http://jakin.vefblog.net/

  VEF Blog

Les Black's Foot

le 12-07-2011 06:15

BAISERS SALES

 

 XXX...

 

            Voici la confession d’une jeune femme moderne assoiffée d’hommes et de sexe, toujours en quête de plaisirs, de sensations nouvelles. Son appétit voluptueux va la conduire des somptueux bateaux du port de Saint Tropez aux quai mal famés de Gennevilliers, des soirées très spéciales des villas de la Côte d’Azur aux cérémonies secrètes de certains appartements parisiens, des rues chaudes des Halles aux palais vénitiens. Mais qui est Sarah, cette amazone rousse à l’humour ravageur et à la curiosité perverse ?

 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 12-07-2011 à 12:08:24

petit coucou pour te souhaiter un très bon mardi de gros bizzzous

2. heremoana  le 12-07-2011 à 19:28:32

si je viens de le découvrir, apparemment tu suis l'info !!!! lollll !!!
bon, cela fait plaisir effectivement
bisous et bonne soirée

3. lafianceedusoleil  le 12-07-2011 à 19:46:29  (site)

bonsoir Armand,
j'espère que tu t'es exercé à danser la tamouré !!!
Cette Sarah, quelle femme, je souhaite que tu ne l'as pas croisé sur le chemin.
Je te souhaite une belle soirée.
Bisou

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 11-07-2011 08:04

P COMME PANAMA - PANAMA

 

 

            Ecrin de verdure à la faune et à la flore abondantes, pont terrestre entre les deux Amériques et pont maritime entre les deux océans, le Panama semble incontournable, mais il est pourtant encore méconnu.


    Découvrez cet étonnant pays : le fameux canal de Panama, bien sûr, cet ouvrage d'art unique au monde ; mais aussi les secrets de la vibrante capitale de l'isthme, véritable carrefour ethnique ; le pays des Kunas, avec leur fascinantes traditions ; les hautes terres de l'Ouest, refuge du quetzal ; la côte Caraïbe et ses tortues marines ; sans oublier les nombreux sites historiques inscrits sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO, et bien plus encore !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2004, 
 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 11-07-2011 à 07:08:56  (site)

coucou je te souhaite un très bon lundi et une bonne semaine de gros bizzzous

2. heremoana  le 11-07-2011 à 18:11:07

très belles photos !! un régal pour les yeux !
bisous et bonne soirée

3. lafianceedusoleil  le 11-07-2011 à 20:02:42  (site)

bonsoir Armand,
j'adore la photo avec l'homme sur le banc, superbe photo.
Très bonne soirée.
Ce soir, j'ai envie de vous faire danser le tamouré.
Allez, on remue des hanches !
dur, dur, je n'y suis jamais arrivée.
Douce nuit et gros bisou

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 10-07-2011 08:21

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

   

 

 


 

Le Trésor des Rois Mages, Naples, vers 1750.

 


 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lafianceedusoleil  le 10-07-2011 à 09:06:52  (site)

kikou Jakin,
Passe un superbe dimanche.
Ici, toujours la fraicheur et la grisaille,, heureusement, le soleil est en mon coeur;
Gros bisou

2. heremoana  le 10-07-2011 à 19:57:47

bon dimanche et bon repos à toi bisous et bonne soirée

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 09-07-2011 09:02

BRONCO APACHE

 

 

 

 

            Après des années de lutte, Geronimo s’est rendu, entachant ainsi la légendaire fierté de son peuple. Dernier guerrier apache, Massai refuse la fatalité et est décidé à se battre pour défendre l’honneur des siens.

    Pour Bronco Apache, Burt Lancaster, également producteur, engage Robert Aldrich, un réalisateur à l’orée d’une brillante carrière. Conjuguant leurs talents, les deux hommes livrent un western anticonformiste sous la forme d’un violent réquisitoire contre la condition des Indiens en Amérique.

    Bronco Apache marque la première collaboration entre Lancaster et Aldrich. Leurs relations, complexes, mêlent respect et défiance.

