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Les Black's Foot

le 21-09-2012 08:46

CANNED HEAT ET JOHNNY WINTER


 


          Grâce à des jeunes musiciens de race blanche, le Chicago blues allait renaître de ses cendres au début des sixties. Tout d'abord en Angleterre, puis aux Etats Unis. De l'autre côté de l'Atlantique, Canned Heat et Johnny Winter ont été les figures les plus symboliques du "Blues Boom" : le groupe, en créant le blues psychédélique ; le guitariste, en donnant une impulsion nouvelle au blues texan.

     Fondé à Los Angeles par Bob Hite et Alan Wilson, Canned Heat signera en 1968 deux chefs-d'œuvre du blues blanc américain : "Boogie With Canned Heat", avec le hit "On the Road Again", et le double album "Livin'the Blues".

     Canned Heat et Johnny Winter - auxquels il faut associer Paul Butterfield - sont à l'origine du "boom" formidable qu'a connu le blues au milieu des sixties.

     Les décès d'Alan Wilson en 1970, et de Bob Hite en 1981 laisseront Canned Heat sans véritable leader. L'orchestre, devenu quartette, n'en continuera pas moins à faire des tournées, et notamment en Europe.
 


     Après des "jam-sessions" avec B.B. King et Muddy Waters, puis quelques disques diversement appréciés, Johnny Winter connaît son premier succès avec un album live qui révèle un super technicien de la six cordes.

     Dans son Texas natal puis dans les clubs du Southside, Johnny Winter va réunir les atouts qui feront de lui, quelques années plus tard, l'un des meilleurs spécialistes de blues.

     Après plusieurs albums proches du hard rock, Johnny Winter reviendra au blues authentique, notamment en signant en 1991 un superbe "Let me in" pour PointBlank.

     En 2011 il enregistre son premier album depuis sept ans. Il se nomme Roots. Comme son nom l'indique Johnny Winter rend hommage aux bluesmen qui l'ont influencé. Les invités sont nombreux : Derek Trucks, Gregg Allman, Warren Haynes, Billy Gibbons.
 

 

     Sa santé semble meilleure. Il a été en concert à Paris début juillet 2011, et la tournée continue pendant l'été et l'automne.
 
♥     Dimples 
 
 
♥♥     Rollin' and Tumblin' 
 
 
♥♥♥     Louise
 
 
 

          Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Blues», Editions Atlas, 1992.

 

Armand, 
 
 
 


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1. lolo78000  le 21-09-2012 à 13:07:36

coucou je te souhaite un très bon après-midi ainsi qu'un très bon week-end de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 21-09-2012 à 19:15:07  (site)

bonsoir Armand,
très bons morceaux de blues, merci pour ce moment de détente.
je suis contente que mon texte t'ait plu.
Je te souhaite un super week-end.
Je t'embrasse

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le 20-09-2012 08:18

P COMME GLACIER PERITO MORENO - ARGENTINE

 
 
 
           Au bout du monde, en Patagonie, découverte du glacier le Perito Moreno, une impressionnante muraille de glace de 60 mètres de haut qui recouvre deux fois et demie la surface de Paris.

     Classé au Patrimoine mondial de l'Unesco, le glacier Perito Moreno est le plus spectaculaire des glaciers andins et le plus facile d’accès. Il se trouve à un peu plus de 50 km d'El Calafate. Véritable monstre de 15 km de long sur 5 km de large, il atteint 60 m au-dessus du niveau du lac. Sa superficie est l’équivalent d’une ville comme Buenos Aires ! On pourrait passer des heures à l’observer et à suivre ses mouvements sans se lasser. Majestueux !..

