Les Black's Foot

Entrez dans la forteresse (œuvre architecturale d'une grande puissance évocatrice). Plongez dans le quotidien des maquisards (mise en scène, image, son et lumière). Un parcours symbolique de l'ombre à la lumière (codes à décrypter jusqu'au belvédère)

Ressentir, comprendre, se recueillir, questionner. Situé sur le Col de la Chau face aux crêtes des Hauts Plateaux, le Mémorial est une forteresse à l'image de la citadelle naturelle du Massif du Vercors qui a inspiré les auteurs du Plan Montagnards, cheval de Troie pour commandos aéroportés.

Un parcours symbolique de l'ombre à la lumière. Tour à tour acteur et spectateur, le visiteur est mis en situation, plongé en immersion dans le quotidien des maquisards. A la différence d'un musée objets, une mise en scène (image, son et lumière) recrée l'atmosphère d'époque. L'idée est de ressentir la peur des Français durant les années noires afin de comprendre les motivations des réfractaires...

Armand, Collection privée 2007,

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1. lolo78000 le 23-01-2013 à 12:48:41

petit coucou pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil le 23-01-2013 à 21:41:55 (site)

bonsoir Armand,
un parcours symbolique, tout ce que tu recherches.
Bonne fin de soirée.
Bisou

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CHRONIQUES PHOTOS

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le 22-01-2013 00:42

CHARTRES CATHÉDRALE ALCHIMIQUE ET MAÇONNIQUE

Bien que les cathédrales ne fussent pas érigées dans le but de receler des secrets alchimiques ou maçonniques, il est indéniable que de nombreux corps de métiers et artistes participèrent à leur élaboration. Ces corporations laissèrent dans ces nefs de pierre des témoignages uniques de leur savoir faire. Des architectes, tailleurs de pierre, charpentiers, forgerons, verriers, peintres, etc. gravèrent la quintessence de leur expérience dans ce livre de pierre. De nouvelles techniques furent sans cesse développées pour relever ces défis architecturaux. Et ce pour la plus grande gloire de Dieu. Si la tradition était essentiellement orale, ces artistes et artisans transmirent toutefois, mais dans un langage codé, les clés de leurs secrets. Tout est sous nos yeux pour qui sait lire cette langue.

Ces lieux ne nous parlent pas que d'Histoire ou d'architecture ! Et si les bâtisseurs avaient glissé, pour ceux qui prennent la peine de regarder des messages autres que religieux pour les temps à venir ? C'est cette histoire que Patrick Burensteinas vient nous conter dans ce premier volume consacré à la cathédrale de Chartres. Cette visite initiatique que l'auteur vous propose pas à pas, détail après détail, n'est qu'une transposition du voyage que tout alchimiste fait sur le chemin de sa pierre. Ces différents arcanes sont autant de passages sur le chemin que le franc-maçon accomplit jusqu'à sa maîtrise.

Grâce à ce guide unique, magnifiquement illustré, redécouvrez la cathédrale de Chartres comme vous ne l'avez jamais vue. Tel un pèlerinage, cheminez sans hâte et avec sérénité. N'attendez rien. C'est la seule manière de recevoir le tout.

Patrick Burensteinas est scientifique de formation et s'est intéressé très jeune à l'alchimie. Il est auteur, conférencier et formateur international. Il est reconnu autant pour son enthousiasme, sa convivialité et son esprit de synthèse que pour sa faculté à vulgariser les principes et notions de l'alchimie. Il a participé à la série de sept films Le Voyage alchimique de Bruxelles à Saint Jacques de Compostelle (dont l'un est consacré à Chartres) réalisée par Georges Combe.

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1. lolo78000 le 22-01-2013 à 14:50:08

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon après-midi chez nous la neige commence à fondre mais il en reste beaucoup de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil le 22-01-2013 à 20:44:22 (site)

bonsoir Armand,
bel article sur la cathédrale de Chartes
Des travailleurs de toutes corporations y ont participé.
Je te souhaite une belle fin de journée.
Je t'embrasse

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LE VOYAGE PAR LES LIVRES

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le 21-01-2013 04:55

V COMME VASSIEUX EN VERCORS - CIMETIERE - ISERE - FRANCE

Cimetière des victimes des combats de 1944...

Armand, Collection privée 2007,

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1. pouty88 le 21-01-2013 à 07:15:40 (site)

bonjour
oh joli ,c'est beau ça change du paysage de neige que j'ai chez moi depuis une semaine...
bonne journee
pouty

2. lolo78000 le 21-01-2013 à 15:30:51

coucou j'arrive toujours sous la neige qui retombe chez nous pour te souhaiter une bonne fin de journée et une très bonne semaine de gros bizzzous

3. lafianceedusoleil le 21-01-2013 à 21:14:06 (site)

kikou Armand,
ton sujet n'est pas joyeux.
Je te garde de la neige, elle s'est remise à tomber ce soir.
Je te souhaite une douce nuit et un bon mardi.
Je t'embrasse

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CHRONIQUES PHOTOS

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le 20-01-2013 08:21

LE MOT DU WEBMASTER

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

Chazelles sur Lyon (Loire), paysages.

