J'ai accouché de ce travail dans la douleur. L'image est parfaite. Cette recherche m'a conduit à me poser la question qui anéantit ! Est-ce que cette voie est la mienne ?
Ecce homo est une expression latine signifiant « voici l'homme ». C'est l'expression utilisée par Ponce Pilate dans la traduction de la Vulgate de l'évangile de Jean lorsqu'il présente Jésus à la foule, battu et couronné d'épines.
Dans le quatrième de couverture de l'édition de ce texte publié chez Diffusion Rosicrucienne on peut y lire : "Saint Martin a écrit Ecce Homo pour montrer que l'homme, depuis la Chute, a perdu sa pureté originelle et se laisse séduire par de fausses doctrines qui tiennent davantage de l'imaginaire que de la vérité. Pour sortir de cette illusion et se régénérer spirituellement, il n'a pas d'autre solution que d'ouvrir son coeur à la Lumière divine qui luit au plus profond de lui".
Imaginaire contre Vérité, Lumière contre Ténèbres, Régénération et Profondeur voilà des outils qui constituent un véritable guide pour le Franc-Maçon et l'Alchimiste que je suis, Je me suis donc livrer sans retenue dans ce texte pour découvrir l'Homme que je pourrais être...
Les vingt première pages ont été d'une complète incompréhension, comme si je lisait un texte hors de ma dimension de cherchant, hors de mon temps. L'inconnu, pour se rassurer, c'est convaincu que son imaginaire venait de rencontrer une certaine vérité et qu'il fallait qu'il écarte les ténèbres pour voir la lumière, à moi de sortir de ma profondeur pour régénérer ma conscience. Ecce Homo, voilà l'Homme, l'Homme de désir ! Avais-je compris ? Un peu facile ! j'ai donc refermé le livre pour allez à la rencontre de se personnage et mieux comprendre ce texte.
Saint Martin composa ce texte en effet à l'attention de la duchesse de Bourbon, espérant ainsi la conduire à discerner la spiritualité d'avec la pratique du merveilleux. L'histoire ne nous dit pas s'il a réussi. Pour démontrer sa thèse, le Philosophe inconnu a divisé son ouvrage en neuf chapitres. Nombre qui représente la matière pour les Martinistes. Et il nous développe dans un autre ouvrage "Les Nombres", que l'homme s'est égaré en allant de quatre à neuf, c'est-à-dire en passant du monde spirituel au monde sensible.
Se fourvoyant dans le monde matériel, l'homme se trouva dégradé. Cette situation nous dit Saint Martin a eu pour effet d'occulter sa véritable nature. L'homme intérieur, aveuglé, est dorénavant le jouet de forces qui le maintiennent dans la servitude. Dans cette situation, il est incapable de distinguer les vrais prophètes de ceux qui lui promettent des paradis artificiels.
Nous voilà devant un constat que bien d'autre avant Saint Martin ont établi comme une filière qui se succède des néo-platoniciens, passant par Maître Eckhart, et finissant par Nietzsche au bord de la folie. Le Philosophe Inconnu invite donc l'homme à sortir du sommeil de l'illusion, à se régénérer en ouvrant son coeur à la seule Lumière qui puisse rallumer l'étincelle qui repose en lui. J'ai donc repris ma lecture avec courage et réserve, mais pas si éveillé que cela.
Dans le premier chapitre il semble aborder le médium et le principe en affirmant que le philosophe fait une erreur en confondant le médium avec le principe, l'organe de la manifestation avec la source de cette manifestation. Il écrit, je cite : "Un livre n'est-il pas un signe du plan qu'un homme a formé de rassembler ses pensées comme dans un même corps ? Un char n'est-il pas le signe du plan qu'un homme a formé de se faire transporter rapidement et sans fatigue ? Une maison n'est-elle pas le signe du plan qu'un homme a formé de se procurer une vie commode et à couvert des intempéries ?"
Si l'on considère que le principe est une notion de philosophie, une vérité générale et fondamentale. Et Même si ce principe a une portée plus large voire intemporelle comment souscrire à une telle vision manichéenne de l'homme de désir.
