http://jakin.vefblog.net/

  VEF Blog

Les Black's Foot

le 30-06-2011 06:39

COROT, L'HUMEUR VAGABONDE

Paris, juillet 1830. Installé sur un quai de Paris, Corot peint Le Pont au Change et le Palais de Justice, prodigieux complexe architectural hérissé de tours. Habitué depuis son enfance à courir les quais de la Seine et à se laisser bercer par le miroitement de l’eau, en dépit de l’agitation citadine tellement habituelle à Paris, il se donne entièrement à son tableau et oublie tout ce qui se passe autour de lui.    Soudain, des bruits de fusillade éclatent sur la rive droite. Des gens courent en tous sens, se heurtant et manquant, dans leur affolement, piétiner son matériel ; le bruit, la confusion, les clameurs deviennent insupportables. « Mais que se passe-t-il donc ? », demande le peintre, excédé. « C’est la Révolution ! », lui répond un Gavroche pressé d’aller au feu. « La révolution, j’en fais une avec mon tableau ! » pense Corot, qui rassemble en hâte son matériel et, dans la bousculade, s’en va prendre aussitôt la diligence de Chartres.    Le lendemain, il commencera à peindre la reine des cathédrales dans la lumière de l’été, préférant à l’action immédiate et violente des révolutionnaires de Juillet (qui ne parviendront finalement qu’à remplacer un roi par un autre), le patient travail du peintre. Il poursuivra ses efforts pour tenter d’apaiser les hommes en leur donnant l’image de la plus grande sérénité, leur montrant la beauté de la nature qu’il aime si chèrement, et la splendeur du monde qu’ils habitent.    Il se déguise en clown et pousse la chansonnette et court les jupons – D’un seul coup de poing, il assomme un paysan ! –  Célèbre et généreux, il aide sans compter ses amis peintres - A 74 ans, il s’arme pour défendre Paris assiégé – Il reçoit un médaillon d’or à son effigie – Précurseur de l’impressionnisme, ses paysages féeriques annoncent la peinture moderne…
 


 
 
le 29-06-2011 03:18

M COMME MOMOTOMBO - NICARAGUA

C'est un peu un symbole du Nicaragua. Il est souvent cité dans les vers de Rubén Darío, le grand poète national. Quand on pense à un paysage nicaraguayen, la première chose qui vient à l'esprit est le Momotombo, avec son petit frère le Momotombito, baignants dans le  Lac de Managua. El volcán Momotombo est toujours actif, et cette activité génère de l'énergie grâce à la Centrale Géothermique installée à ses pieds. L'accès au cratère est relativement facile, avec trois heures de montée à pied.

 


 
 
le 28-06-2011 06:52

SUR LA PEAU DU DIABLE

Elvire dirige le French Movie Office, une enclave française en plein cœur de New York. Mais c’est dans sa limousine aux verres fumés, à la fois bureau et boudoir, qu’elle accueille ses illustres visiteurs. Elle engage un chauffeur noir, arrivé depuis peu du Sénégal, Alassane. Aussitôt l’Africain et la Française se lient d’amitié à travers ce Manhattan que l’un et l’autre ont tant souhaité connaître.        Alassane est intrigué par la conduite d’Elvire. insatiable, elle multiplie les aventures amoureuses, passe d’un homme à l’autre et de l’enthousiasme au désespoir. Elle lui confie son secret : Marie sa sœur, son immobile, son unique amour, est infirme de naissance et ne s’exprime que par le regard. Alassane trouve spontanément les mots, les gestes qui mettent sur les lèvres de Marie un sourire, dans ses yeux un éclat de bonheur. Et sans doute est-ce parce qu’il insuffle la vie à Marie qu’Alassane trouve l’amour d’Elvire. l’amour ou la passion, avec ses exigences, ses ruptures et ses saisons. New York flambe autour d’eux. Elvire et Alassane pourront-ils danser longtemps sur la peau du Diable ?Après des études et une licence ès lettres à Lyon, Nicole Avril devient professeur, puis abandonne la pédagogie pour la comédie au théâtre et à la télévision. En 1972, elle publie son premier roman, Les gens de Misar, qui obtient le Prix des Quatre-Jurys et sera suivi d’autre romans : Les Remparts d’Adrien, Le jardin des absents, L’Eté de la Saint Valentin, Monsieur de Lyon, La disgrâce, Jeanne, La Première Alliance…
 


 
 
le 27-06-2011 07:56

C COMME CATARINA - NICARAGUA

C'est un petit village dont les habitants cultivent des vivriers, font de l'artisanat et élèvent des chevaux.    Situé en hauteur et doté d'un climat très agréable, il permet de dominer la Laguna de Apoyo, le volcan Mombacho et offre une vue splendide du lac Cocibolca et de la ville de Granada.