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

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1. christineb le 20-01-2013 à 20:51:21 (site)

Bonne semaine dans le froid? la neige? bon courage en tout cas!

2. lafianceedusoleil le 20-01-2013 à 22:38:22 (site)

bonsoir Armand,
j'espère que ta journée fut douce.
bonne semaine
Bisou

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LES NOUVELLES BREVES

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le 19-01-2013 09:54

WILLIE BOY

Pour avoir tué accidentellement le père de sa bien aimée sur le territoire des Blancs, l'Indien Willie Boy fait l'objet d'une traque implacable au terme de laquelle l'attend un tragique destin.

Encouragés par le succès de "Police sur la ville", les responsables d'Universal donnent carte blanche à Abraham Polonsky, scénariste et réalisateur victime du maccarthysme. Le cinéaste décide de porter à l'écran un fait divers authentique qui défraya la chronique californienne en 1909.

Avant même que le film ait été présenté au public américain, Abraham Polonsky recrute deux comédiens et le directeur de la photo de "Butch Cassidy et le Kid".

Apparu sur les écrans français la veille de Noël, "Willie Boy" séduit les ténors de la grande presse.

Avant de devenir l'un des plus solides seconds plans d'Hollywood, Charles McGraw a été la vedette d'une poignée de films noirs devenus des classiques du genre.

Charles McGraw naît le 10 mai 1914 à Des Moines (Iowa) et fait ses modestes débuts sur grand écran en 1942. Les années suivantes, il participe à des films devenus classiques tels que "Les Tueurs" de Robert Siodmak ou "Berlin Express" de Jacques Tourneur. En 1948, Robert Wise lui confie un rôle auprès de Robert Mitchum dans "Ciel rouge", une production RKO. Anthony Mann le remarque et lui offre des emplois dans une poignée de films ("Brigade du suicide", "Le Livre noir", "Incidents de frontière", "La Rue de la mort")...

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.

Armand,

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1. kellynou le 19-01-2013 à 09:44:48 (site)

merci pour le passage sur mon blog c'est sympa ! bonne journée et au plaisir de revenir te rendre visite

2. anaflore le 19-01-2013 à 16:44:47 (site)

coucou cow boy bon wk

3. lafianceedusoleil le 20-01-2013 à 08:22:05 (site)

kikou Armand,
Robert Redfort, quel merveilleux acteur et quel beau garçon quand il était jeune.
Bon film.
Je te souhaite un bon dimanche.
je t'embrasse

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LE VOYAGE PAR LE CINEMA

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le 18-01-2013 09:46

ROOSEVELT SYKES

Pianiste marqué par la barrelhouse music, Roosevelt Sykes a été l'un des grands bluesmen de l'avant guerre. A Saint Louis tout d'abord, puis à Chicago et New York où il devait enregistrer abondamment. A la fois comme leader et somme sideman, notamment de Lonnie Johnson. Sur bien des points, en outre, son style pianistique annonce le blues moderne de Muddy Waters et des artistes de chez Chess Records.

Saint Louis était la ville par excellence du ragtime. Mais aussi celle d'un blues où le piano était roi. Un blues que l'on jouait dès le début du siècle dernier dans les tripots de Deep Morgan.

Roosevelt Sykes a redonné ses titres de noblesse à la barrelhouse music. Une musique chaleureuse, profondément rythmée et dansante. Walking basses obligent !

Les quelques deux cents titres qu'il a gravés avant guerre ont fait de Roosevelt Sykes l'une des grandes références pour nombre de musiciens de blues, et notamment pour ceux de la scène californienne comme T. Bone Walker et Lowell Fulson.

Roosevelt Sykes s'éteint à la Nouvelle Orléans, le 11 juillet 1983...

♥ New York Boogie (1929)

♥♥ Some Right, Some Wrong (1937)

♥♥♥ Funky Side (1940)

♣ How Long (1941)

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Blues», Editions Atlas, 1992.

Armand,

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1. lolo78000 le 18-01-2013 à 15:27:36

coucou la neige tombe chez nous en ce moment je te souhaite une bonne fin de journée ainsi qu'un très bon week-end au chaud de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil le 18-01-2013 à 21:16:11 (site)

bonsoir Armand,
je repasse pour écouter demain, le son n'est pas mis chez moi.
Bon week-end Armand
Je t'embrasse

3. lafianceedusoleil le 20-01-2013 à 08:22:55 (site)

kikou Armand,
j'écoute juste à l'instant les morceaux, merci pour cette détente.
Bsiou

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LE VOYAGE PAR LA MUSIQUE

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le 17-01-2013 00:30

LES DEUX SAINT JEAN

Janus chez les Romains, Jean le Baptiste et Jean l'Evangéliste chez les Chrétiens, les deux Saints Jean nous traversent tous dans les Rituels de Table Maçonnique.

