Très attrayante, Mirepoix propose de nombreuses animations d’avril à novembre (Médiévales, festival de la marionnette, créatitudes artisans d’Art, fête de la pomme...). A ne rater sous aucun prétexte : le grand marché du lundi matin ! Vous vous régalerez de flâner entre les étals dans une ambiance conviviale et colorée...
La belle bastide de Mirepoix est située dans le Pays des Pyrénées Cathare, labellisé Pays d’Art et d’Histoire. La ville fut reconstruite selon les plans réguliers des bastides après une vaste inondation en 1289. La place a conservé sa structure originelle et médiévale. Vous pourrez y observer ses couverts du 15ième siècle et de superbes maisons à colombages sur galeries de bois. Mirepoix est célèbre pour la Maison des Consuls ornée de pièces de bois sculptées, et pour son ancienne cathédrale Saint Maurice aux dimensions impressionnantes (22 mètres en largeur)...
Un capitaine des Gardes, deux Gardiens du Seuil, deux rangs de Chevaliers de l'Aigle Rouge se faisant face, un Prieur et un Chancelier sous la direction d'un Illustre Chevalier de la Toison d'Or, le tout entre deux ovales représentant les maisons célestes et le zodiaque, nous voilà plongé dans les arcanes de la Chevalerie. Il ne nous manque plus que le fameux destrier noir pour avancer dans la connaissance. Alors, pour Aborder la chevalerie en Franc-maçonnerie et par prolongement la comprendre, il faut en premier lieu la transférer dans son champ historique originel. Tout commence par l'incontestable déclin de l'autorité centrale, plus particulièrement en "Francie" au cours du 9ième siècle et va conduire l'église à proposer un code de conduite aux guerriers pour échapper au pillage de leurs biens. En effet depuis les successeurs de Charles Martel et la partition de l'empire au traité de Verdun, c'est l'anarchie féodale qui règne en maître. Les princes et châtelains font peser leur tutelle envahissante, les potentats locaux, les seigneurs, entourés de leurs sbires en armes (les milites), contestent les anciennes donations, spolient les terres des églises, les pillent à l'occasion, menacent et terrorisent, incendient, enlèvent contre rançon, font peser sur les populations et les églises des exactions diverses. Le château, lieu de refuge, est parfois aussi un repaire de brigands. Et c'est pour s'en prémunir que le pouvoir religieux utilise l'arme de l'idéologie à travers deux mouvements, la "paix de Dieu" (Concile de Charroux en 989) et la "trêve de Dieu" (Concile d'Elne en 1027). Ainsi à l'instigation de l'église de Saint Pierre, lorsque les sarrasins écument les côtes italiennes, menacent et pillent Rome, Léon 4, puis Jean 8 appellent à l'aide les guerriers francs et n'hésitent pas à promettre le paradis à ceux qui mourraient dans de tel combats. On assiste à une sacralisation manifeste des guerriers combattant pour la cause pontificale contre les ennemis de toute sorte, qu'ils soient musulmans et plus tard hérétiques, schismatiques ou simplement rebelles au pouvoir théocratique de la papauté. Naissent, alors, les Templiers, Hospitaliers et Teutoniques. Et c'est sous Urbain 2 à la suite de huit siècles d'évolution lente que les milites sous l'influence des soldats de Dieu adoptent cette philosophie qui s'impose comme modèle aux guerriers, avec ses techniques de combat et ses valeur, forgeant pour longtemps, bien au-delà du Moyen Age, un nouveau type de héros, le chevalier, et un nouvel idéal l'étique chevaleresque. On constate qu'à cette époque, l'étique consistait à prêcher par l'épée une religion d'amour ? Réalité d'une idéologie religieuse pas si éloignée du djihad de l'islam... Après ce moment d'histoire nécessaire à la compréhension, découvrons maintenant sa représentation philosophique originel pour mieux diriger notre destrier qui au passage est devenu blanc. L'ethnologue Georges Dumézil, dans ses études sur les civilisations indo-européennes nous donne un éclairage en nous rappelant qu'il s'agit là d'une vision tripartite des fonctions sociales, à partir d'une base essentiellement patriarcale. Il nous fait découvrir la fonction de puissance combattante et la force physique, celle de la fécondité et de la production de richesse et celle du pouvoir spirituel et de la sagesse. Cette tripartition d'origine va se perpétuer dans toutes les civilisations qui ont essaimé à partir de cette souche mère. Exemple en Inde où les distinctions sont encore vivaces, la production des richesses est liée au corps puisqu'elle implique la manipulation des matières et des produits. C'est la voie du Karma, des artisans ou Vashyas. La puissance combattante est liée à l'âme et correspond au psychique. La voie des guerriers, celle des Kshatriyas et celle de Bhakti. La grande épopée qui la chante est le Mahabaratha (jusqu'au 4ième siècle av. J.-C.). Enfin les Brahmanes se consacrent à la voie de Jnânâ, monde spirituel, celui de la sagesse. Dans la Rome antique, trois flammes majeures étaient vénérées : Jupiter pour la sagesse souveraine, Mars pour la force et Quirinus pour la fécondité.