 
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

 
Armand, Collection privée 2007,   
 
 


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1. lolo78000  le 20-09-2012 à 12:51:05

petit coucou pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 20-09-2012 à 18:56:46  (site)

bonsoir Armand,
comme tu dis ce glacier est majestueux.
Il sort du réel.
Les photos sont magnifiques et pures.
Merci Armand pour ce beau partage.
Belle soirée
je t'embrasse

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le 19-09-2012 08:15

P COMME PARC NATIONAL LOS GLACIARES - ARGENTINE

 
 
 
           Avec une superficie totale de plus 600 000 hectares, le Parc National Los Glaciares s’étend depuis l’aride steppe patagonne jusqu’à la Cordillère des Andes, frontière naturelle avec le pays voisin, le Chili.
 
     S’étendant sur 350km du Nord au Sud, le Parc National comprend une Réserve Nationale dont la dimension est d’environ 180 000 hectares. À lui seul, le champ de glace patagonique Sud, dont l’étendue est la plus grande au monde après celle de l’Antarctique mérite le voyage.
 
     Il compte au moins 47 glaciers majeurs dont les principaux sont le Marconi, l’Upsala, l’Agassiz, le Moreno, l’Onelli et le Spegazzini. Par ailleurs, il comprend également plus de 200 glaciers d’importance moindre. 

     Même s’ils apparaissent immobiles, ces glaciers se trouvent être en mouvement constant, créant un spectacle permanent. De temps en temps, des blocs de glace se détachent de la façade glaciaire et tombent avec fracas dans les eaux laiteuses du lac. C’est à cette expérience saisissante, que nous convie le plus célèbre d’entre eux, le Perito Moreno, glacier qui donne sur le lac Argentin et situé à 80km d’el Calafate.

 

 

    
 

  

 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

 
Armand, Collection privée 2007,   
 

 

 


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1. lolo78000  le 19-09-2012 à 06:49:22

coucou avec la fraîcheur je te souhaite un très bon mercredi de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 19-09-2012 à 20:29:10  (site)

bonsoir Jakin,
il est gigantesque ce parc national.
Les photos sont magnifiques avec ces blocs de glace qui flottent.
Merci pour ce superbe article.
Douce nuit
je t'embrasse

édité le 19-09-2012 à 22:29:27

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le 18-09-2012 08:06

LA R.D.A. AU QUOTIDIEN


 


          Si l'Allemagne en général a toujours semblé un peu mystérieuse aux Français, la République démocratique allemande - l'Allemagne socialiste - leur devient insondable. Les schémas et stéréotypes martelés par les médias aidant, elle est vite classée dans une grisaille uniforme qui régnerait de l'Elbe à la Sibérie.

     Pourtant, on se pose aussi des questions à son sujet : pourquoi des syndicats qui ne jouent pas leur rôle, des artistes qui ont des problèmes, et des sportifs qui réussissent ? Pourquoi des vitrines vides en Pologne et des produits fabriqués en RDA sur le marché français ?

     Paul Laveau, agrégé d'allemand, maître de conférences à l'université d'Orléans, a vu de près la réalité de ce pays au cours de plusieurs séjours entre 1961 et 1984, notamment en y collaborant de 1972 à 1975 à Weimar à l'édition des œuvres de Heine.

     Aussi a-t-il, dans l'ouvrage qu'il lui consacre, aussi bien remettre en cause les simplifications abusives véhiculées à son sujet que répondre aux interrogations du public français. Il le fait en approchant la RDA par "en bas", en suivant ses citoyens dans les lieux où ils vivent et travaillent, en décrivant leurs activités, en étudiant leurs problèmes, en se demandant ce qui a subsisté, ce qui s'est modifié, ce qui est acquis ou en mouvement, ce qui est résolu ou ne l'est pas dans leur existence. Le tout est appuyé de citations d'auteurs, de caricatures, d'anecdotes humoristiques illustrant la façon dont les gens en RDA posent eux-mêmes leurs problèmes et en débattent avec vigueur.

     Ni dithyrambe, ni volonté de dénigrement, tel est en résumé le centre de sa démarche.

     Un ouvrage de 1985, datant d'avant la réunification, mais fort utile pour la compréhension de l'Allemagne actuelle...
 
