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  VEF Blog

Les Black's Foot

le 30-11-2009 08:11

E COMME ESCAPADE

 ESCAPADE HIVERNALE EN VALLÉE DU COL AGNEL...

Au mois de janvier pour récompenser mes collaborateurs dans la réussite des objectifs de l’année écoulée nous partons en escapade hivernale en vallée du Col Agnel. Un week end de deux jours pour s’exercer au ski de fond, à la marche en raquette et à la conduite d’un attelage de chiens de traîneaux.

 


 
 
le 22-11-2009 07:28

LE MOT DU WEBMASTER

BONJOUR LES AMI(E)S VISITEURS ET VISITEUSES
LE WEBMASTER RENTRE DANS LE SILENCE POUR UNE SEMAINE...
 


 
 
le 21-11-2009 09:35

BIENVENUE A GATTACA

Dans un futur proche où l’eugénisme règne en maître, un jeune homme tente de rentrer à Gattaca pour réaliser son rêve : devenir astronaute. Il devra pour cela usurper le code génétique d’un membre de l’élite de la nation.    Vincent rêve de devenir astronaute. Mais Gattaca, le centre de formation est réservé à l’élite génétique. Pour en franchir les portes, il se fait passer pour un autre. Vincent est prêt à tous les sacrifices pour devenir astronaute. Moins ambitieux, Jérôme se contente de vivre sa vie par procuration et de mettre du vieux pain sur son balcon.    Avec un sujet très à la mode, pourtant assez peu exploité au cinéma, le scénariste Andrew Niccol n’a aucun mal à convaincre Danny Devito et la Columbia de produire le thriller génétique qu’il a écrit.    Si Ethan Hawke et Uma Thurman sont des comédiens confirmés, l’anglais Jude Law signe ici son premier rôle d’importance…
 


 
 
le 20-11-2009 07:44

KID ORY

Les séances mythiques auxquelles il a participé aux côtés de Jelly Roll Morton et surtout de Louis Armstrong dans la seconde moitié des années vingt ne doivent pas faire oublier l’œuvre personnelle de Kid Ory. Qui est fondamentale pour l’histoire du jazz. Ce denier a été, en effet, le tromboniste le plus important de l’école Nouvelle-orléans. Celui qui a donné ses titres de noblesse au style tailgate, première émancipation du trombone.    For curieusement, Kid Ory qui joue aussi bien de la trompette, de la clarinette, du saxophone, que du piano ou du banjo, se mettra au trombone par pure opportunité.    Contrairement à la plupart des musiciens de Louisiane qui quitteront leur terre natale pour Chicago, Kid Ory choisira tout d’abord les ciels azuréens de la Californie. Pour des raisons de santé, il est vrai. C’est en effet sur les bords du Pacifique qu’il passera une part importante de sa vie de jazzman. Mais aussi d’éleveur !
 


 
 
le 19-11-2009 08:33

AUTOUR DES CITADELLES...

