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Les Black's Foot

le 11-01-2012 08:02

M COMME MOSSEL BAY - AFRIQUE DU SUD

 

 

 

           Le premier contact avec les Européens eu lieu en 1488 quand Diaz rencontra les Khoisans sur la plage des Saints (Santos Beach aujourd'hui rebaptisé "Madiba" en l'honneur de l'ancien président Nelson Mandela). Diaz y érigea une croix et baptisa l'endroit au nom de Saint Blaise.

 

     C'est en 1729 que les premiers blancs s'établissent à Mossel Bay, 77 ans après la fondation du Cap en 1652.

 

     Le Musée Diaz est consacrée à l'histoire de Mossel Bay. Il regroupe notamment le musée maritime et sa reproduction de la caravelle de Diaz, l'exposition sur la vie culturelle des communautés de couleurs à l'époque de l' apartheid, le musée du coquillage, un aquarium abritant notamment un spécimen de grand requin blanc et les plus vieilles maisons de la ville...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2006, 

 

 


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1. heremoana  le 11-01-2012 à 08:39:20

c'est un pied que tu "caches" sur la stèle ?????
bisous et bonne journée

2. lolo78000  le 11-01-2012 à 12:03:22  (site)

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon mercredi chez nous timide éclaircie de gros bizzzous

3. lafianceedusoleil  le 11-01-2012 à 21:33:49  (site)

bonsoir Armand,
bravo pour les photos, tu es la vedette.
Bonne fin de soirée.
Bisou

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le 10-01-2012 09:08

LE TIERS INSTRUIT

 

 

 

               Etrange et original, déjà composé des gênes de son père et de sa mère, en tiers entre eux, tout enfant n’évolue que par nouveaux croisements. « Toute pédagogie reprend l’engendrement et la naissance d’un enfant » ; né gaucher, il apprend à se servir de la main droite, demeure gaucher, renaît droitier, au confluent des deux sens. Né Gascon, il le reste et devient Français, en fait métissé. Français, il se fait Espagnol, Italien, Anglais ou Allemand, s’il épouse et apprend leur culture et leur langue, en gardant les siennes propres, âme et corps mêlés. Son esprit ressemble au manteau d’Arlequin.

     Cela vaut pour instruire autant que pour élever les corps. Le métis, ici, s’appelle Tiers Instruit. Scientifique, plutôt, par nature, il entre dans la culture parce que la science épouse aujourd’hui les questions, par elle seule imprévisibles, de la douleur et du mal. Il suffit d’apprendre deux choses : la raison exacte et les maux injustes ; la liberté d’invention, donc de pensée, s’ensuit.

     Cela vaut enfin pour la conduite et la sagesse, pour l’éducation. Elle consiste et demande à épouser l’altérité, la plus étrangère, à renaître donc métis.

     Michel Serres enseigne aux Etats Unis, successivement : « Visiting Professor » à l’Université John Hopkins de Baltimore ; titulaire de la John’s Chair à l’Université de New York, à Buffalo ; « Full Professor » à l’Université de Stanford. Michel Serres est l’auteur de nombreux essais philosophiques, littéraires et siciologiques : Feux et signaux de brune. Zola ; Rome. Le Livre des fondations ; Le Parasite, le cycle des ouvrages « Hermès » (La Communication, L’interférence, La Traduction, etc.). Les Cinq sens, Prix Médicis de l’Essai 1985…

 



 

 


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1. lolo78000  le 10-01-2012 à 14:36:09

petit coucou avec un temps bien gris je te souhaite un très bon après-midi de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 10-01-2012 à 20:30:53  (site)

bonsoir Armand,
tu as tout compris, c'est pour cela qu'il y a la bonne mère à Marseille !
je viens de relire ton article, pas évident pour moi à comprendre.
Douce nuit
je t'embrasse

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le 09-01-2012 08:39

S COMME SWELLENDAM - AFRIQUE DU SUD


 

 

          La ville de Swellendam fut fondée en 1746, au pied du massif de Langeberg, dans la colonie du Cap. Son nom est la contraction des patronymes du gouverneur du Cap, Henfik SWellengrebel et de son épouse Ten Damne.

 

     Swellendam était alors considérée comme le dernier avant-poste de la civilisation à la frontière est de la colonie du Cap et la porte d'entrée terrestre vers les terres intérieurs de l'Afrique du Sud. 

 

     En 1795, les citoyens de Swellendam se révoltèrent contre l'administration de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales et érigèrent la ville en république sous la présidence d'Hermanus Steyn qui est alors le premier à porter le titre de président d'Afrique du Sud.


     L'occupation du Cap par les Britanniques mit fin rapidement à cette éphémère indépendance.

 

     Suite à la colonisation progressive des terres intérieures, Swellendam perdit sa fonction de poste avancée de la civilisation pour devenir un lieu de passage terrestre obligé vers les territoires du nord et de l'est.

 

     Elle devint au 20ième siècle une région agricole fertile et un centre touristique important...

