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  VEF Blog

Les Black's Foot

le 30-11-2011 05:12

G COMME PARC GAUJA - LETTONIE

La visite du parc national de Gauja est incontournable lors d'une visite dans les États baltes. C’est le premier parc national de la Lettonie. Il fut fondé en 1973, et est réparti autour des vallées de la Gauja, de l'Amata et des rivières Brasla. Les châteaux médiévaux, les églises, les manoirs et les moulins que l’on y trouve, ajoutent du charme au parc.

 


 
 
le 29-11-2011 09:13

LA VOUTE ÉTOILÉE

L'ASTROLOGIE INITIATIQUE...

Tout en étant « couvert », une loge initiatique travaille en contemplant la voûte étoilée. Que signifie cette apparente contradiction, pourquoi les initiés doivent-ils apprendre à déchiffrer le ciel du temple, quels enseignements dispense-t-il ?     L’astrologie initiatique qu’aborde cet ouvrage est une science symbolique d’une ampleur insoupçonnée ; en s’intégrant au zodiaque de la loge, l’initié rétablit des liens vitaux avec l’univers.     Réaliser l’acte juste au moment juste, être « à la bonne heure », participer au voyage de la lumière, scruter l’éternité au cœur du temps… Voici quelques-uns des enjeux d’une juste perception de l’astrologie initiatique.
 


 
 
le 28-11-2011 08:44

P COMME PARNU - ESTONIE

La ville de Pàrnu est située à 129 km au sud de Tallinn, à l'embouchure de la rivière Pàrnu. Fondée en 1251, elle dut à sa situation géographique avantageuse d'être longtemps un des grands centres de commerce du Moyen Age. De cette époque lointaine, il subsiste un Hôtel de Ville, une partie des remparts (la "Belle Tour" du 14ième siècle et la "Porte de Tallinn" du 17ième siècle), les églises Sainte-Elizabeth et Sainte-Catherine, de style baroque (18ième), des maisons d'habitation et des entrepôts (15ième et 18ième).

 


 
 
le 27-11-2011 10:04

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Chartres, le labyrinthe, 13ième siècle.

 


 
 
le 26-11-2011 08:33

L'HOMME DE LA LOI

Pour avoir tué accidentellement un vieillard lors d’une nuit d’ivresse, six hommes sont traqués par le redouté Maddox, un marshal aussi dur et impitoyable que la loi qu’il fait appliquer.     Démythification de l’Ouest et de ses héros, L’Homme de la loi est curieusement produit et réalisé par un Anglais, Michael Winner. Pour cette première incursion dans le genre, le Britannique s’entoure de spécialistes.     Pour Michael Winner, L’Homme de la loi est un film essentiel à double titre. Il marque sa rencontre avec le grand Burt Lancaster et son arrivée fracassante à Hollywood.     La critique salue ce western résolument moderne et novateur qui offre à Lancaster, pour son présumé dernier film, l’un des rôles clés de sa carrière.     Acteur sobre et racé à la carrière exemplaire, Robert Ryan sidère par la modernité et la puissance de son jeu, tout en subtilité et en nuance.     Né le 11 novembre 1909, à Chicago (Illinois), Robert Ryan montre, dès l’adolescence, des qualités exceptionnelles pour le sport. Grand, athlétique, musclé, il devient rapidement un boxeur poids lourd redouté parmi les étudiants. Diplômé de l’université, Ryan se destine à l’écriture et envisage d’embrasser une carrière de dramaturge. La Grande Dépression de 1929 l’oblige à renoncer à ses projets et il se lance dans la vie active. Multipliant les labeurs de force, il est tout à tour soutier dans la marine marchande, mineur ou dresseur de chevaux dans le Montana. A la fin des années 1930, n’ayant toujours pas réussi à imposer sa plume, il se tourne vers la comédie. Formé par Max Reinhardt, Ryan se fait un nom sur les planches de Chicago et tente bientôt sa chance à Hollywood. Il doit attendre le début des années 1940 pour décrocher ses premiers rôles (Bombardier, Tender Comrade). Ce libéral convaincu n’est pas moins patriote et le prouve en s’engageant trois années durant dans les forces de la marine américaine (1944-47).
 


 
 
le 25-11-2011 08:38

HERBIE HANCOCK

Pianiste dans le combo de Miles Davis pendant la période « électrique » du trompettiste, Herbie Hancock deviendra l’une des grandes figures du jazz rock des années soixante-dix. C’est-à-dire qu’il saura marier de façon magistrale le jazz, les rythmes binaires et l’électronique. s’il signera par la suite quelques chefs d’œuvre du funk et du disco, son amour véritable restera toujours le jazz.     A de rares exceptions près, le jazz n’a guère intéressé les réalisateurs. En revanche, nombreux ont été les compositeurs qui ont œuvré pour le septième art. A commencer par Duke Ellington, Miles Davis, Charles Mingus et Herbie Hancock.     Grâce au chef d’œuvre funky qu’est « Watermelon Man », Herbie Hancock deviendra sans tarder l’un des pianistes fétiches du label Blue Note, la compagnie d’Horace Silver.
 