 


 
 
le 26-06-2011 06:54

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Panorama de Londres.
 


 
 
le 25-06-2011 07:42

VERA CRUZ

Alors que la guerre de Sécession s’achève, le Mexique est le théâtre d’une révolution populaire. Cupides et cyniques, deux aventuriers, Ben Trane et Joe Erin, rallient le camp de l’oppresseur.    Librement adapté d’un scénario signé Borden Chase, un grand nom du western, Vera Cruz doit ses qualités exceptionnelles aux talents conjugués de son acteur producteur, le très avisé Burt Lancaster, et de son réalisateur, le virtuose Robert Aldrich. En partie improvisé et tourné dans un temps record, le film tient du miracle.    Quelques mois après Bronco Apache, l’irascible Robert Aldrich dirige à nouveau Burt Lancaster, plus directif que jamais.    Coup de tonnerre dans l’univers du western, Vera Cruz a bouleversé à jamais les règles du genre.    Acteur de génie à l’élégance souveraine, Gary Cooper, l’homme de tous les succès, compte parmi les géants du septième art.    Né le 7 mai 1901 à Helena (Montana), Gary Cooper de son vrai nom Frank James Cooper, est le fils d’un juriste également propriétaire terrien. Accompagnant sa mère malade en Europe, il passe sa jeunesse en Angleterre et poursuit une scolarité studieuse dans les meilleurs établissements du pays. De retour aux Etats Unis, Cooper parfait son éducation à la faculté du Montana. Désirant devenir caricaturiste, il se rend en Californie. Après quelques contrats dans des publications locales, il signe un contrat avec les studios Paramount et débute sa carrière de comédien. Tout d’abord cantonné à la figuration, l’acteur multiplie les apparitions dans des films de prestige, avant de rencontrer Clara Bow, star du cinéma muet. Leur liaison, aussi brève qu’orageuse, propulse le jeune premier sur le devant de la scène. Vedette de westerns de série B, il accède au rang de star grâce à Les Ailes (1927) de William Wellman, aux côtés de… Clara Bow.
 


 
 
le 24-06-2011 07:54

GUY LAFITTE

Clarinettiste, saxophoniste et compositeur qui s’est montré tout particulièrement brillant dans l’art difficile de la ballade, Guy Lafitte fait partie de ses rares musiciens qui ont porté très haut le flambeau du jazz français. Ce qui n’a pas empêché cet artiste du Sud-Ouest de jouer avec les plus grands virtuoses américains, comme Mezz Mezzrow, Lionel Hampton, Coleman Hawkins ou Stan Getz.    Guy Lafitte est, au même titre que Stéphane Grappelli, Django Reinhardt ou Martial Solal, l’un des plus grands représentants de ce jazz à la française qui a su adapter au style américain cette touche européenne qui fait tout son charme.
 


 
 
le 23-06-2011 01:57

WATTEAU, LE PIERROT LUNAIRE

Paris, pont Notre Dame, 1702. Dans la boutique d’un fabricant de petits tableaux dévôts, douze adolescents travaillent d’arrache-pied, pour une soupe quotidienne et un misérable salaire. Tout se fait « à la chaîne » : le premier dessine les ciels, l’autre les têtes, le troisième les draperies, le quatrième les blancs… Quand le dernier a mis l’ultime couche, le fabricant vend la série à un commerçant de province, venu à Paris reconstituer les stocks.    Un de ces fragiles adolescents, âgé de dix-huit ans, s’appelle Antoine Watteau : il ne craint pas la besogne, il sait tout peindre, et travaille plus vite et mieux que les autres. En peu de temps, il est passé maître dans cet inlassable travail de copiste : à longueur de journée il peint des saint Nicolas, et une vieille femme qui lit avec des lunettes ! A peine est-il parfois gêné par une quinte de toux ; son pâle visage s’empourpre alors, et ses doigts restent crispés autour du pinceau.    Quand viennent à passer sur le pont des comédiens et des belles dames, il oublie vite ses images pieuses et rêve de faire le portrait de ces promeneurs, dans de beaux décors brillants, ombragés et nostalgiques. Il sait dejà qu’il quittera bientôt cette médiocre fabrique et ce patron tyrannique pour créer, dans la solitude et le silence, un monde de rêve et de mystère empreint d’une grâce musicale…    A 17 ans, il meurt de faim et peint des toiles « à la chaîne » pour survivre - Il assiste à la victoire de Marlborough – Il court les théâtres et fuit la société – Il détruit ses tableaux et fuit le luxe de ses mécènes -  Il n’a plus la force de tenir un pinceau – Une invitation à l’amour, son œuvre célèbre les fêtes et les plaisirs…
 


