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  VEF Blog

Les Black's Foot

le 26-12-2009 17:59

LE MOT DU WEBMASTER

BONJOUR LES AMI(E)S VISITEURS ET VISITEUSES
LE WEBMASTER RENTRE DANS LE SILENCE POUR UNE SEMAINE...
 


 
 
le 26-12-2009 06:45

EVOLUTION

Deux scientifiques découvrent une forme de vie extraterrestre aux capacités de croissance et d’évolution stupéfiantes. L’invasion a commencé…    En étudiant une météorite écrasée en plein Arizona, deux professeurs d’université découvrent une forme de vie extraterrestre capable d’évoluer à vitesse grand V. Rapidement, le cas intéresse l’armée. Bonne nouvelle : le sort de la planète dépend de deux improbables professeurs d’université aidés d’un élève pompier qui n’a jamais éteint un feu.    A partir d’un solide scénario de science fiction un peu trop sérieux à mon goût, Ivan Reitman reprend la recette de son film SOS Fantômes, et dirige Evolution sur la voie de la comédie.    Par leur nombre et la richesse de leur animation, les créatures imaginées par Phil Tippett montrent l’étendue du talent du magicien des effets visuels. Alternant acteurs catalogués sérieux ou comiques, Ivan Reitman veut jongler entre comédie potache et crédibilité scientifique.    Canadien d’origine tchèque, Ivan Reitman est né en 1946. Il étudie le théâtre et le cinéma puis débute à la fin des années 1960 comme producteur de télévision. Parti à New York, il monte plusieurs pièces à succès avant de tourner un modeste premier film intitulé Foxy Lady (1971). Plus heureux en production, Reitman revient avec succès comme réalisateur en 1979 avec la comédie Arrête de ramer, t'es sur le sable, et explose littéralement cinq ans plus tard grâce à SOS Fantômes qui le place en haut du box-office, et dont il fait une suite en 1989. Spécialiste de la comédie, il tourne notamment, avec Kévin Kline (Président d’un jour), Harrison Ford (Six Jours, sept nuits), ainsi qu’à trois reprises avec Arnold Schwarzenegger dont il révèle les talents comiques en 1989 dans Jumeaux…
 


 
 
le 25-12-2009 08:23

HENRY RED ALLEN

Disciple ô combien fidèle de Louis Armstrong au début de sa carrière, Henry Red Allen a ensuite emprunté d’autres voies que celles tracées par Satchmo. Rompant avec la tradition néo-orléanaise et créant un autre univers sonore que celui de Duke Ellington, le jazzman allait devenir en peu de temps le trompettiste le plus avant-gardiste de Harlem.    Situé dans le nord de Manhattan, Harlem devait succomber à la mode de l’exotisme dès après la Première Guerre mondiale. Tandis que les directeurs donnaient à leurs clubs un ambiance « tropicale », les musiciens cherchaient des sonorités nouvelles. D’où le style jungle de Duke Ellington.
 


 
 
