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Les Black's Foot

le 14-12-2011 04:01

V COMME VILNIUS - LITUANIE

 

 

               Centre politique du grand-duché de Lituanie du 13ième siècle jusqu'à la fin du 18ième siècle, Vilnius a exercé une profonde influence sur le développement culturel et architectural d'une grande partie de l'Europe orientale. Malgré invasions et destructions, elle a conservé un ensemble imposant de bâtiments historiques de styles gothique, Renaissance, baroque et classique, ainsi que sa structure urbaine avec ses espaces historiques et son environnement de verdure.

 

     Vilnius est un remarquable exemple de site médiéval : la ville a exercé une profonde influence sur l'évolution de l'architecture et de la culture dans une vaste zone d'Europe orientale, pendant plusieurs siècles. Avec son paysage et la grande diversité des édifices qui y sont conservés, Vilnius illustre de façon exceptionnelle un type de ville européenne qui a su évoluer de manière organique pendant une période de cinq siècles...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2005, 

 

 


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1. anaflore  le 14-12-2011 à 06:02:13  (site)

bien matinal bonne journée de mercredi moi un peu bousculée en ce moment ....

2. heremoana  le 14-12-2011 à 09:34:19

très jolies photos !! le soleil est revenu et moi j'attends .... bisous

3. lolo78000  le 14-12-2011 à 09:45:22  (site)

petit coucou pour te souhaiter un très bon mercredi chez nous toujours avec la tempête de gros bizzzous

4. lafianceedusoleil  le 14-12-2011 à 21:42:12  (site)

bonsori Armand,
qu'est-ce-qu'il regarde ce militaire, ses pieds ?
Merci pour ce beau documentaire.
Toujours ton humour, pour les bouchons de Liège, tu fais fort.
Douce nuit et gros bisou

5. anaflore  le 15-12-2011 à 07:56:32  (site)

petit coucou du jeudi toujours interet pour tes reportages

6. FleurdeMot  le 17-12-2011 à 10:39:31

tu as un grand savoir,bravo!

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le 13-12-2011 09:06

LE COMPAS, LE CERCLE ET LE CHEMIN DU CIEL

 

 

 

                Manié par le Grand Architecte de l’Univers, le compas est l’une des « Trois Grandes Lumières » de la Franc-Maçonnerie initiatique.

     Quelle est l’origine de ce symbole, pourquoi est-il lié à l’acte créateur et à la connaissance céleste, comment détermine-t-il l’architecture sacrée et trace-t-il un chemin impliquant la spirale, le cercle et l’étoile ?

     A travers la symbolique du compas, l’auteur propose une lecture inédite de l’enseignement maçonnique, de l’apprentissage à la maîtrise.

     Franc-Maçon de longue date, Alain Lejeune a déjà publié Les Trois Grands Piliers dans cette collection…

 

 

 


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1. lolo78000  le 13-12-2011 à 13:48:53

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon après-midi chez nous avec la tempête de gros bizzzous

2. anaflore  le 14-12-2011 à 06:04:11  (site)

tu pourrais faire des conférences !! moi j'y connais pas grand chose !!

3. FleurdeMot  le 17-12-2011 à 10:40:35

ce cercle l'a il faut le mériter,eux viennent à toi et pas le contraire,bizzz

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le 12-12-2011 08:39

K COMME KAUNAS - LITUANIE

 

 

               La ville de Kaunas se situe à 100km à l'ouest de Vilnius sur la rive droite du Niémen. C'est le second centre industriel et culturel de la Lituanie, par son importance et ses dimensions.

 

     La ville fut fondée en 1030 et a conservé beaucoup de monuments d'architecture anciens. L'un d'eux, le IXe fort, est une forteresse, qui servit de bagne en Lituanie médiévale. Un musée y a été aménagé.

 

     Les monuments de styles gothiques et baroque fleurissent à Kaunas. A visiter absolument l'étonnant Hôtel de ville de style baroque sur Rotuses aikste...