 
 
le 22-06-2011 06:29

M COMME MASAYA - NICARAGUA

Masaya, surnommée "la ville des fleurs" par Rubén Darío, est un endroit charmant qu'il fait bon visiter à pied, surtout si vous arrivez tout juste de Managua. Ses rues sont émaillées de bicyclettes et bordées de bâtiments colorés aux toits de tuiles. Il s'en dégage une atmosphère grouillante, rehaussée par le sentiment que tout le monde y a quelque chose à faire ou quelque part où aller. Masaya s'enorgueillit par ailleurs d'une longue histoire à titre d'un des centres de la population indigène du pays.

 


 
 
le 21-06-2011 06:39

LE SENS CACHÉ DES RITES MORTUAIRES

Mourir est-il mourir ?

La vie ? La mort ? Deux portes qui restent mystérieuses et que la science ne parvient toujours pas à ouvrir. Principalement nous, occidentaux, nous craignons la mort qui demeure à nos yeux mystère impénétrable : notre imaginaire ne parvient pas à créer une image cohérente d’un monde de l’au-delà, et cet inconnu nous hante. Pourquoi être né, avoir œuvré en nous rapprochant inexorablement d’un moment fatal dont nous ne connaissons même pas l’échéance ?    L’archéologie, les Traditions de toutes les civilisations, les mythes, l’histoire et les rites funéraires sous diverses latitudes témoignent que, dès le paléolithique inférieur, les hommes rendaient un fervent hommage à leurs morts et songeaient à une survie, à un au-delà. Rechercher le sens de ces croyances dans toutes les civilisations et religions, déterminer leur évolution et voir comment la crainte de la mort s’est plus particulièrement instaurée dans nos sociétés industrielles, tel est le fil conducteur de cet ouvrage. Du culte du corps dans la pensée ancestrale jusqu’au culte de l’âme, en passant par la « mort initiatique », la résurrection et la réincarnation, l’accompagnement à la mort, les monuments funéraires et les mœurs et rites des sociétés traditionnelles… c’est là une vaste étude sociologique, historique et spirituelle levant pour nous un coin du voile de l’après vie.    Ce passage de la vie à la mort, cet accès à un autre monde, marque la sensibilité de l’homme qui veut préparer sa future existence en transcendant sa nature terrestre. L’éclosion des rites religieux axés sur la pensée spirituelle et certaines valeurs magiques conduit au thème éternel de « mort et résurrection » qui figure dans toutes les sociétés initiatiques, avec l’espoir d’atteindre un stade supérieur à celui que nous quittons, car nous ne sommes qu’un instant de l’éternelle vie…
 


 
 
le 20-06-2011 06:58

G COMME GRANADA - NICARAGUA

De part sa taille, Granada est la deuxième ville du Nicaragua après Managua, mais c'est la première ville d'intérêt historique et d'importance touristique, à tel point qu'elle est appelée Gran Sultana. Elle est considérée comme l'une des plus belles villes coloniales de l'Amérique Centrale.

 


 
 
le 19-06-2011 06:43

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Restaurant Panama Jacks, Cape Town, Afrique du Sud.
 


 
 
