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Les Black's Foot

le 15-02-2011 01:06

LE VOYAGE PAR LA MONNAIE - FRANC

 

 

 

 

50 FRANCS (SAINT EXUPERY)


        

    Type 1992. Billet mis en circulation du 1er janvier 1992 au 18 février 2002. Impression polychrome.

    Recto : Portrait d’Antoine de Saint Exupéry.

    Verso : Avion de l’aérospatial.

    Numérotation, date et signature en noire.

    Filigrane : Portrait de Saint Exupéry.

    Quand elle a sorti sa plus récente gamme de billets, la Banque de France s'est inspirée de Saint-Exupéry et de son livre Le Petit Prince pour son premier billet : celui de 50 francs. Il est déjà intéressant qu'elle ait décidé de sortir une nouvelle gamme de billets juste avant que l'euro soit introduit sur le marché. Le billet de 50 francs, le premier à sortir dans la nouvelle gamme, a été imprimé pour la première fois en 1992. Si ce choix a été fait, existait-il une raison spécifique pour le motiver ? Ou la nouvelle gamme peut-elle être simplement vu comme une autre gamme de billets ?

    En fait, la Banque de France a annoncé spécifiquement le but de la nouvelle gamme de billets. Elle en donne l'explication dans la description qu'elle fait du billet de 50 francs. Dans la section qui s'intitule « Le choix de Saint-Exupéry (1900-1944) », la Banque annonce ses intentions avec les nouveaux billets. Elle dit que la nouvelle gamme « est fondée sur les grands thèmes qui caractérisent le 20ième siècle dans notre inconscient collectif ».

    Cela explique le choix de faire une nouvelle gamme de billets. Ensuite vient la question de savoir pourquoi Saint-Exupéry a été choisi comme thème du premier billet. La Banque de France justifie son choix en déclarant que Saint-Exupéry est « universellement connu » et qu'il a contribué « au rayonnement de la France dans le monde ».

    Comment a-t-il fait rayonner la France dans le monde entier, si ce n'est pas grâce à son livre Le Petit Prince ? Il a sûrement fait d'autres choses au long de sa vie, qui sont mieux connues des générations précédentes. Mais ce qui demeure dans l'inconscient collectif c'est Le Petit Prince, ou peut-être le Petit Prince lui-même. Il n'est donc pas surprenant que l'un des thèmes principaux du billet de 50 francs soit le Petit Prince. Il y apparaît avec certains dessins de son livre. Lui, ambassadeur de la France, venu se déclarer aux français eux-mêmes.
 


Armand,

 

 


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1. lolo78000  le 15-02-2011 à 14:16:15  (site)

petit coucou en rentrant du travail pour te souhaiter un très bon après-midi de gros bizzzous

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le 14-02-2011 09:40

S COMME SOMONE - LES PARCS A PIROGUES - SENEGAL


     Le Sénégal est également connue pour ses pêcheurs, pas souvent bien équipés avec d'enormes chalutiers mais plutôt sur ce type d'embarcation, assez petite et pas forcément en bonne état.

 

    Les premières descriptions de la pirogue employée dans la pêche côtière au Sénégal ont été faites par J. Arnoux (1967), A. Blanc (1957) et B. Diop (1961).

 

    La pirogue de mer des Lébous est composée d'un corps pris dans un tronc d'arbre en bois léger, prolonge a chaque extrémité par un éperon pouvant atteindre le 1/5 du corps; le corps est surmonté par des bordés en planches de sapin, les éperons servent de brise-lames en mer et, à terre, ils servent de balanciers pour le hissage des pirogues sur la plage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Armand, Collection privée 2004,  

 

 


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1. lolo78000  le 14-02-2011 à 14:18:09

coucou très bon après-midi et bonne st valentin de gros bizzzous

2. lafianceedusoleil  le 14-02-2011 à 16:30:55

Coucou Armand,
superbe article sur les parcs à pirogues. Les photos sont belles.
Merci pour ce beau partage Monsieur le grand voyageur !
Souhaite que ta journée se passe bien.
Bonne soirée et grosse bise
Cricri

