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Les Black's Foot

le 01-06-2012 00:07

JAMES BROWN

Dans les années soixante et soixante-dix, James Brown a symbolisé le « rêve américain » tel que pouvait l’envisager la communauté noire. Chanteur à la voix puissante et torride et showman au jeu de scène terriblement suggestif, il devait collectionner les hits avec une facilité déconcertante. A bien des égards, encore, il est le père spirituel de stars telles que Prince, Michael Jackson, voire de certains groupes rap.     Un concours de chant organisé à Augusta, Géorgie, en 1950 : tel est le point de départ de la carrière de James Brown. Un concours qui l’emmènera loin. Très loin !     « Saul Brother » pour les uns, « Mister Dynamite » pour les autres : quelque soit son surnom, James Brown a merveilleusement symbolisé le rêve américain. C’est-à-dire qu’il a prouvé qu’à force de courage et de talent, on pouvait être cireur de chaussures ou servir de rabatteur aux prostituées à l’âge de huit ans et devenir quelques années plus tard le numéro 1 de la soul music.     L’influence exercée par James Brown sur les jeunes noirs américains incitera la Maison Blanche à lui demander de remplacer Otis Redding, tragiquement disparu dans un accident d’avion, pour un concert destiné à divertir les Gi’s partis combattre au Viêt-nam.
 


 
 
le 31-05-2012 01:29

K COMME VALLÉE DE LA KWAÎ - THAÏLANDE

Entre jungle, cascades et parcs nationaux, la vallée de la rivière Kwai offre une grande variété de paysages. Sur l'eau, des hôtels et restaurants flottants vous permettront de profiter pleinement de la nature...

 


 
 
le 30-05-2012 03:43

N COMME NAM TOK - THAÏLANDE

Au début de la Seconde Guerre mondiale, les Japonais décidèrent de construire une voie ferrée pour relier la Thaïlande à la Birmanie et favoriser le transport des troupes et du matériel. Plus de 300 000 personnes, prisonniers de guerre et civils asiatiques, furent employés à ce projet dans des conditions inhumaines, et la plupart y perdirent la vie. Aujourd'hui, un petit train parcourt une portion du « chemin de fer de la mort », entre Kanchanaburi et Nam Tok, en longeant la célèbre rivière Kwaï. Beaux points de vue sur la nature environnante... 

 


 
 
le 29-05-2012 07:39

FULCANELLI

Qui était le mystérieux auteur du Mystère des Cathédrales et des Demeures Philosophales, ouvrages dont la portée demeure considérable encore de nos jours, à l’orée du 21ième siècle ? Patrick Rivière nous livre enfin dans cet ouvrage la véritable identité de Fulcanelli qui a légué à la postérité un enseignement inégalé en matière d’alchimie et de symbolisme hermétique.     Suivant les indices habilement semés par Eugène Cancelier, l’unique disciple de Fulcanelli, l’auteur se livre à une véritable enquête qui nous entraîne dans les milieux ésotériques mais aussi scientifiques du Paris des années 1880-1920. En effet, celui qui se dissimulait derrière le pseudonyme de Fulcanelli était un membre prestigieux de l’institut, ayant fréquenté aussi bien les plus grands savants de son époque – tels le vieux Chevreul, Marcellin Berthelot ou encore Pierre Curie – que les hommes politiques les plus en vue du moment.     Dans cet ouvrage tout à fait étonnant, Patrick Rivière nous fait revivre les moments importants de la vie du grand alchimiste et nous relate les découvertes de celui dont le nom d’emprunt (signifiant le feu du soleil) désignait tout aussi bien ses préoccupations hermétiques que ses recherches d’ordre scientifique, lesquelles donnèrent lieu aux fabuleuses découvertes qui lui valurent d’accéder à double titre à… l’immortalité.Patrick Rivière a consacré plusieurs ouvrages en tant que spécialiste à l’alchimie et à la philosophie hermétique. Il est l’auteur aux éditions De Vecchi de l’Alchimie, science et mystique ; Saint Germain et Cagliostro ; Les Secrets du Graal ; Les Templiers et leurs mystères ; Paracelse…
 


 
 
le 28-05-2012 05:32

K COMME KANCHANABURI - THAÏLANDE

La ligne du Chemin de fer de la mort commence à la gare de Nong Pladuck, amphoe Ban Pong, province de Ratchaburi.