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2005, 

 

 


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1. lolo78000  le 12-12-2011 à 13:55:36

petit coucou avec le froid pour te souhaiter un très bon après-midi et un bon début de semaine de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 12-12-2011 à 17:22:14  (site)

bonsoir Arman,
souhaite te trouver en belle forme tout comme moi.
Merci pour les belles photos représentant des architectures différentes.
Bonne soirée. Je suis en vacances encore cette semaine. Demain, nous partons pour deux jours en Belgique visiter les marchés de Noel.
Gros bisou

3. anaflore  le 13-12-2011 à 06:11:18  (site)

tu as raison il pleut sur brest depuis que le maire chante nous on déchante lolsmiley_id2354617

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le 11-12-2011 08:16

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

 

 

 

 

 

 

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 


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1. heremoana  le 12-12-2011 à 09:33:32

petit coucou pour te souhaiter un bon début de semaine toujours pluvieux et sans goutte de ricard (pas bon pour la cicatrisation de la greffe !!!)
bisous

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le 10-12-2011 01:07

MAJOR DUNDEE

 

 

 

 

               Déterminé à venger la mort de ses hommes tombés sous les flèches du chef apache Charriba, un major de cavalerie nordiste forme une escouade à laquelle il doit intégrer ses ennemis sudistes.

     Le tournage de Major Dundee est une véritable épopée. Sam Peckinpah affronte tous les problèmes d’un réalisateur face à un grand studio. Film mutilé et renié par son créateur, Major Dundee est un western majeur qui porte bien la marque du cinéaste.

     R. G. Armstrong, Senta Berger, James Coburn… Le générique de Major Dundee annonce déjà les castings des chefs d’œuvre à venir de Sam Peckinpah.

     Incompris à sa sortie, Major Dundee n’en finira plus d’être réévalué pour accéder aujourd’hui au rang de chef d’œuvre.

     Réalisateur virtuose, violent et novateur, Sam Peckinpah a marqué l’histoire du cinéma de son empreinte de géant.

     Né en 1925, Sam Peckinpah démarre sa carrière en rencontrant Walter Wanger, dirigeant de Allied Artists, firme spécialisée dans la série B. Le producteur lui présente Don Siegel, un réalisateur sous contrat pour Les Révoltés de la cellule 11. Peckinpah devient le dialoguiste du film et travaille à nouveau avec Seigel sur L’invasion des profanateurs de sépultures. Le jeune homme se tourne alors vers la télévision. Sa rencontre avec Charles Marquis Warren, un réalisateur producteur de séries (Rawhide), lui ouvre les portes de la très populaire série Gunsmoke dont il devient l’un des scénaristes. Il débute comme réalisateur avec le dernier épisode de Broken Arrow, en 1957. Cette année-là, il écrit la première version du script de La Vengeance aux deux visages que Marlon Brando met en scène deux ans plus tard. Grâce à des séries comme L’Homme à la carabine, Peckinpah rencontre de futurs collaborateurs (le producteur réalisateur Arnold Laven) et des comédiens comme Warren Oates qui deviendront des « gueules » essentielles de son univers…

 

 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.


Armand,

 

 


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1. anaflore  le 10-12-2011 à 07:26:08  (site)

un cinéma un peu oublié bon wk .....sans pluie j'espére

2. lafianceedusoleil  le 10-12-2011 à 12:11:07  (site)

coucou Armand,
ah, les westerns, j'adore. C'était le bon vieux temps.
Mon séjour au Sénégal fut extra et dépaysant. J'ai beaucoup aimé. Je suis revenue engorgée de soleil.
Soleil du matin au soir, j'ai profité un max.
Je pense que tout se passe bien pour toi.
Très bon week end et gros bisou ensoleillé

3. lolo78000  le 10-12-2011 à 13:04:05

petit coucou ensoleillé pour te souhaiter un bon samedi apès-midi de gros bizzzous

4. pouty88  le 12-12-2011 à 05:55:00  (site)

bonjour
j'ai toujours aimer les western,je sais pas pourquoi ,c'est tout simplement bien...
bonne journée
pouty

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le 09-12-2011 08:06

GATO BARBIERI

 

 

 


 

          La musique de Gato Barbieri, c’est un mariage d’amour entre le jazz d’avant garde et la chaleur sud américaine, le coltranisme et le tango, le free jazz et les rythmes brésiliens. Tous ses albums témoignent de la volonté d’enrichir le jazz négro américain de cultures du tiers monde, dans le dessein de créer une musique universelle. A l’image de Don Cherry avec lequel le saxophoniste argentin formera un fabuleux duo.

     Grâce à un oncle saxophoniste, Gato Barbieri s’initiera au jazz. Celui de Louis Armstrong, notamment. Avant de découvrir le bop de Charlie Parker.

     Converti au bop de Charlie Parker dès le milieu des années quarante, Gato Barbieri s’inspirera ensuite de jazzmen d’avant garde, comme le saxophoniste John Coltrane, puis Ornette Coleman.
 


     Artiste engagé, comme à dire vrai tous les musiciens de la scène free, Gato Barbieri préférera l’Europe aux Etats Unis, et plus particulièrement l’Italie et la France pour exercer son art. ce qui lui donnera l’opportunité de collaborer à la bande son du « Dernier tango à Paris » de Bertolucci.