le 18-06-2011 07:24

LE VENT DE LA PLAINE

Famille d’éleveurs du Texas, les Zachary comptent parmi les membres les plus respectés de leur communauté. Bientôt, une rumeur, colportée par un illuminé, viendra ternir l’honneur du clan…    Western au budget conséquent et au casting impressionnant, ce film dénonce l’intolérance et le racisme tout en assurant un spectacle de grande qualité. Réalisé par John Huston,  le film est surtout l’œuvre de son producteur, Burt Lancaster.    Acteur producteur aussi charismatique qu’intransigeant, Burt Lancaster ne tarde pas à être en opposition avec John Huston, cinéaste au caractère bien trempé.    La critique applaudit au génie de John Huston, mais reste dubitative devant le propos du film… et la prestation de Lillian Gish.    Aventurier génial du cinéma américain, le bouillant John Huston est l’homme de tous les défis… surtout des plus fous.    Né le 5 août 1906, à Nevada (Missouri), John Huston est le fils du célèbre comédien Walter Huston. Enfant chétif, il s’adonne au sport pour devenir un athlète complet, un cavalier émérite et un boxeur redouté. Parallèlement, le jeune homme s’essaie à la comédie. Tout au long de sa carrière, il y reviendra régulièrement, dans ses propres réalisations ou pour d’autres cinéastes (Roman Polanski, Otto Preminger…). Rêvant d’aventures, il s’engage dans la cavalerie mexicaine aux côtés de Pancho Villa. De retour aux Etats Unis, Hudson se consacre à l’écriture. Son père le fait engager comme scénariste. Il travaille pour William Wyler (L’Insoumise) ou encore Raoul Walsh (La Grande évasion)…
 


 
 
le 17-06-2011 06:42

JOHNNY GRIFFIN

Subtil aussi bien dans le jazz classique de Lionel Hampton que dans les thèmes résolument d’avant garde de Thelonious Monk, Johnny Griffin est également considéré comme l’un des tout premiers saxophonistes ténors du hard bop, en atteste son passage au sein des Messengers d’Art Blakey. Il est en outre à l’origine, avec Eddie Lockjaw Davis, de cette idée géniale de l’instrument doublé dans les combos de jazz !    Saxophoniste ténor dont le style n’a rien à envier à ceux de Coleman Hawkins ou de Sonny Rollins, Johnny Griffin a joué avec les artistes les plus divers de la scène du jazz.    Cherchant à allier aux concepts harmoniques de Charlie Parker le cool jazz de Milles Davis, de nombreux jazzmen eurent l’idée de mettre deux mêmes instruments dans leurs petites formations. C’est-à-dire deux ténors, deux altos ou deux clarinettes. Pour Griffin et Davis ce fut là une formule qui devait payer.
 


 
 
le 16-06-2011 08:58

L'AUBRAC TERRE DE BASALTE...

48 – Lozère, Nasbinals du 27 au 30 mai 2011 La Lozère est l'un des 83 départements français créés lors de la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789. Il correspond presque exactement (le canton de Saugues en moins) à l'ancien évêché du Gévaudan, qui était une partie de l'ancienne province du Languedoc.    Le département de la Lozère est le département le plus au nord de la région Languedoc-Roussillon. Il se situe au carrefour de 4 régions administratives : Languedoc-Roussillon, Rhône-Alpes, Auvergne et Midi-Pyrénées.
 


 
 
le 15-06-2011 08:08

R COMME VOLCAN RINCON DE LA VIEJA - COSTA RICA

Tout simplement l'un des plus beaux parcs du Costa Rica, le Parque Nacional Rincón de la Vieja a vraiment tout pour plaire aux amants de la nature et aux adeptes de la randonnée pédestre. Chose curieuse, il n'est que le neuvième parc le plus visité du pays. Vous y trouverez des paysages magnifiques, des points de vue époustouflants, un volcan qui a du caractère, des rivières apaisantes, des chutes spectaculaires, des eaux thermales relaxantes, des lieux de baignade, des aires de pique-nique, des terrains de camping, des sentiers bien balisés ainsi qu'une documentation bien détaillée.

 


 
 
le 14-06-2011 08:09

NEXUS

La Crucifixion en Rose...

Nexus est le troisième et dernier volet de la Crucifixion en rose. Dans le New York de la prohibition, Henry Miller se débat parmi les difficultés matérielles : il essaie de vendre son sang dans les hôpitaux, devient garçon d’ascenseur, bureaucrate, fossoyeur. Il vit aussi aux crochets de toute une bande d’amis un peu fous et il est surtout entretenu par Mona, sa femme, qui s’est éprise d’une amitié passionnée pour Stasia, une femme peintre.    Ainsi Miller va-t-il se débattre au milieu de mille difficultés, impostures, misères, sans rien perdre de sa lucidité et de son acharnement à vivre pleinement et à s’affirmer comme écrivain à part entière. Tout les thèmes d’inspiration sont ici ceux-là même de la vie : désir, amour, abandon, misère, joie, désespoir…    Au terme de ces années de formation, Miller va quitter le « cauchemar climatisé » américain pour prendre un nouveau départ en Europe. Le plus grand tragique, le plus irrésistible comique se mêlent en des pages torrentielles, des pages d’une extraordinaire jeunesse qui appartiennent assurément au meilleur Miller
 


 
 
le 13-06-2011 07:52

A COMME VOLCAN ARENAL - COSTA RICA

De forme conique presque parfaite l’Arenal est un petit stratovolcan très jeune se reflétant magnifiquement dans les eaux du lac du même nom. Il a été le plus actif des volcans du Costa Rica au 20ème siècle. Mais la plus ancienne éruption connue s’est produite il y a 7000 ans environ.
 


