Yves Pujol règle ses "contes" au millimètre, se livre de façon très intime et nous raconte finalement... "notre vie" ! Drôle et tendre à la fois, il nous entraîne dans des situations comiques aussi surprenantes que familières et nous dépeint avec justesse les petits travers de la vie de couple et ceux de la société dans laquelle nous vivons. On découvre (ou redécouvre) la plume acerbe et pleine d'humanité de Georges Wolinski et celle très décalée des auteurs de Nicolas Canteloup..."Un spectacle attachant, désopilant et totalement déstressant" Nice MatinCo-écriture Georges WolinskiMise en scène Patrick Sébastien
19 kilomètres en suivant en partie la N134. En effet la pluie refait son apparition et nous n'avons pas l'intention de traverser la forêt Pyrénéenne dans la boue. Six heures de marche sur la route qui monte avec un dénivelé moyen : le hameau de l'Estanguet ( 480 m), Cette-Eygun (516 m), Borce (650 m), pour atteindre enfin Urdos (775 m) à hauteur de l'ancienne douane. Logé au Gîte Le Compostelle.
Chef-lieu du Département des Ardennes, Charleville-Mézières s'est consacrée depuis sa fondation à la rencontre et aux échanges. Elle est née en 1966 de la fusion de Charleville avec quatre communes voisines : Etion, Mézières, Mohon, Montcy-Saint-Pierre. Charleville-Mézières a pour cadre un patrimonial historique et architectural exceptionnel. La place Ducale, sœur de la place des Vosges à Paris, en est le joyau architectural...
En 1494, le Roi Charles VIII dîne à Saint-Crépin. Le village est alors considéré comme « Village étape » : Louis XII, Louis XIII, Richelieu, Catinat, Vauban, Berwick et d’autres y séjournèrent. En 1799, le Pape Pie VI « transporté » en France, y coucha. En 1488, les acteurs de l’inquisition contre les Vaudois s’installèrent au village : le curé de Saint-Crépin remplaça un moment le grand inquisiteur Alberto de Cattané. Lesdiguières s’empara du village le 9 février 1581 qui demeura sous domination protestante pendant 20 ans. En 1692, le Duc de Savoie envahit la région et installa son Etat-major au chef-lieu...
Le Lac de la Roche de rame - approximativement 200 mètres de long sur 100 mètres de large pour une surface d’environ 0,6 km2 - est d'origine glaciaire. Il est séparé de la vallée de la Durance par la Calla, lame ou serre rocheux, qui se poursuit vers le village avec la roche à laquelle la localité doit son nom. La roche et le serre paraissent avoir été isolés entre la branche principale de la faille de la Durance et une branche secondaire, plus orientale, sur laquelle serait installé le lac.Ils sont formés de dolomies triasiques qui portent de minces lambeaux de calcaires du Malm. Ceux-ci tapissent des anfractuosités, résultant d'une corrosion karstique d'âge jurassique, que finissent de remplir des marbres en plaquettes...
Le solstice d'été a un caractère particulier. Depuis la préhistoire, il frappe les esprits de tous ceux qui observent avec attention la renaissance de la nature après sa mort hivernale. Il attise les cœurs vers une espérance de vie et laisse entendre l'existence d'une éternité enfouie en l'homme. Bien d'autres vérités se cachent dans les flammes des feux purificateurs du solstice d'été. En Mésopotamie, en Egypte, en Grèce ou encore à Rome, les lumières de la manifestation du cycle solaire ont été le support de nombreuses réjouissances et de mystérieuses initiations donnant, à ceux qui savent lire la nature, la conscience du destin humain sur Terre. Le christianisme reprendra les témoignages traditionnels de la vraie Lumière venant dans ce monde sous les paroles de saint Jean. La franc-maçonnerie moderne a conservé un rituel pratiqué en juin à la Saint Jean d'été et très peu d'ouvrages lui ont été consacrés. C'est ce rituel qu'Alain Pozarnik explicite, phrase par phrase, afin que les pèlerins puissent suivre le chemin naturel du devenir humain.Initié en 1972, Grand Maître de la Grande Loge de France de 2004 à 2006, Alain Pozarnik a consacré sa vie à la recherche du sens de l'évolution de l'homme dans la Création. Il est l'auteur de nombreux articles et d'une dizaine d'ouvrages de références qui font autorité...