11 – Aude, Cucugnan du 24 au 27 octobre 2009

Décrire le département de l’Aude est difficile, et que dire du Pays Cathare ? Tout l’art des conteurs n’y suffit pas. Car ici la terre s’est essayée à tous les horizons. Elle s’est faite douce courbe de montagne érodée au Pic de Nore, dentelure acérée de serre au pech de Bugarach, tendre balancement de collines en Lauragais, long glissando de plaines coulant de la Narbonnaise à la mer. Elle  s’est marquée de gorges profondes taillées au soc de l’Aude, elle s’est offert des oasis perdues au cœur des Corbières.    Ici, la terre s’est essayée à tous les paysages. Par le bleu sans cesse renouvelé du ciel et de la mer, par la vigne, l’olivier, le chêne vert et le figuier, par le thym, le romarin et la lavande, par la ruche et le miel, il existe une Aude d’orient, brune méditerranéenne. Par l’ondoiement des blés et des maïs, par l’éclatant tournesol, par les pillages pétris d’argile rouge, par tout le Lauragais aux terres grasses, il est une Aude d’occident, prolifique et océane.    Ici l’Humanité s’est essayée à toutes les rencontres. Les Ibères et bien d’autres avant eux y ont entremêlé les fils de leur destin, les Celtes, les Romains, les Wisigoths, et nos ancêtres hispaniques issus de toutes les Espagnes.    Tous ont mijoté dans le grand chaudron languedocien, et cette « cassole » bombée comme un ventre est née l’Aude, Pays Cathare, héritière des vainqueurs et des vaincus, des maîtres et des esclaves, de tous les nomades devenus sédentaires qui ont labouré cette terre, qui ont dressé des menhirs, bâti des oppida et des villes forteresses, ensemencé la langue commune de leurs mots. Majestueuses citadelles, Quéribus, Peyrepertuse, Aguilar, Villerouge Termenès et Termes nous suggèrent un étonnant voyage vers l’histoire cathare à travers les Hautes Corbières, territoire façonné depuis des siècles par la nature et les hommes. Partons à la découverte de ce nouveau département avec la ferme intention de parcourir l’emprunte des Cathares…    Trois heures trente et 332 kilomètres d’autoroute sont nécessaires pour approcher Cucugnan. On quitte Aix en Provence ; autoroute A8/E80 direction Salon, Arles ; Continuer sur N113 ; reprendre l’Autoroute A54 direction Perpignan, sortie Rivesaltes, traversée de Espira de l’Agly puis Maury ; prendre la D14 qui vous mène tout droit à Cucugnan. Prendre le sens interdit et monter jusqu’en haut du village, au bout à gauche se trouve l’Auberge de Cucugnan notre résidence pour cette escapade…
 


 
 
le 18-11-2009 08:28

VOYAGES...

Ami, tu pars muni d’un bissac, d’outils, de quoi te nourrir et de quoi t’abreuver sur la route ; on t’a confié une canne pour te défendre, s’il le fallait, et pour soutenir ta marche.    Voici un dernier cadeau, il t’accompagnera pendant tes soirées studieuses, et sera auprès de toi, comme les Frères et les Sœurs Compagnons que tu ne connais pas encore, mais qui feront route avec toi.    En route donc, vers l’Etoile ! Suis-la des yeux ! Que son flamboiement te ramène enfin parmi les Frères et les Sœurs, quand tu interrompras le voyage pour nous rapporter… un chef-d’œuvre !
 


 
 
le 17-11-2009 08:02

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - BOLIVIANO

Le boliviano est le nom de la monnaie bolivienne dont le code ISO est BOB. Un boliviano se subdivise en 100 centavos. Son émission est contrôlée par la banque centrale de Bolivie et la conversion en novembre 2005 était de 8 BOB pour 1 dollar et 9,7 BOB pour 1 euro.    Les différentes pièces de monnaies sont : 10, 20 et 50 centavos et 1, 2 et 5 bolivianos. Les différents billets sont : 10, 20, 50, 100 et 200 bolivianos.    Suite à l'indépendance de la Bolivie, le Congrès Constitutif approuva une loi disposant d'une monnaie nationale le 20 novembre 1826. La Casa de Moneda de Potosí commença à frapper la nouvelle monnaie en 1827.    Ces monnaies étaient d'argent et avaient une valeur de 10 dineros et 20 gramos. On les appelaient sueldos et soles.    Description de la première monnaie Bolivienne: A l'avers, une légende dans le périmètre disait Libre por la Constitución et dans le centre se trouvait le buste du Libertador Simón Bolivar. Au revers se trouvait l'arbre de la liberté, à ses flancs une paire de lamas se faisant face et la légende República Boliviana, et dans la partie inférieure, six étoiles représentaient les départements qui divisaient le territoire. Sur la tranche, la légende Ayacucho, Sucre 1824 en l'hommage à la victoire d'Antonio José de Sucre.    En 1863, un changement intéressant dans le système monétaire de la Bolivie se produisit puisqu'on laissa le système octal pour faire place au décimal. C'est-à-dire que les monnaies de 8 sueldos divisées en huit soles disparaissent. On se met à frapper des pièces de un boliviano qui se divisait en cent centavos. Le peso boliviano devient alors l'unité monétaire.    Depuis le 28 novembre 1986, le boliviano remplace le peso boliviano ($b). Après deux années de transition, le boliviano est la monnaie unique légalement acceptée en Bolivie. Un boliviano équivaut à 1 million de peso boliviano.    Un billet de 50 pesos bolivianos émis en 1962. Un billet qui au verso représente la porte du soleil, l’artiste utilise une couleur en dégradé. A noter l’utilisation de fil dans la pâte à papier servent à l’identification du billet et un billet de 10 pesos de la même année.
 