 
 
le 12-06-2011 06:53

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Panorama du Senegal.
 


 
 
le 11-06-2011 07:19

JOSEY WALES HORS-LA-LOI

Après avoir assisté, impuissant, à l’assassinat de sa femme et sont fils, Josey Wales prend les armes. Revolvers aux poings, ce paisible fermier se taillera une réputation de tueur impitoyable.    Avec Josey Wales, hors-la-loi, Clint Eastwood assure une nouvelle fois la production d’un film dont il tient la vedette. L’acteur se verra rapidement contraint de prendre aussi les rennes du tournage…    Film charnière dans la carrière de Clint Eastwood, Josey Wales marque également une étape essentielle dans la vie privée de l’acteur réalisateur.    Encensé par Orson Welles, Josey Wales hors-la-loi s’imposera avec les années comme un western majeur.    Ignoré par le grand public, Royal Dano est un second couteau du cinéma américain aimé par des générations de cinéphiles.    Né en 1922, Royal Dano débute au théâtre en 1942. Il apparaît au cinéma huit ans plus tard dans Undercover Girl, de Joseph Pevney. L’acteur est remarqué l’année suivante dans La Charge victorieuse de John Huston, dans le rôle d’un soldat perdu en pleine guerre de Sécession aux côtés d’Audie Murphy. Grand, des yeux bleus perçants, Dano va souvent interpréter les types bougons en salopettes issus d’un milieu rural, des cow-boys déjantés ou des shérifs mal rasés à la démarche nonchalante. Jamais en tête d’affiche, toujours relégué au second plan, l’acteur tourne avec la crème du cinéma américain. De Johnny Guitar, aux côtés de Sterling Hayden et de grands seconds rôles comme Ernest Borgnine et John Carradine, aux Aventuriers du fleuve, de Michael Curtiz, le comédien s’affirme comme l’une des « gueules » incontournables du cinéma américain. Durant cette période, Dano travaille régulièrement pour son ami Anthony Mann, dans des films devenus des grands classiques du western comme Les Affameurs et L’Homme de l’Ouest.
 


 
 
le 10-06-2011 06:37

FREDDIE HUBBARD

Victime d’un fatal accident de la route en 1956, Clifford Brown était apparu comme le grand virtuose de la trompette hard bop, aux côtés d’Art Blakey et de Max Roach. Tous les trompettistes qui allaient dominer la scène du jazz dans les années cinquante seraient tous, par conséquent, influencés par Brownie. Qu’ils s’appellent Donald Byrd, Lee Morgan, Blue Mitchell ou Freddie Hubbard.    De tous les disciples de Clifford Brown, Freddie Hubbard est celui qui possède la plus importante palette de possibilités techniques : son effet le plus spectaculaire est le lip trilling (trille très rapide effectué uniquement avec la colonne d’air, sans l’aide des pistons), que beaucoup lui envient.
 


 
 
le 09-06-2011 05:23

RÉFLEXION SUR UNE CITATION DE JEAN PAUL SARTRE

    Nous sommes responsables de tout ce que nous n’essayons pas d’empêcher ( Jean-Paul Sartre)…
 


 
 
le 08-06-2011 07:21

PLEXUS

La Crucifixion en Rose...

Avec la Crucifixion en Rose, Miller entreprend le récit complet de sa vie tumultueuse, riche d’expériences intérieures et d’aventures extraordinaires. C’est un ouvrage monumental dont Sexus constituait le premier volet audacieux.    Henry Miller a dit qu’il tenait Plexus pour le plus important de ses livres. Il y raconte, dans une admirable coulée lyrique, souvent prophétique, toujours inspirée, ses années d’enfance dans un pittoresque quartier de New York.    Il y évoque aussi les aventures de jeune homme que torture le démon de l’écriture et qui, afin de le satisfaire, finit par briser une à une toutes les chaînes qui le rivent à la vie quotidienne de ses compatriotes, son combat difficile pour devenir un artiste. Il connaît la misère, les rebuffades, les vexations de toutes sortes, l’orgueil solitaire de celui qui croit à son génie et parviendra à le faire triompher.    Dans cette lutte, l’admirable Mona, est un compagne qui pousse le dévouement au-delà des limites permises…
 