le 24-12-2009 08:24

CE QUI DOIT ETRE VECU POUR ETRE COMPRIS

Les conversations avec les apprentis sont toujours profitables. Nombreuses, elle permettent de découvrir certains aspects oubliés de la quête initiatique. Parmi ceux-ci, l’essence du questionnement au sujet de la Vérité, le sens même d’une quête perpétuelle.    Un proverbe oriental dit que lorsque le doigt montre la Lune, l’ignorant regarde le doigt. En fait celui qui regarde la Lune est dans la même situation car l’important n’est ni le doigt ni la Lune, mais l’ensemble, l’acte, l’Unité d’action. le doigt qui montre et la Lune forment un tout signifiant.    Si le doigt ne montrait pas la Lune, l’acte n’aurait, à cet instant, aucune raison d’être et si la Lune n’était pas visible à ce moment, pourquoi la montrer ?     Le doigt et la Lune peuvent indifféremment exister chacun de leur côté, de même, il est possible de pratiquer des rituels machinalement ou de lire tout ce qu’il est nécessaire de savoir sur les grades sans jamais les avoir pratiqués.     L’un et l’autre, pris séparément n’offrent pas le message contenu dans la rencontre des deux. Apprendre ou faire apprendre par cœur les catéchismes maçonniques n’a jamais produit de bons maçons. Dans ce geste, le doigt et la Lune sont inséparables. Je l’ai déjà dit plus en début de tracé, si l’univers n’était pas tel qu’il est, nous ne serions probablement pas là pour le décrire, l’enchaînement analogique avec le néophyte reste à l’identique.    Initier signifie remettre à l’état initial, se purger des aspérités de l’être. l’initiation a pour objet de retrouver l’Homme primordial libéré de ses contraintes. Seul cet état permet de découvrir la réalité transcendante de l’individu. La cérémonie ne fait pas l’initié, elle montre la Lune, offre des outils qui permettront de se construire. Seul l’étude permettra de retrouver l’état primordial, l’expression du silence, tout autant, celle du futur puisque l’un mène à l’autre et qu’il permet d’aller vers, de se préparer à…    La cérémonie d’initiation permet de trouver sa place au cœur des symboles par le vécu. Il est nécessaire de vivre les choses et d’entendre les murmures du souffle avant de les analyser. Aucun progrès dans les domaines du symbolisme ne peut avoir lieu si les formes rituelles ne sont pas vécues en conscience ou sont condamnées par avance.     Le nouvel Apprenti a d’abord été un profane, un être humain chargé de son passé, de son éducation. Le fait qu’il soit présent à cette initiation relève d’une quête, d’une recherche, d’un objectif, n’est-il pas plus avantageux de lui présenter le silence de l’Apprenti plutôt que de lui interdire de parler ? En effet, la maçonnerie n’est pas le monde profane, comment un argumentaire « administratif » pourrait-il avoir quelque valeur dans une démarche initiatique ?    Le but est l’initiation, le retour à ce qui précédait et qui permettra de « re-construire ». C’est pourquoi, à l’issue de la cérémonie, le premier et le plus fort des sentiments est généralement la frustration parce que la reconstruction ne s’effectue pas en un claquement de doigts.    « Ce n’est que cela ? »    Oui, ce n’est que cela parce que tout est contenu dans ce que vous avez vécu !    Si l’on considère que le symbolisme est une alphabétique de l’initiation, il est bon de vivre l’expérience afin d’en comprendre le sens ; tout le reste n’est qu’anecdote.     Il est possible de lire, d’acheter toutes sortes de rituels, de chercher à dévoiler les secrets, trahir la symbolique, parler du Mythe fondateur de la Maîtrise, rien n’aura de sens ni réalité tant que  l’expérience vécue n’a pas eu lieu parce que la compréhension restera théorique ; de même, parler de l’Apprentissage tant que le cursus complet n’est pas effectué n’offre aucune perspective.     Pire, il n’offre que des certitudes et les moyens de toujours parler d’un état d’être au lieu d’une volonté d’être. L’Apprenti ne pourra en parler que lorsqu’il aura quitté ce grade.     Le chemin initiatique est, à chaque étape, comparable à une toile pointilliste, il ne peut être vu qu’en s’en éloignant, de même, la vision d’une Cathédrale ne prend tout son sens que dans sa globalité, vue d’assez loin pour que l’œil se porte et sur le portail et sur les tours. Si vous êtes sur la montagne en face du château, vous voyez le bâtiment dans son ensemble, si vous restez à la fenêtre de la grande salle, vous ne voyez que la grande salle et le paysage autour, jamais le château.     Il faut pour que l’initiation se fasse réellement, pour que l’Apprenti découvre ce qui se cache derrière la première vision des choses, qu’il puisse laisser à l’instinct le loisir de s’exprimer au cœur du symbole. Le silence et l’observation (vide – tracer – regarder et se taire) porteront la compréhension à celui qui a vu et touché l’objet de sa recherche.    La conscience de l’initié implique le discernement de l’autre.     L’ego « je suis », implique l’altérité, l’alter ego « l’autre je suis », celui sans lequel nous ne sommes rien.    Dans les rituels maçonniques, à l’ouverture des travaux au grade d’Apprenti, il est dit, à la question de savoir si nous sommes francs-maçons, que « mes Frères et mes Sœurs me reconnaissent pour tel ». En fait, sans reconnaissance, il n’y a pas d’identité, même s’il y a existence. Nous savons que nous existons, mais nous ne voyons notre visage qu’à travers les miroirs.    Sans cette reconnaissance, il n’y a pas de Franc-Maçon. En allant plus loin, l’existence même ne se reconnaît que dans un seul élément : la capacité qu’a l’initié d’avoir la foi en l’avenir et en l’utopie. sans cela la philosophie maçonnique cesse de faire rêver l’Homme.    Malheureusement nous assistons parfois à une mutation due à un transfert toujours plus prégnant du profane tout puissant, si ce n’est impérial, au moins dans certaines obédiences qui accueillent volontiers en leurs loges des militants recalés ou des déçus de la politique politicienne ?    Cette Polynésie au sein des Loges doit nous préserver par définition de la monotonie d’un discours univoque. Mais encore faut-il que les plus engagés dans leur militantisme, même minoritaires, ne finissent point par imposer un discours unique, ni même une orthodoxie d’appareil.    Ce risque est réel lorsqu’il se trouvent par ailleurs représenter celui-ci et concevoir leur parcours, comme un déroulement de carrière avec tout ce que cela peut comporter et qui est bien éloigné de la démarche maçonnique.    Je pense notamment ici à la critique fondée de notre Frère Bruno Etienne, comme un certain nombre de Francs-maçons de toutes sensibilités, soucieux de protéger l’Ordre contre ses mauvais démons et contre les risques de dérives dogmatiques.     Ne sommes-nous pas par ailleurs, et c’est un autre registre qui est source d’incertitudes, en présence d’une culture nourrie d’attentes de résultats immédiats et tangibles relevant du sociétal, sous l’effet d’une course effrénée aux effectifs obédientiels passant par l’initiation de masse d’individualités plus « militantes » que philosophantes ?    Avec la nécessaire humilité que me dicte mon éducation maçonnique et peut-être une certaine pratique de la règle je me reconnais dans la pensé de notre regretté Frère Bruno. Continuons donc à briser les tabous en participant à la réflexion avec ouverture d’esprit confondante en nous appuyant sur une valeur vielle de deux siècles : « Ordo ab chao »…
 


 
 
le 23-12-2009 08:15

LA CONSTRUCTION RITUELLE D'UNE LOGE MACONNIQUE

LES SYMBOLES MAÇONNIQUES...