Peter, Paul and Mary est un groupe américain de musique folk composé de Peter Yarrow, Noel « Paul » Stookey et Mary Travers. Ce trio musical, guitare et voix, était connu dans les années 1960-1970, dans la lignée de Pete Seeger, Woody Guthrie. Il s'est rendu célèbre, notamment en interprétant des chansons de Bob Dylan, telles que Blowin' in the Wind (ils en sont les premiers interprètes) , et Le Déserteur de Boris Vian. Ils sont aussi les interprètes de Early Morning Rain, popularisé en français par Joe Dassin sous le titre Dans la brume du matin. Et pourtant ! Si Peter, Paul and Mary ont bel et bien été parmi les artistes phares du folk revival et s'ils ont été de toutes les luttes - ainsi, en 1963, ont-ils participé à la marche de la liberté organisée par Martin Luther King à Washington, de même qu'au festival de Newport où ils montèrent sur scène avec Bob Dylan -, leur répertoire ne puise pas pour autant exclusivement aux sources du folk.
Même la crise du catharisme n’entrave pas cette croissance. Pamiers, fief de l’orthodoxie, est récompensée de sa fidélité par le pape Boniface VIII qui crée l’évêché de Pamiers en 1295. Une autre conséquence de la Croisade contre les Albigeois : l’installation dans les murs des ordres monastiques chargés de lutter contre l’hérésie : Dominicains (rue des Jacobins), Franciscains (place des Cordeliers), Carmes (rue des Carmes) et Augustins (Loumet). Le support économique n’est pas moins important : dotée d’un riche terroir et d’une main d’œuvre abondante, Pamiers favorise un commerce actif dont les produits de base sont les draps et le vin. Renommé jusqu’à la Cour du roi de France, également vendu aux Anglais à Bordeaux, le vin était embarqué sur l’Ariège alors navigable, à partir de Pamiers, au port du Jeu du Mail. Cette prospérité est gravée dans le décor urbain avec les maisons à colombages, les clochers, les tours de défense, ainsi que les canaux dérivés de l’Ariège qui alimentaient en eau les moulins tout en assurant la défense de la ville...
Au 10ième siècle, sur le territoire de « Frédélas » (l’actuelle Pamiers) est bâtie l’abbaye Saint-Antonin, dont la première mention écrite date de 961. En 1111, un accord sous forme de paréage est conclu entre l’abbé Isarn et le comte de Foix, Roger II. Dans cet acte, le nom de Pamiers est donné au seul château bâti sur la butte du Castella (« Castrum Appamie », d’Apamée en Syrie, en souvenir de la participation à la première croisade du comte Roger II). Le nom « Apamée », devenu plus tard « Pamiers », a donc été donné au château avant de l’être à la ville dans le courant du 12ième siècle. Ce siècle est celui du premier développement de la ville. Mais les seuls témoins lapidaires de cette période de prospérité sont l’église du Mas Vieux à Cailloup et les portails romans de l’église du Mercadal (Cathédrale) et de Notre-Dame du Camp (remanié au 19ième siècle)...