 


 
 
le 27-05-2012 06:18

LE MOT DU WEBMASTER

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Le lac Ste Anne (2140m), et le massif de la Font Sancte (3380m)
 


 
 
le 26-05-2012 06:14

LES DEUX CAVALIERS

D’un cynisme à toute épreuve, le marshal Guthrie McCabe accepte de négocier avec les Comanches la libération de leurs prisonniers blancs. Le lieutenant Jim Gary l’épaule dans sa mission.     Avec « Les Deux cavaliers », John Ford reste fidèle à sa réputation, se montrant intraitable, en négociations comme sur le plateau. Pour les besoins du film, il installe ses caméras dans le décors d’ « Alamo », réalisé un an auparavant par John Wayne.     Grâce aux « Deux cavaliers », John Ford rencontre James Stewart et Richard Widmark, deux stars qui vouent une admiration sans bornes pour le pionnier du western.     Avec « Les Deux cavaliers », boudé par la critique, John Ford renonce au western d’antan, une mutation qui annonce « L’homme qui tua Liberty Valance ».     Géant du cinéma américain, James Stewart reflète à l’écran les contradictions d’une nation partagée entre candeur et cynisme, utopie et réalisme.     James Stewart est né le 20 mai 1908 à Indiana (Pennsylvanie). Il poursuit des études d’ingénieur tout en s’adonnant à la comédie sous la férule de Joshua Logan. Son diplôme en poche, il se consacre pleinement à sa passion et rejoint la troupe de Logan. Bientôt sous contrat avec MGM, l’acteur fait ses débuts sur le grand écran en 1935. Il enchaîne les productions, jouant sous la direction de metteurs en scène aussi prestigieux que William A. Wellman, Clarence Brown ou Henry King. En 1938, Stewart fait la connaissance de Frank Capra, qui le distribue dans l’explosif « Vous ne l’emporterez pas avec vous ». L’année suivante, le réalisateur lui offre la vedette de « Monsieur Smith au sénat ». Du jour au lendemain, Stewart acquiert le statut de star de la comédie. Lubitsch ne s’y trompe pas en lui confiant le rôle du timide Alfred Kralik, l’amoureux de Margaret Sullavan du délicieux « Rendez-vous ». dans la foulée, l’Académie le couronne Meilleur acteur pour « Révélation », dont il partage l’affiche avec Gary Grant et Katharine Hepburn…
 


 
 
le 25-05-2012 08:20

ERIC CLAPTON

En trente années consacrées au blues et au rock, au sein des Yardbirds, des Bluesbreakers de John Mayall, de Cream ou de Blind Faith, comme au fil de ses albums solo, Eric Clapton a amplement mérité son surnom de « God ». Dieu de la guitare et figure légendaire du British Blues, « Slowhand » est le musicien anglais le plus doué et le plus complet de sa génération. Le symbole par excellence du « Guitar Hero ».     Avec pour idoles des musiciens tels que Robert Johnson, Muddy Waters et B.B. King, Eric Clapton devait tout naturellement se destiner au blues. Surnommé « Slowhand » en raison de son jeu lent tout en finesse à la main droite, il allait s’affirmer, au sein des Yardbirds et des Bluesbreakers, comme le « Dieu » de la guitare.     Aussi célèbres et dévastateurs que les Rolling Stones au début des sixties, les Yardbirds de Keith Relf ont compté dans leur rang les trois plus grands guitaristes de la scène du blues rock. C’est-à-dire Eric Clapton, Jeff Beck et Jimmy Page.
 


 
 
le 24-05-2012 07:43

A COMME AYUTTHAYA - THAÏLANDE

Ayutthaya se situe à 75 km de Bangkok. Il est possible que sur les cartes vous trouviez le nom de Phra Nakon Sri Ayutthaya, qui indique que c’est une « ville sainte ». En effet, la ville d’Ayutthaya (une anciennes capitales du royaume Siam) est chargée d’histoire. Son parc archéologique, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, est très intéressant. L’excursion depuis Bangkok pour une journée vaut vraiment le coup.

 


 
 
le 23-05-2012 08:35

B COMME BANG PA INN - THAÎLLANDE

Bang Pa-In city, située à une bonne soixantaine de kilomètres au nord de Bangkok, n'a que ce fameux palais pour faire parler d'elle. Et cela est suffisant car les visiteurs, qui en connaissent le nom, font volontiers une halte dans leurs pérégrinations pour découvrir cette belle propriété du 17e siècle, agrémentée de constructions de styles et d'époques disparates. 

 


 
 
le 22-05-2012 08:12

LE GUIDE DE HÉRALDIQUE

Nées à l’aube du 12ième siècle, les armoiries permettaient à l’origine d’identification des combattants sur les champs de bataille et les lices de tournoi. Rapidement, elles s’imposeront à l’ensemble des classes de la société occidentale comme un moyen aussi pratique qu’esthétique de symboliser une personne physique ou morale.     Devenues marques de propriété et éléments ornementaux particulièrement prisés, elles envahiront d’innombrables supports.     Et au 21ième siècle l’Héraldique anime toujours notre quotidien : les hommes, les institutions, les sociétés commerciales de tous les pays d’Europe en perpétuent encore les traditions. Elle demeure une discipline vivante et, comme la Généalogie, à laquelle est étroitement liée, suscite un vif regain d’intérêt.     Ouvrage complet et pédagogique, très largement illustré (environ 650 dessins de blasons en couleurs), ce guide pratique de l’Héraldique permet la compréhension de l’éthique et des ambitions des lignées les plus diverses.Claude Wensler travaille pour la Direction du Patrimoine, au ministère de la Culture.
 