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2006, 

 

 


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1. la petite fee du lundi   le 09-01-2012 à 07:52:35  (site)

bonjour l ami jakin
tres jolies maizonette en tous cas merdi de ce partage
je ne sais meme plus si voeux je t ai fais donk je renouvelle en cas d oublis ....la sante et tout ce qui suit bien entendu
agreable semaine pour toi l ami merci et bize fraiche du jour ....

2. Humana  le 09-01-2012 à 11:53:24  (site)

Merci du passage chez moi pour la photo du jour Sourire
Bonne journée et bonne année Jakin

3. lolo78000  le 09-01-2012 à 13:57:23

petit coucou pour te souhaiter un très bon après-midi et un bon début de semaine de gros bizzzous

4. lafianceedusoleil  le 09-01-2012 à 21:17:39  (site)

bonsoir Armand,
la première photo est sublime et irréelle quelque part.
Beau voyage que tu as fait !
D'après le commentaire laissé chez moi, tu as la gaité dans le coeur, c'est super pour démarrer la semaine.
Bonne soirée et gros bisou

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le 08-01-2012 08:18

LE MOT DU WEBMASTER

 

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

  

 

 


 

 


 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 

 


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1. lafianceedusoleil  le 08-01-2012 à 11:29:30  (site)

Coucou Armand,
je suis OK avec la pensée avec Jean Cocteau.
Ca je sais faire !!
bon repos et bon dimanche
kiss

2. lolo78000  le 08-01-2012 à 13:48:27  (site)

bon dimanche et bonne galette de gros bizzzous

3. heremoana  le 08-01-2012 à 18:48:22  (site)

il a bien raison !! bisous et bon repos

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le 07-01-2012 00:01

LES COLLINES DE LA TERREUR

 

 

 


          Traqué pour avoir tué en état de légitime défense, Chato entraîne ses poursuivants sur une terre hostile qui est sienne et dont il connaît tous les pièges.

     Un an après le sulfureux L’Homme de la loi, le Britannique Michael Winner remonte en selle pour s’aventurer une seconde (et dernière) fois sur les pistes poussiéreuses du western.

     La recette du succès selon le cinéaste britannique : une superstar au zénith, deux vedettes en disgrâce et une poignée de seconds plans à toute épreuve.

     Avec force et conviction, la presse française plébiscite sans réserve le second western de Michael Winner.

     Porté aux nues ou vilipendé, le cinéma sans concessions de Michael Winner n’a de cesse que d’exposer la violence du monde.

     Il naît à Londres le 30 octobre 1935. Intéressé très jeune par le cinéma, il collabore en tant que critique cinématographique à une gazette estudiantine de l’université de Cambridge. Il fait ses débuts professionnels en écrivant quelques scénarios dont Man With a Gun, réalisé en 1958 par Montgomery Tully. Il dirige une dizaine de courts métrages, puis aborde la réalisation de longs métrages en 1960. Il réalise Nus au soleil, une comédie naturiste assez tristounette, puis s’impose avec The System (1964), film superbement servi par Oliver Reed et David Hemmings, Scotland Yard au parfum (1967), une comédie policière très enlevée, puis Qu’arrivera-t-il après ? (1967), tableau caustique prenant cadre dans le monde des publicistes. En 1969, il retrouve son comédien fétiche, Oliver Reed, et nous offre un fort plaisant L’Extraordinaire évasion, sorte de Vache et le prisonnier à la sauce britannique, un éléphant se substituant au ruminant de Fernandel. Homme d’affaires avisé, Michael Winner assure la production de presque tous ses films, il en signe également le scénario pour la plupart et, à partir de 1972, il assumera le montage, sous le pseudonyme d’Arnold Crust Jr…

 

 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.


 Armand,

 

 


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1. lafianceedusoleil  le 07-01-2012 à 09:28:13  (site)

hello Jakin,
excellent film avec d'excellents acteurs. Dommage que la bande annonce soit si courte, j'étais sous le charme.
Très bon week end.
Bisou

2. anaflore  le 07-01-2012 à 09:35:24  (site)

super acteur !!!bon wk

3. lolo78000  le 07-01-2012 à 14:17:16

petit coucou pour te souhaiter un très bon week-end de gros bizzzous

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le 06-01-2012 08:24

ROBERT PETE WILLIAMS

 

 

 

          Robert Pete Williams fait partie de ces bluesmen qui, pour des raisons souvent bénignes, se sont retrouvés derrière les barreaux des pénitenciers du Sud. Libéré grâce à l’action du folkloriste Harry Oster, il devait ensuite façonner un blues extraordinairement tragique, puisqu’il était le fruit de ses cruelles expériences, tout en se démarquant des autres représentants du Country Blues.

     Les ethnomusicologues ne se sont pas contentés de faire enregistrer les bluesmen originaires du Sud ; dans bien des cas, ils ont accéléré la libération de ceux qui se trouvaient dans les pénitenciers. Leadbelly, Bukka White ou Robert Pete Williams, par exemple !

     Les efforts conjugués de Harry Oster et de journalistes du « Time » aboutiront à la libération de Robert Pete Williams. Le pénitencier d’Angola ne sera pas pour autant oublié !
 


     Le blues évolue sans cesse, puisque Robert Pete Williams a dans une certaine mesure influencé Robert Collins, qui a son tour a marqué le jeu de guitare de Robert Cray.