Saint Martin semble se référer à Euclide qui soutenait qu'un axiome était une affirmation qu'ils considéraient comme évidente et qui n'avait nul besoin de preuve. Ainsi ce principe devient, communément, une habitude (par principe) et donc un raisonnement servant de point de départ à sa pensée.
Il affirme : "que l'homme est le seul être qui soit envoyé pour être le témoin universel de l'universelle vérité, recueillons donc ces témoignages, ne le quittons point que nous ne l'ayons soigneusement questionné et que nous ne l'ayons ensuite confronté avec lui-même, afin de fixer les différentes clartés que nous pourrons recevoir de ses diverses dépositions".
En fait, Saint Martin considère que l'homme est le signe actif de l'axiome total et il faut entendre ce témoin universel de l'universelle vérité. Dieu et l'homme sont des êtres vrais qui peuvent se connaître dans la même vérité et dans le même amour. Le principe est antérieur au médium, mais ce dernier est relativement, c'est-à-dire temporellement, nécessaire...
Dans le deuxième chapitre, il définit la Pensée-Dieu et la pensée de Dieu par une interrogation : "Comment une pensée de Dieu pourrait-elle périr ! Si l'homme est une pensée du Dieu des êtres, nous ne pouvons nous lire que dans Dieu lui-même et nous comprendre que dans sa propre splendeur... Pourquoi l'homme est un être si obscur et un problème si compliqué aux yeux de la philosophie humaine".
Saint Martin affirme, ne tranchant pas négativement sur cette question, comme le fait l'imprudente philosophie dit-il. Ils sont encore moins mal à l'aise avec une vérité difficile et obscure, qu'ils ne le seraient avec une évidente absurdité, posant ainsi le sens de Ecce Homo qui va commencer à se découvrir.
Curieusement, nous retrouvons dans ce chapitre les bases du courant de pensée et de spiritualité créé au début du 20ième siècle par Rudolf Steiner. Une « science de l'esprit », une tentative d'étudier, d'éprouver et de décrire des phénomènes spirituels avec la même précision et clarté avec lesquelles la science étudie et décrit le monde physique.
Saint Martin considère que les premières dépositions de l'homme portent sur son origine divine, notre primitive existence et la dégradation librement commise. Pensée de Dieu, non pas pensée-Dieu, et encore en disharmonie, l'homme ne peut se lire que dans Dieu même et se comprendre que dans sa splendeur. Quoiqu'il ne soit plus ce qu'il était, il peut sentir ce qu'il devrait être. Les principes supérieurs de la sainte justice l' instruisent à la fois de sa faute et de la satisfaction requise...
Dans le troisième chapitre il analyse l'homme extérieur. Voila l'homme dit-il : "Ce titre aujourd'hui si insultant pour nous couvrir d'opprobre et d'humiliation, en décelant les fruits amers que le crime a semés en nous. Il nous faut jeter les yeux sur l'état des hommes ici-bas pour juger avec quelle étendue cette sévère justice s'accomplit. Quel est celui de nous, qui ne paye pas d'une manière ou d'une autre ce tribut d'humiliation ? Où est notre force ? Où est notre autorité ? Où est notre puissance ? Où est notre lumière ?"
Il semble que Saint Martin se réfère au Traité sur le mal de Saint Thomas d'Aquin pour qui le diable est un hérétique et la sorcellerie un crime d'hérésie. Depuis la nuit des temps les démons hantent l'esprit de l'homme et par la même celui de Saint Martin.
Il ouvre néanmoins une fenêtre : "Mon frère, c'est sur l'homme de mensonge que nous avons fondé le règne de la mort qui nous enveloppe de ses ténèbres. Nous aurions voulu autrefois passer aux yeux de toutes les régions pour le Dieu suprême. N'ayant pas pu y réussir, nous n'avons pas pour cela renoncé entièrement à notre entreprise". Le Profane peut-il être un Réparateur ?
