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Les Black's Foot

le 28-12-2011 06:33

C COMME CAP DE BONNE ESPÉRANCE - AFRIQUE DU SUD

 

 

               Le cap de Bonne-Espérance est un des lieux mythiques sur la planète qui font rêver beaucoup de monde. Tout au sud de l’Afrique, le célèbre Cap fut pendant longtemps considéré comme le cauchemar ou l’espoir des marins.

 

          Situé au bout d’une péninsule qui borde la baie de Valsbaai (ou False Bay) juste en face d’une des plus grandes villes d’Afrique du Sud, Le Cap, ce n’est cependant pas le point le plus au sud du continent. En poursuivant la route vers l’est on rencontrera le Cap des Aiguilles qui est le point le plus méridional de l’Afrique.

 

          C’est au mois de janvier 1488 que le navigateur portugais Bartolomeu Dias découvre le Cap de Bonne-Espérance en explorant les côtes africaines. Cherchant une route pour atteindre les Indes de façon plus sûre que par la terre, l’Espagne et le Portugal se livraient une course par marins interposés. Christophe Colomb décida de contourner la terre par l’ouest alors que les marins portugais préféraient explorer les mers par l’est.

 

          Le Cap fut d’abord baptisé par Bartolomé Dias “Cap des Tempêtes” car celles-ci étaient très fortes au moment de sa découverte, mais rapidement le lieu reçut le nom de “Cap de Bonne-Espérance” car cela devenait une bonne indication sur la route à suivre vers les Indes.

 

          Depuis 1938 la péninsule le long de False Bay est devenue une réserve naturelle qui fait partie du Parc National de la Péninsule du Cap (Cape Peninsula National Park), appelé aussi Parc National du Mont Table (Table Mountain National Park).

 

          Ce parc national est devenu un lieu touristique très fréquenté par les touristes curieux de découvrir le fameux Cap de Bonne-Espérance, mais également par les amoureux de la nature qui pourront y voir de nombreuses espèces d’oiseaux, des tortues, des singes ou des antilopes.

 

          Les côtes sont un paradis pour de nombreux animaux marins comme les phoques, les manchots, les dauphins et les baleines que beaucoup de touristes iront admirer en s’approchant de ces énormes cétacés en bateau...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2006, 

 

 


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1. coconuts  le 28-12-2011 à 11:06:45  (site)

sont belles tes photos

2. lolo78000  le 28-12-2011 à 11:24:06  (site)

petit coucou avec la fraicheur pour te souhaiter un très bon mercredi de gros bizzzous

3. lafianceedusoleil  le 28-12-2011 à 22:01:05  (site)

bonsoir Armand,
merci pour ce beau voyage accompagné de jolies photos.
Bonne nuit et gros bisou

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le 27-12-2011 05:28

LE BONHEUR

 

 

 

               Un homme et une femme. Ils se plaisent, s’évitent, se trouvent. Ils font l’amour. Sans un « je t’aime ». Alors commence le bonheur. Mener deux vies, l’une officielle et l’autre non. Mettre le sexe au centre de tout. Croire à ce bonheur là…

          « Le bonheur a de quoi séduire une clientèle très variée et confirme que Denis Robert – pince sans rire jusqu’au sang – sait dominer son sujet, camper un « bourreau sans merci » et manier « le fouet du plaisir » en se référant toutefois plus à Nicholson Baker qu’à Baudelaire, en quoi il est bien de son temps ». (Jean-Pierre Tison, Lire).

 

          Denis Robert est né à Moyeuvre. Il vit aujourd’hui à Metz. Cet ancien étudiant en psycholinguistique a exercé le métier de journaliste à Libération pendant douze ans. Il est également l’auteur de quatre romans : Chair Mathilde (1991), Je ferai un malheur (1995), Notre héros au travail (1997) Tout va bien puisque nous sommes en vie (1998), et de deux essais en 1996 : Pendant les affaires, les affaires continuent et la Justice ou le chaos…

 

 

 

 


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1. anaflore  le 27-12-2011 à 09:22:03  (site)

c'est un fantasme??ou du vécu lol bonne journée

2. metalness  le 27-12-2011 à 10:07:58

Merci pour ton passage chez moi , bonne journée , à bientôt .