 
 
le 16-11-2009 07:46

A COMME ALPILLES

MOURIES...

Mouries est un curieux petit village planté au pied des Alpilles, au milieu de petites collines et de champs d'oliviers.Mouriès est la première commune oléicole de France avec 80.000 pieds d'oliviers. Cette huile est labellisée AOC et provient de quatre variétés (Salonenque, Aglandau, Grossane, Verdale des Baux).A Mouriès, l’huile est fabriquée artisanalement à froid et non filtrée, c'est ce qui lui donne sa saveur si particulière.Mouries est l’un des villages des Alpilles le plus attaché à ses traditions. De nombreuses festivités animent le village toute l’année. Les célébrations en l’honneur de l’olive, du taureau et le "Formidable Aïoli Populaire"...
 


 
 
le 15-11-2009 07:48

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 


 
 
le 14-11-2009 06:01

A L'AUBE DU 6ième JOUR

Père de famille modèle, Adam Gibson a tout pour être heureux. Jusqu’au jour où il se découvre un clone. Embarqué malgré lui dans une affaire qui mêle science et pouvoir. Il va devoir protéger les siens. La riposte n’aura rien de paisible…    A lui seul, le paisible Adam Gibson peut venir à bout d’une armée. Cloné, il est indestructible. Drucker et sa bande en feront les frais.    Lorsque les scénaristes, Cormac et Marianne Wibberley finissent le script d’A l’aube du 6ième jour, ils proposent un cocktail détonnant, mélangeant thriller et science fiction.    Spottiswoode avait prévu 200 plans à effets spéciaux. Finalement, A l’aube du 6ième jour en compte 700. Autant de défis à relever pour l’équipe.    A l’aube du 6ième jour est un tournant pour Schwarzenegger. Il aborde pour la première fois un double rôle.    Né en 1945 en Angleterre, Roger Spottiswoode débute comme monteur de documentaires. Au début des années 1970, il part aux Etats-Unis, et travaille pour le réalisateur Sam Peckinpah, notamment au montage de Chiens de paille. Il passe à la mise en scène en 1980 avec un film d’horreur à petit budget, le Monstre du train. Par la suite, il se spécialise dans le polar musclé et les poursuites spectaculaires, comme dans 200 000 dollars en cavale. Il enchaînera les succès avec Randonné pour un tueur, un thriller montagnard, Turner et Hooch, une comédie avec Tom Hanks, et Air America, où Mel Gibson est un pilote hors pair. Divorcé de la fille de Jack Palance en 1997, il réalise un de ces rêves la même année, en tournant un épisode de la saga James Bond, Demain de meurt jamais…
 


 
 
le 13-11-2009 08:04

JELLY ROLL MORTON

Jelly Roll Morton s’est souvent montré mégalomane, voire paranoïaque au crépuscule de sa carrière. « L’Originator of jazz, stomp and swing », comme il aimait à se présenter, n’en a pas moins été l’une des grandes figures du jazz traditionnel – adolescence passée dans les beuglants de la Nouvelle-Orléans oblige ! Et un compositeur de grande envergure qui œuvrait pour la postérité.    C’est en 1926 que Jelly Roll Morton réalisera ses premiers enregistrements. Pour l’occasion, il sera accompagné par ses célèbres Red Hot Peppers. Bien qu’il ait été l’un des plus grands mégalomanes du jazz, il ne s’en est pas moins montré un leader intelligent et ouvert, mettant en valeur tous ses sidemen qui avaient des idées originales.    En écumant tous les honky tonks de Crescent City, Jelly Roll Morton s’affirmera comme un excellent pianiste. Il alliera le blues au ragtime pour forger une musique tout à fait personnelle.
 


