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          Le Parc National Kruger est l’un des parcs les plus célèbres, les plus anciens et les plus étendus au monde. C’est une occasion exceptionnelle d’observer la flore mais aussi des centaines de variétés d’oiseaux, de reptiles et de mammifères. Cadre sauvage intact et pistes en parfait état garantissent le confort. Il ne reste plus qu’à rouler doucement et à être attentif aux bruissements des feuilles. Des réserves privées sont situées à l'ouest du Kruger et d'autres sont isolées du parc, au milieu des champs et cultures traditionnelles...

Armand, Collection privée 2006, 

          Près du parc national Kruger, Hazyview est une petite localité qui s'est développée essentiellement autour du tourisme. Située dans un environnement naturel enchanteur, elle compte de très nombreux hôtels. L'attraction principale reste la visite en 4x4 du célèbre parc Kruger, une des plus belles réserves privées au monde, qui couvre une superficie de deux fois et demi la Corse. Les pistes y sont en parfait état, et on peut admirer une flore sauvage surprenante, et des centaines d'espèces animales : oiseaux, reptiles, et mammifères dont de superbes éléphants. On y rencontre aussi des villages Shanga... 

Armand, Collection privée 2006, 

          Ce tout petit royaume souvent appelé la Suisse de l'Afrique offre une surprenante variété des paysages, allant des forêts tropicales humides du nord-ouest à la savane herbeuse dans l'est. L'ouest du pays est constitué de petites montagnes escarpées aux vastes plantations d'eucalyptus et de pins, l'est en revanche accueille les plantations de canne à sucre, alors que le centre, moins élevé est la région la plus peuplée du pays.

     Il faut également vous arrêter dans un village Swazi afin de rencontrer la population locale Visite d'un marché Swazi, idéal pour découvrir les sculptures en bois (girafes, hippopotames, masques…), les tissages et la vannerie swazi...

Armand, Collection privée 2006, 

          Dans l’espoir de gagner 200 dollars, Dan Evans, un fermier sans ressources, a accepté d’escorter Ben Wade jusqu’au train de 3h 10 qui conduira ce redoutable hors-la-loi à la prison de Yuma.

     Avec 3h 10 pour Yuma, le perfectionniste Delmer Daves, aidé par une équipe soudée et un duo de comédiens d’exception, parvient à réaliser un vrai tour de force, en injectant dans le western une forte dose de thriller.

     Quand 3h 10 pour Yuma est mis en chantier, le film est confié à des spécialistes du genre, au premier rang desquels l’acteur Glenn Ford.

     Pour ses qualités formelles autant que pour le brio de ses interprètes, 3h 10 pour Yuma, assez bien accueilli par la critique de l’époque, est aujourd’hui tenu pour un chef d’œuvre du genre.

     Passionné par la comédie et la navigation, Van Heflin étonne encore aujourd’hui par l’intensité de son jeu et la clairvoyance de ses choix.

Né le 13 décembre 1910, à Walters (Oklahoma), Van Heflin exprime très tôt un goût pour l’indépendance et la solitude, que confortera encore le divorce de ses parents. Installé en Californie, le jeune homme se découvre une passion pour la voile et s’engage à bord d’un navire après le lycée. Il ne remet pied à terre que pour se lancer, sans succès, dans des études de droit. Attiré par le théâtre depuis son plus jeune âge, il se produit pour la première fois à Broadway à la fin des années 1920, dans Mister Money-Penny de Channing Pollock. Mais la pièce se solde par un échec et il décide de renoncer pour se consacrer pleinement à la navigation. Trois ans plus tard, après avoir sillonné les mers, Heflin tente une nouvelle fois sa chance sur les planches. Sa bonne étoile lui sourit enfin. Katharine Hepburn le remarque et l’impose au générique de La Rebelle (1936), dont elle tient la vedette. Après quelques films de prestige (La Piste de Santa Fe), il obtient la reconnaissance de ses pairs qui lui décernent, en 1943, l’oscar du Meilleur second rôle pour sa prestation d’intellectuel alcoolique ami de Robert Taylor dans Johnny, roi des gangsters…

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.

Armand,

          J. B. Lenoir n’a pas eu de mots assez durs pour condamner la politique yankee : aussi bien les options économiques d’Eisenhower que l’engagement des troupes US en Corée puis au Viêt-Nam. Mais l’artiste engagé a été aussi un excellent guitariste et chanteur. En combinant le blues de Chicago et le swing des Big Bands de Kansas City, il est devenu un très grand créateur de blues moderne.

     J. B. Lenoir a été l’un des tout premiers musiciens de blues à se sentir concerné par les évènements politiques de son siècle. Son « Eisenhower Blues », qu’il devait enregistrer en 1954, allait être censuré par la Maison Blanche, de crainte qu’il ne suscite de vives réactions au sein de la communauté noire.

     J. B. Lenoir adoptera la formule orchestrale instaurée par Muddy Waters. Mais il remplacera l’harmonica par une section d’instruments à anche. Influence du swing de Kansas City !

     Homme engagé et superbe musicien de blues, J. B. Lenoir s’est encore révélé un remarquable showman. Son jeu de scène et cette voix haut perchée, qui enthousiasmait le public féminin, allaient influencer bien d’autres artistes.

     Le swing de Count Basie, avec le blues shauter Jimmy Rushing et le rhythm’n blues « originel » de Lionel Hampton – deux chefs d’orchestre qui appartenaient l’un et l’autre au monde du jazz – devaient influencer le blues moderne de J. B. Lenoir, un musicien pourtant originaire du Mississipi !

♥      Wow Wow (1951)

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Blues», Editions Atlas, 1992.

Armand,