Nichée au creux d'un vallon du piémont pyrénéen, entre Foix et St Girons, l'Abbaye de Combelongue offre le charme et le prestige d'un lieu chargé d'histoire. Fondée en 1138 par le Comte de Pallars, elle reçut en 1154 le roi Louis VII, en route vers St Jacques de Compostelle. Cet édifice roman de style mudéjar, classé monument historique, est l'un des fleurons du patrimoine du Couserans. Du jardin médiéval au jardin à la française, son parc labellisé "jardin remarquable" propose une promenade à travers les âges. C'est aujourd'hui une demeure privée ouverte à la visite...
Il y a 57 ans le village de RIMONT était anéanti dans les flammes par une colonne ennemie qui tentait d'échapper à l'étau des armées débarquées le 15 août en Provence et de la Résistance Intérieure. Le lendemain, la capitulation de ces hordes barbares était signée à Castelnau Durban après une lutte héroïque de tous les patriotes du département ou d'ailleurs et de leurs camarades espagnols. Au cours de ces deux journées 13 civils et une douzaine de maquisards périrent...
Avec ce grade nous sommes en concordance avec celui que nous utilisons dans notre 1er Ordre. Je pourrais longuement vous raconter, à la manière d'Irène Mainguy, que ce rituel est un assemblage du Maître Elu, dit des Neuf et de l'Elu de l'Inconnu ou Elu de Pérignan. Qu'il a été précédé par le Rituel du Conte de la Barre (qui en passant est marqué du symbole de la Loge martiniste ?) et qu'il existe aussi l'Histoire du 1er Elu Irlandais dont le tapis de Loge porte en son centre un berceau contenant un enfant, nous ramenant inévitablement à la philosophie alchimique. Tous cela est intéressant pour le chercheur et l'historien de la FM, mais n'est que bavardage périphérique pour le cherchant. Ce qui est important pour tous les grades et en particulier pour celui-ci c'est d'éviter de confondre un ou des symboles, avec l'étape initiatique elle-même, de même qu'il est dangereux de confondre l'étape avec l'initiation. On est initié qu'une fois en maçonnerie lorsqu'on est reçu apprenti. Tous les grades reçus ensuite correspondent à des étapes initiatiques successives, ce sont des clés complémentaires qui permettent d'avancer peu à peu dans la voie de la Lumière et de la Connaissance. En le nommant à tors "Grade de Vengeance" on oubli souvent qu'il s'agit en premier lieu d'un Grade d'Elus. C'est comme si, en évoquant le Grade de Maître, on parlait d'un grade de mort, oubliant qu'en accèdant à la maîtrise, par la mort, on l'a vaincue, en renaissant. Cette mauvaise interprétation est due probablement au besoin que chacun éprouve de classer, étiqueter, cataloguer, cerner les choses afin de mieux les dominer, ce qui constitue une démarche sécurisante, mais ô combien restrictive et génératrice de ghettos. On doit considérer ce grade comme étant un grade de purification et d'épuration. Les outils utilisés sont le poignard et l'épée, instruments de vengeance et de justice employés pour poursuivre les mauvais compagnons, assassin du Maître où de leur trancher la tête comme chez les écossais. L' allégorie au Rite Français nous soustrait de cet acte. Le mauvais compagnons en se faisant justice lui-même nous jette dans le doute et trouble la faculté de discernement. Cet acte en apparence barbare enseigne qu'il faut supprimer en soi tout ce qui fait obstacle aux élans verticaux vers la lumière, en éradiquant, entre autres choses, l'intolérance, l'ignorance, le fanatisme, l'intégrisme, la jalousie et l'ambition qui sont autant de têtes de l'hydre maléfique.