 
 
le 11-11-2009 08:40

CORTO L'INITIE

Corto Maltese, personnage mythique d’Hugo Pratt, est, certes, un « gentilhomme de fortune », mélange d’aventurier et de dandy romantique dont les pérégrinations nous entraînent sur les traces de Stevenson, Conrad et Melville, mais il est aussi un initié.    De la Ballade de la mer salée à Mû, la citée perdue en passant par Fable de Venise, l’itinéraire maritime et terrestre de Corto est d’abord la métaphore du voyage intérieur. Cette saga constitue un espace de références multiples et complexes aux mythologies et aux ésotérismes tant occidentaux qu’orientaux.    En expliquant à chaque fois le symbole ou le mythe auquel il fait référence (tel que la « fontaine de la rose » ou les « clavicules de Salomon »), Joël Gregogna guide le lecteur dans le labyrinthe de l’imaginaire d’Hugo Pratt, immense connaisseur en matière d’ésotérisme, et permet ainsi de mieux comprendre pourquoi Corto Maltese est lui-même devenu un mythe quasi universel…
 


 
 
le 10-11-2009 09:07

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - NUEVO SOL

Le nouveau sol ou nuevo sol (code ISO 4217 : PEN ; symbole local : S/.) pluriel : soles, est l’unité monétaire qui a cours légal au Pérou depuis 1991 ; il est divisé en 100 centimes (céntimos).    Cette monnaie a succédé à l’inti (qui avait lui-même succédé au sol de oro suite à la démétallisation du dollar américain et de la plupart des monnaies du monde) au taux de 1 nouveau sol pour 1 million d’intis, suite à une inflation (consécutive à la dette nationale péruvienne) ayant énormément dévalué l’ancienne monnaie.    La création de la nouvelle devise a été aidée par le Fonds monétaire international et par la mise en place de garanties financières destinées à assurer la stabilité du nouveau sol et rééquilibrer les termes de la dette.    Toutefois, de nombreuses entreprises péruviennes continuent à traiter sur les marchés internationaux en fondant leur trésorerie sur le dollar américain, même si l’État péruvien incite à reconvertir sur leurs comptes leurs devises étrangères en nouveaux sols.    Le nouveau sol circule sous la forme de : pièces de 1, 5, 10, 20, 50 céntimos, pièces de 1, 2 et 5 nuevos soles et de billets de 10, 20, 50, 100 et 200 nuevos soles.    La parité sur les marchés face au dollar US est fixée directement par la banque centrale nationale, la Banco Central de Reserva del Perú, une entité indépendante de l’exécutif péruvien et dont la mission est de maintenir la valeur de la monnaie en lui permettant de flotter sur les marchés monétaires internationaux. L’amélioration des conditions financières de la nouvelle devise a permis durant l’année 2004 une réévaluation de sa valeur, qui s’est établie en moyenne à 3,27 nouveaux sols pour un dollar US.    Billets de 1000 et 5000 soles de oro émis en 1981 et 1985 à l’effigie de Miguel Grau et Francisco Bolognesi.
 


 
 
le 09-11-2009 07:46

I COMME ISOARD

LE TRIATHLON D'EMBRUN...
Une épreuve mythique qui attire chaque année de plus en plus de participants et remplit les hôtels et autres hébergements de la ville.    Le Triathlon d'Embrun est connu pour être le plus difficile au monde, notamment à cause de la montée à vélo du col de l'Isoard. Bien des participants le qualifient de triathlon mythique. L'Embrunman est une épreuve longue distance avec un parcours de 188 km et un dénivelé de 5000 mètres…
 


 
 