18 kilomètres en forêt de buis. La piste qui s'enfonce dans le vallon du Gave d'Aspe, offre des passages en balcon qui nous font découvrir des paysages magnifiques. Elle traverse les hameaux d'Escot (332 m), Sarrance et son abbaye (360 m), Ponsuzou (361 m) avant de grimper plus loin sur Bedous (420 m) que l'on franchit, sous la pluie, par un pont sur la N134. Logé au Gîte chez Michel, rue Gambetta.
C'est un ouvrage à plusieurs niveaux avec deux fronts bastionnés, sa particularité vient d'un imposant mur (2,20 de large X 9,30M de haut) qui traverse le fort dans le sens de la longueur et sur lequel est adossé le seul bâtiment de casernement. Dans un état de délabrement avancé, ce fort appartient toujours à l'armée qui l'utilisait il y a encore peu de temps comme lieu d'entraînement aux combats de rue....
Du rempart, observez le nœud stratégique de vallées. Voyez les montagnes du Queyras aux mille randonnées, les stations de ski de Vars et Risoul, les glaciers des 4.000m du massif des Ecrins. Entrez, laissez aller votre imagination et voyez les soldats du roi en tunique, tricorne et longs mousquets surgir des bastions. D'ailleurs ils le refont pour vous tout l'été. Le Fort Dauphin Ce poste avancé construit en lisière de forêt assurait la surveillance du Vallon du Fontenil et la protection du Fort des Têtes, il permettait avec son vis-à-vis le Fort des Salettes de verrouiller parfaitement la route de l'Italie...
La place forte de Mont-Dauphin construite par Vauban à partir de 1693 fait partie des 12 sites majeurs Vauban inscrits au Patrimoine mondial de l'UNESCO. Derrière ses remparts en marbre rose, vous verrez les casernes où vivaient les soldats de Louis XIV, les échauguettes sur l'à-pic où ils veillaient, la poudrière, l'arsenal où ils gardaient armes et poudre. Vous trouverez aussi un village insolite où 140 habitants vivent, comme tout le monde, mais dans un cadre extraordinaire de soleil méridional, de neige éblouissante, de silence et de pierres chargées d'histoire...
11 kilomètres en forêt sur un dénivelé de cent mètres, on s'enfonce progressivement dans les entrailles des Pyrénées. Le chemin emprunte la route des Crêtes (311 m), passe par Eysus (285 m) pour entrer dans Lurbe (305 m) par le complexe thermale. Logé à l'hôtel Au Bon Coin, route des Termes.
Des professionnels de la montagne et du tourisme sportif se sont installés, d'où le développement des nombreuses activités de loisirs liées à l'eau comme l'eau vive dont le stade est de dimension internationale, le « canyonning » ou l'escalade de cascade de glace en hiver. La commune voit une partie de son territoire inclus dans la zone centrale du Parc National des Ecrins ; pour encourager la randonnée, l'escalade sur roche, la pratique du VTT, la commune se nomme « Porte de la Haute Montagne »...
L'arrivée du chemin de fer dans les années 1870 permettra l'approvisionnement en matières premières industrielles, venues de Provence. Le développement des industries métallurgiques est lié à celui des sources de l'énergie électrique, notamment d'origine hydraulique. La construction de la Centrale est réalisée dès 1906 par l'ingénieur lyonnais Gilbert Planche. L'ensemble, par la longueur des tunnels d'amenée, et le tracée des conduites enjambant la Durance par le « Siphon » (labellisé « patrimoine du 20ième siècle » par l'Etat), constitue une réalisation remarquable pour l'époque...
Dès le 13ème siècle, les Vaudois, déclarés hérétiques en 1183, trouvèrent refuge à L'Argentière. En 1488, les troupes inquisitoriales pénétrèrent les vallées argentiéroises et lancèrent une véritable croisade contre les vaudois. En contrebas se situe la chapelle Saint-Jean Baptiste, édifiée au 12ième siècle par l'Ordre religieux des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Cet édifice, bijou de l'art roman fut l'objet de fouilles archéologiques d'ampleur, de 1999 à 2005...