3. lolo78000  le 27-12-2011 à 13:35:33

petit coucou avec le froid pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

4. lafianceedusoleil  le 27-12-2011 à 16:51:02  (site)

bonsoir Jakin,
un livre qui a du te plaire, pourquoi pas ! le titre est très promoteur.
très bonne fin de soirée.
Je t'embrasse

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le 26-12-2011 04:55

H COMME HOUT BAY - AFRIQUE DU SUD

 

 

               À Hout Bay (la « baie du Bois » en afrikaans), on ne trouve plus aujourd’hui que des pins et des eucalyptus replantés. Port de pêche encadré par deux montagnes, Hout Bay abrite aussi une paisible plage. Deux excursions s'imposent : une balade en bateau vers Duiker Island pour sa colonie d’otaries du Cap, et la route panoramique, l’une des plus belles excursions depuis Cape Town... 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2006, 

 

 


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1. lolo78000  le 26-12-2011 à 13:37:28  (site)

petit coucou ensoleillé pour te souhaiter un très-bon après-midi et j'espère que tu as passé un très bon Noël de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 26-12-2011 à 21:44:23  (site)

bonsoir Armand,
comme il y en a des phoques, cela me fait penser à San Francisco, pier 39.
Bonne soriée .
Bisou

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le 25-12-2011 08:48

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

 

 

 

 

 

 

JOYEUX NOËL

 

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 
 
 


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1. anaflore  le 25-12-2011 à 09:01:54  (site)

nedeleg laouen en ce jour aprés la fête repos !!!NineNine

2. lolo78000  le 25-12-2011 à 13:16:14

petit coucou pour te souhaiter un joyeux Noël de gros bizzzous

3. haha  le 25-12-2011 à 16:27:03  (site)

joyeux Noël l'ami jakin .

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le 24-12-2011 02:50

LE GANG DES FRÈRES JAMES

 


 

               Après la guerre de Sécession, une bande de hors la loi, emmenée par le charismatique Jesse James, écume le sud des Etats Unis et pille banques, trains et diligences. La légende est en marche…

          Pour revisiter la légende de Jesse James, le cinéaste Walter Hill organise une véritable réunion de famille où se côtoient les frères Keach, Carradine, Quaid et Guest.

          Cas unique dans l’histoire du cinéma, le western de Hill réunit quatre fratries de comédiens. Destins croisés des frères Carradine, Keach, Quaid et Guest…

          Concourant à la Palme d’or au festival de Cannes 1980, Le Gang des frères James reçoit un accueil particulièrement glacial.

          Scénariste, réalisateur et producteur, Walter Hill revendique l’héritage de Peckinpah à travers un cinéma viril, résolument tourné vers l’action.

          Né en 1942, Walter Hill étudie les arts et les lettres. Passionné de cinéma, il devient assistant réalisateur sur L’Affaire Thomas Crown et Bullitt. Trois ans plus tard, il signe son premier scénario avec Hickey and Boggs, un polar violent mis en scène et interprété par Robert Culp. Il est remarqué pour ce premier essai par Sam Peckinpah qui l’engage pour son prochain film. Adapté de Jim Thompson, Le Guet-apens est une réussite où l’on retrouve l’univers du futur cinéaste qui restera marqué par Peckinpah. Après ce succès, Hill travaille, comme ses confrères (Cimino, Milius), à l’écriture de scripts qui l’amènent à côtoyer John Huston (Le Piège) ou Paul Newman (pour lequel il écrit un rôle sur mesure dans La Toile d’araignée). En 1975, Hill signe son premier film, Le Bagarreur, exploitant le monde des combats clandestins durant la Grande Dépression. La singularité de ce film offre un rôle magnifique à Charles Bronson (et à James Coburn) prouvant que Hill est aussi un bon directeur d’acteurs et un auteur à part entière.