 
 
le 24-11-2011 08:29

LES GRENADES

Je vais probablement en décevoir certains, mais la grenade n’est pas cet instrument de guerre que les soldats se jettent copieusement afin de s’éclater dans les bosquets.     Le nom de grenade provient du latin granatum, en raison du nom de pomme à grains par lequel on la désignait autrefois. La grenade est le fruit du grenadier ou punica granatum, appartenant pour certains à la famille des Lythraceae, pour d’autres à celle des punicacea. Il s’agit d’un arbre pouvant atteindre 6 à 7 mètres de hauteur. Originaire d’Eurasie, on le connaît et le cultive pour son fruit au goût acidulé, la grenade, depuis une période remontant à plus de 3500 ans avant J.-C.     Utilisée par les Sémites et les Grecs anciens, elle trouva naturellement sa place dans l’Art Chrétien du 15ième siècle. Le peintre Jacopo Della Quercia (vers 1374-1438) fut le premier à peindre une vierge à la grenade ; Botticelli en fit autant en 1487. Associée à des représentation de la vierge Marie, la grenade à la couleur pourpre évoque alors la Passion du Christ.      Le monde antique empruntait souvent des éléments naturels, végétaux, fleurs ou fruits comme motifs décoratifs pour embellir les temples et les lieux sacrés. S’étant largement inspirés du style égyptien, les Juifs ornèrent la partie supérieure des colonnes du temple de Salomon de grenades.      La grenade placée dans la main de Vénus, considérée comme la déesse de la génération, devient un emblème de la fécondité du fait que, s’ouvrant largement et évoquant ainsi la vulve quand elle atteint sa maturité, elle projette ses nombreuses graines sur la terre pour que puisse s’opérer la germination future. Cette considération sexuelle s’étend jusqu’en Orient et en Afrique même.      La sexualité entraînant la faute initiatique, la grenade se trouve souvent impliquée dans un contexte de drame et par conséquent de mort qui tiendrait à son origine même puisque, d’après Clément d’Alexandrie, elle serait née du sang et des membres épars de Dionysos Zagreus, tué, coupé en morceau, haché puis mangé par les Titans à la demande de la déesse Héra.      On retrouve ce fruit dans le royaume d’Hadès, ou Perséphone, descendue aux enfers, mangea une ou trois graine d’une grenade. Cette allégorie destinée au grand mouvement de la nature mérite d’être traité au grade de Maître. Car la remonté à la surface de la terre et une renaissance possible, mais aussi une perspective de salut qui peut se terminer par un échec et une nouvelle chute dans les ténèbres….      En Chine l’image de la grenade possède un pouvoir d’évocation tellement fort qu’on l’utilise indifféremment avec le melon, du fait de la multiplicité de ses graines, ou avec la truie aux nombreuses mamelles, comme emblème de la famille par excellence car elle annonce une prospérité nombreuse.      Themistius signale dans ses discours : « les fruits cultivés que nous donne l’agriculture ont une action civilisatrice sur la nature humaine en général et sur les habitudes des animaux ; les passions animales qui sont dans nos cœurs sont élevées ou rendues inoffensives ».      La grenade est à la fois le symbole de la royauté par la couronne qui la surmonte, et de la république par le grand nombre et l’égalité des graines qu’elle renferme ; on y a vu aussi l’emblème ou l’attribut de l’amitié parfaite et de l’union des peuples.      L’écorce de grenade est appelée, dans les pharmacies, malicorium (cuire de pomme), tant à cause de sa consistance que parce qu’elle était employée, d’après Pline, pour tanner les cuirs chez les Phéniciens et les Carthaginois, comme on s’en sert encore dans le Maroc pour préparer les maroquins. Elle est en effet fortement astringente. On l’emploi en médecine comme tonique, on l’administre avec succès contre les diarrhées chroniques, les hémorragies utérines, les pertes blanches, le gonflement de la luette, le relâchement des organes génitaux, la chute du rectum, etc… Elle nourrit peu, mais convient beaucoup pour calmer la soif.      C’est le moment ou mon doigt posé sur la goupille lâche et que la grenade m’éclate dans la main pour ne pas dire éclate dans le Temple !     On la dit symbole maçonnique, on lui trouve une justification dans les travaux livresques, mais on en parle jamais dans les Ateliers. Les alvéoles sont comparées aux Loges maçonniques avec leur caractère spécifique propre. Les graines sont solidaires les unes des autres, comme soudées les unes aux autres. Bien qu’il existe une multitude de Loge de sensibilité différentes, elles forment qu’un tout, un ordre universel. Ce n’est pas sans difficulté que l’on désolidarise un grain de grenade, de même que ce n’est pas sans peine qu’un membre d’une Loge disparaît.      Par ses grains la grenade symbolise la vie. Elle peut être considérée comme symbolisant les richesses cachées pour la multitude, tout comme l’exotérisme voile l’ésotérisme aux yeux des profanes. La saveur de ses graines rouges enfermées sous une écorce amère, fait penser à la Connaissance ésotérique que tout initié ne peut atteindre qu’après s’être affranchi de toutes les épreuves de la voie initiatique.     La grenade s’inscrit bien sous le signe de la dualité, elle a deux aspects, l’un extérieur, l’autre intérieur, l’un contenant l’autre, tout comme l’unité renferme la multiplicité.      La grenade symbolise aussi que l’apprenti a accédé à une nouvelle naissance après avoir germé dans les entrailles du cabinet de réflexion, son entrée en est le résultat. On peut discerner aussi dans l’infinité des grains une image d’un ensemble d’êtres tous semblables en apparence, venus frapper un jour à la porte du temple, et tous différents dans la recherche et l’expression de la Vérité.     Cela me semble un peu trop facile, cette grenade érigé en symbole comparatif. Et si ce symbole avait une autre signification ?       Envisageons que dans le Temple, la grenade ne peut se dissocier de la colonne qui la porte ? Elle devient une globalité et non plus un détail !     Il faut alors se rappeler que nul n’entre dans le temple de Salomon s’il n’est pas déjà mort. Il ne s’agit pas ici de la mort symbolique vécue par l’Apprenti, incapable d’approcher les parvis du temple et par conséquent de la colonne où il est censé pouvoir venir chercher son salaire. Car l’Apprenti se trouve dans l’incapacité de monter toutes les marches de l’escalier du temple demeurant limité au nombre de degrés correspondant à son âge symbolique. Comme la colonne ne se situe pas sur la troisième marche de l’escalier du temple, l’Apprenti reste dans l’impossibilité totale de pouvoir venir y recevoir le salaire qui lui a mérité son travail ainsi que le stipule les instructions.     Peut être s’agit-il de la mort réel du corps de chaire ?      Il en va tout autrement si on considère les colonnes comme la porte des Hommes et la porte du Ciel sans qu’on les affectes à tel ou tel grade. Recevoir son juste salaire dépend alors de ce que l’on a fait durant toute sa vie ici-bas et non pas uniquement durant la période d’Apprenti ou de Compagnon. L’application de la justice fera qu’on recevra son dû : le sort qui en découle et le devenir prochain, ce qui conditionne le passage et la remontée par l’une ou l’autre colonne.      La Grenade sur la Colonne justifie ainsi son symbolisme que chacun d’entre-nous peut déconstruire et reconstruire pour mettre en pesé son cœur et son âme…..
 


