Robert Amadou a bien mérité des curieux, des lettrés, des mages. Il satisfait les uns, fait largesse aux autres, apaise momentanément les derniers. Ce jeune maître n'a-t-il point, en effet, eu l'audace de vouloir définir l'occultisme, et le talent de mener à bien cette périlleuse entreprise ? Ce que depuis la Renaissance, tant de docteurs gravent s'épuisent à tenter, il y parvient avec aisance, tel Tamino, embouchant, d'un geste vainqueur et facile, la flûte enchantée. Ainsi, Albert-Marie Schmidt appréciait-il l'auteur de L'Occultisme, dans une étude ici reprise en épilogue...
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