 
 
le 21-05-2012 04:09

B COMME BANGKOK, LE PALAIS - THAÏLANDE

Derrière le Wat Po, se trouve un mur d'enceinte crénelé et un portail gigantesque (permettant le passage des éléphants) qui délimitent le Grand Palais et le Wat Phra Keo, le temple du Bouddha d'émeraude.

 


 
 
le 20-05-2012 07:29

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Les Hautes Alpes, Puy St Vincent (1600m), Station été hiver.
 


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le 19-05-2012 04:54

LA CHARGE DES TUNIQUES BLEUES

Roi de la montagne, le robuste Jed Cooper est une légende dans le monde des trappeurs. Mais cet homme des bois ne rêve pourtant que de revêtir la tunique bleue des troupes sudistes.

 


 
 
le 18-05-2012 03:49

BESSIE SMITH

Les chanteuses de blues classique ont eu leur impératrice en la personne de Bessie Smith. Parce que les quelque cent soixante titres qu’elle a enregistrés pour Columbia sont tous d’une grande valeur artistique. Parce que sa puissance dramatique, servie par une diction parfaite, a été phénoménale. Parce que, enfin, sa vie symbolise à elle seule l’univers du blues, c’est-à-dire une sorte de « réalisme poétique ».

 


 
 
le 17-05-2012 00:46

B COMME BANGKOK, LES CANAUX - THAÏLANDE

La capitale thaïlandaise aime se faire appeler la  Venise de l’Asie du Sud-est. La « cité des anges » ne vole en effet pas son appellation de sérénissime locale !

 


 
 
le 16-05-2012 07:29

B COMME BANGKOK, LA VILLE - THAÏLANDE

Quand le visiteur arrive à Bangkok, il a l'apparente impression d'un impénétrable enchevêtrement de routes, de tours et d'immeubles modernes, et pendant un instant, il peut avoir le sentiment de ne pas savoir par où commencer.

 


 
 
le 15-05-2012 08:26

LES 15 SUJETS QUI FÂCHENT LES FRANCS-MAÇONS

Au cours d’une série de conversation /exposés animés par l’éditeur, le célèbre anthropologue Bruno Etienne et le chercheur maçonnique Jean Solis abordent, de façon enthousiaste et avec parfois « la dent dure », l’ensemble des points de discorde entre les francs-maçons, en France en particulier. D’une franc-maçonnerie séculière et clubiste, victime de ses propres travers politiques, et d’une autre, spiritualiste plus régulière, nos duettistes dressent un inventaire libre, sans concession et constructif, afin de réfléchir à ce qu’elle devrait être aujourd’hui et demain.     La franc-maçonnerie, à quoi ça sert ? Ses Constitutions sont-elles intouchables ? Et Dieu ? Et la Bible ? Les rituels sont-ils immuables ? L’administration est-elle en train d’étouffer la vie spirituelle ? Franc-maçonnerie et politique, religion, Etat, médias, sectes… quelle est la nature de leurs relations et quelle devrait-elle être ? Quelle est la place de la magie, de l’occulte ? Qu’est-ce que l’ésotérisme maçonnique ? Quelle est la limite entre solidarité et magouille ?     Tous ces motifs à fâcherie, nos amis les traitent, eux, sans se fâcher, mais avec des mots durs, libres et souvent cinglants. Une somme de réflexion utiles, pertinentes, sans aucune Langue de bois…
 


 
 
le 14-05-2012 07:11

I COMME IFATY - MADAGASCAR

Située au nord de la ville capitale de Tuléar ,cette station est très appréciée par tous les touristes qui ont déjà saisi leur chance de visiter Madagascar. Connu sous l’appellation courante d’Ifaty, plusieurs villages Vezo forment cet endroit magique.

 


 
 
le 13-05-2012 06:51

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

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Hautes Alpes, Les Orres...
 


 
 
