http://jakin.vefblog.net/

  VEF Blog

Les Black's Foot

le 09-09-2011 02:45

WYNTON KELLY

 

 

 

            Wynton Kelly, qui avait beaucoup appris de Bud Powell, montrera ses grandes qualités d’accompagnateur dans les orchestres de Dinah Washington, Dizzy Gillespie et Miles Davis. Dans le combo du trompettiste, précisément, il fera la connaissance de Paul Chambers et de Jimmy Cobb. Avec lesquels il formera l’un des trios les plus spectaculaires de l’histoire du jazz moderne.

        Wynton Kelly devait s’initier à la musique à New York, et plus précisément à Brooklyn, où ses parents originaires des Indes Occidentales anglaises, allaient s’installer en 1935. Pianiste surdoué, il allait commencer sa carrière dans des orchestres de rhythm and blues, avant de jouer avec de grandes stars du jazz.

        Dans la formation de la chanteuse de blues Dinah Washington, Wynton Kelly apparaîtra, dès le début des années cinquante, comme un fort brillant accompagnateur.
 


        Après l’orchestre de Gillespie, Wynton Kelly entrera dans celui de Miles Davis. Ce sera pour le pianiste synonyme de consécration. Et il rencontrera Chambers et Cobb.

        Dans le combo de Miles Davis, Paul Chambers et Jimmy Cobb formeront un section rythmique remarquable avec Wynton Kelly. Trio qui accompagnera Wes Montgomery, Art Pepper, Cecil Payne et Clark Terry. Et qui fera les belles nuits du Half Note !
 


        Wynton Kelly s’éteindra à l’âge de quarante ans, d’une crise d’épilepsie à Toronto, Canada, le 12 avril 1971. Non sans avoir créé un style de piano jazz qui allait influencer des virtuoses comme Vic Feldman, Herbie Hancock et McCay Tyner.

 

♥     If you Could See Me Now (1965)

 

 

 
♥♥     Old Folks (1965)
 
 
♥♥♥     Milestones (1965)
 
 

 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991


Armand,

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. cactus27  le 09-09-2011 à 07:25:23  (site)

Bonjour, la semaine se termine comme elle a commencé : sous la pluie. J'espère quand même que nous aurons un peu de soleil pour le weekend.
passeune bonne journée, A+

2. lafianceedusoleil  le 09-09-2011 à 15:10:45  (site)

bonsoir Armand,
bizarre Armand, je n'ai pas le son. Je vais repasser en fin de soirée.
Nous allons à un vernissage de peinture en face de chez nous. La rue à traverser et 50 m à faire.
Très bonne soirée.
Je t'embrasse

3. lafianceedusoleil  le 09-09-2011 à 16:01:50  (site)

kikou Armand,
je viens de trouver d'où vient l'anomalie, j'avais laissé mon écouteur (que je ne mets jamais) branché. Evidemment, le son ne passait pas.
je vais repasser.
kiss

édité le 09-09-2011 à 18:02:09

4. lafianceedusoleil  le 09-09-2011 à 20:44:53  (site)

guitrock

smiley_id117076
Beaux morceaux
Kiss

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 08-09-2011 02:52

BOTTICELLI, L'ADORATEUR DE LA BEAUTÉ

 

 

 


 

            Florence, 28 janvier 1475. La ville en liesse fête l’alliance entre Florence, Milan et Venise. A cette occasion, Julien de Médicis, frère de Laurent le Magnifique, dédie un tournoi à sa bien-aimée, la belle Simonetta Vespucci.

        Sur la place Santa Croce, décorée par de nombreux peintres, tous les poètes florentins viennent chanter les louanges des Médicis. Sur la grande estrade chargée de fleurs et de fruits, trône la belle Simonetta, dévorée des yeux par tous les spectateurs, de Laurent de Médicis, qui rêve d’aller sur les brisées de son frère, au jeune peintre Botticelli, qui s’inspirera souvent d’elle dans ses toiles.