     Les années passées derrière les barreaux d’Angola, ainsi que les amours déçues et la religion, nourriront les textes de Robert Pete Williams.

     Contrairement aux bluesmen du Delta, Robert Pete Williams a construit ses morceaux sur un accord seulement, qu’il rythmait à l’aide des cordes basses de sa guitare.
 


     Robert Pete Williams meurt le soir du nouvel an 1980 d’une crise cardiaque. Il est enterré à Scotlandville.

 

 ♥     Santa Fe Blues

 

 
♥♥      Cow Bell Mourn

 
♥♥♥      Candy Man
 

 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Blues», Editions Atlas, 1992.



Armand,
 

 


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1. Mamie-Cannelle  le 06-01-2012 à 08:13:19

Merci !!!
Magnifique article sur une musique que j'aime !!!
Bonne fin de semaine,
MC.

2. Marc Lef  le 06-01-2012 à 08:42:00  (site)

Merci pour cette très belle découverte!!!

3. lolo78000  le 06-01-2012 à 14:23:32  (site)

petit coucou ensoleillé pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

4. lafianceedusoleil  le 06-01-2012 à 22:02:02  (site)

bonsoir Armand,
je termine ma soirée en écoutant les morceaux que tu as si bien choisis.
Merci Armand.
Aujourd'hui, nous avons eu soleil, il se faisait rare ces temps-ci.
Je te souhaite une douce nuit et un doux week end.
Bisou

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le 05-01-2012 08:56

VERMEER, LE RECLUS

 

 

 

          Une maison au toit aigu, serrée dans le quartier catholique de la très provinciale ville de Delft, dans les Pays-Bas. Au rez-de-chaussée, c’est un vacarme épouvantable : les enfants crient à tue-tête, la belle-mère tempête contre son gendre qui ne daigne même pas se déplacer pour remettre un peu d’ordre dans ce tohu-bohu, tandis que l’épouse se lamente et se demande avec quel argent elle va bien pouvoir payer le pain de ce jour. A l’étage, l’atelier silencieux, fenêtre ouverte où frissonne un rideau de satin…

     Un sol en damier noir et blanc, quelques chaises hautes et raides, ornées de têtes de lion, une table où se drapent les plis d’un lourd tapis et, devant la grande carte des provinces de Hollande fixée en toile de fond, ouverture symbolique sur l’immensité du monde extérieur, un modèle figé. Vermeer, peintre reclus, devant le chevalet où s’ébauche l’œuvre, savoure la vie immobile…

     Par amour il se convertit et a 15 enfants avec sa femme - Son grand-père faux-monnayeur frôle l’échafaud – Pour peindre un tableau, il met deux ans – La folie de son beau-frère met en danger sa famille – Sa veuve doit vendre ses toiles pour payer le boulanger.
 

 


LA DENTELLIERE

     Voici, selon Renoir, l’un des deux meilleurs tableaux du musée du Louvre. Rien de plus simple cependant que cette Dentellière penchée sur son ouvrage. On a cru y reconnaître Catharina Bolnes, l’épouse de Vermeer : la coiffure compliquée et le large col de dentelle laissent en effet supposer qu’il s’agit d’une dame de qualité. Mais, au-delà de son contenu anecdotique, l’œuvre possède une rare magie. Le peintre a su rendre presque palpable le silence qui entoure la jeune femme absorbée dans son travail. Ce recueillement avec lequel sont exécutées les plus humbles tâches est caractéristique de l’univers de Vermeer. L’harmonie des jaunes et des bleus qui règne ici se retrouve elle aussi dans la plupart des tableaux de l’artiste.
1665 ( 24 x 21cm ) Musée du Louvre, Paris.

     Vermeer naquit le 31 octobre 1632 à Delft, dans le milieu réformé protestant, la même année que Spinoza à Amsterdam. Sa mère s’appelait Dymphna Balthasars (ou Dyna Baltens), et son père Reynier Janszoon ; au départ, celui-ci était désigné sous le patronyme Vos (i.e. Renard) mais, à partir de 1640, pour une raison qui demeure obscure, il changea son nom en Van der Meer (i.e. Du Lac). - Le « Ver » qui débute certains patronymes néerlandais est en fait la contraction de « Van der ».

     Il est mort et enterré dans cette même ville le 15 décembre 1675…

Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.


Jakin,

 

 


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1. anaflore  le 05-01-2012 à 08:06:16  (site)

beau travail de peintre belle recherche bonne journée

2. lolo78000  le 05-01-2012 à 13:50:43

coucou poussée par le vent j'arrive sur ton blog pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

3. lacuisinededidine  le 05-01-2012 à 17:07:12  (site)

Bonsoir, oui vefblog ma gâte, photo du jour avec ma création de Noël et maintenant avec cette recette...c'est louche..loll, passe une belle soirée, bisous, Nadine

4. lafianceedusoleil  le 05-01-2012 à 20:41:06  (site)

Bonsoir Armand, je ne connaissais pas ce peintre de talent.
smiley_id117194.
pour cette découverte.
Douce nuit.
Bisou

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