le 12-05-2012 07:28

CEUX DE CORDURA

Pour le lieutenant Thorm, escorter cinq « héros » vers la base militaire de Cordura va bien au-delà d’une simple mission. Il y trouvera le moyen d’expier une faute qui le hante…     De retour aux Etats Unis, le réalisateur Robert Rossen cherche un sujet original et ambitieux, qu’il trouve à la lecture d’un romain intitulé « Ceux de Cordura ». Après bien des luttes et des difficultés, le projet échappera finalement à son créateur, privé du montage final.     Pour Rita Hayworth et Gary Cooper, le western « Ceux de Cordura » restera le dernier grand film de leur carrière en déclin. Portraits de grandes figures du septième art, face à la nouvelle génération.     Avant d’acquérir ses galons de classique western, le film de Rossen essuya une impressionnante déferlante critique.     Homme de conviction et réalisateur brillant, Robert Rossen sidère par la densité et la richesse d’une œuvre qui ne compte pourtant que dix titres.     Né en 1908, Robert Rossen passe son enfance dans le quartier pauvre de Manhattan. Après plusieurs petits boulots, il devient boxeur et raccroche les gants au début des années 1930 pour se lancer dans une carrière théâtrale. Metteur en scène engagé, Rossen écrit également des pièces. Après seulement quatre représentations à Broadway de « The Body Beautiful », dont il est l’auteur, le jeune homme part tenter sa chance à Hollywood. En 1937, il décroche un contrat avec la Warner comme scénariste. Le débutant côtoie ainsi les meilleurs réalisateurs de l’époque comme Raoul Walsh (« Les Fantastiques années 20 »), Mervyn LeRoy (« La ville grande ») ou Michael Curtiz (« Le Vaisseau »). Membre du parti communiste américain, il s’attache à mâtiner chacun de ses scripts des idéaux révolutionnaires qu’il défend. Racket, gangstérisme, intolérance, Rossen dénonce également le nazisme et les honneurs de la guerre à travers « L’Ange des ténèbres » et « Le Commando de la mort », deux films signés Lewis Milestone.
 


 
 
le 11-05-2012 07:56

RAY CHARLES

Avec Ray Charles, la musique négro américaine a connu un rayonnement phénoménal à partir des années cinquante. Pianiste et saxophoniste, il est encore un fabuleux compositeur. Un compositeur sensible parce que terriblement meurtri par un destin contraire dans sa prime jeunesse. Comme l’aurait déclaré Frank Sinatra : « Ray Charles est le seul géni de notre métier ». En même temps que le créateur de la soul music.     Pour Bailey et Retha Robinson, 1934 est l’année de tous les désespoirs : la mort tragique de leur second fils George et les premiers symptômes de l’infirmité de Ray !     Ray Charles n’a pas seulement influencé des chanteurs noirs : Eric Burdon et Joe Cocker, notamment, figures éminentes du mouvement rock et inoubliables interprètes de « House of the Rising Sun » (pour le premier) et de « With a Little Help from my Friends » (pour le second), se sont réclamés du « Genius » !
 


 
 
le 10-05-2012 07:57

T COMME TULEAR - MADAGASCAR

Capitale du Sud de Madagascar, dite « la ville blanche » ou « cité du soleil », Tulear est une véritable mosaïque d'ethnies et de cultures placées sous le signe du Sourire et du Soleil.

 


 
 
le 09-05-2012 08:02

R COMME RANOHIRA - MADAGASCAR

Le village de Ranohira se trouve dans le massif de l’Isalo. C’est le point de départ de l’exploration du Colorado malgache. Ranohira n’est qu’un bourg sans grand intérêt et très fréquenté par les cow-boys en provenance d’Ilakaka.

 


 
 
le 08-05-2012 01:34

B.A. – BA HERALDIQUE

         Cet ouvrage s’adresse aux débutants. Il propose une initiation à la science héraldique, claire, cohérente et aussi exhaustive que possible.     Ce B.A.- BA de l’héraldique s’adresse également aux pratiquants confirmés. Premier « précis » diffusé largement, il inventorie, en règle avec la géométrie et les nombres, les fondements de l’héraldique : points, divisions, partitions et répartitions, pièces honorables, « états », « vêtements », associations disjonctions, déports, délinéaments, etc. ; les figures du blason se présentent selon leur nature : propre, naturelle, artificielle et chimérique… la symbolique reprend ses droits.     Les fréquents amalgames et les trop nombreuses contradictions rencontrés d’un manuel à l’autre se trouvent ici résolus, pour l’essentiel d’entre eux.     Les symboliques fondamentales de la « construction » e de l’emblème, clairement distinguées, donnent la nuance entre les pièces (héraldiques) et les figures (du blason), principe de l’intelligence des armes.     L’extrême soin de l’iconographie, affinée dans cette nouvelle édition, élucide parfaitement le propos. Une mise en pages étudiée en améliore encore la lecture.     La quantité d’informations, figurées et formulées, permettra à chacun, selon le droit, de créer et de tracer les armoiries qui, dès lors, seront sa pleine et essentielle identité.     Cet ouvrage a su s’imposer rapidement comme une référence incontournable.
 


 
 
le 07-05-2012 04:08

B COMME BARA - MADAGASCAR

Passée la porte du Sud, on pénètre en territoire Bara, une sorte de no man’s land reculé et pratiquement désertique, une grande prairie ponctuée de palmiers Satrana.
 


 
 
le 06-05-2012 03:53

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AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

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L'Ubaye, Alpes de Haute Provence, Sauze, Alt. 1400-2400 m. La station sous la neige.
 