3. heremoana  le 14-02-2011 à 21:40:29  (site)

un univers de rêve en cette période !
bisou et bonne soirée

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le 13-02-2011 09:45

LE MOT DU WEBMASTER

 

AUJOURD'HUI C'EST DIMANCHE

LE WEBMASTER SE REPOSE

  

 

 

 

En Maurienne, Bessans, Savoie (alt. : 1720 m)...

 

 

A LUNDI POUR DE NOUVELLES AVENTURES

 

 

 

 


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1. anaflore  le 13-02-2011 à 09:29:47  (site)

dimanche jour du seigneur ...ici pluie comme d'hab ...moi c'est l'inverse je profite pour visiter les amis des blogs

2. lolo78000  le 13-02-2011 à 12:48:17  (site)

Coucou très bon dimanche et bon repos de gros bizzzous

3. lafianceedusoleil  le 13-02-2011 à 16:19:36  (site)

coucou Armand,
me voici de retour après avoir passé une superbe semaine au soleil de la Martinique. Ai fait de nouvelles découvertes dont le jardin de Balata que je n'avais pas encore visité. Ai fait de bonnes baignades, de belles bronzettes, de belles balades, un petit resto chaque jour, etc... T'espère en bonne forme.
Bonne fin de journée et gros bisou
Cricri

édité le 13-02-2011 à 17:20:04

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le 12-02-2011 08:34

ALAMO

 

 

 

 

        Dans un Texas en proie à l’insurrection, une poignée d’Américains se retranche dans le Fort d’Alamo pour ralentir l’avancée du général Santa Anna. Ces braves sont prêts à sacrifier leur vie .

    Avec Alamo, John Wayne devient non seulement un metteur en scène de premier ordre, mais il réalise également un projet qui lui tient particulièrement à cœur et qui aura mis près de dix ans à être mené à bien.

    Avec ses 83 jours de tournage, Alamo est une entreprise colossale. Wayne n’a pas de temps de repos, et a fort à faire devant la caméra, à la technique, mais aussi avec les comédiens, amis ou pas.

    Malgré une presse élogieuse et la promesse d’un spectacle de qualité, le public se détourne d’Alamo.

    Comptant près de 70 films, la carrière de Richard Widmark se signale par son exigence sans faille et sa remarquable cohérence. Né le 26 décembre 1914, à Sunrise, Minnesota, l’Américain Richard Widmark se destine à devenir avocat. Inscrit à la faculté de droit de Lake Forrest, il se détourne bientôt de cette voie et se consacre au théâtre. Devenu professeur de comédie dans l’université de ce même campus, il débute une brillante carrière sur les ondes new-yorkaises. De 1938 à 1947, il participe à de nombreuses dramatiques radiophoniques. Fortune faite, il prend la décision de se produire à Broadway. Une fois encore, le succès est au rendez-vous. Remarqué par Hollywood, il débute au cinéma en 1947 dans le Carrefour de la mort, d’Henry Hathaway. Son rôle de tueur psychopathe au rire de hyène marque les esprits. Le film noir a trouvé son nouveau grand méchant. Refusant d’être cantonné dans ce type de rôle, Widmark décline quantité de propositions. Il accepte tout de même de prêter sa silhouette inquiétante et sa voix doucereuse à quelques gangsters d’anthologie, dont ceux de la Femme aux cigarettes, de la Porte s’ouvre ou encore des Forbans de la nuit…

 


Textes et photos en provenances de la collection « Westerns de légende », Editions Atlas, 2004.
 