Saint Martin préconise que l'erreur et le mensonge emploient journellement des moyens généraux et communs pour nous aveugler sur notre misère et pour nous bercer sans cesse d'une espérance toujours déçue, quant à l'homme extérieur et à sa marche visible. Témoins de l'opprobre et du mensonge, tous les hommes devraient l'être l'un pour l'autre, comme autant de leçons vivantes où la voix de leur commune détresse les remplirait à la fois d'une salutaire horreur d'eux-mêmes et d'un tendre intérêt pour la réhabilitation de tous les membres de cette grande famille ; mais, au contraire, ils prennent un soin perpétuel de cacher leurs défauts en tous genres. Le prêtre, le philosophe et l'orateur, le législateur et l'hypocrite substituent ainsi à l'aveu salutaire de l'humiliation, le tableau d'une gloire trompeuse...
Dans le quatrième chapitre il approfondit l'analyse par l'homme intérieur. Notre état primitif nous dit-il : "nous avait appelés à posséder des connaissances supérieures, à jouir visiblement du spectacle des faits de l'esprit, revêtus de toute la splendeur de sa lumière, et à avoir même autorité sur les divers habitants de toutes ces régions, cachées aujourd'hui pour nous par le voile épais des éléments".
Il nous précise plus loin que depuis notre chute, "les œuvres enfantées ou infectées par les ténèbres ont un but opposé, celui de persuader à l'homme qu'il jouit encore de tous ses droits et de lui dérober la vue de ce dénuement spirituel, qui est le véritable signe caractéristique auquel est attaché le nom d'Ecce Homo" et signe la première condition indispensable pour commencer notre réconciliation.
Saint Martin observe que par d'extraordinaires manifestations, l'ennemi persuade, selon des voies secrètes, à l'homme interne et spirituel qu'il jouit de tous ses droits. Le principe des ténèbres s'efforce de nous égarer dans l'extérieur, notamment au moyen de ces prodiges diversement étonnants...
Dans le cinquième chapitre il aborde les Puissances naturelles, les puissances de l'esprit et les puissances de Dieu à travers la recherche de notre centre interne.
Il nous indique : "que l'homme doit être le signe et le témoin de la divinité, il ne remplirait donc pas sa destination naturelle s'il n'était que le signe ou le témoin de l'esprit des anges, que le signe et le témoin des puissances de la nature soit célestes, soit terrestres, que le signe et le témoin de l'âme des morts ; bien plus, si après s'être annoncé comme étant le signe et le témoin de la lumière divine, il ne devenait, par ses démarches inconsidérées, que le signe et le témoin d'un homme ignorant, ou que le signe et le témoin des actions ténébreuses et corrompues".
La encore Saint Martin ne fait que reprendre les propos du philosophe, prêtre oratorien et théologien français, Nicolas Malebranche, considéré comme un cartésien qui dans ses œuvres a cherché à synthétiser la pensée de saint Augustin et Descartes. Malebranche est connu pour ses doctrines de la Vision des idées en Dieu qui lui permettaient de démontrer le rôle actif de Dieu dans chaque aspect du monde ainsi que l'entière dépendance de l'âme vis-à-vis de Dieu.
Pour Saint Martin, les régions ténébreuses portent des fruits qui les dénoncent, de même que des signes les trahissent et que s'ensuivent des déceptions significatives. L' Écriture sainte, où se révèlent l'origine et la destination de l'homme, loin de fonder ces duperies qui s'en réclament, les contredit. Les missions partielles ne sont pas à confondre avec les missions fausses, mais toujours le principe des ténèbres nous empêche d'accomplir notre loi...
Dans le sixième chapitre il fait référence aux fausses missions qu'il décrit en se servant des prophètes Jérémie, Isaïe et Joël. Il prêche le principe des ténèbres : "Profitant des faux pas que nous fait faire notre sensibilité mal éclairée, il nous conduit aisément ensuite dans toutes les autres voies extra-lignées qui lui sont familières ; c'est alors que sous des noms vénérable, devenus sacrés pour nous, il peut préparer, annoncer et opérer des évènements et des merveilles tellement combinées que selon les avertissements qui nous sont donnés, elles pourraient tromper les élus mêmes".
