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  VEF Blog

Les Black's Foot

le 31-05-2011 08:00

SEXUS

LA CRUCIFIXION EN ROSE...

En 1923, Henry Miller est un père de famille salarié qui travaille comme chef du personnel dans la Compagnie du télégraphe où il a commencé comme petit télégraphiste. Soudain, il va tout quitter pour vivre une existence entièrement libre.    Révolté par le « cauchemar climatisé » de la civilisation américaine, il renonce à toute sécurité, choisit la clochardise, l’alcool et une sexualité débridée qui ne recule devant aucun tabou.    A partir de ses amours tumultueuses avec Mona-Mara, infatigable chasseur, il ira jusqu’au bout des ses obsessions sexuelles – jusqu’à l’abjection.    Dans le même temps, et en exerçant tous les métiers pour survivre, il élabore une œuvre volcanique, pleine de vie, d’images, de situations provocantes, qui restitue et illustre sa révolte profonde.
 


 
 
le 26-05-2011 21:01

LE MOT DU WEBMASTER

BONJOUR LES AMI(E)S VISITEURS ET VISITEUSES
LE WEBMASTER RENTRE DANS LE SILENCE POUR QUATRE JOURS...
 


 
 
le 26-05-2011 08:08

DELACROIX, LE TIGRE DU ROMANTISME

15 mars 1832. La petite troupe de voyageurs, partie dix jours plus tôt de Tanger, voit soudain s’élever, dans une lumière poussiéreuse, la splendide ville de Mekhnès. Aussitôt surgissent de partout des cavaliers arabes : précédés du « porteur de paroles » de l’empereur du Maroc, ils viennent saluer le comte de Mornay, envoyé du roi Louis-Philippe, et son compagnon, le peintre Eugène Delacroix.    Arrivés au pied des murailles, les envoyés français sont prisonnier d’une foule en liesse, à laquelle l’empereur a demander de fêter dignement ses invités. Pendant des heures, Delacroix, fasciné par la beauté du spectacle, goûte un de ces plaisirs « Qu’on peut, dit-il, fort bien souhaiter n’éprouver qu’une fois dans sa vie ! » De tous côtés, des cavaliers tirent des milliers de coups de fusil. Les burnous de la garde impériale tournoient autour de lui, comme tourbillonnent les pantoufles jaunes, les cimeterres d’argent, les éperons dorés, les ceintures violettes et les porte cartouches brodés d’or.    Ce jour-là, écrasé de chaleur et de fatigue, couvert d’une poussière qui rend plus ternes encore ses habits d’Européen, Delacroix découvre, très loin de toutes les écoles de peinture, les contrastes les plus crus et les plus beaux, les gestes les plus héroïques, la violence et la poésie mystérieuse d’un pays qui restera toujours pour lui celui de la couleur.    Une naissance mystérieuse, il serait le fils naturel de Talleyrand - Il manque être noyé, brûlé, empoisonné ! – Par amour, sa maîtresse devient peintre – Son plus grand admirateur : Baudelaire – Au Jardin des Plantes, il croque les fauves – Ebloui par l’Orient, son œuvre exalte la violence des couleurs et la cruauté des hommes – Ami de Baudelaire et Chopin, il est fêté dans les salons du Second Empire…
 


 
 
le 25-05-2011 07:31

S COMME SAN JOSE - COSTA RICA

San José est situé sur un petit plateau entouré de deux chaînes de montagnes pittoresques. Il n'y a pas de maisons de l'époque coloniale à San José. Cela est moins dû aux séismes qui secouent cette ville de temps à autre qu'à sa fondation tardive, en 1737.

 


 
 
le 24-05-2011 05:34

LE MAITRE SECRET

LES HAUTS GRADES...

Assassiné, Maître Hiram est ressuscité dans tout nouveau Maître Maçon. Mais la légende ne s’arrête pas là, et le Rite Ecossais Ancien et Accepté (REAA) a développé une série de « Hauts grades », considérés comme un « cycle de perfection ».    Voici le premier d’entre eux, le grade de « Maître Secret ». Quelle est la symbolique, quelles sont les clés du grade, comment se présente la Loge où est célébré le rituel, de quel secret est-il question ?    A l’aide d’une abondante iconographie, Percy John Harvey entreprend l’étude approfondie du premier des Hauts grades.    Ce volume est le premier d’un trilogie consacrée au Grade de Maître Secret (4ième du REAA).De culture franco-britannique, Percy John Harvey est ingénieur dans le domaine aéronautique et spatial. Franc-Maçon depuis trente ans, il s’intéresse à l’iconographie sacrée et à l’herméneutique. Il signe ici son 2ième ouvrage dans cette collection…
 


 
 
le 23-05-2011 08:31

S COMME SOMONE - APRÈS LA PÊCHE - SENEGAL

Images sans parole....Tout à une fin !