le 08-11-2009 07:43

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

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le 07-11-2009 06:40

RENCONTRE DU TROISIEME TYPE

Roy Neary les a vue, le Docteur Claude Lacombe comprend leur langage. Ensemble, pour la première fois, ils vont établir le contact avec eux.    Père de famille sans histoire, Roy Neary est témoin de phénomènes paranormaux. Spécialiste français des OVNI, le docteur Lacombe croit en la vie extraterrestre. Une obsession les unit : Percer le mystère.    Un homme ordinaire, un couple au bord de la rupture, des scientifiques, tous pressentent un événement majeur dont ils ignorent encore l’importance. Un seul serra choisi.    Marqué par un souvenir d’enfance, Steven Spielberg rêve de marquer l’histoire de la science fiction. Pour réaliser ce projet, l’enfant chéri d’Hollywood sacrifie deux ans de sa vie.    En réunissant des virtuoses des effets spéciaux, Spielberg enchante les cinéphiles et renouvelle un genre en reculant les frontières du possible.    La présence de Truffaut apporte à Spielberg une caution de poids. Les comédiens se présentent alors au casting de ce film de science fiction unique.    Né le 27 décembre 1946 à Cincinnati, Spielberg n’a que 13 ans lorsqu’il réalise son premier film, un western de 4 minutes. En 1971, sa carrière bascule lorsqu’il réalise Duel, un téléfilm à suspense qui connaît un retentissement tel que la production le sort en salle dans une version longue. Le jeune prodige de la télévision se consacre alors au cinéma. Les Dents de la mer (1975) l’impose comme le réalisateur le plus prometteur de sa génération. Il enchaîne les succès jusqu’à devenir une valeur sûre du box-office, capable d’attirer le public sur son seul nom. A l’aise dans le film d’aventure (la trilogie Indiana Jones), le film de guerre (Il faut sauver le soldat Ryan) ou la science fiction (E.T.), Spielberg est le maître incontesté de la superproduction…
 


 
 
le 06-11-2009 07:43

KING OLIVER

En privilégiant l’improvisation individuelle au détriment de la traditionnelle interprétation collective, Joe Oliver a donné une dimension aussi nouvelle qu’exceptionnelle au style Nouvelle-Orléans. En témoignent les enregistrements du début des années vingt, le cornettiste apparaît bel et bien comme le premier véritable roi de l’histoire du jazz – un roi qui allait en outre révéler le père spirituel d’un certain Louis Armstrong !    Jusqu’à la fin des années dix, la Nouvelle-Orléans sera la capitale du jazz, nombre de musiciens y trouvant la consécration, comme le cornettiste Freddie Keppard et, bien sûr, King Oliver.    Quittant le Créole Jazz Band de King Oliver, où il occupait le poste de second cornet en 1924 pour l’orchestre de Fletcher Henderson, dont il influencera considérablement les conceptions rythmiques Louis Armstrong sera remplacé par le trompettiste Bob Shoffner.    Dès le début des « Roaring Twenties », Louis Armstrong prendra ses distances avec le jazz caractéristique de la Nouvelle-Orléans, dont King Oliver avait été le plus parfait représentant. Satchmo ne tardera à apparaître comme le premier grand créateur de jazz.
 


 
 