        Avant de monter à cheval, Julien saisit une somptueuse bannière où son ami Botticelli a dessiné une Minerve, la farouche déesse de la Pensée, des Arts et des Sciences, si chère aux Médicis. Il lui a donné les traits de Simonetta, et a inscrit sur la bannière ces mots en français : « la sans pareille ». La joute, dont Julien sort vainqueur, restera fameuse dans l’histoire de la Renaissance, époque douce et cruelle, où les peintres et les princes sont frères mais où coulent aussi le sang et le poison. Botticelli, ému aux larmes de voir flotter son étendard, ne sait pas que bientôt Simonetta mourra mystérieusement, que Julien sera assassiné et que lui-même devra peindre les corps des assassins, pendu aux murs de la Seigneurie…

        Fils de Tanneur, il devient favori des princes de Florence - Une âpre lutte pour évincer ses rivaux – Une mystérieuse maladie emporte son modèle préféré, à 23 ans - Il peint les corps pendus des conjurés – Déchiré entre les Médicis et Savonarole – A 56 ans, il abandonne la peinture par peur de l’enfer…
 

 


LA FEMME ABANDONNEE

        De multiples interprétations tentent d’éclaircir le sens de cette œuvre énigmatique. Cette femme désespérée est-elle, selon le récit de la Bible, Tamar chassée par son demi frère Ammon, ou bien, suivant l’histoire romaine, Lucrèce violée par Tarquin ? Mais certains voient en elle une prisonnière chrétienne attendant que s’ouvre la porte du cirque où rugissent les lions. Enfin, on en fait aussi le symbole de la Vérité bafouée, comme dans la Calomnie, peint à la même époque. Quelle qu’ait été l’intention de l’artiste, la froide architecture, sans ornements, la perspective close par une porte de fer, les vêtements éparpillés suggèrent toute l’horreur d’une solitude absolue et un drame sans issue.
1495 (47 x 41 cm), collection Rospiglioni, Rome.

        Alessandro Filipepi, qui sera plus tard surnommé Sandro Botticelli, naît dans le quartier Borgo Ognissanti, à Florence, en Toscane à une date située entre le 1er mars 1444 et le 1er mars 1445. Cadet de quatre frères, il grandit dans une famille modeste mais non pauvre, grâce au père, Mariano Filipepi, tanneur qui a son atelier dans le quartier voisin de Santo Spirito. Botticelli est un surnom, venant du mot « botticello » qui signifie « petit tonneau »; le surnom vraisemblablement donné à son frère aîné Giovanni, passa rapidement au cadet.

        Il meurt en 1510 dans la maison de la Via della Porcellenna où il a travaillé toute sa vie.


Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.

 

Armand, 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 08-09-2011 à 12:35:28

coucou avec la pluie pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

2. anaflore  le 08-09-2011 à 13:43:33  (site)

coucou je connais pas florence ça donne envie bonne journée

3. lafianceedusoleil  le 08-09-2011 à 19:25:01  (site)

Bonsoir Armand,
très bel article sur ce fameux peintre.
Je ne suis trop surprise que tu aies vu ce genre de camions dans le grand nord canadien. Ce sont des camions de longue route. Je suis toujours en extase devant un camion américain. J'adore.
Je te souhaite ue belle fin de journée. Je t'embrasse
Crcri

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 07-09-2011 02:57

B COMME BEYROUTH - LIBAN

 

 

            Ivresse du mouvement. Gorgée de soleil, Beyrouth est une ville débordante de vie. De la corniche de mer aux rues grouillantes de monde, l’effervescence est permanente. Mais Beyrouth est aussi une place financière et un centre d’affaires de première importance, point de rencontre des hommes d’affaires de la région.

 

        Eloge de la diversité. Creuset d’un mélange de cultures hors du commun, Beyrouth abrite une incroyable diversité de langues, de nationalités et de religions. Autant de singularités qui se manifestent dans les rues : églises et mosquées sont voisines, les fumeurs de narguilé de la corniche de mer et les paisibles pêcheurs côtoient les adeptes frénétiques du jogging ou du VTT dans cet immense ensemble où cohabitent le plus grand panel de modes de vie qui se puisse concevoir...

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2005, 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 07-09-2011 à 11:50:43  (site)

Mon petit coucou pour te souhaiter un très bon mercredi chez nous soleil mais on sent que l'automne approche de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 07-09-2011 à 19:24:41  (site)

Bonsoir Armand,
Beyrouth me parait une ville moderne. Jolies photos qui donnent un bon aperçue. Merci.
Très bonne soirée Jakin et gros bisou

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 06-09-2011 08:50

ROSALIE




             Gwen est un « jeune homme de compagnie » qui sait exploiter son physique séduisant et ses bonnes manières pour agrémenter la vie des dames mûres, esseulées et argentées qui errent sur la Côte d’Azur. Il passe ainsi un pacte d’amour avec Rosalie, une sémillante sexagénaire, qui va les entraîner dans les jeux érotiques les plus fous...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 06-09-2011 à 12:56:28  (site)

petit coucou pour te souhaiter un très bon après-midi chez nous soleil mais beaucoup de vent de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 06-09-2011 à 20:29:08  (site)

bonsoir Jakin,
je n'ai même plus besoin de te laisser un commentaire, tu devines ce que je vais mettre.
Tu es devin Jakin !
très belle fin de soirée et gros bisou

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 05-09-2011 08:29

D COMME DEIR EL KAMAR - LIBAN

 

 

            Située dans le Chouf, Deir El Kamar est l'une des villes les mieux préservées du Liban. La richesse de l'architecture traditionnelle que l'on retrouve dans les nombreux monuments et palais de la région font de celle-ci un haut lieu du patrimoine national.