Second tome d’un ouvrage portant sur l’ouverture des travaux, ce livre aborde l’un des moments les plus importants de la vie des francs-maçons, celui où ils se retrouve.    Dans le premier tome, l’auteur a « planté le décor » symbolique et mythique de cette ouverture, et s’est demandé si ouvrir les travaux ne serait pas construire une pensée de l’origine de toutes choses dans laquelle naît une loge maçonnique ?    Ce tomme 2, consacré à la poursuite de ce voyage, aborde les points essentiels à partir desquels se construit une Loge maçonnique et qui constituent en quelque sorte le « cahier des charges » de toute démarche créatrice : le caractère alchimique des purifications, l’hermétisme du Temple, la fonction de création, tout particulièrement celle de Passeur, puis la richesse de l’expression apparemment anodine « Prenez place mes Frères » prononcée par le Vénérable Maître, et dont il est avéré qu’elle revêt une grande profondeur de sens.Olivier Doignon est auteur de plusieurs ouvrages sur la symbolique maçonnique…
 


 
 
le 22-12-2009 08:03

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - DOLLAR

Le dollar ($ uni code U+0024) est le nom de la monnaie de plusieurs pays dont : certains États des Caraïbes (dollar de la Caraïbe orientale, XCD).    Les Bahamas, ou le Commonwealth des Bahamas pour les usages officiels, sont un pays anglophone, qui bien que situé largement au nord de la Mer des Caraïbes, est parfois considéré comme faisant partie de l'Espace Caraïbe. Les Bahamas sont un archipel de 700 îles situées dans l'océan Atlantique, à l'est de la Floride, au nord de Cuba et du reste des Caraïbes et à l'ouest des îles Turques et Caïques sous dépendance britannique. Ses habitants sont les Bahaméens.    La reine Élisabeth II est à la tête de l'État et la reine des Bahamas qui reste un membre du Commonwealth. Elle est représentée aux Bahamas par un gouverneur général, rémunéré par la reine elle-même. Le chef du gouvernement est le premier ministre, habituellement le chef du parti gagnant aux élections du parlement. Le parlement du Bahamas consiste en deux chambres élues, le Sénat (avec 16 membres) et la Maison de l'assemblée (40 membres). Les élections sont tenues tous les 5 ans.    Les Bahamas forment une nation stable et développée avec une économie fortement dépendante du tourisme ainsi que des banques offshore. Le tourisme compte à lui seul pour 60% du PIB et emploie directement ou indirectement la moitié des personnes en âge de travailler de l'archipel. Les Bahamas reçoivent surtout des visiteurs venus de États-Unis. La plus proche des 700 îles qui composent l'archipel n'est située qu'à 75 km à l'est de Miami. Une augmentation permanente de la capacité d'accueil et un décollage des constructions de nouveaux hôtels, de centres de vacances et de résidences ont permis une bonne augmentation du PIB ces dernières années. Les Bahamas font partie des pavillons de complaisance.    Billet de 50 cents émis en 1974 par la Central Bank of the Bahamas.
 


 
 
le 21-12-2009 08:14

J COMME JERASH - JORDANIE

JERASH...

Gérasa a été fondée à la fin du IV siècle av. J.-C.. Ses habitants ont prétendu que la ville avait été fondée par Alexandre le Grand en faveur de vétérans de son armée. Cette prétention s'est exprimée tardivement sous la forme d'une monnaie frappée pendant le règne de Caracalla au nom « d'Alexandre de Macédoine, fondateur de Gérasa ». Néanmoins la cité n'a pris son essor qu'au II siècle av. J.-C., les fouilles n'ayant pas permis de trouver les traces d'un établissement antérieur.

 


 
 
le 20-12-2009 07:09

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 


 
 
le 19-12-2009 08:11

JOHNY MNEMONIC

2021, Johnny a des informations top secrètes stockées dans un implant cervical. Beaucoup sont prêts à tout pour récupérer ces données.    Il est messager mnémonique. Il peut transporter dans son cerveau de grande quantités de données. Lorsque des tueurs veulent récupérer les informations. Les ennuis commencent.    Alors que Johnny est monomaniaque et ne pense qu’à se débarrasser de son implant, le prêcheur prêche et tue. Ce qui suffit amplement à son bonheur…    Pour cette première adaptation d’une œuvre de William Gibson au cinéma, Robert Longo a choisi une nouvelle. Sur les plateaux de tournage, il semble avoir du mal à s’imposer.    Différentes techniques sont mises en œuvre pour obtenir un bon résultat : l’animation BD et l’animatronic, mais aussi des méthodes traditionnelles.    Prenez une ex-star du cinéma allemand, un très grand réalisateur japonais, un chanteur hardcore, un rappeur et une montagne de muscles, mélangez avec un super beau gosse, un pape du cyberpunk et un sculpteur, vous obtenez Johnny Mnemonic.    Né en 1953 à Brooklyn, Robert Longo grandit à Long Island. Dès son plus jeune âge, il s’intéresse à l’art sous toutes ses formes. Son diplôme des Beaux-Arts fraîchement obtenu à l’Université de Buffalo, il crée en 1974 « Hallwalls », espace renommé dédié à l’art contemporain. Il expose pour la première fois en solo au début des années 1980 et devient rapidement un artiste très connu. Sculpteur de formation, il s’intéresse également beaucoup à la peinture, au dessin et aux installations. En 1986, il commence à réaliser quelques clips vidéo, notamment The One I Love pour le groupe R.E.M. Après avoir réalisé une des Histoires d’outre-tombe pour la télévision et quelques courts métrages, il met en scène son premier, et jusqu’à présent unique, long métrage : Johnny Mnemonic…
 