 
 
le 05-05-2012 07:10

MORT OU VIF

La ville de Redemption vit sous la coupe de l’infâme Herod. Une énigmatique cavalière solitaire arrive en ville. La belle inconnue entend participer au tournoi qui oppose les tireurs les plus rapides de l’Ouest.     Lorsqu’elle se lance dans l’aventure de « Mort ou vif », Sharon Stone est au sommet de sa gloire hollywoodienne. Consciente que le projet repose sur ses épaules, la comédienne s’engage financièrement, choisit son metteur en scène et impose ses partenaires.     Deux superstars en puissance : Russel Crowe et Leonardo DiCaprio sont dénichés et imposés par Sharon Stone, productrice avisée. L’avenir lui donnera raison !     La grande presse sacrifie à grand bruit au culte de la déesse Sharon, mais reste insensible au travail de Sam Raimi.     Révélé par « Alien le retour » de James Cameron, l’infatigable Lance Henriksen est l’une des rares figures marquantes de la série B actuelle.     Lance Henriksen voit le jour le 5 mai 1940, à New York. Fils d’un marin, il passe son enfance en Malaisie à Bornéo et aux îles Fidji. Il part à l’aventure à l’âge de 12 ans, puis, de retour à New York, au terme d’une adolescence turbulente, il suit les cours de l’Actor’s Studio. L’apprenti comédien fait ses premiers pas au théâtre dans la pièce d’Eugène O’Neil, « Three Plays of the Sea », et débute à l’écran par un petit rôle de cheminot dans « L’Empereur du Nord » de Robert Aldrich. Remarqué par Sidney Lumet, il collabore successivement à trois de ses films : « Un après-midi de chien », « Network, main basse sur la télévision » et « Le Prince de New York », Henriksen enchaîne ensuite une longue série de petits rôles (officier de police et autres détectives) dans de grands films signés Spielberg (Rencontres du troisième type)…
 


 
 
le 04-05-2012 06:49

FATS DOMINO

Sachant évoluer au gré des modes, voire participant à leurs création, Fats Domino a donné un nouvel éclat à la Nouvelle Orléans. Quelque trente ans après Louis Armstrong. Pionnier du rock and roll et premier maître du « New Orléans Sound », il est l’une des grandes stars de la musique négro américaine. 60 million de disques vendus sont là pour le prouver !     Pianiste qui a excellé dans le boogie-woogie, Fats Domino a été l’un des grands maîtres du jump blues néo-orléanais. En donnant une place fondamentale aux parties chantées, notamment, les musiciens de jump blues néo-orléanais allaient se distinguer des orchestres des autres Etats du Sud.     Si Fats Domino a été l’artiste de plus célèbre de la scène du rhythm’n’blues néo-orléanais, d’autres musiciens ont su également perpétuer la tradition musicale de Crescent City, comme Professor Longhair, Lee Dorsey ou Allen Toussaint.
 


 
 
le 03-05-2012 08:20

MON FRÈRE, CE SANDWICH !