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.


 Armand,

 

 


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1. anaflore  le 24-12-2011 à 07:09:10  (site)

kiss de noelsmiley_id117195 juste pour toi

2. lafianceedusoleil  le 24-12-2011 à 10:31:04  (site)

kikou Armand,
espère que tu es en forme pour passer un bon réveillon.
Que du bonheur pour toi en ce Noel.
Je t'embrasse

Papa noel

3. miou14  le 24-12-2011 à 14:33:50  (site)

Bonjour merci de ton passage chez moi, amitiés.

4. lolo78000  le 24-12-2011 à 14:45:31

coucou je te souhaite un très bon réveillon de gros bizzzous

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le 23-12-2011 07:20

B.B. KING

 


 

               B.B. King est l’un des plus grands – si ce n’est le plus grand – créateurs du blues moderne. Un blues qui, dès le tout début des fifties, ne doit pratiquement plus rien aux musiciens du Delta. Si son aptitude à aborder tous les genres de la musique noire américaine a été, et demeure remarquable, c’est d’abord à son image de guitariste qu’il doit sa couronne. Un guitariste qui a influencé à peu près tout le monde !

          B.B. King a réussi à donner une autre image du Noir, et tout particulièrement du bluesman. Vêtu de façon élégante, il a en quelque sorte symbolisé la réussite sociale. Avec lui, les plantations appartenaient bel et bien au passé !

          Au départ un scénario à la John Ford. Une femme et une bagarre dans un bar de l’Arkansas. Et B.B. King dans un rôle à la John Wayne. Depuis les années cinquante, en souvenir d’une histoire qui aurait pu lui coûter la vie, toutes les guitares du « roi » du blues s’appellent « Lucille ». Ou lorsque le blues et le romantisme se rejoignent !
 


          Marqué moins par le jeu des « Delta Men » que par celui de T. Bone Walker, en quelques enregistrements B.B. King deviendra le plus fin styliste du blues moderne.

          B.B. King prendra la place, laissée en quelque sorte vacante par Muddy Waters et les maîtres du Chicago Blues de l’après guerre, à coups de cuivres et d’arrangements sophistiqués !

          B.B. King est le seul musicien de blues à avoir été élevé au rang de star. Parce qu’il ne s’est jamais enfermé dans un style. Et parce qu’il est le premier « Guitar Hero » de la musique noire américaine.

          Le 26 juin 2010, il participe au Crossroads Guitar Festival 2010 à Chicago. Ce festival est organisé par Eric Clapton avec de nombreux autres artistes.
 


          Concert le 30 juin 2011 au Grand Rex, à Paris, ainsi que le 2 et le 3 juillet, avec Carlos Santana, au Montreux Jazz Festival. Le 21 juillet, il ouvre le festival de Jazz (es) de San Sebastián avec un concert gratuit sur la plage de la Zuriola.

 

♥     Payin' the Coast to Be the Boss

 

 
♥♥      The Letter
 
 
♥♥♥      You've Done Lost You're Good Thing Now
 
 
 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Blues», Editions Atlas, 1992.


 Armand,

 

 


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1. heremoana  le 23-12-2011 à 09:10:00

le pied !! comme tu le dis ....
bisous et bonne journée

2. lolo78000  le 23-12-2011 à 13:21:32

coucou passe un bon après-midi un petit cado perso t'attends chez moi car tu as été sage!!! de gros bizzzous

3. la petite fee de noel   le 23-12-2011 à 14:29:22  (site)

je te souhaite de tres bonnes fetes de noel l ami de vef jakin avec mon amitiee bizeee merciiiiiiiiiiiiiiiii

4. haha  le 23-12-2011 à 16:52:28  (site)

ah! j'adore le king comme tu dit un grand passe de bonnes fêtes de fin d'&nn&e l'ami jakin un bon Noël avec ta famille et amies amitiés.