 
 
le 18-12-2009 06:21

EARL HINES

Allant plus loin dans la recherche et dans la virtuosité que les pianistes de stride, Earl Hines a fait du piano un instrument soliste. Le « trumpet-piano style », dont il est à l’origine et qu’il a utilisé avec force efficacité aux côtés de Louis Armstrong, a marqué plusieurs générations de pianistes. Teddy Wilson, Nat King Cole et Bud Powell, par exemple !    Lors des séances avec Louis Armstrong et sont Hot Five à la fin des années vingt, Earl Hines se montrera un brillant soliste. Ce qu’il avait déjà prouvé aux côtés de Lois Deppe.
 


 
 
le 17-12-2009 08:52

ESCAPADE SUR LA COTE VERMEILLE...

66 – Pyrénées Orientales, Collioure du 23 au 26 novembre 2009 
 


 
 
le 16-12-2009 08:03

L'EUROPE DES FRANCS MACONS EN MARCHE

C’est une vision de l’Ordre maçonnique en lien avec un monde en mouvement que nous suggère Alain de Keghel. Il le fait à sa manière, avec le regard du franc-maçon et du diplomate engagé – « hussard » quand il le faut – qui a pris une part active aux mutations, durant toute une vie, en s’impliquant toujours, sans jamais se départir de son esprit indépendant ni de son regard critique sur toute chose, ni encore de sa liberté de langage.    Parti en 1963, encore très jeune Apprenti franc-maçon, à la découverte de l’Allemagne, porteur d’une lettre d’introduction du Grand Maître du Grand Orient de France, Jacques Mitterrand, il découvre l’Art Royal à Stuttgart après Clermont Ferrand et se lie d’amitiés qui ne se démentiront pas. Il restera toujours fidèle à sa Loge mère, Les Enfants de Gergovie, celle du célèbre Frère Antoine Blatin. Son itinérance diplomatique lui fera vivre sur quatre continents des expériences maçonniques et humaines exceptionnelles entre Europe, Afrique, Extrême Orient, Amérique du Nord et Latine. Son  Maître vénéré, Roger Leray, l’encouragera à les transformer en un engagement universel qu’il mettra au service de l’humanité et du dialogue des cultures.    Le regard intemporel sur l’Ordre maçonnique en Europe qu’il nous propose s’inscrit dans un registre original qui n’est pas celui de l’historien. C’est celui de l’anthropologie géopolitique maçonnique. Dans ses projections spéculatives et universelles pour l’avenir, nous retrouvons son optimisme inoxydable et l’Ordo ab chao du Rite Ecossais Ancien et Accepté. Celui aussi qu’il a porté avec résolution et l’ambition d’excellence affirmée durant ses longues années de présidence du Suprême Conseil du Grand Orient de France.Alain de Keguel, né en 1940, diplomate de carrière à la retraite, a occupé notamment les fonctions de consul général de France à Tokyo puis Washington après avoir dirigé la sous direction de l’information du quai d’Orsay. il a, en outre, représenté la France auprès des organismes multilatéraux interaméricains, puis présidé le Suprême Conseil du Grand Orient de France de 2002 à 2008. Il a publié un ouvrage sur la Franc-maçonnerie en Amérique du Nord et dirigé un autre sur La Fayette franc-maçon. Il est l’auteur de nombreux articles relatifs à la diplomatie ainsi qu’à l’Ordre maçonnique…
 


 
 
le 15-12-2009 05:44

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - PESO

Le peso philippin est la monnaie de la république des Philippines. Son code international, selon la norme ISO 4217 est PHP.    Le peso philippin est divisé en 100 centavos. Dans la langue locale, le filipino, le peso est appelé piso et ses divisions sentimo. C'est cette graphie qui est utilisée sur les pièces et billets.
 


 
 
le 14-12-2009 08:11

A COMME AMMAN - JORDANIE

HAMMAN...

Capitale de la Jordanie, Amman  tient son nom des Ammonites, peuple descendant d’Abraham. Construite sur sept collines, la ville est moderne, son centre historique est le quartier le plus animé. La citadelle, acropole romaine aujourd’hui disparue, sur la plus vaste colline d’Amman, offre le point de vue le plus intéressant sur la ville.
 