 
 
le 23-11-2011 08:40

K COMME CHÂTEAU KADRIORG - ESTONIE

Un voyage à Tallinn n’est pas complet sans une visite à ce magnifique palais, construit dans le style baroque nordique par Pierre le Grand, pour sa femme Catherine 1ière, en 1718.

 


 
 
le 22-11-2011 08:51

CRUELLE ZÉLANDE

Stella, femme d’un officier anglais de l’époque victorienne, frustrée dans ses aspirations amoureuses, est enlevée par un tribu de sauvages érotomanes de Nouvelle Zélande.     Hommes, femmes et enfants de la tribu vont la transformer en otage d’amour et révéler sa nature amoureuse en l’initiant aux plaisirs les plus surprenants et les plus pervers…
 


 
 
le 21-11-2011 08:00

T COMME TALLINN - LA CAMPAGNE - ESTONIE

La Campagne estonienne....

Armand, Collection privée 2005, 

 


 
 
le 20-11-2011 08:53

LE MOT DU WEBMASTER

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L'Aube...

 


 
 
le 19-11-2011 06:11

LE JARDIN DU DIABLE

Pour Hooker, Fiske et luke Daly, trois aventuriers âpres au gain, il n’y a rien de plus beau que la perspective de sauver la vie d’un homme. Surtout s’il est prisonnier d’une mine d’or…     Avec le Jardin du diable, le western est à son apogée. Tourné en Cinémascope couleurs, réunissant un casting prestigieux sous la direction du maître Henry Hathaway, le film a tout pour attirer les amateurs de grand spectacle.     Lorsqu’un plateau de cinéma devient une arène de gladiateurs… Ponctué d’anecdotes musclées, parfois fantaisistes, à propos des relations entre les artistes, le tournage du film voit s’affronter trois géants du cinéma.     Vouée au bûcher par une critique déconcertante – aimée du public mais jugée incomprise à l’époque – l’œuvre maîtresse d’Henry Hathaway renaîtra de ses cendres…     Comédienne incontournable, Susan Hayward fut l’une des stars les plus appréciées du public américain des années 1950.     Née en 1918, Edythe Marrener finit ses études de commerce et décide de s’inscrire dans une agence de mannequins. Le réalisateur George Cukor la remarque, grâce à sa chevelure rousse, dans le Saturday Evenning Post et l’incite à passer un bout d’essai pour le rôle de Scarlett dans Autant en emporte le vent. Mais elle est écartée, comme beaucoup d’autres, au profit de Vivien Leigh. Elle ne se décourage pas pour autant et signe un contrat avec Warner qui lui impose de changer son nom en Susan Hayward. Figurante, l’actrice quitte le studio pour Paramount et accède alors à des rôles plus importants. Ainsi, en 1939, Susan Hayward devient la jeune ingénue de Beau geste aux côtés de Ray Milland et Gary Cooper. Sur cette lancée, elle est l’héroïne de série B comme le thriller Amoug the Living, mais obtient également d’importants seconds rôles dans de grosses productions telles que Les Naufrageurs des mers du Sud (avec John Wayne et Ray Milland) et la Fille de la forêt…
 