Fish and Chips » à Londres aurait pu donné à leurs meilleurs sandwichs le nom de Montagu. Sandwich que l’on aurait pu manger ce soir en parfaite harmonie entre deux tranches de pain et un morceau d’agneau, une pincée de sel et un verre de vin. Alors conscient d’aborder par cette agape simple une dualité encensée.     Voilà comment le Sandwich m’a mener dans la controverse entre le conventionnel et l’inattendu !     Mon propos est de vous faire faire un petit tour dans l’histoire pour vous rassasier d’une nourriture tant décriée aujourd’hui, mais qui trouve néanmoins, son symbolisme dans le parcours d’un franc-maçon !     Famille de la haute aristocratie anglaise de la fin du Moyen Âge. Connus à partir du 6ième  siècle, les Montagu accèdent à la notoriété avec William, un des favoris d'Édouard II qui le fait sénéchal de Gascogne.     Son fils aîné William (1301-1344) devient un des principaux personnages du royaume ; il joue un rôle essentiel dans la conspiration qui, en 1330, renverse Roger Mortimer et rend le pouvoir à Édouard III. Montagu reçoit alors d'immenses domaines, est fait comte de Salisbury et maréchal d'Angleterre ; il sert la monarchie comme chef de guerre et diplomate.      Son fils William (1328-1397), deuxième comte de Salisbury, combat à Crécy et à Poitiers, mais perd une part importante des biens donnés à son père ; il est un des fondateurs de l'ordre de la Jarretière.      L'héritier des Montagu est son neveu John (1350-1400) qui manifeste un moment des sympathies pour les « lollards » et s'affirme un partisan de Richard II ; impliqué dans un complot contre Henri IV, il est exécuté.      Son fils Thomas (1388-1428), quatrième comte de Salisbury, rentre en grâce ; connu comme homme de guerre, il prend une part active à la conquête de la Normandie par Henri V, qui le nomme en 1420 lieutenant général en Normandie et dans le Maine. Il meurt des blessures reçues au siège d'Orléans. Le comté passa par héritage à son gendre, Richard Neville, père de Warwick, le Faiseur de rois.     Les Constitutions d'Anderson ont été rédigées à l'initiative de John Montagu (2ième duc de Montagu), alors Grand-Maître de la Loge de Londres, en 1721. Dont tout le monde sait que la première version a été écrite par le révérend James Anderson (1678-1739), pasteur presbytérien - dont le nom y a été associé historiquement plus tard - en collaboration avec le huguenot Jean Théophile Desaguliers afin de réguler les pratiques traditionnelles mais divergentes au sein de la Grande Loge de Londres constituée en 1717.     Né le 3 novembre 1718, le 4ième comte de Sandwich, était amiral de la flotte du roi de Grande-Bretagne George III. Au cours de sa vie, il a occupé divers postes militaires et politiques, mais il est plus connu pour être à l'origine du mot "Sandwich" que l'on mange de nos jours.     Formé à Eton et à Trinity College, Cambridge, Montagu passe quelque temps à voyager, et à son retour en Angleterre en 1739, il a eu son siège à la Chambre des Lords en tant que disciple du duc de Bedford. Il a rapidement été nommé l'un des commissaires de l'Amirauté de Bedford et colonel de l'Armée de terre.     En 1746 il a été envoyé en tant que plénipotentiaire au congrès à Breda, et il a continué à prendre part aux négociations pour la paix jusqu'à ce que le traité d'Aix-la-Chapelle ai été conclu en 1748.     En Février 1748 il est devenu premier lord de l'Amirauté, et maintenu ce poste jusqu'en Juin 1751, et en août 1753 il est devenu l'un des principaux secrétaires d'État britannique. A ce titre, il était le "patron" du célèbre capitaine James Cook, qui a découvert l'Australie, la Nouvelle-Zélande et bien d'autres îles dans le Pacifique. C'est d'ailleurs en l'honneur de son ministre que James Cook baptisa "îles Sandwich" les îles qu'il découvrit en 1778, et que l'on connaît aujourd'hui sous le nom de Hawaï, paradis des surfeurs.     Lord Sandwich a été Postmaster General en 1768, secrétaire d'État en 1770, et de nouveau premier lord de l'Amirauté dans l'administration du Nord de 1771 à Mars 1782. Malgré le nombre important de postes qu'il a occupé au cours de sa carrière, Sandwich connu pour sa corruption et son incompétence ont inspiré son épitaphe qui se lit comme suit : "Rarement un homme a obtenu de nombreux bureaux et accompli si peu."     Plus tard, au moment de la guerre d'indépendance des États-Unis, John Montagu fut jugé responsable de la défaite des Anglais et accusé de corruption. Il est mort en 1792, à l'âge de 74 ans.     Pour être exact, c’est en 1762 que Sir John Montagu, quatrième comte de Sandwich, amiral de la flotte du roi d'Angleterre George 3 et joueur invétéré, se retrouva dans un pub pour une partie de cartes qui n’en  finissait pas. L’aide cuistot, pour éviter à son prestigieux client d'avoir à interrompre sa partie, lui servit une petite collation. Les deux tranches de pain, entre lesquelles il avait placé des morceaux de viande froide et du fromage, avaient aussi l'avantage de permettre au Premier lord de l'Amirauté de grignoter sans se tacher les doigts.     Il faut bien se rendre compte qu'à l'époque, les aristocrates anglais ont de l'argent, beaucoup d'argent, mais ils s'ennuient. Ils inventent le tourisme en prenant l'habitude de voyager sans but précis, les jeux de plein air pour faire un peu d'exercice physique, les rencontres dans les cafés/chocolateries pour flâner entre hommes, les clubs très fermés où ils prennent plaisir à se retrouver entre eux.     