 
 
le 07-06-2011 07:58

T COMME TORTUGUERO - COSTA RICA

La région de Tortuguero, dont le nom signifie «chasseur de tortues», comprend un village du même nom, le Parque Nacional de Tortuguero, ainsi que de nombreux canaux. Elle est réputée pour ses sites de ponte des tortues marines: 4 des 7 grandes espèces répertoriées dans le monde viennent pondre sur ses plages. La région de Tortuguero est cependant irréductible à ses tortues: son parc national splendide, terrestre et marin, renferme une faune et une flore exceptionnelle avec 107 autres espèces de reptiles, 57 espèces d'amphibiens, 55 espèces de poissons d'eau douce, 60 espèces de mammifères et plus de 300 espèces d'oiseaux.

 


 
 
le 04-06-2011 06:31

LE MOT DU WEBMASTER

BONJOUR LES AMI(E)S VISITEURS ET VISITEUSES
LE WEBMASTER RENTRE DANS LE SILENCE POUR TROIS JOURS...
 


 
 
le 03-06-2011 02:44

PHIL WOODS

Considéré par l’écrasante majorité des critiques de jazz comme le plus orthodoxe des parkériens – à tel point, ont écrit les mauvaises langues, qu’il a épousé la seconde femme de Bird, Chan Parker - , Phil Woods est aussi l’un des tout premiers virtuoses du saxo alto. Clarinettiste et chef d’orchestre, il est encore l’homme qui, refusant l’électrification à outrance, a fait de l’acoustique l’une des clés du succès du jazz.    Guère prisée par les jazzmen de l’ère swing et du bop, la clarinette recouvrera une seconde jeunesse grâce à Tony Scott et à Phil Woods, lesquels l’imposeront dans le monde « saxophonisé » du jazz moderne. Aujourd’hui, des musiciens tels que Michel Portal, Anthony Braxton ou David Murray ont pris la relève.    L’électrification et les systèmes d’amplification ont été adoptés par nombre de jazzmen. sEuls quelques « puristes » restent attachés à l’acoustique. Phil Woods est du nombre, ainsi que le Modern Jazz Quartet. Mais, les problèmes ad hoc ne sont pas réglés pour autant.
 


 
 
le 02-06-2011 07:20

TOULOUSE LAUTREC, LE NAIN MAGNIFIQUE

Février 1895. Pour inaugurer de grands panneaux décoratifs peints par Vuillard, le banquier Alexandre Natanson donne une somptueuse réception dans son hôtel du 60, avenue du Bois de Boulogne, Henri de Toulouse-Lautrec est chargé de l’organisation. après avoir débarrassé des ses meubles un immense salon, il y a installé un bar avec tabourets, fauteuils, affiches de liqueurs et d’apéritifs.    A leur arrivé, les quatre cents invités voient le peintre tenir la place du barman, barbe coupée, haut du crâne rasé, vêtu d’une veste blanche et d’un gilet découpé dans un drapeau américain. Ce gnome de 1,50 m a choisi de se faire assister par un ami qu’il a choisi le plus grand possible !    Toute la soirée, il secoue les shakers, distribue les plus pétrifiants cocktails et, pour attiser la soif de ses victimes, flambe dans un plat d’argent des sardines au genièvre et au porto. Bientôt, et alors qu’il n’a pas (contrairement à son habitude !) bu lui-même un verre, tous les invités tombent comme foudroyés.    Alphonse Allais flageole, Stéphane Mallarmé, qui craint de vider une nouvelle fois « l’inquiétant gobelet », fuit épouvanté, Vuillard (dont tout le monde a oublié les panneaux) vire au rouge et Bonnard s’affale de tout son long. Lautrec contemple, l’œil pétillant d’allégresse, le champ de massacre. Il a un seul regret : il n’a pas eu une seule minute à lui pour « croquer » la soirée.
 


 
 
le 01-06-2011 07:02

I COMME VOLCAN IRAZU - COSTA RICA

Bien qu'il soit le plus haut de tous les volcans du pays, vu de la Vallée Centrale, Irazu impressionne peu, justement parce que sa masse est telle qu'elle en est difficile à apprécier...

 


 
 
 

LES BLACK'S FOOT VOUS REMERCIENT POUR VOTRE VISITE......