Il précise plus loin : "tandis que les vrais prophètes ont été peu loués par l'esprit qui les employait, et que le Réparateur n'a promis à ses apôtres que des outrages et des supplices".
Il conclut ce chapitre en affirmant : "Quant à celles de ces manifestations et de ces missions qui s'annoncent sous le nom du Réparateur lui-même, non seulement elle ne nous donnent point non plus le nom nouveau, mais elles prêtent à ce Réparateur un rôle et un langage auquel il est plus que probable qu'il ne se reconnaîtrait pas lui-même".
Pour Saint Martin, les missions fausses ne se gardent d'appliquer à des mouvements politiques les diverses prophéties historiques juives. L'attribution à des saints, à la vierge Marie ou au Réparateur lui-même, échoue à les valider mais sollicite à l'idolâtrie. Quelques traits disqualifient sûrement les fausses missions et les prophéties apocryphes.
Dans le septième chapitre il aborde le millénarisme par les écritures saintes en nous renvoyant aux ténèbres : "C'est un pouvoir funeste, mais malheureusement trop vrai, celui que possède le principe des ténèbres d'appuyer ainsi ses fausses doctrines et ses manifestations par les divers témoignages des Ecritures saintes. C'est par là, qu'il nous voile et nous déguise notre titre humiliant d'Ecce Homo, en nous disant que les miséricordes du Seigneur deviennent plus abondantes en nous. C'est par là qu'il augmente notre lenteur à travailler à notre œuvre personnelle et notre propre résurrection. C'est par là qu'il entretient notre orgueilleuse et ambitieuse cupidité de paraître et de briller par nos puissances".
En fait Saint Martin fait référence à cette pensée qui est présente dans certains courants du judaïsme, dans l'Apocalypse de Jean, dans les écrits des Pères apostoliques, reprise par Benoît de Nursie dans la fameuse règle de saint Benoît, et que l'on retrouve dans l'islam sunnite et chiite.
Il nous met en garde : "Le règne de mille ans rapporté dans l'Apocalypse, chapitre 20, est la base sur laquelle s'appuient tous ceux qui se confient à ces promesses. Ils auraient quelque apparence de raison d'après le texte, s'ils savaient s'arrêter au point juste où les limites sont posées dans ce même texte".
Le millénarisme est une doctrine religieuse qui soutient l'idée d'un règne terrestre du Messie, après que celui-ci aura chassé l'Antéchrist et préalablement au Jugement dernier. Depuis la fin du 19ième c'est la doctrine des communautés religieuses comme, par exemple, les Évangéliques, les Témoins de Jéhovah, l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours (les mormons), ou encore le mouvement rastafari.
Pour Saint Martin, le principe des ténèbres possède le pouvoir funeste d'appuyer ses fausses doctrines et ses manifestations par les divers témoignages de l'Écriture sainte, contre l'évidence. Il favorise ainsi la paresse intérieure et corrompt la saine doctrine millénariste. La pseudo prophétie d'une rénovation imminente n'est donc qu'une astuce.
Dans le huitième chapitre il nous met en garde contre les Joies passagères et les ministres trompeur et pour cela il revient sur les fausses missions abordées dans le 6ième chapitre : "Il peuvent aussi être dangereux pour ceux qui ne s'en tiennent pas à cette sage mesure" j'ai cru nous dit-il : "de mon devoir de prémunir contre les séduisantes merveilles que ces agents annoncent et de montrer combien il faut se défier de leurs inspirations".
Il poursuit sa Presbytérologie par : "Je crois donc donner un avertissement salutaire à mes frères sur ces objets en leur disant : Homme, mes amis, défiez-vous de ces joies et de ces transports que vous occasionnent les missions de ces frères favorisés, et sur lesquels vous vous appuyez avec tant de délices. J'ose vous le répéter, tenez-vous dans une prudente réserve au milieu des prodiges et des prédicateurs qui vous environnent ; souvenez-vous de ce que le Seigneur disait par la bouche de Jérémie. Prenez donc garde que dès le moment où vous sentirez cette disette, vous ne retourniez bien vite vers vos faux dieux, et que vous ne disiez comme autrefois le peuple juif disait à Jérémie. C'est-à-dire qu'ils ont attaqué la vérité jusque dans son sanctuaire, qui est la pensée de l'homme et le véritable dépôt dont ils doivent répondre".