Parmi les occupations les plus importantes, il y avait aussi les jeux de cartes et les jeux d'argent. Certains nobles anglais pouvaient parfois se ruiner en une nuit pour la passion du jeu. Sir John Montagu était un joueur acharné. Il jouait tellement qu'il pouvait rester des journées entières sans prendre le temps de manger. A la même époque, les aristocrates prennent l'habitude d'amener des repas froids composés d'un morceau de viande entre deux tranches de pain au cours de leurs sorties. Cette habitude est devenue rapidement populaire mais ne portait pas de nom. Comme le goût du jeu de John Montagu était très connu, c'est le nom de Sandwich qui a été adopté.     Aujourd’hui, la relève est assurée par le onzième comte de Sandwich, qui vient de créer une entreprise de restauration rapide, avec son fils Orlando : "The Earl of Sandwich". Une tranche de vie finit et une autre commence ? Bon appétit mes SS:. et mes FF:..     Le Frère John Montagu n'a certes pas inventé le sandwich qui porte son nom, mais il ne pouvait pas imaginer l'immense succès qu'allaient avoir les sandwichs au cours des cent dernières années. Comme il ne pouvait pas imaginer me servir de support pour aborder la controverse.     Imaginons-nous un instant comme des hommes sandwichs déambulant dans le Temple. Notre corps est au milieu de deux tableaux de Loge que nous transportons ostensiblement pour montrer selon les circonstances deux aspects de la Franc Maçonnerie     La première très conventionnelle : Elle s’appuie sur des récits du savoir de l’époque sur Platon, Pythagore, Vitruve ou encore Nemrod, Nabuchodonosor et  d’autres personnages bibliques, éparpillés dans les rituels des différents grades des différents rites, découpés en tranches pédagogiques pour la progression initiatique.      En ce sens, je dirais que la franc-maçonnerie est bien une secte chrétienne fondée sur la Bible, matinée d’un judaïsme relu par des érudits non juifs et saupoudrée d’un zeste de philosophie grecque ! Qui est plus liées à l’histoire particulière de l’Ecosse et de l’Angleterre qu’à notre propre cheminement !     La seconde très inattendue, plus ancienne dans sa transmission et qui s’appuie sur la subtile alchimie de l’Art Royal. Elle nourrit la Loge et l’enrichit de la perception que lui offre l’origine.     Car le Rituel que je pratique « Memphis-Misraïm », est un Rituel alchimique. Les outils que nous utilisons, les décors du Temple, la vêture, la disposition des officiers ainsi que leurs déplacements contribuent à la mise en place des actions de la transmutation – œuvre au noir, œuvre au blanc et œuvre au rouge – pour obtenir l’immobilité et l’alignement favorable au passage de la Lumière.      Bien sur je vous l’accorde pour le découvrir et pour le comprendre, il faut avoir des yeux, des oreilles et une âme, c’est ce à quoi nous engage le Rituel. Aussi je vous invite au travail pour en découvrir les aspects secrets que nos anciens ont formulés dans ce sacré.     Nous savons que nous avons laissé nos métaux à la porte du temple. Mais nous n’avons laissé que nos métaux grossiers, ceux accumulés par notre vie profane, les autres qui constituent l’essence de notre vie nous les gardons avec nous.     La première étape du processus alchimique consiste à nous dépoussiérer, puis à nous purifier avant de rentrer dans le chaudron : l’Athanor. Pour cela nous tournons trois fois autour du foyer, puis nous nous positionnons pour engager le Coagula hermeticum. Tous les outils de la transmutation sont disposés sur le tapis de Loge. Les colonnes sont prêtent à recevoir le feu sacré : la Lumière.     Le V:.M:. s’assure, en déroulant le Rituel, que nous sommes hermétiquement clos et que tous les présents ont la capacité à se dissoudre dans l’égrégore. Puis il donne vie au foyer en transmettant la Lumière qui déclenche le feu sacré.     Le Passage de l’œuvre au Noir, de l’œuvre au blanc et de l’œuvre au rouge doit se dérouler selon le plan qui se trouve dans la Loge et selon la formule qui elle se trouve au secret dans le cabinet de réflexion : « VITRIOL ». Le couvreur représente le Plomb. Il est entouré du 2ième Surveillant – Le Cuivre et du 1er Surveillant – Le Fer. Il doit accéder au Secrétaire – L’Argent et à l’Orateur – L’Or. Mais il a besoin pour cela du  concourt du VM – l’Etain ou Antimoine qui densifie la matière et du Maître de Cérémonie – Le Mercure : Hermès, celui qui fait le lien entre l’intériorité et l’extériorité, entre le visible et l’invisible, entre Midi et Minuit…     A l’ouverture de la Loge, le Mercure conduit le Fer à l’Etain, puis le Cuivre à L’Etain. L’Etain se dissolve et densifie les métaux en tournant dans l’Athanor. Puis l’Athanor révèle l’Argent finalisant l’œuvre au Noir.      A la fermeture de la Loge, tous les métaux par 3 fois se dissolvent dans le creuset pour atteindre la Gnose : l’Etain ou l’Antimoine annonce le passage de l’Argent et de l’Or par la communion de tous les métaux dans la puissance du feu d’amour. Puis le Plomb revient à l’Antimoine pour finaliser l’œuvre au Blanc.      Tous les métaux sont maintenant immobiles et alignés dans l’Athanor et ils ne font qu’un dans la chaîne d’Union. Si le Rituel a bien fonctionné la Lumière pénètre et nous rectifie. l’œuvre au Rouge se réalise dans la quintessence….      