Armand, Collection privée 2004, 

 


 
 
le 22-05-2011 07:14

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Panorama dans l'Isalo, sud de Madagascar.
 


 
 
le 21-05-2011 06:36

L'AMAZONE AUX YEUX VERTS

Rocklin arrive à Santa Inez où d’inexplicables assassinats ont eu lieu. Echappera-t-il au complot qui se trame déjà autour de lui ? Qui, de la blonde Clara ou de la brune Arly, saura le séduire ?    Afin d’honorer son contrat avec les dirigeants de la R.K.O., John Wayne accepte de tourner dans ce western écrit par son ami Paul Fix. Le projet est confié à un habile artisan nommé Edwin L. Marin.    Des comédiens, complices de longue date du « Duke », donnent la réplique à deux nouvelles venues au charme indéniable.    La critique française tire à boulets rouges sur le film, dénonçant son classicisme et son manque d’originalité.    En vingt années de carrière et une pognée de westerns de référence, Edwin L. Marin reste un petit maître d’Hollywood.    Né le 21 février 1899 à Jersey City, dans le New Jersey, l’Américain Edwin L. Marin se fait connaître dans la profession dès 1930, en tant qu’assistant d’Alexander Korda (Women Everywhere). En 1932, il dirige The Death Kiss, un thriller interprété par un Bela Lugosi alors au faite de sa gloire. L’année suivante, il met en scène une aventure de Sherlock Holmes intitulée A Study in Scarlet…
 


 
 
le 20-05-2011 07:04

MARTIAL SOLAL

A l’image du très romantique Bill Evans, Martial Solal a repoussé jusqu’à des frontières jusque-là insoupçonnées le langage musical du trio de jazz. Symbole par excellence du pianiste virtuose, il est encore un compositeur et un arrangeur pour le moins inspiré – en témoignent par exemple ses partitions écrites pour le septième art. bref, Martial Solal est l’un des très rares monuments du jazz made in France.    Des clubs de Saint Germain des Près, qui ont connu leur grande époque au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, aux prestigieuses salles de concert, parisiennes ou internationales, Martial Solal s’est affirmé comme l’un des pianistes virtuoses les plus pénétrants de la scène jazz.
 


 
 
le 19-05-2011 09:31

ROUSSEAU, LE NAÏF FLAMBOYANT

Novembre 1908. Picasso, qui vient d’acheter pour rien, chez un brocanteur, un « Portrait de femme » du Douanier Rousseau, organise en l’honneur du peintre un banquet dans son atelier du Bateau-Lavoir à Montmartre. Rousseau, qui est arrivé plein de timidité, plus pauvre et plus rayonnant que jamais, trône maintenant, ravi, sous les lampions.    Max Jacob, Georges Braque, Maurice de Vlaminck, Gertrude Stein et Marie Laurencin trinquent et boivent à la santé du grand homme. Le peintre joue au violon sa valse « Clémence » tandis que la cire d’une bougie coule sur sa tête sans le troubler, et lance sans façon à Picasso : « Nous sommes les deux plus grands peintres de l’époque ! » Guillaume Apollinaire monte sur l’estrade et dédie un poème improvisé à son ami Rousseau.    L’atmosphère devient exubérante : deux invités font semblant de se battre pour faire peur aux Américains en smoking ; Marie Laurencin, ivre s’écroule sur un canapé ; et Picasso rend au « maître » des hommages de plus en plus fantaisistes et bruyants… Cette folle nuit marque le couronnement, par ses pairs, d’un génie méconnu ; elle est aussi la grande avant-première des manifestations surréalistes, explosion d’art, de bonne humeur et d’insolente liberté. Mais demain, la fête passée, Rousseau retrouvera sa vie de peintre solitaire : aux cris du Bateau-Lavoir succèdera le profond silence des jungles superbes et des pays magiques…    Un mois de prison, 4 ans d’armée, pour 15 francs ! – Pour manger, il joue du violon dans les rues – Traîné en justice pour escroquerie… - « Un grand poète a besoin d’une grande muse » - Un monde mystérieux, des rêves exotiques hantent ses tableaux – Les folles nuits de la belle époque, il joue du violon pour Picasso et Apollinaire…
 