     En solo, avec Don Cherry ou Charlie Haden et Carla Bley, le saxophoniste argentin enregistrera quelques-uns des plus grands disques de l’avant garde. Comme le visionnaire « The Third World ».
 


     A partir du début des années soixante-dix, Gato Barbieri donnera à son jazz une « couleur » encore plus brésilienne que naguère, pour finalement aboutir à une musique quelque peu commerciale, qui fera la joie des clubs.

 

♥      Obsession

 

 
♥♥      Hamba Khale
 
 
♥♥♥      The aloe' And The wild rose
 
 

 


 

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991.


Armand,



 

 


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1. anaflore  le 09-12-2011 à 16:12:58  (site)

plein de musique pour ton wk nous tous les wk notre maire chantant ouvre les portes de la mairie aux chorales pendant le mois de décembre sympa gratuit et à l'abri !!

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le 08-12-2011 09:33

RUBENS, LE CITOYEN DU MONDE

 

 

 


          Londres, 7 juin 1629. Le plus grand peintre flamand du siècle s’agenouille devant Charles 1er d’Angleterre. Est-il là pour faire le portrait du roi ou de la reine ? Non. Pierre Paul Rubens, né en Flandre espagnole et remarquable polyglotte, a été chargé par Madrid de renouer, après une longue guerre, les relations diplomatiques entre Philippe IV d’Espagne et le roi d’Angleterre.

     Naguère intime du duc de Buckingham, le favori assassiné de Charles 1er, Rubens plaide la cause espagnole devant un monarque encore accablé par le chagrin. Certes, le roi reste prudent, mais Rubens obtient que rien ne soit conclu avec les Français tant que dureront les pourparlers avec Madrid.

     Une fois de plus, le peintre a rempli avec bonheur la mission qu lui était confiée. Il s’est donné à lui-même une nouvelle preuve de ses talents : ce génie de la peinture, amoureux de la paix, rêve avec obstination de devenir un des plus grands diplomates de son temps.

     Son père adultère est jeté en prison – L’Infante Isabelle fait de lui son envoyé secret – Il se remarie avec une jeune fille de seize ans – Brillant ambassadeur, il négocie avec les rois, de Londres à Madrid – Grand seigneur et homme d’affaire, il charme l’Europe entière et fait fortune – Une sensualité heureuse, il peint corps féminin dans toute a plénitude - Sa dernière commande : cent douze nus…
 

 


LA CHASSE AU TIGRE

     Rubens compte parmi les plus grands, peintres animaliers. Il s’est plu à représenter des scènes de chasse où tour à tour interviennent tigres, lions et même hippopotames, qu’il a pu observer dans les zoos de son temps, lesquels étaient en fait des jardins exotiques entretenus par de riches amateurs. Il avait aussi la passion des chevaux. Cette féroce chasse au tigre (dont Delacroix se souviendra) semble peinte pour mettre en valeur la beauté du pur-sang pommelé qui se cabre sous l’assaut des fauves. La composition en diagonale accentue la fureur du mouvement. Les corps nus et musculeux des chasseurs du premier plan forment un contraste saisissant avec les pelages des bêtes.
1615-1616 (256 x 324 cm), Musée des Beaux Arts, Rennes.

     Pierre Paul Rubens est né à Siegen en Westphalie, dans le Saint empire romain germanique à 300 km d'Anvers. Son père, Jan Rubens (1530-1587) avocat protestant prospère et sa mère, Maria Pypelinckx (1537-1608) avaient quitté Anvers (Pays-Bas espagnols) pour échapper à une persécution religieuse. En 1589, deux ans après la mort de son père, Rubens et sa mère retournèrent à Anvers, où il se fit baptiser à la religion catholique. Beaucoup de ses tableaux représentent des sujets religieux.

     Rubens tomba malade et son état s’aggrava, jusqu’à l’amener à mourir le 30 mai 1640. Il fut enterré à l'église Saint-Jacques (Sint-Jacobskerk) d'Anvers.

Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.

Armand,
 

 

 


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1. lafianceedusoleil  le 08-12-2011 à 11:28:40  (site)

coucou Armand,
mon séjour se passe à merveille. Je savoure chaque instant.
Sniff, je rentre demain soir.
Merci pour ton bon article sur Rubbens.
Bon jeudi. Je t'envoie du soleil.
Bisou

2. lolo78000  le 08-12-2011 à 13:36:08

petit coucou avec la pluie pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

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