le 05-11-2009 07:40

VOYAGE VERS UNE FOLIE RAISONNABLE

On frappe à la porte de la franc-maçonnerie pour combler un vide. Ce vide n’est que l’expression d’une demande évolutive que l’on nomme spiritualité. Cette quête illustre d’une manière idéale la demande absolue d’une reconnaissance intérieure, celle de l’âme que nous associerons à l’inconscient.    Les symboles qui décorent la loge ne sont que les représentations de nos modèles d’images. Tels des traits d’union entre nos deux mondes. Ils vont permettrent notre évolution. Ici le but du jeu est de partir vers notre découverte, en comprenant qu’il nous faudra « vivre » le symbole, c’est-à-dire l’interpréter pour l’intégrer. En effet, sauf si l’on se nomme DESCART, le seul discours sur la méthode ne représentera qu’une subtile conduite d’évitement. Car le mental ici n’est pas suffisant.     C’est uniquement dans un premier temps que la manœuvre intellectuelle va primer. Débarrassé des valeurs du monde profane en pénétrant dans la Loge, intégré dans un espace de réflexion par le biais du rituel, le franc-maçon va pouvoir contacter d’une manière cérébrale le contenu du symbole. Par le biais des membres de la Loge ainsi que de leurs travaux, notre réflexion va pouvoir s’intensifier, permettant au symbole de nous « parler ». Prenons l’exemple du Pavé Mosaïque : il illustre d’une manière parfaite que l’ombre et la lumière ne peuvent se dissocier. La métaphore est évidente, elle me semble parlante, l’homme ne peut être complet qu’en intégrant son ombre.    Le « jeu » va continuer en partant à la rencontre émotionnelle du contenu symbolique pour l’intégrer. Mais souvent tout s’arrête ici et la Loge se transforme en club service. Face à la difficulté d’intégrer l’inacceptable, c’est la bascule vers un caritatif compensateur de bas étage, ou vers une auto satisfaction aussi stérile que prétentieuse.    En effet, la reconnaissance du contenu de notre ombre est issue de la découverte de nos projections. Et c’est ici que le groupe va intervenir : nos jugements, nos critiques et nos condamnations portant sur certains membres, aussi justifiés soient-ils, sont autant de pistes qui peuvent nous amener vers notre ombre.    Le symbole s’avère alors être le guide privilégié qui nous amène à nous réunir en utilisant les projections « éclairantes » du contenu de notre face cachée.    Nous percevons ainsi que notre monde intérieur diffère radicalement de notre apparence… le masque peut enfin tomber. Et surtout nous réalisons avec stupeur l’évanouissement de notre animosité envers celui qui n’était que le reflet de notre ombre. Les guerres souterraines qui nous animent ne sont alimentées que par la projection de ce que nous refoulons.    A ce stade on perçoit le rôle de l’intellectualisation des projections dans un milieu privilégié, l’intérêt du groupe en tant que miroir, et la puissance émotionnelle du symbole comme révélateur.    En effet, c’est ici que tout se joue : la peur, la culpabilité ou la honte d’être jugé en affichant notre identité seront les risques que nous devons affronter. Nous retrouvons ici toutes les notions qui ont été rationalisées antérieurement : une conscience de notre contenu caché par le biais de nos projections, la prise de risque liée au vécu de cette composante, le sacrifice nécessaire à la perte de notre image, tout ceci baignant dans une foi liée au symbole où l’intellect et l’émotion se conjuguent d’une manière harmonieuse.    Cette découverte du monde intérieur, puis son intégration vont automatiquement provoquer une angulation de la vie de chacun d’entre nous. L’efficacité de la maçonnerie se jauge à la transformation de ses membres qui se doit d’être « contagieuse ».    On perçoit ici toute la finesse du processus : dans une telle alchimie, la valeur dogmatique est inopérante. Le seul dieu agissant reste le sien, celui que l’on doit découvrir au fond de soi-même.    Bien souvent l’individu dans la deuxième moitié de sa vie, en proie à un manque de spiritualité ou encore à un doute, une interrogation, donc à un vide intérieur, va chercher dans le groupe un moyen de combler ce vide sans tête. Le groupe philosophique avec ses symboles apparaît comme le biais quasi idéal par lequel il va pouvoir répondre à ses demandes et ses aspirations. Le caractère symbolique de la maçonnerie reste un gage de qualité pour le prétendant et, le fameux secret maçonnique, n’est rien d’autre que ressentir intellectuellement et émotionnellement l’évidence d’une rencontre avec soi-même difficilement transmissible par le seul biais du verbe. Tout le reste n’est qu’un secret de polichinelle.    Le but de la maçonnerie est donc l’activation de nos archétypes. Si j’ai pris l’exemple du Pavé Mosaïque pour amener le concept de l’ombre, la Lune et le Soleil, autres symboles de la Loge, nous entraînent à la rencontre d’une nouvelle dualité, plus profonde, celle de notre intimité féminine face à notre masculinité d’apparence. De nombreux symboles permettent notre construction. Il va sans dire que cette évolution amène son lot de transformation au sein du groupe, du couple et de notre vie.    Mais ce descriptif est pour le moins optimiste car la réalité est quelquefois toute autre. Les obédiences se multiplient, certaines se taxent de régulières, d’autres prétendent détenir l’authenticité de la fondation. La course au pouvoir ne cesse de s’accélérer : elles font preuve d’un prosélytisme troublant. L’utilisation du symbole fait place à une déification profane du monde symbolique. Là encore le profane se substitue au sacré.    C’est là tout le problème des Loges où l’on parle du symbole sans le vivre. Le risque est trop grand et l’on se retrouve, des années plus tard, dans la même position que lorsque l’on y est entré. Tous les prétendant sont en quête d’une spiritualité, mais face à la nécessité de prises de risque liée à l’authenticité de notre démarche, nombreux sont ceux qui se fourvoient dans des conduites d’évitement bien connues.    