 
 
le 18-05-2011 03:07

LE PALANQUIN DES LARMES

Mariée de force lors de l’avènement de la Chine nouvelle, la jeune écolière Chow Ching Lie, choisie pour sa beauté exceptionnelle par la plus riche famille de Shanghai, monte à 13 ans sur le palanquin fleuri qui la conduira dans sa belle famille : pour elle se sera le palanquin des larmes.    Ecrasée sous la tutelle d’une belle-mère tyrannique, Chaux Ching Lie arrivera quand même à devenir une pianiste internationale. En même temps que son drame personnel, elle nous fait vivre à travers ses yeux d’enfant, ses larmes de jeune mariée et ses joies de mère, les bouleversements d’une Chine ancestrale face à la révolution de Mao Tsé Toung.    « Parmi les livres, si nombreux, qui nous parlent aujourd’hui de la Chine, celui-ci me paraît unique », estime Joseph Kessel, qui présente l’ouvrage. Et d’ajouter, évoquant la personnalité de Chow Ching Lie : « Et c’est cela qui nous importe : cette voix – mariage étonnant de délicatesse et de franchise – dont nous pouvons plus nous détacher. Car cette femme dont nous connaissons la vie dans ses moindres replis, il est impossible de ne pas l’aimer. »
 


 
 
le 17-05-2011 07:08

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - FRANC PACIFIQUE

Le franc Pacifique, également connu sous le nom de franc CFP, est une monnaie qui a cours dans les collectivités françaises de l’océan Pacifique : Nouvelle-Calédonie, Polynésie française et Wallis-et-Futuna.    Le franc CFP a été créé en décembre 1945 en même temps que le franc CFA, après les accords de Bretton Woods.    D’après une étude des services de l’Assemblée de Polynésie française, légalement, le franc CFP signifie toujours « franc des Colonies françaises du Pacifique », appellation fixée par décret le 26 décembre 1945. Bien que l’appellation CFP ait évolué en « Communauté financière du Pacifique » puis aujourd’hui en « Change Franc Pacifique », il n’existe aucun texte officiel modifiant l’appellation de 1945.    Il a le code ISO 4217 de monnaie : XPF. L’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM) est la banque centrale des territoires français du Pacifique.    La parité officielle du franc Pacifique est fixée par l’arrêté du 31 décembre 1998 à :  1 000 XPF = 8,38 € (exactement), 1 XPF = 0,008 38 €, 1 € ≈ 119,3317 XPF (environ).    Ainsi tout en conservant leur monnaie, les collectivités françaises du Pacifique (Nouvelle-Calédonie, Polynésie française et territoire des îles Wallis-et-Futuna) bénéficient des effets positifs de la monnaie unique et notamment de l’accès sans risque de change aux marchés de la zone euro.    Bien que fixe, la parité du franc CFP a évolué depuis sa création. De 1945 à 1998, la parité du franc pacifique était fixée par rapport à celle du franc français, mais depuis 1999 et l’adoption par la France de l’euro comme devise officielle, il n’y a plus de taux de conversion directe entre le franc Pacifique et le franc français, et c’est par rapport à l’euro que la parité du franc CFP est fixée.    On constate que le passage de la parité avec le franc à la parité avec l’euro a très légèrement dévalué le franc Pacifique par rapport au franc français, puisque le taux de parité avec l’euro a été arrondi. Mais cela a l’avantage de conserver un taux de conversion exact avec l’euro, et de limiter les erreurs d’arrondis qui auraient été disséminées dans l’économie franc Pacifique par la transition à l’euro. La légère différence causée par cette dévaluation a été compensée par un apport de la Banque de France au fond légal de l’IEOM garantissant la valeur du franc Pacifique auprès des banques et institutions monétaires internationales. Cette différence est également inférieure aux variations journalières de cotation de l’euro ou du franc CFP avec les autres devises sur les marchés internationaux.    Deux jeux de pièces sont émis actuellement : le premier circule en Nouvelle-Calédonie et à Wallis-et-Futuna, le second en Polynésie française. Ils comprennent tous deux des pièces de 1, 2, 5, 10, 20, 50 et 100 francs Pacifique.    L’avers commun représente Minerve sur les pièces de 1 à 5 XPF et Marianne sur les pièces de plus grosses valeurs.    Depuis 1992, les billets ne sont plus distingués par le chef-lieu du territoire d’émission (Nouméa ou Papeete).
 