Lescure entourée de cyprès, dans un site préservé, aujourd’hui en ruine, mais toujours dotée de son impressionnant clocher, elle étonne et ravit le regard...
L’histoire de la grotte est longue et complexe, site facilement repérable, elle a connue une étonnante pérennité d’occupation et de fréquentation. De plus, l’origine du village est étroitement liée à cet abri naturel et la grotte fait obligatoirement partie du passé historique du Mas d’Azil. Le village fortifié (depuis le 13ième siècle) se trouvant à peine à un kilomètre, ce refuge paraît avoir, au cours des âges, joué un rôle protecteur lors des périodes difficiles et troublées...
Blottie au pied des montagnes la ville gasconne de Saint-Girons est située au carrefour des dix-huit vallées du pays Couserans. Les diverses découvertes archéologiques laissent penser que la capitale antique des Consorani (peuple romain) se situait dans le périmètre de l’actuelle agglomération de Saint-Girons. Le Moyen age a vu l’installation des ordres religieux comme les Bénédictins, les Dominicains (ou Jacobins), les Capucins, les Antonins (rue St Antoine), les Hospitaliers de St-Jean. La « bastide de Villefranche » a été créée au 12ième siècle par Arnaud d’Espagne, quatrième Vicomte du Couserans. Pendant les guerres de religion, la ville fut prise par les protestants qui exigèrent de ses habitants une forte somme d’argent. Ceux-ci, réfugiés sur le mont Garrié, ne payèrent que la moitié de la rançon...
Embarquez pour une visite conviviale à 60 mètres sous terre ! Le parcours, qui s'étend sur 1500 mètres, vous étonnera par la grande variété de ses paysages et par ses richesses géologiques. Petits ou grands, passionnés du monde souterrain ou à la recherche d'une expérience unique, chacun trouvera son compte. Tout au long de la balade, le guide abordera des sujets divers et variés, géologie, explorations et vous fera découvrir des formes aux noms évocateurs comme la Sorcière ou la Licorne...
Comme pour les solstices en Loge Bleue - St Jean d'hiver et St jean d'été, les fêtes d'équinoxes du printemps et de l'automne sont toutes à l'origine des fêtes Celtiques. Elles sont codifiées par des rituels que conduisent des Druides pour honorer la nature. Il faut savoir que l'équinoxe d'automne prend sa source symboliquement dans une légende : "en ce jour, Hadès, dieu du royaume des morts, aperçut Perséphone et en tomba immédiatement amoureux. Il l’enleva afin qu’ils règnent ensemble sur les enfers. Sa mère, Déméter, la déesse des récoltes, ne trouvant plus sa fille, tomba dans un chagrin et un désespoir tel que les fleurs, les arbres et toutes les plantes se flétrirent. Les dieux de l’Olympe, veillant sur les humains, parvinrent à un compromis avec Hadès, pour le retour de Perséphone : elle passerait 6 mois de l’année avec Hadès dans le royaume des ténèbres et 6 mois sur terre avec sa mère. Déméter, en guise de représailles, annonça que durant les 6 mois passés avec Hadès, la nature porterait son deuil et que rien ne pousserait sur la terre. Le jour de Mabon correspond à l’équinoxe d’automne : le jour et la nuit sont égaux." La FM, et plus particulièrement le Rite Français, emprunte la fête de l'équinoxe d'automne pour nous engager nécessairement dans une réflexion.
Témoignage du passé minier et sidérurgique ariégeois, le musée du fer évoque, au travers de documents, maquettes, objets et outils, l'histoire du fer et de la forge, ainsi que les différentes étapes allant de l'extraction du minerai jusqu'à son utilisation. Dans les granges, des ateliers animés, tels ceux du sabotier, du forgeron ou encore du boulanger, complètent la visite...