Pour Saint Martin, afin d'obtenir quelques clartés et de faire quelques pas dans sa régénération, l'homme payera, et ce prix est élevé, car l'Ecce homo doit être inscrit, pour la justice, dans toutes les régions de l'univers. Les prêtres, ou soi-disant tels, ont attaqué la vérité au sein de la pensée de l'homme, et l'on s'en méfiera donc.
Dans le neuvième chapitre il nous dévoile le seul agent à suivre et pour cela il se réfère à la christologie, discipline de la théologie dogmatique chrétienne qui étudie la personne, la doctrine et l’œuvre de Jésus-Christ. Ce postulat traite plus particulièrement de la nature de Jésus et de son rapport à Dieu : Jésus est-il le fils de Dieu, le fils adoptif, un être purement humain ou purement divin ?
Ces convictions le porte sur les traces du Corinthien, l'apôtre Paul quand il affirme : "Loin de vous conduire par les voies du despotisme et de la tyrannie, ils vous diront que nous avons tous un agneau pour maître, et que ce ne sera que quand nous nous serons rendus des agneaux comme lui qu'il nous reconnaîtra pour ses disciples et pour ses frères".
Il précise plus loin : "Voilà pourquoi l'apparition de Moïse et d'Elie sur le Thabor est d'une si grande importance et ajoute si fort à la juste condamnation des Juifs". Il est étonnant de constater que Saint Martin fait référence à Moïse, alors que les Juifs savent depuis longtemps que ce Prophète n'est qu'une construction intellectuelle et qu'il n'a jamais existé ?
Il conclut son chapitre en énonçant : "Le Titre d'Ecce Homo a achevé complètement son œuvre en nous faisant voir si nous suivons ses traces et les sentiers qu'il nous a ouverts, nous devons être sûrs de remonter un jour vers les régions de la Lumière. On dira alors voilà l'homme, voilà l'image et la ressemblance de notre Dieu, voilà le signe et le témoin du principe éternel des êtres, voilà la manifestation de l'universel axiome".
Pour Saint Martin parmi les ministres de notre Dieu, des hommes suivent encore la trace des vrais prophètes ; on les reconnaît à leur humilité et il faut s'attacher à eux. Le Réparateur a rempli son rôle dans cette région et dans l'autre et il suffit de s'instruire auprès de lui, qui récapitule l'histoire universelle de l'homme. Après nous avoir montré, en effet, dans sa personne l'exécution de l'arrêt rigoureux qui nous condamnait a porter ignominieusement, mais humblement, le titre d'Ecce homo, il nous montre que sa voie nous ramène aux régions de la lumière, où, à notre arrivée, l'on dira de nous, glorieusement comme à notre origine : Ecce homo, voilà la manifestation vivante de l'universel axiome.
Et nous voilà donc au début de notre parcours avec un raisonnement servant de point de départ à sa pensée (Euclide). Dans "Les Nombres", il prétend que l'homme s'est égaré en allant de quatre à neuf, moi je me suis perdu dans les méandres du Un et il m'a fallut attendre le NEUF pour retrouver le panneau indicateur, mais je ne suis pas séduit par le chemin qu'il propose ?...
Jakin,
Commentaires
1. anaflore le 22-01-2016 à 07:57:01 (site)
il fait peur !!!!des yeux de fou lol bon vendredi
2. MarioMusique le 22-01-2016 à 21:34:05 (site)
Avec les trois premiers disques (en moins de deux ans!) Numan avait une approche rock des synthés, contrairement aux autres formations de la vague. Quand cet aspect est disparu, tout le monde s'est rendu compte que ce gars avait une très mauvaise voix...
3. Mr-He le 23-01-2016 à 00:48:35 (site)
Bonjour Armand
Je te souhaite un très bon samedi
Nos amitiés bises
Qing&René