 
 
le 16-05-2011 06:54

M COMME M'BOUR - SENEGAL

Petite ville animée et port de pêcheurs de 4500 habitants, à 80 km au sud de Dakar, sur la route Nationale 1 et à 5 km de la station balnéaire de Saly.

 


 
 
le 15-05-2011 07:08

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Vallée Grana, Caraglio, Eglise de S. Giovanni, Italie.

 


 
 
le 14-05-2011 08:56

PENDEZ-LES HAUT ET COURT

Lynché pour un crime qu’il n’a pas commis, Jed Cooper réchappe par miracle de la pendaison. Devenu marshal fédéral sous les ordres du juge Fenton, il est décidé à se venger…        Avec Pendez-les haut et court, Clint Eastwood fonde sa propre maison de production et impose un metteur en scène alors pratiquement inconnu : Ted Post. L’acteur, quant à lui, accèdera définitivement au rang de star.        En fondant sa propre maison de production, Eastwood s’émancipe du système des studios. Pour mener à bien son projet, l’acteur s’entoure de personnes de confiance.      Si la presse du monde entier se fourvoie dans le décryptage du film, le public lui assure un triomphe.        Des grands espaces de sa jeunesse aux plateaux de cinéma, Ben Johnson a placé sa vie et sa carrière sous le signe du Far West.        Né le 13 juin 1918 à Foraker (Oklahoma), l’Américain Ben Johnson est issu d’une lignée d’authentiques cow-boys. Son père, champion de rodéo et expert du lasso, lui transmet très jeune le goût des grands espaces. Lorsqu’il accepte de convoyer du bétail pour Howard Hughes du sud des Etats-Unis vers la Californie, Johnson ne sait pas encore que sa vie va en être bouleversée. Sa mission accomplie, le jeune homme ébloui par Hollywood et le monde du cinéma, décide de rester sur place. Le cow-boy met ses talents de cavalier à profit pour faire ses débuts sur les plateaux. Dans les années 1940, il assure les cascades de John Wayne, Henry Fonda, Randolph Scott ou encore Robert Mitchum, qu’il double lors des séquences les plus périlleuses de l’Amazone aux yeux verts, La Ville des sans loi, Le fils du désert, Le Massacre de Fort apache… Parallèlement, il fait de la figuration dans certains de ces films, John Ford remarque bientôt ce cascadeur à l’allure décontractée et au charisme évident. Le réalisateur lui confie son premier rôle d’importance dans La Charge héroïque (1949) et récidive avec Rio Grande, un an plus tard…
 


 
 
le 13-05-2011 06:31

WEST COAST

Alliant le cool jazz de musiciens grandioses comme Lennie Tristano et Miles Davis, à la culture musicale de tradition européenne, des artistes virtuoses, d’adoption ou originaires de Californie, allaient définir les lignes d’un nouveau jazz. Le West Coast. Qui était aussi impressionniste que le bop avait été expressionniste. Ils s’appellent Stan Kenton, Dave Brubeck, Jimmy Giuffre, Shorty Rogers, Shelly Manne, Bill Perkins, Richie Kamuca…    Lennie Tristano participera pour beaucoup au rayonnement du jazz West Coast. Sa mission : faire du jazz californien une musique aussi impressionniste que le bop.    Si pour ce qui est du jazz, Los Angeles n’a pas la même aura que la Nouvelle-Orléans, ou Chicago, il n’en demeure pas moins que sur la West Coast on a su aussi ce que le jazz voulait dire. C’est le cas depuis Nat King Cole, Dexter Gordon et Charlie Parker, qui a joué au Billy Berg’s Club.
 


 
 
le 12-05-2011 06:13

LE GADLU, QUEZ ACO ?