Sur le plan intérieur et psychologique, l'Œuvre au Rouge consiste à célébrer les noces alchimiques, en réanimant le Feu primordial en nous, en ressuscitant le phénix qui sommeille en nous. Comme le disait Carl Gustav Jung, le but ultime de l'alchimie n'est pas d'atteindre la perfection, mais la plénitude et la complétude. L'Œuvre au Rouge est ce qui surgit une fois que tous les morceaux de notre être ont été rassemblés. Ce n'est que lorsque l'individu est vraiment UN qu'il peut vivre l'expérience de la Réalisation : à ce moment, il est, comme le disait Nietzsche, par delà le Bien et le Mal et il devient un Surhomme…     J’ai pour ma part expérimenté à travers la voix sèche et par l’intermédiaire du creuset l'Union avec le Tout, dans un état où l'on est traversé par un Feu qui ne brûle pas, mais qui nous fait renaître à notre véritable nature.     Au terme de mon voyage au cœur de la matière, je devient un Adepte à mon tour, et rejoint l’Assemblée des fidèles du Glorieux Alliage. J’y découvre la racine des Champs Magiques et l’origine du Ka : les Ethers. J’assiste dans le secret de mon chantier au commencement : les Ethers issus du chaos donnant forme aux planètes.     Je doit alors me soumettre à l’un des cinq Alliage. Grâce à lui, je peux réaliser des Formules d’une puissance incomparable, transmuter mon propre Métamorphe et enfin user des énergies cosmiques apparues dans mon Athanor pour commencer à recréer mon monde...     Les Formules de ce Cercle sont détenues par les cinq membres du Glorieux Alliage, il faut les trouver pour les obtenir....     Au seuil du Grand Œuvre, l’alchimiste a franchi les étapes de la maîtrise des Processus, rempli son laboratoire des Constructions nécessaires à la production des merveilleuses Substances, fabriqué des Artefacts et peut-être tenté d’insuffler la vie aux monstrueux golem. Fort d’un millier d’expériences, le Maître parvient à la félicité dont l’espoir a brûlé tant d’occultistes depuis l’An Mil.      La rumeur séculaire colportée de cours royales en ateliers obscurs, le rêve de l’Or des Sages qui parcourut le Moyen Âge et embrassa la Renaissance est à portée de sa main. L’alchimiste sait quand il est digne. Quand son labeur se transmute en sacré, et que son existence vile devient noble, il entend l’appel. Un messager vient le chercher, c’est le Héraut des Adeptes, l’Ambassadeur de l’Assemblée Hermétique. Le Maître est convié à la Turba Philosophorum.     Il s’agit de l’Assemblée fondée par le Glorieux Alliage, qui s’est perpétuée avec leurs disciples. A chaque fois qu’un alchimiste atteint le Grand Œuvre, elle se réunit pour l’accueillir et lui enseigner les ultimes révélations. Elle a lieu dans un théâtre gigantesque, une université millénaire, qui n’a pas de point d’attache, dont nul ne connaît l’origine ni la localisation, mais qui s’ouvre pour le nouvel Adepte.      C’est une cave dans une ruelle médiévale, une tourelle d’un château de Bavière, une clairière ombragée en forêt de Brocéliande... là, surgi de nulle part se dresse un amphithéâtre de pierres noirci par les vapeurs d’encens pontifical, délicatement éclairé par les lueurs tremblantes de centaines de candélabres. Les loges et les balcons sont peuplés par les Adeptes de l’Ancien Temps, Flamel, Ripley, Valentin, Trévisan, Geber, Philalèthe...     Dans l’amphithéâtre de l’Eternelle Sapience, l’Adepte signe le Livre des Douze Portes et se voit remettre la Clé du Rosaire des Philosophes. Les anciens lui exposent l’histoire de l’Alchimie, et le préparent à la découverte du Grand Œuvre. Quand le Maître quittera la Turba et sortira de l’amphithéâtre, celui-ci disparaîtra sans laisser la moindre trace. Mais il lui restera la Clé….     C’est pourquoi une Loge initiatique doit être perpétuellement en recherche. Elle doit avoir pour préoccupation principale de parfaire ses rituels, outils majeurs d’une perception de l’invisible, de formuler pour se rapprocher ainsi du divin, à l’image des anciens rédacteurs des textes sacrés qui ajoutaient des interprétations à celles de leurs prédécesseurs sans qu’elles se suppriment pour autant.     C’est ce que nous faisons en revenant à l’essence même de notre Rituel. En introduisant des outils disparus, des textes oubliés et des pratiques abandonnées, nous construisons aussi notre évolution.      Pratique rituelle et recherche symbolique sont deux démarches qui ne doivent pas être dissociées. Une pratique rituelle seule perd son sens, car c’est le symbole qui permet de puiser dans l’invisible, une substance nourricière.     Mais de la même manière, une recherche symbolique sans pratique rituelle équivaut à une recette de cuisine que l’on aurait jamais mise en œuvre.     Il y a donc échange de souffle entre une loge et le rite qu’elle met en œuvre. C’est la raison pour laquelle d’une certaine manière, chaque loge doit « façonner » ses propres rituels. Et c’est vraiment cela qui fait qu’une loge « progresse » dans le Mystère, car en retour, la loge est elle-même façonnée par le Rituel.     La controverse est posée entre une pratique conventionnelle et une pratique inattendue et cachée. Pour ma part je me suis engagé dans l’inattendu. A vous de faire votre choix ?
 


 
 
le 02-05-2012 08:56

A COMME RESERVE DE ANJA - MADAGASCAR

Le parc Anja est une petite réserve de quelques dizaines d’hectares, situé à 12 Km au sud du village d’Ambalavao. Crée il y a quelques années seulement, il est géré par une association villageoise locale.

 


 
 
 

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