 
 
le 18-11-2011 09:02

AHMAD JAMAL

Pianiste de cocktails tout juste bon à reprendre des chansonnettes à la mode : tel aurait été Ahmad Jamal ! Si le musicien, il est vrai, a fait les belles heures des clubs huppés d’outre Atlantique, il n’en apparaît pas moins aujourd’hui comme le chef de file de virtuoses qui ont pour noms Wynton Kelly, Red Garland et Herbie Hancock. Sans doute son jeu d’une rare élégance y est-il pour beaucoup !     Pianiste d’une très grande élégance et d’une irréprochable technique, Ahmad Jamal est l’interprète d’une musique qui parle directement au cœur, non dénuée d’un certain romantisme, qui plaira tant à Bill Evans.     Comme Erroll Garner, Ahmad Jamal a dû affronter une critique qui ne pardonnait pas que l'on interprète des thèmes populaires. Il a fallu que Miles Davis se fasse l’avocat du pianiste pour que l’on revienne sur des propos ayant frisé l’hystérie.
 


 
 
le 17-11-2011 00:19

LA TOUR, LE GÉNIE OMBRAGEUX

Avril 1642. Célèbre à la cour de France, où il a fait plusieurs séjours comme hôte du Louvre, étant « peintre ordinaire du roi », Georges de La Tour est aussi depuis longtemps l’un des deux ou trois hommes qui comptent dans sa ville de Lunéville, en Lorraine.     Malheureusement, ses compatriotes n’apprécient pas trop ses bonnes relations avec les Français, « envahisseurs » du duché… Aussi certains, cette année-là, refusent-ils de continuer à reconnaître le privilège d’exemption de taxes, que le duc de Lorraine lui-même a octroyé pourtant à La Tour, vingt-quatre ans auparavant, quand ce dernier s’est installé dans la cité !     Mais les contestataires s’aperçoivent bien vite qu’il n’est pas facile de se dresser contre un Georges de La Tour. Celui-ci prend en effet l’affaire de très haut, défend les droits qu’il a conquis de haute lutte avec acharnement et reçoit, un jour, à coups de pied dans le derrière un sergent envoyé chez lui par la ville… Une fois l’homme traîné dehors, le peintre crie à la cantonade, en pleine rue, que le premier qui voudra forcer la porte de sa maison sera cette fois accueilli à coups de pistolet ! Car Georges de La Tour a beau être le plus poétique et le plus mystérieux des peintres de « nuits », il n’en a pas moins le sang chaud, le verbe haut – et la bastonnade facile !     Fils de boulanger, il épouse une noble héritière – Le roi et ses ministres se disputent ses œuvres – Il roue de coups de bâton un braconnier – En 15 jours, l’épidémie décime sa famille – Dans la Lorraine ravagée, il assiste aux horreurs de la guerre – Magicien de la lumière, elle donne à ses tableaux un pouvoir envoûtant…
 


 
 
le 16-11-2011 09:44

T COMME TALLINN - ESTONIE

Installée dans le golfe de Finlande, la plus nordique des capitales baltes préserve à merveille son passé de cité médiévale commerciale. Ses maisons colorées, ses ruelles tortueuses et ses nombreux édifices datant du Moyen Age, ont permis à son vieux quartier d'être inscrit, en 1997, sur la liste du Patrimoine Mondial de l'Unesco. Celui-ci se compose de deux zones : la haute ville, édifiée sur le plateau calcaire de Toompea, et la basse ville qui s'étire vers le port.

 


 
 
le 15-11-2011 08:35

HISTOIRE D'UNE FILLE DE VIENNE

Racontée par elle-même...

Edité en 1906, à frais d’auteur, Histoire d’une fille de Vienne racontée par elle-même est d’abord vendu sous le manteau. Cette histoire conte la vie d’une prostituée en devenir : les évènements qui la mèneront de la petite enfance à l’adolescence, puis à l’âge adulte où elle deviendra officiellement fille de joie. Les descriptions réalistes dépeignent la vie dans les milieux pauvres de Vienne, et expliquent pourquoi les femmes sans le sou se retrouvaient à gagner quelques florins sur le trottoir pour s’en sortir.Josefine Mutzenbacher a vécu dans les faubourgs de Vienne où elle est née en 1852. C’était une figure réputée des trottoirs viennois. Mais ce n’est pas elle le véritable auteur de ce roman osé. On l’attribue à Félix Salten, de son vrai nom Sigmund Salzmann. Né à Budapest en 1868, après ses études à Vienne, Salten débute jeune dans la carrière littéraire. Il vit principalement de son activité de critique théâtral. Il émigre en 1938 aux Etats Unis puis rejoint Zurich où il s’installe. Il a écrit des pièces de théâtre et de nombreux romans. Mais sa célébrité est due avant tout à ses histoires de bêtes, et notamment à Bambi ou une vie dans la forêt publié en 1928 puis immortalisé par Disney. Il meurt en 1945…
 


 
 
le 14-11-2011 07:11

G COMME GULLSUIK - NORVÈGE

Les parcs nationaux souhaitent préserver la grande diversité du patrimoine naturel de la Norvège, pour notre bonheur et celui des générations futures. 