On peut dire que, de toutes les œuvres de fiction, le Dieu de la Bible est le personnage le plus déplaisant : Jaloux, et fier de l’être, il est impitoyable, injuste et tracassier dans son obsession de tout régenter ; adepte du nettoyage ethnique, c’est un revanchard assoiffé de sang ; tyran lunatique et malveillant, ce misogyne homophobe, raciste, pestilentiel, mégalomane et sadomasochiste pratique l’infanticide, le génocide et le « filliicide ». voilà comment Richard Dawkins démarre son réquisitoire contre la Religion.    Thomas Jefferson était du même avis, décrivant le Dieu de Moïse comme « un être doté d’un caractère épouvantable, cruel, vindicatif, capricieux et injuste »…    L’Anthropologue Pascal Boyer poursuivra dans une anecdote personnelle qu’il raconte dans son ouvrage « Et l’homme créa les Dieux » : « dans un dîner à Oxford un des invités, un célèbre théologien de Cambridge, m’a dit en se tournant vers moi : « C’est ce qui fait que l’anthropologie est si fascinante et en même temps si difficile. Vous devez expliquer comment les gens peuvent croire de pareilles inepties ».    Peut-être que ce qui va suivre sera-t-il considéré et fustigé par d’aucuns comme propos iconoclastes. Mais j’ai confiance en l’esprit de tolérance de mes Sœurs et Frères francs-maçons…    Ce théologien de Cambridge, chrétien, croyait probablement à une certaine combinaison des idées suivantes :     Du temps de nos ancêtres, un homme est né d’une vierge sans l’intervention d’un père biologique.     Le même homme sans père a appelé pour le faire sortir de sa tombe un amis du nom de Lazare qui était mort depuis suffisamment longtemps pour qu’il sente mauvais, et Lazare est aussitôt revenu à la vie.    Cet homme sans père est lui-même redevenu vivant après être mort et avoir été enterré depuis trois jours.    Quarante jours plus tard, l’homme sans père est monté au sommet d’une colline et il a disparu avec son corps dans le ciel.    Si vous murmurez des pensées dans le secret de votre tête, l’homme sans père, avec son « père » (qui est aussi lui-même), entendra vos pensées et il pourrait agir en conséquence. Il est en même temps capable d’entendre les pensées de toutes les autres personnes dans le monde.    Si vous faites quelque chose de mal ou quelque chose de bien, le même homme sans père voit tout, même si personne d’autre ne le voit. Vous pouvez être récompensé ou puni en conséquence, même après votre mort.    La mère vierge de l’homme sans père n’est jamais morte mais elle est montée au ciel avec son corps par « assomption ».    Le pain et le vin, s’ils sont bénis par un prêtre (qui doit avoir des testicules), « devient » le corps et le sang de l’homme sans père.    Qu’est-ce qu’un anthropologue objectif ferait de cet ensemble de croyance s’il tombait dessus pour la première fois au cours d’un travail de terrain ? Voilà la question que je me suis posé !     D’abord il y a eu Copernic qui a enlevé à notre terre sa dignité de centre du monde, puis vint ce mécréant de Darwin qui supprima l’origine divine de l’Homme. Alors que nous reste-t-il ? à nous F:.M:. ? Le GADLU !    Mes Sœurs et mes Frères quand on m’a demander de m’asseoir dans cette chaire et de devenir le porte parole du GADLU j’ai eu comme un vertige. Surtout pas la félicité sanguinaire du chrétien qui part pour la croisade casser du Sarrazin, mais le doute du Franc-maçon face à une présence symbolique que j’ai du mal, moi, à identifie comme Dieux.     Je ne puis y adhérer. Très profondément et très sincèrement, je ne crois pas qu’il existe - ou a existé - quelque part un tel « Grand Architecte - ou Grand Créateur – De L’Univers ». Pour moi : point de Dieu Tout-Puissant, créateur et rédempteur, point de grand principe organisateur d’un monde aussi chaotique que le nôtre. Le concept de GADLU, selon moi, n’est que le reliquat des ukases de la franc-Maçonnerie anglo-saxonne viscéralement théiste.    Cependant, pour sauver le principe de ce GADLU cher aux théistes et pour me réconcilier un peu avec vous, je propose d’interpréter ce symbole en évacuant la signification divine.
 