5. lafianceedusoleil  le 23-12-2011 à 20:57:23  (site)

bonsoir Armand,
excellents morceaux, j'ai adoré, merci pour ce moment de détente. C'est certainement le meilleur.
Joyeux noël Armand.
Je t'embrasse
Cricri

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le 22-12-2011 08:31

VELÁZQUEZ, LE SILENCIEUX

 

 

 

               7 août 1660 au soir. Dans la touffeur de Madrid, sous les voûtes de l’église paroissiale de San Juan Bautista, résonnent les derniers chants funèbres en l’honneur de Diego R. de Silva y Vélasquez, chevalier de l’ordre de Saint Jacques.

     La lippe royale de Philippe IV s’est accentuée, frémissante de chagrin. Celui qui vient de mourir l’a accompagné tout au long de son règne et l’a immortalisé par son art. Près de quarante années passées côte à côte, où inlassablement le roi a posé pour son peintre favori.

     Quarante années d’une amitié faite de secrets, de confidences et d’une confiance que Vélasquez n’a jamais trahie. Pour la première fois, pourtant, il vient d’oublier son respect habituel d’homme de cour et d’ami, refusant devant la mort de céder le pas à son souverain. Lui le petit Sévillan, sorti de nulle part, parti à la conquête de la gloire…

     Il rencontre sa future femme à onze ans – Un rendez-vous d’amour dans un cercueil – Il passe pour un espion du roi d’Espagne – Il prépare le mariage de l’Infante avec Louis XIV – Le roi d’Espagne est son élève et apprend à peindre à ses côtés – Infantes et bouffons sous l’or et le faste il peint la tragédie de l’homme – Des ruelles de Séville aux palais de Madrid, il conquiert la gloire et les honneurs…

 

 


LA VENUS AU MIROIR

          Le 11 mars 1914, la suffragette Mary Richardson lacère de sept coups de hache La Vénus au miroir, exposé à la National Gallery de Londres. Elle veut ainsi protester contre l’arrestation d’une autre féministe anglaise ! Ce geste malheureux permit néanmoins à la toile d’être restaurée : sous les retouches et les vernis, on vit apparaître un des plus beaux nus qui soit. Sur la tenture cramoisie (la couleur préférée du peintre), se détache la magnifique plastique du modèle. Ce corps « en forme de guitare » ne le cède en rien aux sensuelles Vénus du Titien. Vélasquez le peignit d’ailleurs lors de son second séjour à Rome, en 1650. Le visage empreint de lassitude qui se reflète dans le miroir ajoute encore à l’atmosphère de volupté heureuse qui baigne la scène.
1650 (122,5 x 177 cm) National Gallery, Londres.

     Diego Vélasquez est né à Séville, en Espagne, en 1599, et a été baptisé le 6 juin à l’église Saint-Pierre de Séville. Il était le fils de Juan Rodríguez de Silva, un homme de loi issu de l’aristocratie portugaise, et de Jerónima Vélasquez, qui appartenait à la petite noblesse des hidalgos. La coutume espagnole autorisait en effet un fils aîné à adopter le nom de sa mère si un important héritage maternel était en jeu.

     Il meurt à Madrid le 6 août 1660.

Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.


 Armand,

 

 

 


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1. anaflore  le 22-12-2011 à 07:43:16  (site)

merveilleux peintre belle journée pour moi du bon l'anniversaire de ma petite elen mais ce matin du nul vais encore chez le dentiste !!!rien n'est parfait !!

2. lafianceedusoleil  le 22-12-2011 à 21:55:02  (site)

bonsoir Armand,
j'ai pouffé de rire quand j'ai lu le commentaire laissé chez moi, quel bon jeu de mot !
Vélazquez est né à Séville, très belle ville et meurt à Madrid, je l'apprends par ton bel article.
Merci.
Bonne fin de soirée.
Bisou

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