 


 
 
le 13-11-2011 06:47

LE MOT DU WEBMASTER

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LE WEBMASTER SE REPOSE

Nasbinals, Lozère.

 


 
 
le 12-11-2011 06:41

THE MISSOURI BREAKS

Engagé par un propriétaire terrien, le « régulateur » Lee Clayton a pour mission d’éliminer les voleurs de chevaux. Il va s’opposer au plus retors d’entre eux : Tom Logan.     Quand le producteur réunit Arthur Penn à la réalisation, Marlon Brando et Jack Nicholson dans les premiers rôles, c’est en toute confiance. Brando surpassera tous ses espoirs, imposant son personnage avec brio.     Pour encadrer le duo de choc Brando Nicholson, il fallait des comédiens de second plan chevronnés. Le réalisateur recrute le gratin !     Unanimement salué comme une œuvre hors normes, The Missouri Breaks déstabilise la critique.     Il a donné au western américain trois de ses avatars les plus singuliers, des westerns exceptionnels éclairant d’un jour nouveau quelques grandes figures de l’Ouest.     Arthur Penn voit le jour le 27 septembre 1922, à Philadelphie, d’un père horloger et d’une mère infirmière. Après le divorce des ses parents, il vit successivement à New York avec sa mère, puis retourne vivre à Philadelphie avec son père. Il s’initie au théâtre au lycée puis intègre une troupe durant la Seconde Guerre mondiale. A la fin des années 1940, il entre à la chaîne de télévision NBC ou il travaille sur un nombre important de séries jusqu’en 1956…
 


 
 
le 11-11-2011 09:43

WYNTON MARSALIS

Trompettiste qui s’est inspiré des grands virtuoses, de Louis Armstrong à Clifford Brown, Wynton Marsalis a redonné un nouvel éclat à la musique de la Nouvelle Orléans. Digne héritier des hard boppers aussi, il a encore réussi la synthèse entre l’élégance davisienne et la mystique coltranienne. Bref, Wynton pourrait bien être le musicien que le monde du jazz attendait !     La famille Marsalis a compté trois musiciens qui ont beaucoup œuvré pour la musique négro américaine. Ellis, tout d’abord, Wynton, bien sûr, mais aussi Brandford, excellent saxophoniste au côté de son frère.     La chaude ambiance des clubs de la Nouvelle Orléans incitera Wynton Marsalis à ce consacrer au jazz. Grâce aussi à Art Blakey, qui l’engagera bientôt au sein des Messengers.
 


 
 
le 10-11-2011 08:03

BELLINI, LE MYSTÈRE VÉNITIEN

Venise, 1480. Giovanni Bellini, comme tous les habitants de la ville, attend le retour de son frère Gentile, parti pour Constantinople faire le portrait du sultan Mahomet II…Quand le navire est en vue, il laisse tomber ses pinceaux, et court vers le port. L’accostage de la galère provoque un grand mouvement d’allégresse : on n’a d’yeux que pour les deux frères.     Enturbanné comme un sultan et portant le grand collier d’or de la cour ottomane, Gentile court vers son frère bien aimé : tous deux, émus et fiers, s’embrassent longuement. Comme toujours à Venise, la fête se prolonge sur terre et sur l’eau…     Et les deux frères pensent à leur père, Jacopo Bellini, qui leur a enseigné avec tant d’amour la peinture. Mais tandis que Gentile va continuer à connaître le succès, la postérité préfèrera l’immortel Giovanni, le dernier des anciens peintres et le premier des modernes…     Dès l’enfance, il rivalise avec son père et son frère – Son frère décore de scènes légères le sérail du sultan – Dans la Venise des doges, les fêtes se multiplient – Dans Venise en pleine gloire, il reste dans le secret de son atelier – Un incendie détruit son chef d’œuvre fruit de treize années de travail - Il peint sa dernière œuvre pour la sœur de François 1er – La beauté des madones, il donne à ses vierges le visage des femmes italiennes.
 


 
 
le 09-11-2011 04:21

B COMME BERGEN - NORVÈGE

Bergen a été pendant plusieurs siècles un comptoir de la Ligue hanséatique, avec de nombreux échanges entre la Norvège et le reste de l’Europe. Aujourd’hui, les principaux atouts de Bergen sont sa vie culturelle intense, la proximité de la mer, les relations internationales et son pôle universitaire.

 


 
 
le 08-11-2011 09:50

LA VALLÉE DE CHEVREUSE

Jeunes garçons et filles, rêvent de ce mystérieux endroit de la vallée de Chevreuse où ils pourraient se livrer aux plus extrêmes recherches du plaisir d’aimer.     Il vont être ainsi entraînés dans une sarabande érotique où les époques se mêlent et où vont s’incarner leurs fantasmes sexuels les plus fous…
 


 
 
le 07-11-2011 08:44

F COMME FLAM - NORVÈGE

Le village pittoresque de Flåm est situé au creux du Aurlandsfjord, un des bras du majesteux Sognefjord, long de 204 kilomètres. 

 


 
 
le 06-11-2011 08:26

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

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Quand les narcisses s'épanouissent...