 
 
le 13-12-2009 07:19

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 


 
 
le 12-12-2009 08:10

HOLLOW MAN

Cherchant à percer le secret de l’invisible, le docteur Sebastian Caine, qui se veut l’égal des plus grands scientifiques, commettra l’irréparable.    Géni à l’ego surdimensionné, le docteur Caine mène des recherches sur l’invisibilité. Pour hâter la réussite de son projet, il devient son propre cobaye. Rapidement, son état affecte son psychisme. Il s’est entouré de deux de ses amis, dont le silence coupable précipitera une équipe de valeur dans la tragédie.    Il a fallu dix ans au producteur Douglas Wick pour mettre en chantier le film de science fiction dont il rêvait. Un stupide accident de trampoline a failli tout remettre en question.
 


 
 
le 11-12-2009 07:55

BIX BEIDERBECKE

Il était de race blanche, fils de bonne famille, et jouait du cornet comme personne. Bix Beiderbecke n’a eu que peu d’années pour parvenir au zénith et pour entrer dans la légende du jazz. Mais quelle importance ! Enrichissant le jazz Nouvelle-Orléans du romantisme allemand et de l’impressionnisme des compositeurs français, Bix a influencé mille et un jazzmen. A commencer par Lester Young et Miles Davis.    Symbole parfait du musicien qui, en consacrant sa vie au jazz, il sombrera dans tous les excès. A l’époque des Wolverines, le style de Bix révèle déjà ses caractéristiques essentielles : le sens du rythme, l’unité du timbre, l’absence de vibrato et le goût des sonorités belles et pures.
 


 
 
le 10-12-2009 06:43

LE GRADE DE M... S..., PASSAGE OBLIGE VERS LES GRADES DE SAGESSE ?

La base est identique au Rite Ecossais Ancien Accepté, le temple est décoré de tenture noire, parsemé de larmes. Derrière le Trône, bien en vue, un grand cercle dans lequel est placé un Triangle sacré portant au centre l’Etoile Flamboyante. Seize colonnes blanches, quatre à chaque angle du Temple. L’intérieur du Temple représente le Saint des Saint.    La lecture du Rituel explique le pourquoi de ces dénominations ; l’ambiance est en effet, biblico-mystique, la liturgie israélite, le président de l’assemblée représente Salomon, la légende est Hiramique. La construction du Temple Mystique se poursuit malgré la mort tragique d’Hiram.     Adonhiram, le lieutenant du Maître assassiné, est l’emblème de l’élévation que doit avoir celui qui veut régénérer son esprit et construire son temple en mettant de côté les mauvais matériaux qui sont les préjugés et les superstitions.     La Parole Sacrée, le corps d’Hiram et les Lois renfermées dans le Saint des Saint représentent la Vérité qui ne peut être révélée qu’à ceux qui sont au grade capable de comprendre. Tout Maçon peut arriver à la connaissance de la Vérité par l’étude infatigable des symboles sous lesquels elle se cache, et c’est à cette étude, que chacun doit se vouer de toutes les forces de son âme et dans toute la sincérité de son cœur.    Les symboles caractéristiques du grade sont : une urne fermée et une clé brisée, allégorie du silence et du secret ; le laurier, qui enseigne au Maître Secret à triompher de ses propres passions ; l’olivier qui lui rappelle le devoir de se maintenir toujours en paix avec ses FF... et SS... ; la clé d’ivoire, symbole de la prudence ; la couleur blanche du camail, symbole de la pureté et de la fidélité ; l’œil ouvert, symbole de la vigilance ; la lettre Z au cœur de l’Etoile Flamboyante, initiale du mot hébreu « Ziza » qui est le mot de passe de Maître Secret.    Comme il est facile de glisser de la générosité à la brutalité, du don à l’égoïsme, de la spiritualité la plus élevée aux appétits les plus inférieurs ! Comment réveiller le dormeur en nous, comment acquérir la consistance intérieure qui résiste à la tourmente extérieure ? Comment sortir de nos hypnoses, devenir capables de sacrifier nos petites réalités à la sagesse et à la force de l’infinie beauté ?    