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           Edifié entre 1709 et 1712, ce petit ouvrage d'infanterie appelé "Redoute" était à l'origine constituée d'une tour carrée entourée d'un fossé et d'une galerie à feux de revers. Son objectif était double, surveiller la route de l'Italie et priver l'ennemi d'une position stratégique pouvant menacer la ville.

     En 1840 il fut transformé en fort d'artillerie avec la construction d'un fossé extérieur, de casemates et de bastions. Grâce au travail de rénovation du "Club du Vieux Manoir" le fort est dans un excellent état de conservation, c'est malheureusement le seul dans ce cas...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2009, 

          En parcourant les ruelles étroites de la vieille ville vous découvrirez également des éléments pittoresques de l'habitation domestique : porches, façades, frontons, etc.

     Briançon compte de nombreux monuments, parmi ceux-ci on peut notamment citer La Collégiale et ses tours jumelles (18ième), l'Eglise des Cordeliers et ses fresques (14/15ième), la Fontaine François 1er (16ième).

     Deux petites canalisations à ciel ouvert traversent la ville de haut en bas, la "Grande Gargouille" et la "Petite Gargouille", héritage du Moyen âge ces ouvrages permettaient de lutter contre les incendies. Elles ont donné à la ville haute son surnom de "Gargouille" et à ses habitants celui de "Gargouillards".

     C'est le long de ces deux "artères" que se concentrent les principaux commerces, hôtels, bars et restaurants de la vieille ville. Egalement appelée "Cité Vauban" ou "Gargouille", c'est un lieu de balade prisé par les visiteurs. Vous pourrez les découvrir au détour des ruelles et en effectuant le tour des remparts, vous profiterez de points de vue magnifiques sur les vallées environnantes...

Armand, Collection privée 2009, 

          La commune de Briançon s'organise autour de deux secteurs principaux qui sont le quartier de Sainte Catherine (ville basse) et la Ville fortifiée ou Cité Vauban (ville haute). Cette dernière est la ville historique édifiée au moyen âge et dont Vauban a imaginé les fortifications au début du 18ème siècle pour en faire une place forte.

     Construite sur une dénivelée importante, elle est entourée d'une enceinte fortifiée que domine le Fort du Château du haut de son piton rocheux. On pénètre dans la ville en haut, par la porte de Pignerol et la porte Dauphine, en bas par la porte D'Embrun.

     Dans un souci d'optimisation de l'espace, les habitations sont hautes et resserrées le long des ruelles qui parcourent la cité. Les maisons restaurées arborent des façades de couleurs vives qui redonnent à la ville sa physionomie colorée d'antan. Sur certaines d'entres elles, place d'Armes par exemple, on peut y admirer de superbes cadrans solaires, preuve s'il en est du climat exceptionnel qui a toujours régné dans la région...

Armand, Collection privée 2009, 

          Pendant la Seconde Guerre mondiale, le commandant et le second d'un sous-marin conjuguent leurs aptitudes respectives pour enchaîner les missions héroïques. Bientôt amis, ils ne savent pas encore qu'ils sont amoureux de la même femme.

     Après s'être illustré en sauvant des naufragés et en coulant un submersible ennemi au cours d'une même mission, le lieutenant Ward Stewart est promu commandant en second d'un sous-marin. Mais son prochain exploit va apporter une dimension particulière aux expéditions en mer.

     Requins d'acier est mis en production dans le contexte particulier de la Seconde Guerre mondiale, qui non seulement bouleversera le destin de tous les acteurs, mais aussi le tout Hollywood.

     Alors que l'Amérique est entrée de plain pied dans le conflit mondial, Requins d'acier va se voir boudé par les spectateurs et les critiques, blasés de ces fantaisies guerrières peu réalistes.

     Même avec Darryl F. Zanuck parti en guerre, la 20th Century Fox met tous les moyens de son côté (acteurs, scénaristes, technicolor) pour faire de Requin d'acier une production de qualité.

     Pionnier du cinéma, Archie Mayo s'est forgé tout au long de sa prolixe carrière la réputation d'un technicien de confiance et d'un brillant directeur d'acteur.

      Archie Mayo est né à peu de chose près avec le cinéma, le 29 janvier 1891 à New York. Après des études à l'université de Columbia, il devient journaliste, auteur de sketches et de chansons, et acteur de théâtre. En 1915, il rejoint la côte Ouest et travaille en tant que gagman et acteur de complément pour les courts métrages comiques de deux bobines produits à l'époque. Très vite, il écrit ses propres histoires et ne tarde pas à les mettre en scène pour Universal, Century Films, puis signe quelques-unes des fameuses Christy Comédies. En 1926, il réalise ses premiers longs métrages pour la MGM : Money Talks, Unknown Treasures, Christine of the Big Tops, Get Your Hair Cut. En contrat de 1927 à 1938 pour le studio des frères Warner, la carrière de réalisateur d'Archie Mayo s'apprête à prendre son envol. En 1928, State Street Sadie est son premier film comprenant des séquences parlantes. En 1930, il fait une exception en mettant en scène Vengeance pour le compte de la Columbia...

Armand, 

 
          The Searchers est un groupe de beat britannique. Il a connu son heure de gloire au début des années 1960, avec trois singles classés numéro 1 des ventes : Sweets for My Sweet, Needles and Pins et Don't Throw Your Love Away.

     Le groupe s'est formé en 1959 est a fait partie du mouvement Merseybeat, avec d'autres groupes comme The Fourmost, The Merseybeats, The Swingin' Blue Jeans et surtout The Beatles. Les principaux succès du groupe sont des reprises comme Sweets for My Sweet des Drifters, Needles and Pins et When You Walk in the Room de Jackie DeShannon et Love Potion numéro 9 des Clovers, mais ils ont aussi composé certains de leurs titres comme Sugar and Spice.

Armand, 

          23 kilomètres dans la boue (sous-bois et champs), des montées et des descentes raides et sous une pluie battante, de quoi se décourager. Le chemin traverse Lahitte-Toupière (292 m), Vidouze (253 m), Lucarré (269 m) et Momy (341 m) avant d'arriver à Anoye (245 m), par la rue St Jacques de Compostelle qui mène tout droit au Gîte communal.

A suivre... Armand,