 


 
 
le 05-11-2011 08:57

L'HOMME AUX COLTS D'OR

Afin de débarrasser la paisible ville de Warlock d’une bande de hors la loi, les notables de la ville font appel à un mercenaire. Il mènera sa mission à bien, mais peut être pour la dernière fois.     Avec L’Homme aux colts d’or, Edward Dmytryk signe l’un des westerns les plus audacieux et originaux de l’Histoire, aidé par un casting prestigieux et un scénario explosif qui suggère une homosexualité latente entre deux justiciers chargés de nettoyer une ville.     Rassemblant une pléiade de stars, le tournage de l’Homme aux colts d’or voit naître des amitiés solides. Il est aussi le théâtre d’un accrochage mémorable.     Accueilli par une critique enthousiaste, le film de Dmytryk frappe par son audace et l’excellence de ses acteurs principaux. C’est aussi le retour en grâce d’un grand du cinéma, Henry Fonda.     Des films de légende, des rôles d’anthologie, une carrière foisonnante. Doté d’un charisme hors pair et d’une énergie inépuisable, Anthony Quinn est un monstre sacré du cinéma mondial.     Né le 21 avril 1915, à Chihuahua (Mexique), Anthony Quinn, de son vrai nom Antonio Rudolfo Oaxaca Quinn, est le fils d’une Mexicaine et d’un immigré irlandais ayant participé à la révolution mexicaine aux côtés de Pancho Villa. Orphelin de père dès l’adolescence, le jeune Quinn multiplie les petits boulots dans les rues de Los Angeles, sa ville d’adoption. Il est tout à tour vendeur de journaux, cireur de chaussures, puis électricien, chauffeur de taxi… Grand sportif, il entame une carrière de boxeur et sert de sparring partner au poids lourd Primo Carnera. Venu au théâtre pour corriger un défaut d’élocution, Anthony Quinn se découvre une passion pour la scène. Il ne tarde pas à s’intéresser au cinéma. Cantonné dans la figuration, l’acteur tente un jour sa chance auprès de Cecil B. DeMille, à qui il affirme avoir du sang indien. Ce mensonge lui permet de décrocher un rôle dans Une aventure de Buffalo Bill. Quinn poursuit une carrière sans éclat, jusqu’au jour où, à la faveur d’une audition pour Les Flibustiers de DeMille, il fait la connaissance de Katherine, la fille adoptive du cinéaste. Quelques mois plus tard, ils se marient. Anthony Quinn enchaîne alors les films et accumule les prestations de durs à cuire (Ville conquise), d’indiens (La Charge fantastique) ou de Mexicains (L’Etrange incident). Pourtant, aucun de ces films ne l’impose comme une vedette…
 


 
 
le 04-11-2011 07:32

SUN RA

Poète et prophète, voire « musicothérapeute », Sun Ra est peut-être le personnage le plus extraordinaire du jazz. Sa musique, mélanges ésotériques de traditions et d’avant garde, est une longue quête initiatique qui doit aboutir à la découverte des mythes de l’avenir. Une musique qu’il joue à la tête d’une secte nommée l’Arkestra.     Employé tout d’abord par les pianistes organistes du rock symphonique et par des compositeurs tels que John Cage et Terry Riley, les synthétiseurs allaient faire leur entrée dans le monde du jazz grâce à Sun Ra, Herbie Hancock, Chick Corea et Joe Zawinul.     Originaire du Deep South, Sun Ra s’est établi à Chicago dès les années trente. Il aurait eu l’opportunité d’accompagner au piano les gloires de l’époque, à commencer par l’incomparable ténor classique Coleman Hawkins.
 


 
 