La première de ces conduites d’évitement est une compensation sur le mode fraternel : ont s’auto congratulent avec force et vigueur, ravis d’appartenir à la Franc-maçonnerie baignant dans une béatitude éthérée, intimement convaincus d’être les élus des temps modernes par nos secrets à faire pâlir de jalousie le monde profane.    La seconde est beaucoup plus pernicieuse : afin d’éviter la prise de risque émotionnelle liée à l’intégration de notre monde intérieur, on tend vers des travaux livresques titanesques. Ces réflexions hyper conscientisées, narcissiques, frisent le ridicule par leur absence de profondeur et d’engagement. Nous assistons ici à la victoire de l’intellectualisation sur la composante émotionnelle.    La troisième conduite d’évitement dérive de la seconde. Si certains Frères ou Sœurs sont incapables d’évoluer, ils doivent trouver une bonne raison à leur statut, de ce fait, ils vont compenser par la recherche du pouvoir ou de la sécurité de l’institution : c’est la multiplication des titres à l’image de leurs tabliers, véritables emblèmes de leurs grades.    Ces types de compensation peuvent revêtir moult aspects : celui du « vieux » franc-maçon, encroûté dans ses certitudes rationnelles, qui se permet de donner des conseils aux jeunes apprentis, celui du franc-maçon « carriériste », qui part à la conquête des grades supérieurs pour compenser une évolution trop coûteuse émotionnellement, ou encore celui du frère ou de la sœur « réfléchi » qui rigidifie dans sa ritualisation, drapé dans un sérieux théâtral, voire dans un aspect vertueux dégoulinant de raisonnable.    Toute originalité sera vécu comme subversive car elle risquerait de mettre en péril l’assise du groupe et la moindre déstabilisation est synonyme de danger. Dans ce cas de figure, le frère ou la sœur qui chemine symboliquement risque l’exclusion ; il représente le support idéal à la projection de l’ombre collective.    Jonathan Livingstone le goéland illustre fort bien cette ombre collective. S’il se détache du groupe pour vivre ses expériences initiatiques, son évolution n’est nullement opposée à celle du groupe ; bien au contraire il tente même de faire partager ses émotions et ses découvertes. Mais le groupe va l’évincer car il représente un danger majeur pour les piliers conservateurs du groupe, l’immobilisme étant le garant de leur pouvoir.    Si je concède que ces conduites d’évitement sont le plus souvent inconscientes, imprégnées d’un réel désir de bien faire et d’une logique ou d’une cohérence apparente au dessus de tout soupçon, elles annuleront malgré tout le moindre processus évolutif.    Ainsi une interrogation se posent à moi :    La Franc-Maçonnerie est-elle un « passage » ou bien une finalité en soi ?    Je peux facilement admettre qu’un frère ou une sœur ait le souhait d’évoluer individuellement. Je n’y voit d’ailleurs ni trahison ni reniement mais d’avantage un succès de la franc-maçonnerie : une évolution cohérente liée à sa transformation, une harmonisation profonde de sa nature avec ce qui l’entoure sont les signatures d’une réussite. On peut me rétorquer qu’il se doit de transmettre ce que la Loge lui a apporté, mais peut-on le blâmer s’il se sent en décalage ? Je crois que l’on a le droit de mettre un terme à une thérapie. L’immobilisme et la dépendance au groupe peuvent aussi signer une défaite de la maçonnerie.    Je suis malheureusement passé par ces trois phases d’évitement, peut être pas dans le même ordre ou je les aient décrites. Mais, j’ai cru un moment revêtir les habits de Jonathan Livingstone le goéland car j’ai pensé que la vie animale me renverrait d’une manière naturelle cet équilibre que j’ai tant de mal à intégrer. J’ai porté l’ambition de construire mon intellect comme une manne céleste et j’en mesure aujourd’hui toutes les incohérences.    Pour ne pas sombrer dans le despotisme intellectuel j’ai accepté volontiers les barrières que je me suis posées comme des limites au « JE » ou au jeu. J’essaye de me rappeler que le Compas possède une pointe sur l’une de ces branches et que l’Equerre peu parfois se rompre.    Je suis toujours dans la Caverne. A l’extérieur, elle est mon chemin pour affronter mes peurs. Le problème c’est que j’ai emporté avec moi une lampe de poche et que je m’autorise de temps en temps à l’allumer. Observer les autres dans le noir, c’est si facile quand on possède la lampe. Mais cela ne dure qu’un temps, car comme tout ce qui est matériel, les piles de la lampe s’usent et il faudra bien que j’affronte la vérité.     Il en est de même à l’intérieur, j’ai glissé le long du fil à plomb au fond de moi-même, toujours avec ma lampe de poche ! Car j’ai cru pouvoir avec ce rayon de lumière artificiel remonter plus facilement. Mais heureusement qu’il y a toujours autour de moi une sœur ou un frère assez proche pour éteindre la lampe. Jason ou Minotaure, je suis toujours dans le Labyrinthe.    Alors, le moment est venu pour moi d’abandonner DESCART l’homme du discours pour retrouver JUNG l’explorateur de l’intérieur. Car sur le chemin je voyage dans une folie raisonnable avec trois corps. Le premier, le plus âgé, il a 60 ans depuis 8 jours, c’est le Frère Ego, il a accumulé depuis tout ce temps culture et connaissances. Le troisième, le plus jeune, un Frère de Lumière, il n’a que 8 ans, il cherche la vérité. Mais c’est le cadet qui me tire souci, balancé entre Ombre et Lumière, il voudrait bien être les deux : Savoir et Vérité.     Alors, Bien souvent une petite voix me dit : «  Si tu veux arriver où tu ne sais pas, il te faut passer par où tu ne sais pas ».