 
 


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1. lolo78000  le 18-09-2012 à 13:09:38

coucou c'est avec un temps bien lourd que je viens te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 18-09-2012 à 19:23:53  (site)

bonsoir Armand,
ce livre est certainement intéressant, cependant, je ne suis pas trop inspirée sur le sujet.
La Bretagne, comme tu dis, est très belle.
C'est le climat qui n'est pas toujours des meilleurs. Il fait trop frais à mon goût.
Nous avons passé un bon séjour.
Je te souhaite une belle soirée.
Bisou

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le 17-09-2012 07:46

E COMME EL CALAFATE - ARGENTINE


 
 
          À 80 km du Perito Moreno, au pied de la cordillère des Andes et du Lago Argentino, El Calafate est avant tout la ville-étape d’où l’on part pour visiter le Parc naturel des Glaciers. Son nom lui vient d’un arbuste à fleurs jaunes et baies noires (proches de la myrtille), très répandu dans la région...
 

 
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

   
 

 
Armand, Collection privée 2007,   
 
 


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1. lolo78000  le 17-09-2012 à 12:48:23

petit coucou pour te souhaiter un très bon après-midi ainsi qu'une très bonne semaine de gros bizzzous

2. heremoana  le 18-09-2012 à 04:52:56  (site)

soleil mais pas chaud dirait-on mais je suppose que l'altitude y est pour quelque chose .....
bisous et bonne journée

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le 16-09-2012 07:07

LE MOT DU WEBMASTER

 
AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

 

 

 

Plougasnou, Finistère, La pointe Primel, la côte sauvage, le port du Diben.

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

  
 


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1. lafianceedusoleil  le 16-09-2012 à 07:00:01  (site)

kikou Armand,
très bon dimanche.
Aujourd'hui il fait soleil.
Bon repos à toi
je t'embrasse

2. christineb  le 16-09-2012 à 20:28:07  (site)

En Bretagne? Bonne semaine!

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le 15-09-2012 00:59

SIERRA TORRIDE


 
 


          Sœur Sara est une sympathisante du mouvement juariste. Hogan, un mercenaire américain, a rallié par intérêt les révolutionnaires mexicains. Ces deux solitaires s'uniront pour servir la cause.

     Pour tourner "Sierra Torride", le réalisateur Don Siegel aura besoin de toute son énergie. Outre les doutes et la colère de Shirley MacLaine, le cinéaste devra faire face aux restrictions budgétaires de dernière minute imposées par son producteur, Martin Rackin.

     "Sierra Torride" confirme l'amitié entre Siegel et Eastwood. Pour l'acteur, le metteur en scène est essentiel dans sa carrière.

     Salué comme un divertissement de qualité, "Sierra Torride" intègre à la perfection les apports du western italien.

     "L'Inspecteur Harry", "L'Invasion des profanateurs de sépultures"... Un maître de la série B se cache derrière ces chefs-d'œuvre : Don Siegel.

     Né le 26 octobre 1912, à Chicago (Illinois), Donald Siegel est le fils d'un mandoliniste de renom qui rêve pour son fils d'une carrière de musicien. Après des études à Cambridge et à la Royal Academy of Dramatic Arts de Londres, le jeune homme décide, en 1934, de gagner Hollywood. Engagé chez Warner Bros, il est tour à tour archiviste, assistant monteur et enfin responsable de la section inserts. Ce poste lui permet de superviser le tournage et le montage de séquences mêlant prises de vues réelles et images d'archives appelées à intégrer un long métrage. Siegel œuvre ainsi dans l'ombre de quelques chefs-d'œuvre de la firme, dont "Gentleman Jim" et "Les Fantastiques années 20". En 1945, Jack Warner, d'abord réticent à l'idée de se séparer d'un monteur aussi brillant, finit par le nommer réalisateur. Deux courts métrages suffisent à gagner la confiance des exécutifs du studio et, en 1946, il livre son premier long format, le film noir "The Verdict"...
 
  Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.
 
 
Armand,   

 


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