 

        Durant la période de la domination Ottomane, peu de temps après que l'Emir Fakhreddine II ne soit arrivé au pouvoir en 1590, une pénurie d'eau à Baakline l'amena à transférer sa capitale vers Deir El Kamar.

 

        Ainsi qu'on peut le découvrir au fil des promenades au coeur de ses collines, le Chouf recèle une flore variée et de superbes panoramas. Aujourd'hui, les habitants de Deir el Kamar sont déterminés à préserver l'architecture de leur ville qui date des temps féodaux, mais également ses rues pavées, ses cours intérieures et ses charmantes impasses séculaires.

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2005, 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 05-09-2011 à 12:16:41

coucou passe un très bon lundi pour moi c'est retour sur le chemin de l'école!!! de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 05-09-2011 à 19:39:20  (site)

kikou Jakin,
très bel article !
souhaite que tu te portes bien.
Très bonne fin de soirée à toi.
Je t'embrasse

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 04-09-2011 06:32

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

 

 


Irun, Défilé de la "San Marcial"

 

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lafianceedusoleil  le 04-09-2011 à 10:06:47  (site)

salut Jakin,
woaw, ils se ressemblent tous !
bon dimanche et bon repos.
Bisou

2. heremoana  le 04-09-2011 à 19:25:36  (site)

hum !!! le béret rouge ..... une institution !!!
bisous et bon début de semaine
bisous

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 03-09-2011 06:22

LE SOLITAIRE DE FORT HUMBOLDT

 

 

 



 

        1873. Un gouverneur cynique, quelques notables, un Marshall et son prisonnier, voyagent en train à destination de Fort Humboldt où sévit une épidémie de diphtérie. Un tueur mystérieux frappe. Qui survivra ?

    Le Solitaire de Fort Humboldt est une exception dans la carrière de son auteur Alistair MacLean. Spécialiste d’un autre genre, il a tenu à adapter lui-même son roman à l’écran, modelant son héros sur mesure pour Charles Bronson.

    Après avoir imposé Tom Gries à la réalisation, Charles Bronson recommande Lucien Ballard à la photographie pour un film qui marque les retrouvailles du tandem Bronsson-Ireland.

    Le caractère classique du film de Tom Gries lui vaut d’être accueilli favorablement par la grande presse.

    Avec son visage taillé à la serpe et son physique de dur, Charles Bronson a su imposer son style unique sur les écrans du monde entier.

    Contrairement à ce que son physique et nombre de ses premiers rôles pourraient laisser penser, Charles Bronson n’est pas d’origine indienne, mais lithuanienne. Il nait en Pennsylvanie en 1921. Onzième enfant d’une famille de 14, il doit, dès l’âge de 16 ans, descendre dans la mine de charbon où travaille son père. Il y restera quatre années durant, une expérience qu’il n’oubliera jamais. Durant la guerre, il sert dans le Pacifique, à bord d’un bombardier. Démobilisé, il étudie la comédie en Californie et, sous sa véritable identité (Charles Buchinsky), débute à l’écran en 1961, auprès de Gary Cooper, dans La Marine est dans le lac, de Henry Hathaway. Ses premiers rôles se limitent souvent à une apparition non créditée au générique au sein de films signés John Sturges, George Cuckor ou Hugo Fregonese. A partir de 1964, il se voit confier des rôles plus importants dans L’Homme au masque de cire, d’André De Toth et dans quelques westerns, genre où son visage taillé à la serpe fait merveille : Le Cavalier traqué, d’André De Thot, Bronco Apache et Vera Cruz, deux films de Robert Aldrich…
 

 


Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.

 

Armand, 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lafianceedusoleil  le 03-09-2011 à 09:56:53  (site)

bonjour Armand,
très intéressante la biographie de Charles Bronson. Merci.
Je te souhaite un bon week end ensoleillé.
Kiss

2. lolo78000  le 03-09-2011 à 12:50:35  (site)

petite visite pour te souhaiter un très bon samedi chez nous encore avec le soleil et la chaleur de gros bizzzous

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Merci de m'écrire un petit mot sur cet article, éventuellement une critique constructive...
Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article
 
 

LES BLACK'S FOOT VOUS REMERCIENT POUR VOTRE VISITE......