 

Armand, 

 

 


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1. lolo78000  le 12-02-2011 à 14:26:10  (site)

coucou j'arrive pour te souhaiter un très bon samedi chez nous grrrr avec la pluie de gros bizzzous

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le 11-02-2011 00:27

SARAH VAUGHAN

 

 

 

             Surnommée « La Divine » par un public épris de sa voix sophistiquée et sa beauté sensuelle, Sarah Vaughan a été la chanteuse la plus musicienne du jazz. Et, avec une tessiture égale à celle d’une cantatrice d’opéra, la plus complète du jazz moderne. A la fin des années quarante, cette amie de Parker va pourtant aborder un genre plus facile que le Bop. Celui de la variété. Mais sans jamais déchoir.

    Découverte par Billy Eckstine en 1943 dans un concours d’amateurs, Sarah Vaughan deviendra bien vite le symbole de l’art vocal du jazz moderne. Le grand orchestre de Billy se révèlera un tremplin formidable pour les boppers et les néo-boppers. De Charlie Parker à Miles Davis, en passant par Dizzy Gillespie et Sarah Vaughan, tous participeront à la grande aventure de « Mr. B ».
 


    Après avoir travaillé un an dans l’orchestre de Earl Hines en qualité de chanteuse et de deuxième pianiste, Sarah Vaughan se convertira à la nouvelle religion du jazz, le Be-bop, sous l’impulsion de Billy Eckstine et d’un trompettiste nommé Dizzy Gillespie.

    Sarah Vaughan joue un rôle fondamentalement nouveau dans le jazz. Elle utilise sa voix comme un instrument. Ce qui fera dire à Gillespie qu’elle était « un musicien aussi bon que le meilleur d’entre nous ». surnommé la Divine comme une certaine Greta Garbo, elle aura été la déesse de la nuance, l’une des plus belle voix du jazz.

    Avec Hal Mooney, Sarah enregistre, à partir de la seconde moitié des années 50, un grand nombre de titres dont la qualité et le succès ne sont à nul autre comparables.
 


    Elle s’éteint le mardi 3 avril 1990 à Hidden Hills en Californie…
 

 

 

 Textes et photos en provenances de la collection « Les Génies du Jazz », Editions Atlas, 1991.

 

Armand, 

 

 


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1. lolo78000  le 11-02-2011 à 14:08:58  (site)

coucou passe un bon après-midi chez nous grand soleil de gros bizzzous

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le 10-02-2011 02:31

DEGA, L'INTRANSIGEANT

 

 


             Paris, 1884. A cinquante ans, Edgar Degas fait un retour sur lui-même. né dans une famille riche, élégant, doté d’un physique agréable, fou de dessin et de couleurs, il a fréquenté les danseuses et les hippodromes, vécu les années folles du Second Empire et a vu son génie éclore au moment le plus brillant de cet impressionnisme dont il fut un des chefs de fille, un chef légèrement distant mais toujours fraternel…

    Et puis les années noires sont venues : drames familiaux, dettes, solitude du célibataire voué à un travail omniprésent, brouilles avec les amis parce que l’art est plus fort que l’amitié, et surtout vertige d’une création qui, toujours plus difficile, dévore le temps et le cerveau du peintre.

    Ses danseuses au corps mince prennent un petit air triste et fatigué, ses enthousiasmes se font plus rares, ses mots d’esprit plus cruels. Degas le sait aujourd’hui : la peinture a magnifié et ravagé sa vie, et son cœur ne bat plus que pour elle. Il sera un jour aveugle, et doit lutter pour achever l’œuvre, avant que le rideau ne tombe définitivement sur ces danseuses qu’il a tant aimées, dans la poussière des coulisses, à la lumière de la rampe ou dans le silence sacré de son atelier…

    Alertée par ses voisins, la police débarque chez lui ! – Sa famille américaine se ruine en Bourse – La seule femme de sa vie : Zoé sa gouvernante – L’affaire Dreyfus bouleverse ses amitiés – Etoiles et ballerine, il peint la magie de la scène et la réalité des coulisses – Une ironie féroce, ses cinglantes réparties font trembler tout Paris…
 