le 03-11-2011 03:22

LE MYTHE DE SISYPHE OU LA CONDAMNATION DU MAITRE

L’espoir et l’absurde dans l’œuvre de Franz Kafka m’est revenu à l’esprit dans ma quête sur la maîtrise depuis que je suis passé de l’autre côté du mur, sur les chantiers des Ateliers de perfectionnement. Mais c’est par fidélité à mon adolescence  que j’ai puisé dans l’œuvre d’Albert Camus les outils de ma problématique à travers le Mythe de Sisyphe.     Mon propos n’est pas de disserter sur ce mythe, mais de m’en servir comme reliant ou comme miroir pour questionner mon parcours de Maître.     Les dieux avaient condamné Sisyphe à rouler sans cesse un rocher jusqu’au sommet d’une montagne d’ou la pierre retombait par son propre poids. Ils avaient pensé avec quelque raison, qu’il n’est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir.     Si l’on en croit Homère, Sisyphe était le plus sage et le plus prudent des mortel. Alors comme le veut la tradition poussons la pierre au sommet de la montagne.      Qu’y trouvons-nous ?     Dès que l’on prend conscience que nous sommes habité par un autre nous-même débute un processus de dualité ou de rivalité. Il faut prendre une revanche avec soi-même, car l’autre ne nous satisfait pas !     Alors on acquiers des connaissances et l’on se forge des convictions pour étendre notre extérieur.      Le cadre de l’éducation se trouve vite contourné par nos désirs de paraître, d’être et …..pour imposer à l’autre ce que nous croyons être la vérité,     notre vérité….     On apprend vite à manier le verbe, à prendre des postures, à juger, jusqu’à parfois sous couvert de doctrine entraîner l’autre involontairement dans ses convictions voir ses délires…..     Le pouvoir sur l’autre, sur soi est grisant, l’homme est égotiste avant d’être sociable et bien souvent la violence n’est qu’a fleur de peau.     Quand on a expérimenté tout cet extérieur, certain d’entre-nous frappons à la porte du Temple.     Mais voilà, que la pierre roule et retombe par son propre poids. Il faut recommencer le travail. On a compris déjà que Sisyphe est le héros absurde. Il est autant par ses passions que par son tourment.     Arrivé une nouvelle fois en haut de la montagne on découvre l’intérieur, on apprivoise l’autre nous-même. On regarde plus souvent le miroir, et là étalé sur le tapis de loge, des outils symboliques sont là pour nous reprogrammer selon la sacro-sainte voie de la fraternité et de l’amour : la voie Royale.     Mais nous ne savons pas que Sous le vêtement de nos mièvres automatismes existent une voûte, une caverne, une cathédrale où vibre le chant d’amour de l’Etre essentiel ; pour atteindre cet espace, il faut se dépouiller et s’ouvrir sur l’infini, quitter notre vêtement de misère.     Si nous cherchons à améliorer notre apparence, à nous vêtir de strass et d’or, la quête devient un enfer. Si nous mendions pour nous enrichir et glanons dans le chaume quelques piécettes mélangées à la tourbe, alors que le trésor de lumière est en dessous, si nous nous donnons beaucoup de mal pour amasser, alors qu’il suffirait de creuser un peu en silence, si nous cousons chaque perle une à une pour recouvrir d’éclat nos vestes, alors qu’il suffirait d’ôter notre vêtement d’un geste généreux pour rencontrer l’air pur de l’insondable vérité, alors le chemin devient souffrance et absurdité.     Le Maître est un Etre qui s’est rencontré, s’est connu, et, au moins dans sa superficialité, s’est accepté. Celui qui se connaît connaît les autres, celui qui s’est accepté accepte les autres, celui qui s’est connu et accepté comprend les autres et sait comment travailler activement à se dépasser dans le quotidien.     Les agitations journalières ne changent vraiment jamais, les unes comme les autres s’inscrivent uniquement dans la couche superficielle du mouvement de la vie. Le véritable changement est le passage d’un état à un autre, d’une couche à une autre, d’un automatisme à une conscience.     Alors comment se dépouiller de sa finitude pour mieux s’ouvrir à la multiplicité du monde ? Tel est le paradoxe du maître qui, par son engagement social, familial et fraternel, construit un passage pour son évolution spirituelle à venir.     Et voilà que la pierre roule à nouveau et retombe par son propre poids. Il faut recommencer une nouvelle fois le travail.      Mais c’est pendant ce retour, cette pause, que Sisyphe m’intéresse. Un visage qui peine si près des pierres est déjà pierre lui-même. Je vois cet homme redescendre d’un pas lourd mais égal vers le tourment dont il ne connaîtra pas la fin. Cette heure qui est comme une respiration et qui revient aussi sûrement que son malheur, cette heure est celle de la conscience. A chacun de ces instants, où il quitte les sommets et s’enfonce peu à peu vers la tanière des dieux, il est supérieur à son destin. Il est plus fort que son rocher.     Car le maître n’est pas un marchand d’idées ; il n’a pas de système particulier de penser et ne fait pas de propagande en faveur d’une nouvelle façon de voir la vie et d’y agir. Son but est d’être lucide, conscient et raisonnable pour comprendre une situation, découvrir les contradictions et apaiser les conflits. Prudemment, il partage avec les autres son Etre intérieur.     Le maître maçon ne se présente pas comme un guide, un professeur ou un sauveur, il n’oppose pas la réalité à son idéal mais, au contraire, approfondit la réalité de la complexité humaine pour y ajuster sa compréhension et s’affranchir d’idées erronées, dans la liberté et la joie retrouvés.     Le tablier n’a jamais prouvé quoi que ce soit sur les qualités maçonniques d’un homme et n’a surtout opéré aucun miracle sur son chemin initiatique. Pour remporter une victoire sur soi-même, le maître poursuit un travail intrépide et audacieux et mène vaillamment le combat de son Etre.     Le maître maçon sait bien qu’il vit dans un monde de compétitions, de peurs et d’ambitions, il sait bien que les hommes vivent dans l’inquiétude, la tension et la souffrance, il sait bien que chaque cause a un effet et que chaque effet devient une nouvelle cause. Il sait bien enfin que chacun aborde une situation par fragments opposés et n’arrive pas à les rejoindre, mais lui, justement, parce qu’il sait tout cela, au lieu de se perdre dans un fatalisme négatif, en homme libre, va au-delà des mots et des concepts pour appréhender la véritable signification et affirmer comment sortir des conséquences et changer la naissance inéluctable des choses et des événements. Il est consciemment en état de compréhension globale, lucide et sans attache.     La souffrance du maître maçon n’est pas son inaptitude à vivre dans le monde mais sa séparation encore trop fréquente d’avec son Etre intérieur, essentiel, ressenti comme étant le véritable maître.      Le maître maçon va donc toujours chercher le geste juste affirmant autant sont Etre que le monde, son humanité que sa spiritualité.     Le maître tient compte de la différence de l’autre et sait, que trop souvent, les dialogues ne sont que des monologues. Il ne parle pas pour lui mais pour celui à qui il s’adresse, et son discours constitue plus une continuité qu'une alternance. L’alternance sépare, la continuité unit. Le maître prolonge la pensée de son interlocuteur sans s’y opposer, il n’a rien à défendre et il relie deux esprits pour qu’ils s’éclairent mutuellement et s’enrichissent.     Quand le maître écoute, il n’est pas superstitieux, il ne doute pas et ne croit pas qu’il y a une intention négative derrière un mot mais il crédite d’un capital confiance son interlocuteur. Il ne cherche pas ce que cache la parole mais plutôt ce qu’elle essaie d’exprimer, il transforme le dialogue en une rencontre paisible par son sens de la fraternité et de sa responsabilité.     Le maître maçon ne vit plus contre les autres, il vit avec les autres. Celui qui ne sait voir le frère dans l’autre, ne sait voir l’Etre essentiel en lui-même.     La fonction du maître, pour importante qu’elle soit, s’exprime discrètement sans que personne ne s’en aperçoive. Il est dans l’ensemble un élément majeur mais n’est rien par lui-même. il sait avec humilité et efficacité, parler et se taire, agir et s’effacer, voir et pardonner, donner et recevoir en fonction des nécessité de l’instant. Il est la source à laquelle la loge puise pour réaliser l’individualité de chacun dans l’union, la paix et la justice pour tous.     Si ce mythe est tragique, c’est que son héros est conscient. Où serait en effet sa peine, si à chaque pas l’espoir de réussir le soutenait ? Le Maître maçon aujourd’hui travaille, tous les jours de sa vie, aux même taches et ce destin n’est pas moins absurde.     Sisyphe, pourrait être le maître, impuissant et révolté qui connaît toute l’étendue de sa misérable condition. Car c’est à elle qu’il pense pendant sa descente. La clairvoyance qui devait faire son tourment consomme du même coup sa victoire. Il n’est pas de destin qui ne se surmonte par le mépris.     Si nous nous examinons avec un soin objectif, nous constatons que nous sommes essentiellement une accumulation de mots, de pensées, de visions enfermés dans notre mémoire et que nous nous identifions à un passé qui va disparaître avec nous. Nous n’avons pas habituellement la capacité de rester silencieux et vigilants, nous ne le souhaitons pas car nous voulons voir jusqu’où nous conduira notre raisonnement. C’est le bout de notre raisonnement qui nous intéresse.     Des souvenirs, sur lesquels s’appuie notre raisonnement logique, il ne naît rien, rien d’autre que des émotions fugaces qui nous donnent l’illusion d’exister, de palpiter, alors qu’en vérité, nous sommes morts aux événements du moment présent. La maîtrise nous propose de ne pas flâner en rêvant au passé, ni à l’avenir, mais de mourir à l’avenir et au passé pour être libres de vivre pleinement le présent.     Je laisse Sisyphe au bas de la montagne ! On retrouve toujours son fardeau. Mais Sisyphe enseigne la fidélité supérieure qui nie les dieux et soulève les rochers. Lui aussi juge que tout est bien. Cet univers désormais ne lui paraît ni stérile ni futile. Chacun des grains de cette pierre, chaque éclat minéral de cette montagne pleine de nuit, à lui seul forme un monde. La lutte elle même vers les sommets suffit à remplir un cœur d’homme.      il faut imaginer Sisyphe heureux.Jakin,
 