La connaissance de soi signifiait jusqu’à présent une vigilance permanente face aux roueries de l’ego, aujourd’hui l’accomplissement de l’éveil de l’Etre, substance inconnue implantée en l’homme, exige un cheminement interminable dont le passage au 4ième degré marque le début décisif.    Passer du 3ième au 4ième degré c’est accepté de passer du degré le plus élevé de sa Loge mère au degré le plus bas des « hauts Grades ». Redevenir ignorant et apprenti dans tout ce qui concerne les nouvelles découvertes à effectuer. Accepter d’abandonner l’honneur d’être celui qui sait, pour participer sans déshonneur à la dimension d’un univers qu’on répugnait peut-être à imaginer.     Passer du 3ième au 4ième degré signifie que nous prenons l’engagement de passer de l’extérieur à l’intérieur sacré, que nous acceptons d’abandonner nos conditionnements enchâssés dans notre personnalité pour pousser les formidables Portes du Temple et y pénétrer en silence.    Notre travail consiste essentiellement à opérer un retournement de notre attention, à nous intérioriser et à activer le corps énergétique de notre Etre, comme le mouvement d’une clé en action dans une serrure pour ouvrir une porte. La réalité de la nouvelle orientation du chercheur se vérifie par cette animation de sa pureté ; ou elle est réelle et il sent le mouvement en lui, ou elle n’a pas lieu et il ne ressent rien d’autre que l’agitation de son mental. Alors il doit poursuivre son effort jusqu’à ce que s’anime son Etre intérieur.    Dans l’obscurité de la conscience du Maître, où tout est encore déterminé par une manifestation extérieure, le symbole de la clé peut guider sa recherche vers l’espoir de trouver une porte à ouvrir, une serrure à tourner, un système à pénétrer. Dans cette direction, le maçon ne pourrait jamais accéder à la vie de son Etre, aussi la clé symbolique possède un panneton découpé par la lettre Z. Aucune clé ne peut tourner dans une serrure avec un tel dessin sur son panneton, il n’y a donc pas de porte à trouver ni de serrure secrète à ouvrir.    La transparence du symbole, au delà des mots, guide le franc-maçon dans son entreprise et lui montre qu’en dehors d’un usage transcendant, la clé n’a aucune autre utilisation possible, qu’en dehors du mouvement de l’Etre de pureté dans la serrure que nous sommes, cette clé ne peut ouvrir aucune serrure matérielle, car elle ne s’adresse pas au monde matériel.    Pour le Maître Secret au 4ième degré, les résultats sont des commencements, les opinions des hypothèses et les vérités des conjectures. Il ne s’agit pas de découvrir et de réunir des points de vues incompatibles, de combiner des qualités en langage attractif ou d’inventorier le chaos pour choisir le moins mauvais d’un pire relatif, mais de chercher l’ordre caché dans le chaos du monde, de son esprit et de son cœur, d’aimer l’homme sans exclusivement parler de soi-même.    Le Maître Secret ne sait encore ni comment, ni pourquoi la notion de justice, qui exige que le mal soit immédiatement puni par la souffrance, achoppe maintenant sur un discernement plus nuancé. Il se demande comment connaître le bien et le mal, quel est leur devenir dans le temps et à qui il appartient de punir le mal.    Tant que l’homme ne fournit pas les efforts requis pour se relier à son Etre, il ne remplit pas son Devoir d’Homme. il n’est pas demandé au Maître Secret d’être la Source, mais de connaître les obstacles et d’œuvrer à s’approcher de sa Source, de son Etre, de son Essence.    Le Maître Secret peut atteindre une dimension verticale, une autre réalité, parce que son corps, son affect et son mental, en une unité physique retrouvé, n’entravent plus l’avancée vers son Etre.    Le 4ième degré réactualise la recherche passée mais développe surtout la conscience du changement de plan dans lequel le Maître Secret va devenir le véritable bâtisseur de son temple intérieur, afin que la lumière de l’Etre l’habite et qu’il devienne intérieurement vivant.    Le Secret, la Fidélité, l’Obéissance sont nécessaires pour consolider la Liberté. Alors  Le chercheur devient le cherché. Mais en attendant, apprenons à construire le Temple qui permet l’accomplissement…
 