 
 
le 11-05-2011 06:55

CONCERTO DU FLEUVE JAUNE

En décembre 1973, au théâtre des Champs Elysées, le Concerto du fleuve jaune, de Shi Shin Haï, était joué pour la première fois en Europe avec, en soliste, une jeune Chinoise au talent éclatant, Chow Ching Lie, premier prix de piano de l’académie Marguerite Long. Chow Ching Lie a été révélée au grand public par son premier livre, le Palanquin des larmes, publié en 1975.    L’auteur racontait son enfance et ses années de première jeunesse à Shanghai, dans une Chine encore médiévale : à treize ans, elle a été vendue par ses parents et mariée à un homme riche, qui devait la laisser veuve en pleine tourmente.    Avec ce nouveau livre, Chow Ching Lie reprend le fil de son récit. A 28 ans, elle débarque à Paris sans y connaître personne et sans savoir un mot de français. En moins de 15 ans, elle y fera fortune. C’est le triomphe du courage et du talent.    A travers ses confidences, qui constituent un autoportrait haut en couleur, où le pittoresque et le pathétique se rencontrent à chaque instant, c’est la Chine millénaire, avec ses légendes et sa sagesse, deux fois redécouverte avec attention et amour, qu’elle nous fait connaître…
 


 
 
le 10-05-2011 06:21

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - FRANC

5000 FRANCS (VICTOIRE)
    Type 1934 (impression à plat). Billet mis en circulation du 8 décembre 1938 au 27 juillet 1944. D’après une œuvre de Laurent. Impression polychrome, le motif central gravé en Taille douce, reproduit à l’identique.    Recto : Femme tenant une Victoire aillée dans un cercle de lauriers. Valeur en chiffres bleus et en lettres violettes.     Verso : La Victoire et le support gravés en impression à plat. Valeur en chiffres rouges.    Numérotation, date et signature en noire.    Filigrane : Buste de femme tenant un rameau.    Nombre d’alphabets 61 à 1500 (un alphabet = 25000 billets, 25 lettres de 1000 billets).     Nota : Les derniers alphabets à partir du 13 avril 1944 ne semblent pas avoir été retrouvé. En 1938, 1 200 000 billets furent imprimés. 600000 billets portant la date 13.10.1938 (taille douce) et 600000 billets portant la date du 8.12.1938 (impression à plat). Ces deux émissions sont encore recherchées de façon inégale, ce qui explique un écart important des cotes.
 


 
 
le 09-05-2011 07:24

S COMME SOMONE - LE MATÉRIEL DE PÊCHE - SENEGAL

Le casier à seiche : il s’agit d’un casier parallélépipédique. C’est un piège fixe, posé sur le fond avec une armature en fer recouverte par un filet fabriqué par les pêcheurs de préférence en fil de coton de 36 mm de maillage. L’armature en fer est de 8 à 10 mm de diamètre. Les casiers ont une longueur de 1,20 mètre, une largeur de 0,80 mètre et 0,80 mètre de haut. La technique de pêche consiste à placer à l’intérieur du casier un appât constitué de chair de raie ou de simples feuilles de cocotier. Les casiers sont ensuite placés sur des fonds de 10 à 15 mètres...
 


 
 
le 08-05-2011 08:24

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Marina de Puerto Deportiva, Marbella, Costa del Sol.
 


 
 
le 07-05-2011 09:20

LE GRAND SAM

Fortune faite, George Pratt charge son grand ami Sam McCord d’escorter sa future épouse de Seattle en Alaska. Le grand Sam reviendra avec une autre femme à son bras, la troublante Michelle.    Le Grand Sam appartient au domaine de la comédie mais emprunte au western ses décors et ses rebondissements dans l’intrigue, ce qui enchante John Wayne.    Avec le Grand Sam, John Wayne reconquiert son statut de star, tandis que Stewart Granger retrouve la joie de faire l’acteur.    La critique est unanime, Le Grand Sam réussit à trouver le parfait équilibre entre western et comédie.    Tout au long d’une carrière d’exception, riche de classiques de l’aventure, Stewart Granger a fait rêver des générations de cinéphiles.    Né en 1913 à Londres, James Stewart débute au théâtre et au cinéma en 1933. D’abord figurant, le jeune homme obtient des petits rôles plus importants dès 1939. Il change de nom, afin de ne pas être confondu avec l’acteur américain homonyme, et se transforme en Stewart Granger. Le début des années 1940 le voit devenir jeune premier dans des films en costumes comme L'Homme en gris (son premier succès public) et L’Homme fatal, deux films où il affronte James Mason, Granger côtoie le meilleur du cinéma britannique, tournant pour Terence Youg ou Basil Dearden, et est à l’affiche de grosses productions comme César et Cléopâtre et L’Archet magique. En 1950, il signe un contrat avec la MGM qui va faire de lui un star internationale…
 