    Boudé par la critique, acclamé par les cinéphiles, Bronco Apache étonne encore par son courage politique.

    Robert Aldrich est un réalisateur hors normes qui se tailla une place de choix en marge des grands studios américains.

    Né en 1918, Robert Aldrich entre en 1941 à la RKO et gravit différents échelons de la profession avant de devenir premier assistant réalisateur. Choisissant l’indépendance, il quitte la RKO en 1944 et se fait engager par Jean Renoir sur l’Homme du sud. Bientôt, sa réputation est telle que tous les cinéastes se l’arrachent, de Chaplin à Losey, en passant par Richard Fleischer, Robert Rossen et John Berry. Fin 1951, il écrit un scénario pour son premier film intitulé The Gamma People, avec son ami John Garfield, qui se suicide trois mois plus tard. Le script sera adapté en 1956 par John Gilling. Aldrich tente sa chance avec un nouveau média : la télévision. Il réalise divers épisodes de séries, rencontrant ses futurs comédiens fétiches, comme Charles Buchinsky (Bronson) et Lee Marvin. Devenu un technicien confirmé, il revient au cinéma avec Big Leager en 1953, et tourne Alerte à Singapour en 1954, qu’il produit également. Cette série B, adaptation pour le cinéma des aventures du héros de la série télé China Smith, attire les producteurs…

 

 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.

 

Armand, 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lafianceedusoleil  le 09-07-2011 à 08:59:28  (site)

Hello Armand,
très bon western, j'adore.
Ici, le temps n'est pas folichon. On se croirait en automne, les feuilles commencent à tomber.
Je te souhaite un bon samedi de détente. Je pense que le soleil brille de tous ses feux, à Aix.
Bisou

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 08-07-2011 07:58

MILES DAVIS

 

 

 

            Membre du quintette de Parker alors qu’il n’a pas vingt ans, musicien aux origines du cool jazz et du hard bop, trompettiste qui a enrichi le jazz de l’électronique et du rock : Miles Davis est le seul artiste qui ait dominé de façon aussi incontestable la scène négro américaine. Aidé dans son aventure par des surdoués tels que Coltrane, Bill Evans, Wayne Shorter. Et bien sûr l’arrangeur Gil Evans !

    Lors des sessions pour Capitol, qui donneront bientôt naissance au cool Jazz, Miles Davis sera entouré de très grands instrumentistes désireux à tout prix de créer un univers sonore nouveau, comme Gerry Mulligan et Lee Konitz.

    « Je ne joue pas pour les Blancs, vieux. Je veux entendre un Noir dire : « J’aime Miles Davis », »
 


    Si Louis Armstrong avant lui et Wynton Marsalis après lui ont employé la sourdine, c’est bien Miles Davis, notamment dans son quintette avec John Coltrane, qui devait en faire un art véritable. Pour rendre plus pathétique, plus intimiste encore une musique nommée jazz.

    Dès la fin des années quarante, Miles Davis aura la chance de jouer avec son idole, Charlie Parker, le fondateur de l’esthétique bop. Même si le trompettiste s’éloignera bien vite des schémas bop, trop expressionnistes selon ses goûts, le quintette de Bird n’en apparaîtra pas moins, à ses yeux, comme une initiation indispensable.

    CBS, chez qui signe Miles Davis au milieu des années cinquante, permettra au trompettiste d’enregistrer avec un grand orchestre, dirigé par Gil Evans. « Miles Ahead » sera un succès, non seulement pour Miles Davis, mais aussi pour Gil Evans, lequel, grâce à cet album, sera reconnu comme le plus grand arrangeur de l’après guerre.

    Tous les saxophonistes ténors qui ont participé tout à tour à la grande aventure de Miles Davis depuis le début des années cinquante se sont révélés d’excellents instrumentistes. De Sonny Stitt à Wayne Shorter, sans oublier naturellement Sony Rollins et John Coltrane, tous, avec ou sans Miles, ont écrit quelques chapitres triomphants de l’histoire du jazz.