A la question posée - à un 33ième - la semaine dernière à la Pioline : Pourquoi les FM fêtent-ils les deux Saint Jean ? La réponse fut tout simplement : "que les FM avaient faim et soif ces soirs-là !"

J'ai donc ressorti de ma bibliothèque l'ouvrage de Rémy Lucas sur Les mythologies gourmandes pour vous livrez quelques-unes de ses réflexions sur la nourriture.

Les plats ne sont rien d'autre que des histoires connues et maintes fois proposées, dont le goût et la texture actualisent le récit et nous donnent à retrouver, par le biais d'une redoutable mémoire sensorielle, l'ensemble des histoires précédentes associées. Ils contiennent aussi en eux-mêmes des valeurs supportées par celles des aliments qui les composent.

Ainsi, chaque plat servi ou consommé prend la forme d'un double discours : l'un, qui se destine à nos papilles et à la satisfaction de notre estomac ; l'autre, qui s'adresse à nos émotions et, parfois, à notre conscience.

Manger est une forme d'assimilation de l'inconnu, une manière d'avaler l'incohérent et de digérer le surnaturel, une fonction naturelle vitale, transcendante, entre profane et sacré, au fondement de l'humanité : acte métaphysique alimentaire.

Forme d'argumentation efficace, le mythe gourmand est un outil donné au philosophe, au chef de cuisine ou à la maîtresse de maison pour faire passer un message par une voie simple et imagée. Il recouvre une pensée globale, concrète ou poétique qui s'oppose à un raisonnement logique ou scientifique : muthos et logos, deux formes complémentaires d'expressions de la vérité.

Une botte d'asperges et une barquette de fraises nous disent l'arrivée du printemps plus sûrement qu'une hirondelle ou un calendrier. La simultanéité de saveurs caractéristiques comme celle de l'ail, de l'huile d'olive, de la tomate et du basilic nous expédient en Provence plus rapidement qu'un train à grande vitesse. La consommation de saucisses ou de coquillages, en nous renvoyant aux symboles des formes génitales, peut nous choquer ou nous amuser. La cocotte en fonte, d'où s'échappe le fumet d'un lapin confit aux aromates, ou encore la tarte aux mirabelles nous rappellent avec une intensité stupéfiante le visage d'une grand-mère, et le bonheur de vacances lointaines.

Ainsi, nous nous sentons forts lorsque nous mangeons de la viande rouge, parce que nous percevons physiquement le goût du sang, la résistance des fibres et la volonté puissante de nos mâchoires à anéantir - au moins pour partie - un gros animal.

Nous mangeons du sens. Nos repas se construisent autour de mythes : le plateau de fruits de mer, la choucroute garnie, la tête de veau, la côte de bœuf grillée, la mousse au chocolat... sont autant de plats dont la consommation dépasse le cadre strict d'un assemblage d'ingrédients rituellement codifiés. Inlassablement cuisiné, ingérés, partagés, assortis d'anecdotes personnelles ou culturelles, ils portent en eux la puissance fabuleuse de contes gourmands fréquemment répétés.

Le message mangé est assimilé avec efficacité. Le plat, qui devient fable, dit la vie, la mort, le temps qui passe, la folie ou l'amour, la conscience et le plaisir.... Mieux que tous les discours.

Pour revenir à la question ésotérique de départ, la langue française nous ouvre quatre possibilités : extérieurement nous avons tous deux seins et nous pouvons les nommer Jean, intérieurement nous aspirons tous à devenir des saints comme les deux Jean, notre esprit, du moins je l'espère, est sain probablement comme Jean et notre ventre est ceint d'un tablier de "Jean" en écossais...

Je conclurais donc par une formule alchimique qui se transmettait dans les temps anciens : "lis, lis, relis, prie, travaille et tu trouveras"....

Jakin,

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1. lolo78000 le 17-01-2013 à 14:18:47

coucou avec toujours des températures négatives je te souhaite un très bon après-midi de gros bizzzous

2. myrtille89 le 17-01-2013 à 16:32:23 (site)

bonsoir Jakin, merci d’être passer . bonne fin de soirée

3. lafianceedusoleil le 17-01-2013 à 22:24:43 (site)

bonsoir Armand,
excellent article, j'ai apprécié. smiley_id117194
Gla gla dans la capitale, nous attendons - 9° cette nuit. J'en frissonne.
Douce nuit et gros bisou
Cricri

4. anaflore le 18-01-2013 à 07:29:27 (site)

bon pour moi ce soir 2 invités une sans gluten et l'autre sans viande bof !!!bon wk

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