 
 
le 06-05-2011 03:16

BARNEY KESSEL

Considéré par les critiques comme le plus doué des fils spirituels de Charlie Christian, Barney Kessel a su, avec une rare intelligence, s’adapter aux  courants de jazz les plus divers. Musicien de swing aux côtés de Benny Goodman, bopper après avoir entendu la musique de Parker, il s’est encore affirmé comme un musicien de studio particulièrement précieux. Aussi bien pour les artistes du rock and roll que pour Hollywood.    Une des forces de Kessel a été de jouer avec des musiciens venant d’horizons les plus divers comme Charlie Shavers et oscar Peterson.    Que ce soit dans le Big Band de Benny Goodman ou dans son Grammercy Five, Barney Kessel montrera pleinement ses dons de soliste. C’est en 1956 que Kessel monte un groupe avec le drummer West Coast par excellence, Shelly Manne.
 


 
 
le 05-05-2011 06:44

GOYA, LE TAUREAU BLESSÉ

2 mai 1808. La haine est dans Madrid. D’un côté, les cavaliers de Murat ; de l’autre, les Madrilènes, exaspérés par l’invasion napoléonienne. Chaque maison est une forteresse, chaque couteau est un poignard. Des femmes se jettent à la tête des chevaux, d’autres leur coupent les jarrets. Partout on saigne les soldats français, et la « promenade » militaire qui les a menés en Espagne tourne au massacre.    D’abord stupéfaits, ils réagissent, et c’est un autre carnage qui commence… Des têtes de moines décapités pleuvent dans les rues, des quartiers entiers sont nettoyés à coups de crosse et de fusil, les pelotons d’exécution crépitent sans arrêt. Le 3 mai, Murat, dont la victoire est désormais complète, fait fusiller sur place tout Madrilène porteur d’une arme, blanche ou à feu.    Goya, qui a suivi minute par minute ces débordements de violence, vomit son dégoût. Il ne sera plus jamais le même homme : bouleversé par tout ce sang, hanté par toute cette épouvante, son génie va changer, courbé sous le poids de l’horreur et de l’innommable…    Il échoue à tous les concours de peinture – Neuf cents kilomètres à dos de mule - A quarante-deux ans, il devient sourd – A Madrid, la révolte est écrasée dans le sang – Témoin du massacre du peuple espagnol par l’armée française -  Des visions d’horreur ses tableaux brillent d’une sombre violence…
 


 
 
le 03-05-2011 09:14

SOLEIL NOIR

LE ROMAN DE LA CONQUÊTE...

    De la Conquête de 1532 il reste un pays de montagne et de mer où les oiseaux vont mourir. Nous nous souvenons mal de cette poignée d’hommes lancés à l’assaut d’un Empire qui avait alors la taille d’un continent. Il fut réduit en cendres, ne laissant que pierre sur pierre.    Ce livre est une œuvre de fiction, plantée dans les décors de la Bolivie et du Pérou, pays qui constituaient jadis le cœur de la civilisation inca. La trame historique est fondée sur les chroniques de l’époque et tirée des archives des principaux centres d’histoire et d’ethnologie de ces deux pays, auxquels s’ajoute l’Espagne.    « Le jour de mon arrivée à Potosi, sur le toit bolivien, je me doutais un peu que ce lieu dissimulait une pauvreté humiliante. Ce fut toutefois au sortir de la mine que je sus que l’endroit était le véritable nombril de la misère humaine. J’étais arrivé en simple voyageur. Ce que j’y ai vu suffirait à faire de tout être normal un révolutionnaire ».
 


 
 
le 02-05-2011 08:30

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - FRANC

1000 FRANCS (RICHELIEU)
    Type 1953. Billet mis en circulation du 2 avril 1953 au 5 septembre 1957. D’après une œuvre de Clément Serveau. Impression polychrome.    Recto : Effigie de Richelieu devant le Palais Royal.     Verso : Porte monumentale de la ville de Richelieu (Indre et Loire).    Numérotation, date et signature en noire.    Filigrane : Profil de Richelieu.    Nombre d’alphabets 336 (un alphabet = 2 500 000 billets, 25 lettres de 100 000 billets).     Nota : Les alphabets 325 à 334 ont été surchargés en rouge contre-valeur de 10 Nouveaux Francs. L’alphabet 325 peut se rencontrer en lettre W sans surcharge. On remarque que le numéro 26 porte la date du 5/9/1957, date qui est postérieure à celle des billets surchargés (rare).
 


 
 
 

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