Pour beaucoup de peuples, la parole est la première manifestation divine à l'origine de la création. Le Verbe s'est fait chair et a mis de l'ordre dans le chaos. Mais dans le même temps, ce passage du non-manifesté au manifesté a conduit à la dispersion de la parole primordiale et finalement à sa perte. La rechercher et la retrouver parmi les éléments épars est un but essentiel de la quête maçonnique. Mais comment faire ? Où et comment chercher ? Et pour en faire quoi ? Explorant tous les aspects de la parole, de la plus profane à la plus sacrée, Sophie Perenne défriche les chemins à emprunter pour retrouver une parole riche de sens qui éveille et élargit l'âme, une parole de lumière qui émane du plus profond de soi pour s'adresser à ce qu'il y a de plus profond en l'autre, une parole de même nature que le logos créateur. La redécouverte de la puissance créatrice de la parole est la pierre de fondation d'une authentique fraternité universelle.Sophie Perenne vit en Belgique où elle a étudié la philosophie à l'Université de Louvain. Elle anime des séminaires de maîtres et donne des conférences en Belgique, en France, en Espagne et en Suisse. Elle a publié l'Obscure lumière des sages, une introduction à la Voie ésotérique, La Vision paradoxale ou l'art de concilier les opposés et chez MdV Editeur, Le Chœur des Maîtres...
20 kilomètres, essentiellement en forêts et sous bois. On renoue avec un parcours plus conséquent et cette étape très accidentée nous change des précédentes. Le dénivelé rend la pérégrination plus difficile, mais le poids du sac n'est plus ressenti. Le chemin passe par les hameaux du Haut Estialescq et Goés avant de pénétrer dans Oloron par une série de ponts sur la Gave. Logé à l'hôtel de la Paix, avenue Sadi Carnot.
Plampinet ou Plan - Pinet, le plat boisé de pins, petit village au coeur de la vallée de la Clarée. Un village construit en rond, du temps où la vie ensemble était le quotidien de la communauté, et où la route n'était qu'accessoire. Un vrai village "petit pays perdu près de la frontière", comme disait un gars d'ici. Il y a là une quarantaine de maisons, essentiellement des fermes, depuis le 13ème siècle au moins. C'est avec Ville haute le plus vieux village de la vallée. Un vrai village, car il y avait là tout le nécessaire : église, four, moulins, forge, et en bas la rivière, la Clarée. L'église présente des peintures murales du 16ième siècle et des tableaux d'un peintre natif du village, Hippolyte Laurençon (1754 - 1827)...
Bardonecchia a toujours été caractérisée par une très forte vocation religieuse et un sens artistique développé qui permet aujourd’hui d’offrir aux visiteurs un patrimoine artistique et architectural d’exception. En effet, vous pourrez trouver ici 53 édifices religieux disséminés sur tout notre territoire (à partir du cœur de la ville jusqu’aux cimes) où de petites églises ou chapelles veillent sur la Haute Vallée de Suse. Les itinéraires religieux qui vous emmèneront à la découverte de ces édifices, clochers, retables, fonts baptismaux, sculptures, fresques… ne manqueront pas de vous surprendre. La présence de cet important patrimoine vous offrira l’occasion de marier une rapide promenade à la découverte d’un véritable trésor alpin niché dans un exceptionnel écrin de nature. Les églises sont en général ouvertes et accessibles durant toute l’année.
Plus de 40 gardiens vous attendent pour partager cette expérience...
Et vous, que feriez-vous si 'La Mort" débarquait dans votre salon ?! Caroline et Franck forment un couple classique, donc en crise... A la limite de 'l'implosion sentimentale". Ils ont délimité leur appartement en deux et enchaînent les mesquineries réciproques pour faire craquer l'autre ! C'est au beau milieu de ce champ de bataille que s'invite la mort, maladroite, sensible et que l'on n'osait imaginer aussi drôle ! Une comédie survoltée avec de l'action, du suspense, des quiproquos, et des répliques qui fauchent tout sur leur passage ! Avec Emmanuel Vieilly, Amélie Robert et Olivier Maille...