 
 
le 09-12-2009 07:36

COMMENT NAIT UNE LOGE MACONNIQUE ?

Ce livre aborde d’un des moments les plus important de la vie des francs-maçons, celui où ils se retrouvent. Dans la collection sur les symboles maçonniques dont cet ouvrage fait partie, chaque symbole constituant le foisonnement des décors du Temple est étudié séparément. Or, lors de l’ouverture des travaux, tous ces symboles se mettent à vivre ensemble. Ce moment est tellement riche, telles les notes d’une partition interprétée par des instruments commençant à jouer les uns avec les autres, qu’il a paru utile d’y consacrer un travail important, et deux tomes n’ont pas été de trop pour approfondir les principaux aspects de l’ouverture des travaux.    Dans ce premier tome, l’auteur « plante le décor » symbolique et mythique de cette ouverture, et aborde les points essentiels du processus qui conduit à la naissance d’une Loge. Ouvrir les travaux, n’est-ce pas construire une pensée de l’origine de toutes choses dans laquelle naît une Loge maçonnique ? C’est finalement à cette question que cet ouvrage tente de répondre.    Olivier Doignon est auteur de plusieurs ouvrages sur la symbolique maçonnique…
 


 
 
le 08-12-2009 05:53

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - LIVRE

La livre de Sainte-Hélène est la devise officielle de Sainte-Hélène depuis xx, elle est divisée en cent pence. Elle est liée à la Livre sterling du Royaume-Uni.    Sainte-Hélène( en anglais: Saint Helena Island) est un territoire britannique d'outre-mer situé dans l'océan Atlantique sud. Il est composé de huit îles, dont l'île de Sainte-Hélène, la principale d'entre-elles. La superficie terrestre totale du territoire est de 410 km².    L'île Sainte-Hélène fut découverte le 21 mai 1502 par le navigateur portugais João da Nova. Les Portugais y installèrent quelques maisons, mais l'île n'abrita pas de population permanente. Au début du XVIIe siècle, l'île servit d'étape pour les Portugais, les Hollandais, les Anglais et les Français sur la route des Indes. Elle est nommée en l'honneur d'Hélène, la mère de Constantin.    Les Pays-Bas revendiquèrent l'île de 1645 à 1659, date à laquelle les Britanniques de la compagnie anglaise des Indes orientales en prirent possession. Les Hollandais reprirent brièvement l'île pendant deux mois en 1673, avant d'en être à nouveau chassé par les Anglais qui y installèrent alors un premier camp permanent, à Jamestown.    En 1815, le gouvernement britannique décida d'utiliser l'île Sainte-Hélène comme lieu d'emprisonnement pour Napoléon Bonaparte. Afin de prévenir toute tentative d'évasion à partir des îles proches, ils annexèrent officiellement l'île d'Ascension et l'île Tristan da Cunha et y installèrent des garnisons. En 1821, Napoléon Ier décéda sur l'île de Sainte-Hélène.    Le 22 avril 1834, l'île de Sainte-Hélène devint une colonie de la couronne britannique. En 1922, l'île d'Ascension y fut rattaché comme dépendance suivi par l'île Tristan da Cunha le 12 janvier 1938.    Lors de la seconde guerre des Boers (1899-1902), l'île Sainte-Hélène servit de camps pour accueillir environ 5000 prisonniers de guerre.    Durant la Seconde Guerre mondiale, l'île d'Ascension fut louée aux États-Unis qui y établirent une base aérienne.    En 1961, une éruption volcanique à Tristan da Cunha obligea les autorités à évacuer toute la population de l'île au Royaume-Uni. Les habitants de Tristan da Cunha ne purent y revenir qu'en 1963.    Billet de 50 pence émis par le Government of St Helena.
 


 
 
le 07-12-2009 08:30

G COMME GANGES

DOMAINE DE BLANCARDY...

Le domaine de Blancardy est une ancienne ferme fortifiée, dressée au milieu des vignes, dans la région de Montpellier, à mi-chemin entre mer et montagne, au pied des Cévennes et aux limites de l'Hérault et du Gard.

 


 
 
le 06-12-2009 07:42

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 


 
 
le 05-12-2009 08:04

PASSE VIRTUEL

Trois programmeurs géniaux inventent un logiciel de réalité virtuelle qui reconstitue entièrement le Los Angeles des années 1930. Les habitants y vivent comme s’ils étaient réels et ignorent tout de leur non-existence.    Los Angeles, 1937, les gens sont heureux de vivre. Ce qu’ils ignorent, c’est qu’ils n’existent pas. Los Angeles, 1999, les trois programmeurs de cette réalité virtuelle croient pourvoir tout maîtriser. Ce qu’ils ignorent, c’est que…    Alors que Jane y cherche l’amour, David le meurtre et la violence et Fuller le sexe, Douglas ne recherche dans le virtuel que la vérité.    Pour bien marquer l’opposition entre les deux mondes, il est très important de jouer sur tous les tableaux : les costumes et les décors bien sûr, les couleurs et aussi la lumière ou les mouvements de caméra.    Malgré quelques petits soucis avec Vincent D’Onofrio et Gretchen Mol, Rusnak n’a pas de raisons de se plaindre de son casting. D’autant plus si Rita Hayworth est de la partie.    Passé Virtuel est l’adaptation de Simulacron 3 de Daniel F. Galouye, journaliste et auteur de science fiction assez peu connu du grand public. Romancier étonnamment visionnaire, il est l’un des tout premiers à traiter des réalités virtuelles reproduites au cœur des ordinateurs, et cela bien avant que ceux-ci n’envahissent nos maisons et ne fassent partie de notre quotidien. Dans les années 1970, Fassbinder l’avait déjà adapté pour la télévision allemande sous le titre le Monde sur le fil. Ce téléfilm en deux parties marque la seule incursion du metteur en scène allemand dans la science fiction.    Né en 1958, le réalisateur et scénariste allemand Joseph Rusnak se fait remarquer en 1984 dès son premier film, Cold Fever, et remporte l’équivalent allemand du César du meilleur réalisateur. Il travaille alors pour la télévision, dirigeant notamment une première fois Armin Mueller-Stahl dans Picnic at Checkpoint Charlie, et Matilda May dans la Maison du canal, d’après Georges Simenon, un auteur qu’il admire. Rusnak est également le créateur de la série télévisée Partners, très populaire en Allemagne. En 1991, il part pour les Etats-Unis, où il réalise Quiet Days in Hollywood, avec Hilary Swank. Son ami Roland Emmerich lui offre alors le poste de réalisateur de la deuxième équipe sur Godzilla avant de lui proposer de mettre en scène Passé Virtuel…
 


 
 
le 04-12-2009 07:14

SIDNEY BECHET

Parce que Sidney Bechet a choisi l’Europe et plus particulièrement la France, les critiques américains, longtemps, refuseront de voir en lui l’un des maîtres de l’école Nouvelle-Orléans. Il faudra en effet attendre la fin des années trente pour que Bechet soit enfin reconnu aux Etats-Unis comme un soliste de tout premier plan. Aussi bien à la clarinette qu’au saxo soprano.    A l’inverse de bon nombre de critiques américains, les jazzmen, dès les années vingt, reconnaîtront l’importance de Bechet. A commencer par Johnny Hodges.
 