 


 
 
le 04-11-2009 08:31

LOGE MACONNIQUE, LOGE INITIATIQUE ?

LES SYMBOLES MAÇONNIQUES...

Qu’est-ce qu’une Loge maçonnique qui pratique l’initiation, sur quelle Tradition se fonde-t-elle, de quel mythe s’inspire-t-elle, quels rituels vit-elle ?    Sur le chemin des symboles, une Loge initiatique s’attache à des valeurs fondamentales, comme l’intelligence du cœur, la Fraternité et la sœurité, le sens de la liberté ou la lucidité, sans oublier l’humour et la joie de vivre une expérience incomparable.    Ce témoignage permet de mieux connaître et de mieux comprendre le fonctionnement d’une Loge initiatique, le choix de ses travaux et son désir d’accomplir « l’Art royal », voie de Connaissance.Claire Vermon a déjà publié, dans cette même collection, le Soleil et la Lune…
 


 
 
le 03-11-2009 09:03

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - PESO

Le peso chilien (code ISO 4217 : CLP) est la monnaie officielle du Chili. Son émission est contrôlée par la Banque Centrale du Chili.    Les pièces de monnaies sont respectivement de 1, 5, 10, 50, 100 et 500 pesos. Les billets sont de 1.000 (à l'effigie de Ignacio Carrera Pinto et aux héros chiliens), 2.000 (Manuel Rodriguez), 5.000 (Gabriela Mistral), 10.000 (Arturo Prat) et 20.000 pesos. La conversion en Septembre 2007 était de 515 CLP pour 1 dollar, et 712,8 CLP pour 1 euro.
 


 
 
le 02-11-2009 09:17

EGLISES EN CHAMPAGNE...

10 – Aube, Sainte Savine du 21 au 25 septembre 2009

Vous rêvez d’un week end en amoureux ? Amoureux de la nature ? Amoureux des plaisirs de la bonne table et des produits du terroir ? Amoureux de la vieille pierre et des demeures aux charmes d’autrefois ? Amoureux des légendes et des Templiers ? Amoureux des longues flâneries ? Amoureux des musées et de l’Art ? Amoureux tout simplement ou tout cela à la fois ? L’Aube est le berceau de toutes vos passions. Elle vous accueille et s’offre à vous en vous proposant des escapades inoubliables !    Nom de promesse du jour et nom d’une rivière débutante, le département de l’Aube se situe en Champagne Ardenne, dans sa partie sud et aux confins de la Bourgogne. Si Paris a la forme d’un cœur, Troyes a celle d’un bouchon de champagne. Ville d’art et d’Histoire, elle conserve un patrimoine architectural vraiment exceptionnel. Deuxième producteur de champagne, l’Aube nous ouvre son prestigieux vignoble : 7500 ha de cépages nobles qui constituent 22% de l’aire d’appellation champagne. Milieu naturel préservé et riche d’une faune et flore exceptionnelle, le Parc Naturel Régional de la Forêt d’Orient offre 20 000 ha de forêt et 5000 ha de plans d’eau sur trois lacs.
 


 
 
 

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