    Peut-être parce que les critiques hexagonaux se sont montrés plus compréhensifs à l’égard de la musique du trompettiste que leurs homologues américains, Miles Davis a toujours entretenu d’excellents rapports avec le public français.
 


    Le 28 septembre 1991, il meurt à l'âge de 65 ans à l'hôpital St John de Santa Monica près de Los Angeles où il était entré pour un bilan médical complet suite à toutes sortes d'ennuis de santé. Dans un entrefilet du New Musical Express, on peut lire : « Miles Davis... est en train de mener un combat perdu contre le sida dans un hôpital californien». L'information concernant la nature de son mal n'a cependant jamais été confirmée. Il est enterré au cimetière de Woodlawn de New York…

 

♥     Ray's idea (1954)

 

 
♥♥     Tune up (1954)
 
 
♥♥♥     Well you needn't (1954)
 
 

 

 

Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991.


Armand,

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 08-07-2011 à 11:13:18  (site)

petit coucou de ma campagne pour te souhaiter un très bon vendredi de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 08-07-2011 à 20:15:39  (site)

bonsoir Armand,
excellent artiste ce Miles Davis, j'aime bien.
Cet après-midi, je suis allée voir une exposition sur la peinture et les artistes inpressionnistes à l'Hôtel de Ville. Ca m'a bien plu.
Douce nuit Armand et gros bisou

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 07-07-2011 06:35

MICHEL ANGE, LE COLOSSE

 

 

 

 

            Rome, 1563. Michel-Ange, hallucinant vieillard, dirige seul, et d’une main de fer, le plus grand chantier de la chrétienté : la basilique Saint Pierre de Rome. Mais un nouveau coup vient frapper cet homme de quatre-vingt huit ans, qui a lutté toute sa vie : son aide le plus proche est accusé de vol, le chef de ses ouvriers est poignardé, et, pour parfaire le tout, un de ses plus grands ennemis, Biagio, est nommé directeur des travaux !…

    Cassé en deux par le poids des ans, Michel-Ange va porter sa démission au pape, qui la refuse. Poussant alors son avantage, le peintre parvient à persuader Pie IV d’ouvrir une enquête : quelques semaines plus tard, sa victoire est complète et l’infâme Biagio, confondu, est banni !

    Depuis la première lutte menée par l’enfant de douze ans pour que son père le laisse entrer dans un atelier de peinture, jusqu’à cet ultime combat, Michel-Ange n’aura cessé de ferrailler et de créer. Et si l’art tout entier, entre sa naissance et sa mort, a changé de visage, c’est qu’il a réussi à lui donner le sien, à force de souffrance, d’orgueil et de génie…

    Faussaire à 13 ans, il trompe ses maîtres par la perfection de ses copies - A 16 ans, le nez cassé dans une bagarre – Une amitié brûlante pour un jeune Romain – L’unique femme de sa vie : un amour platonique – Le Pape fait « habiller » ses nus scandaleux ! – Un travail de titan de la chapelle Sixtine à Saint Pierre de Rome, une œuvre monumentale…
 

 

 

TONDO DONI (1503)

 

        Exécuté pour le mariage d’Agnolo Doni, ce « tondo » (tableau arrondi), œuvre de jeunesse de Michel-Ange, représente un sujet religieux traditionnel, la Sainte famille avec saint Jean-Baptiste enfant. Pourtant, son audace fit scandale. La pose en spirale du groupe était déjà assez hardie, mais que dire des bras de jeune athlète de la Vierge, fort éloignée des suaves madones de l’époque, et de l’assemblée d’éphèbes nus qui remplace le cœur des anges ! Aujourd’hui encore les interprétations de cette toile sont nombreuses. Certains y voient une référence à la vie quotidienne (Joseph donne l’enfant à Marie qui vient d’achever sa lecture), d’autres une allégorie de l’Eglise face au monde païen, ou même un jeu de mots sur le nom du donateur (la Vierge demandant à Joseph qu’il lui donne – doni en italien – l’enfant) !…

 

        Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni dit, en français, Michel-Ange est né le 6 mars 1475 au château de Caprese, au nord d'Arezzo en Toscane de Francesca di Neri del Miniato di Siena, sa mère, et de Lodovico di Leonardo Buonarroti Simoni, son père, magistrat et podestat de Caprese et Chiusi. La famille revient dans sa maison de Settignano près de Florence, après que le père a fini sa charge de podestat. En 1481, il perd sa mère et grandit ensuite chez une nourrice, femme et fille de tailleurs de pierre. Il ne retournera chez son père qu'à l'âge de dix ans.