 
 
le 02-11-2011 08:17

B COMME BORGUND - NORVÈGE

A Borgund, une église bâtie au 12ième siècle, coiffée d'impressionnantes têtes de dragons.

 


 
 
le 01-11-2011 08:24

SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DES BOUCHES DU RHÔNE

C’est une véritable leçon d’histoire à laquelle nous convie Bernard Falque de Bezaure dans cette collection destinée à tous les publics et où les érudits trouveront matière à référence, les amateurs d’histoire combleront leur passion, les amoureux de la Provence découvriront le pays sous un tout autre jour, les inconditionnels de la randonnée puiseront des circuits originaux, les curieux assouviront leur soif de connaître et ou les pêcheurs de lunes feront belles récoltes pour poursuivre leur quête de merveilleux.     Et, une fois sa lecture achevée, chacun sera d’accord pour louer le sérieux des informations, l’exceptionnelle rareté de l’iconographie et le courage d’un auteur qui depuis plus de dix ans compare les archives de la région Provence Alpes Côte d’Azur aux siennes pour apporter – et bien souvent contre l’histoire officielle – les preuves irréfutables de la présence du Temple dans de nombreux endroits du Sud Est de la France.     Sa quête historique de l’implantation réelle des Commanderies et Maisons templières débouche sur la véritable raison de la création de l’Ordre des Croisades et sur l’origine de la Mythologie provençale.Bernard Falque de Bezaure est ancien archiviste de la Bibliothèque Méjanes d’Aix en Provence et sa famille a donné des chevaliers à la Milice du Temple de Salomon et aux chevaliers Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem…
 


 
 
 

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