrie adoptive de Georges Clemenceau, qui en fut de longues années durant le député, Draguignan est restée très attachée à ses traditions et à la culture provençale...