        Michel-Ange meurt à Rome le 18 février 1564 à l’âge de 88 ans. Deux jours avant sa mort, il travaillait encore à la Pietà Rondanini. Il meurt en compagnie de Tommaso de' Cavalieri. Sa vie est décrite dans Le Vite de Giorgio Vasari et la Vie de Michel-Ange d'Ascanio Condivi. Santi di Tito participa à la préparation de ses obsèques. Selon ses volontés, son corps est rapatrié à Florence, où il est enterré dans la basilique de Santa Croce, avec les honneurs nationaux.

 

Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.


Armand,

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lafianceedusoleil  le 07-07-2011 à 19:53:32  (site)

bonsoir Jakin,
très bel article sur Michel Ange. Ses oeuvres sont magnifiques.
Suis OK avec toi, il faut vivre sa vie en couleurs, crois moi, je sais le faire. Souhaite que tu te portes bien.
Très belle fin de soirée.
Bisou

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
le 06-07-2011 03:10

M COMME MANAGUA - NICARAGUA

 

 

        Managua est une ville réellement originale. Si vous cherchez le centre de Managua, vous ne le trouverez pas: Managua n'a pas de centre. Il a été détruit par le tremblement de terre de 1972, et les problèmes de l'époque firent remettre sa reconstruction . Avec le temps la ville se fit plusieurs centres, et maintenant plus personne n'est réellement intéressé par la reconstruction de l'ancien Managua, dont il reste les ruines comme témoins de l'horreur du séisme.


    Si vous regardez Managua depuis les collines voisines, vous ne verrez que des arbres, car la plusparts des batiments n'ont pas d'étage, et sont recouverts par la végétation abondante de Managua; peu d'immeubles émergent des arbres parmis lesquels l'édifice du Banco de América, le plus haut du pays).

 

    Managua est peut-être la seule capitale champêtre, on se sent à la campagne tout en étant en pleine ville. Une autre particularité de managua est sont système d'adresses : quelques rues ont des noms, mais personne ne les connaît, ici on se repère avec les 4 points cardinaux à partir d'un point de repère connu: de là où fut le petit arbre, un pâté de maison vers le Lac , et 25 pas vers le haut (vers le haut est l'Est car le soleil va vers le haut quand il est à l'Est, vers le bas est l'Ouest, vers le Lac est le Nord, seul le Sud conserve son nom)... 

 

 

 

 

 


 Armand, Collection privée 2004, 

 

 

 


Commentaires

Dernier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 

1. lolo78000  le 06-07-2011 à 12:30:13

petit coucou pour te souhaiter un très bon mercredi aujourd'hui températures en baissent mais on profite du grand air de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 06-07-2011 à 19:54:12  (site)

bonsoir Armand,
incroyable cette ville de Managua sans centre. J'espère que tu ne l'as pas cherché...
Tu me demandes où sont passées les belle tahitiennes. Effectivement, les vraies de vrai n'étaient pas très présentes.
Je te souhaite une belle fin de journée. Bisouxxx

3. VOYAGEUSEIMMOBILE  le 08-07-2011 à 20:27:22  (site)

super cet article je ne connaissais pas merci et à bientot bonne soirée

Premier commentaire    Commentaires terminés   Fermer les commentaires
 
 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Merci de m'écrire un petit mot sur cet article, éventuellement une critique constructive...
Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article
 
 

LES BLACK'S FOOT VOUS REMERCIENT POUR VOTRE VISITE......