Situées à Montgaillard, près de Foix, les Forges de Pyrène vous proposent, dans un site de cinq hectares, de découvrir la dernière forge à martinet - classée monument historique - encore en activité, ainsi que deux espaces muséographiques respectivement dédiés au fer et aux métiers d'autrefois. Le musée des métiers d'autrefois évoque, au fil de sa remarquable collection de plus de 125 métiers et 6 500 outils, l'histoire, les gestes et les secrets des métiers d'antan. Une merveille !..
L'existence du château de Roquefixade est attestée depuis 1034. Les premiers seigneurs connus sont seigneurs de Pailhès, branche de la famille de Rabat, et portent tous le nom de Bernard Amiel de Pailhès. Pendant la croisade contre les Albigeois, ils sont de tous les combats aux côtés des comtes de Toulouse et de Foix dont ils sont les vassaux. En 1278, le château est acheté par le roi qui assurera l'entretien et le remaniement des fortifications et y entretiendra une garnison comportant un châtelain, un guetteur, un portier, douze sergents et des chiens de garde. En 1463, Louis XI restitue le château à Gaston IV, comte de Foix. En 1632, Louis XIII ordonne le démantèlement des châteaux de Montaut, Tarascon, Labastide de Sérou et Roquefixade. En 1675, la châtellenie est vendue en commande à Vital Guilhon de Lestang, baron de Celles, dont la famille le gardera jusqu'à la Révolution. Il est alors vendu comme bien national...
Que ceux qui ont des oreilles entendent, que leurs yeux voient et que leur âme comprenne....
L'histoire de ce nouveau castrum de Raymond de Péreille, dénommé Montségur II par les archéologues, est étroitement liée à l'histoire des cathares du Languedoc. Issue du christianisme, la religion cathare est basée sur deux grands principes : un Dieu Bon et un Dieu Mauvais. Tout ce qui est immatériel est l'œuvre du Bon, tout ce qui est matériel est l'œuvre du Diable. La religion cathare s'étendra sur une grande partie du Languedoc, et au début du 13ième siècle l'Eglise catholique, pour ramener dans le droit chemin ceux qu'elle appelle "hérétiques", n'a pas d'autre solution que de recourir à la force : c'est la croisade contre les Albigeois (parfois improprement appelée croisade des Albigeois). Montségur, siège et capitale de l'Eglise cathare. A partie de 1232 Montségur devient le siège et capitale de l'Eglise cathare. Le castrum se densifie, se peuplant de 500 à 600 âmes, où se côtoient religieux, civils et hommes d'armes. Au nord-est du château les vestiges d'habitations encore visibles aujourd'hui représentent les derniers témoins de ce peuplement...
Vers la fin du 13ième siècle, une petite communauté du nom d'Ourjac s'installe à peu près à l'emplacement du village actuel, non loin de la fontaine qui porte encore le même nom. La communauté n'a pas d'église et, pour suivre le culte, ses membres doivent monter au château. Au 16ième siècle ce village devenu Montségur se développe pour prendre au 19ième siècle l'aspect du village actuel, une partie des maisons étant construites avec les pierres du château. Tissage et agriculture seront les principales activités des habitants. Mais dès la fin du 19ième siècle la population ne va cesser de décroître, alors qu'on comptait 743 habitants en 1889 on en comptait plus que 592 en 1900...
Au 9ième siècle, une abbaye est érigée entre les deux rivières. Au 12ième siècle, sa reconstruction complète permet un premier accroissement de l’agglomération fuxéenne. La première mention écrite du château, date des alentours de l’an Mil. Il se compose alors d’une seule tour et de son enceinte. C’est aussi au cours du 11ième siècle que ce monument devient le centre des pouvoirs du nouveau comté de Foix...
Le roc calcaire sur lequel est construit le château de Foix abrite quelques grottes préhistoriques, dont certaines ont livré des traces d’occupation humaine. Pourtant, le rocher n’est réellement habité qu’à partir de l’époque gauloise (6ième siècle av JC- 5ième siècle de notre ère), et la présence d’une agglomération à Foix n’est pas attestée avant le Haut Moyen Âge (5ième-10ième siècles)...