 


LE TUB

    A la dernière exposition des impressionnistes, en 1886, Degas fait scandale en  présentant une série de pastels consacrés à la toilette féminine. Sans corriger ni embellir la réalité, il veut y montrer ses modèles « sans leur coquetterie, à l’état de bêtes qui se nettoient ». Ce refus des glorieuses nudités de la tradition académique choque le public et les critiques, qui y voient un « accent de mépris et de haine ». Pourtant, Degas se défend de tout exhibitionnisme : « Mes femmes à moi sont des personnes simples et honnêtes. En voici une : elle se lave les pieds. C’est, comme si vous regardiez par le trou de la serrure… ».
Vers 1886 (70 x 70 cm), Hill-Stead Museum, Farmington (Connecticut).

    Fils du riche banquier Auguste de Gas et de Célestine Musson, Edgar de Gas naît à Paris le 19 juillet 1834 et grandit dans un milieu bourgeois cultivé. Il a quatre frères et sœurs et jouit d’une enfance dorée.

    Il meut le 27 septembre 1917 à Paris. Sa dépouille repose au Cimetière de Montmartre, dans le tombeau familial.


Sources Grands peintres, éditions F. Magazine sa et Wikipedia.

 Armand,

 

 

 


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1. anaflore  le 10-02-2011 à 06:25:00  (site)

de belles peintures bien étudiées bon jeudi

2. heremoana  le 10-02-2011 à 20:58:30  (site)

un grand peintre !! bisous et bonne soirée

3. cactus27  le 10-02-2011 à 22:52:04  (site)

Coucou, merci du petit mot que tu as laissé sur mot blog lors de ton passage.
J'aime beaucoup Dega, mais il faudra que je repasse pour ce que tu as mis: ce soir, je nai aucune photos qui s'affichent....
Passe un bon vendredi, A+

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le 09-02-2011 07:42

PUITS DE GUERRE, SOURCES DE PAIX

 

 

 AFFRONTEMENTS MONOTHÉISTES...

 

 

         De grands évènements bibliques se jouent autour d’un puits, c’est-à-dire dans une proximité essentielle avec l’eau, dans des lieux de conflits et de réconciliation, de relations hostiles ou amicales entre des groupes ou des personnes. Spécialiste de la tradition juive, bon connaisseur du Nouveau Testament et du Coran, Armand Abécassis explore systématiquement ces rencontres inédites autour d’un puits, où s’engage l’aventure de la paix ou de la guerre, de la justice ou de l’injustice, du droit de tous ou le l’inégalité maintenue, de l’amitié ou de la violence, de l’accueil ou du rejet de l’étranger, de la place des femmes.

    Les divergences entre les trois monothéismes – mais aussi peut-être les moyens de les surmonter – se dessinent déjà là, à travers les deux vocations d’Israël et d’Ismaël, où s’enracine la distinction entre judaïsme et islam, ou encore à travers les deux réponses, juive et chrétienne, à la quête humaine de paix, que l’auteur lit dans la rencontre entre Jésus et la Samaritaine.

    Du puits de Sodome au puits de Jacob, du puits d’Isaac au puits de Moïse, du puits de Rébecca au puits de la Samaritaine, le partage de l’eau – pour désaltérer, pour arroser, pour purifier – en apprend beaucoup sur l’origine de la violence et l’instauration de la paix.

    Armand Abécassis professeur de philosophie à l’université de Bordeaux III, a écrit de nombreux ouvrages sur la pensée et la tradition juives…
 
 
 


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1. anaflore  le 09-02-2011 à 08:17:38  (site)

chez moi les gens se disputaient aussi pour les lavoirs et l'eau qui était précieuse ......bonne journée

2. lolo78000  le 09-02-2011 à 12:22:32  (site)

coucou passe un très bon mercredi de gros bizzzous

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