 
 
le 02-12-2009 07:37

LA PENSEE ESOTERIQUE DE LEONARD DE VINCI

Peintre, sculpteur, anatomiste, inventeur, ingénieur, urbaniste, etc.., Léonard de Vinci a exploré tous les champs du savoir. Cet homme d’esprit universel, qui considérait la peinture comme l’expression visuelle d’un tout, a souvent intrigué ses admirateurs par le côté ésotérique de ses œuvres.    Délaissant ses manuscrits pour se concentrer sur sa peinture, Paul Vulliaud démontre tout au long de cette étude que son œuvre picturale est remplie de symboles, signes sensibles au moyen desquels l’artiste a exprimé sa pensée.    Dans cet ouvrage classique enfin réédité, à redécouvrir dans une perspective post Da Vinci code, Paul Vulliaud tente d’en percer les mystères.Catholique hellénisant tout autant qu’hébraïsant, Paul Vulliaud fut l’auteur de traductions et commentaires de la Bible hébraïque ou du Zohar, ainsi que d’œuvres de Dante et de Shakespeare. Il a été par ailleurs l’un des grands spécialistes de la Kabbale juive et a publié un grand nombre d’ouvrages dont le Cantique des cantiques d’après la Tradition juive, aux PUF ou la Fin du monde, préface de Mircéa Eliade, chez Payot…
 


 
 
le 01-12-2009 07:58

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - DOLLAR

Le dollar des Caraïbes orientales ou dollar est-caribbéen (code ISO 4217 : XCD) est la monnaie commune de huit des neuf pays ou territoires membres de l’Organisation des États de la Caraïbe orientale (OECO). Il est subdivisé en 100 cents.    En anglais, le dollar des Caraïbes orientales se dit East Caribbean dollar ou plus communément EC dollar (prononcer « ici dollar ») et se note EC$ (de préférence à $ pour éviter les confusions, notamment au sein de l’OECO).    Six des territoires utilisant cette monnaie sont des États indépendants : Antigua-et-Barbuda, la Dominique, Grenade, Saint-Christophe-et-Niévès, Saint-Vincent-et-les Grenadines et Sainte-Lucie.    Les deux autres sont des territoires d'outre-mer britanniques : Anguilla et Montserrat. Le seul territoire membre de l’OECO qui n'utilise pas cette devise sont les îles Vierges britanniques (un autre territoires d'outre-mer britannique) qui utilisent le dollar des États-Unis.    La population utilisatrice de cette monnaie est estimée à environ 600 000 personnes (estimations des recensements de 2005 et 2006).    Le dollar est-caribbéen a remplacé en 1965 le dollar des Indes orientales britanniques (British West Indian dollar, BWI$), utilisé par l’ancienne Fédération des Indes orientales, à parité (1 BWI$ = 1 EC$). Entre 1965 et 1983, l’Autorité monétaire de la Caraïbe orientale a émis le dollar est-caribbéen, avec des billets à partir de 1965, et continué à utiliser les pièces en BWI$ ; des pièces en EC$ ont été introduites depuis 1981.    La monnaie est aujourd'hui émise par la Banque centrale de la Caraïbe orientale (Eastern Caribbean Central Bank, ECCB) dont le siège se trouve à Basseterres (Saint-Christophe-et-Niévès). La création de la banque résulte d'une convention (convention de la Banque centrale de la Caraïbe Orientale) signée à Port d'Espagne (Trinité-et-Tobago) le 5 juillet 1983. Elle fait suite à l’Autorité monétaire de la Caraïbe orientale.    Le taux de change du dollar de la Caraïbe orientale par rapport au dollar US est de 2,7 pour 1 (taux fixe depuis 1976).    Jusqu'en 1981, les pièces en BWI$ ont circulé : 1, 2, 5, 10 ou 25 cents et 1 dollar, à l'effigie de la reine Elizabeth II et mentionnent QUEEN ELIZABETH THE SECOND.    En 1981, une nouvelle série de pièces a été introduite dans les mêmes dénominations, mais l'effigie royale a été remplacée par des palmes pour les pièces de 1, 2 ou 5 cents, ou un voilier pour les autres pièces ; toutes ces pièces mentionnent EAST CARIBBEAN STATES. La taille et les formes de pièces ont été conservées sauf pour la première série de pièces de 1 dollar : rondes à motif octogonal pour les pièces de 1 cent, rondes pour celles de 2 cents, en étoile à 8 branches et coins arrondis pour celle de 5 cents, rondes pour celles de 10 et 25 cents, ronde et non plus décagonale pour celle de 1 dollar.    La pièce ronde de 1 dollar en aluminium bronze a été remplacée en 1989 par une pièce en cupronickel de nouveau décagonale.    Dès 1965, l’Autorité monétaire de la Caraïbe orientale a émis des billets en dénomination de 1, 5, 20 et 100 dollars. Les premières émissions au nom de la Banque centrale de la Caraïbe orientale (Eastern Caribbean Central Bank) datent de 1985 dans les mêmes dénominations, mais avec l'addition de billets de 10 dollars.    Les derniers billets de 1 dollar ont été émis en 1989 (remplacés depuis par la nouvelle pièce), et les billets de 50 dollars ont été introduits en 1993.
 


 
 
 

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